Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Marine-perruche

Membres
  • Compteur de contenus

    1
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. Emmène les deux en cage séparé, quant aux tarifs de la maison Alfort il te suffit de les appeler pour être informé
  2. Ceci t'aidera : Cages et volières idéales pour nos perruches et perroquets
  3. Non non Richard, certainement pas de rongeur dans cette prison, aucun animal ne peut vivre décemment dans un 45 sur 45.......
  4. Je confirme, un beau vivarium à végétaux Quant à vouloir y mettre des animaux, ce serait bien sûr complètement maltraitant pour eux.
  5. Coucou marie, pas de nouvelles photos pour le plaisir des yeux ?
  6. Les oiseaux (et animaux) ne meurent pas d'un courant d'air Kevin, c'est une erreur d'interprétation de ta part. Mes oiseaux par exemple adorent les courants d'air, comment feraient les oiseaux de volières extérieurs pour survivre, comment feraient les oiseaux sauvages ? Non, ton oiseau avait une pathologie, ou du moins la cause est tout autre qu'un simple et inoffensif courant d'air.
  7. J'ai une amie qui prenait bien soin de ses oiseaux, et ses goulds, mandarins et moineaux du japon vivaient bien plus longtemps dans les faits (jusqu'à 9 à 10 ans en moyenne) que ses perruches ondulées (jusqu'à 6 à 8 ans) Ses dernières étaient plus sensibles aux infections et aux tumeurs que ses petits exo. Je pense que ces petites espèces ont énormément de potentiel, si on répond à leurs besoins avec un environnement et une alimentation adaptés, et qu'on les laisse évoluer (être libre) dans nos maisons à leur guise. Je connaissais une autre personne qui les avait installé en liberté dans son salon, les petits goulds étaient familiarisés avec les humains de la maison et venaient sur eux sans difficultés.
  8. Marine-perruche

    Titine.

    Toutes mes condoléances pour ta belle Titine Joël, je lui envois de tendres pensées
  9. Certains traitements, s'ils sont donnés et qu'ils ne sont pas adaptés, peuvent ne pas engendrer de problèmes de santé, comme d'autres traitement puissent être nocifs ou mortels tout les cas sont possible. Si d'après le véto il est possible que ce soit la gale, une goutte d'ivomectin (dilué pour une perruche de 30 gr), ou de sélamectine, donné par ton véto devrait la traiter durant 20 jours C'est une seule goutte entre les deux ailes derrière la nuque. Ca je sais que ça ne causera pas de dommage s'il n'a pas la gale, c'est à antiparasitaire à large spectre.
  10. Pour le bien-être de tes oiseaux, ils devraient avoir le libre choix du partenaire sexuel. Tu peux techniquement séparer des couples pour en reformer des différents, mais ça ne se fera pas dans l'intérêt de tes oiseaux, et il est dommage qu'ils ne puissent plus s'épanouir comme ils l'entendent
  11. Merci pour ces informations je vais pouvoir préciser à leur sujet. Alors j'ai bien potassé ton lien Cécile et il est vrai qu'il a énormément travaillé sur son environnement pour réussir ses cohabitations, cependant je ne pense pas que ce soit accessible aux lecteurs néophytes potentiels. En tout cas ce fut enrichissant Quelqu'un aurait un avis sur les amazones ?
  12. Pour les cages de transport voici des idées : Cages de transport : visite vétérinaire, petits voyages Pour les lampes chauffantes je ne m'y connais pas, mais voici comment tu dois organiser ta cage hôpital : La cage infirmerie (ou hôpital) en attendant le RDV vétérinaire
  13. Merci Cécile pour le lien, je vais aller consulter cela Cela ne m'aide pas vraiment Margaux parce que tout cela je le sais. Leur opportunisme, leur grégarisme, les conditions inadaptées de la captivité et ses conséquences, je le connais. Je recherche vraiment à comparer leur seuil de tolérance face à la cohabitation entre les différentes espèces ou groupes d'espaces. Et on va dire, dans des conditions d'oiseaux EPP et, soit en grande volière, soit en intérieur mais obligatoirement libre. L'éditeur me demande de faire un tableau comparatif et d'y inclure les cohabitations possibles, ce qui me chagrine, parce que cela dépend de beaucoup de paramètres environnementaux, génétiques, de l'individualité mais aussi et de la méthode d'élevage. Et surtout, toutes les cohabitations réussies ne le sont pas forcément dans l'intérêt de l'oiseau ou du groupe social (mais plus dans l'intérêt de l'humain). Ca, ça m'aide merci dans la nature, est-ce qu'il arrive que différents agapornis (de différentes espèces) puissent cohabiter au sens stricte ? J'ai entendu parler de cas d'hybrides à l'état naturel, est-ce fondé d'après toi ? Parce que ce genre de fait étayerai l'idée qu'ils sont aptes à la cohabitation, ayant des comportements similaires et des échanges sociaux à l'état naturel.
  14. Comment faire sortir quotidiennement mes perruches et perroquets de leur cage Ils ne veulent pas ! Comme nous avons pu le voir dans notre article sur « l'enrichissement de l'environnement », nos perruches et perroquets ont besoin d'un environnement le plus libre et riche possible, en stimulations et jeux. Pour que ce soit optimal, ils doivent pouvoir bénéficier, pour nos oiseaux d'intérieur, de plusieurs heures de liberté dans leur pièce, ou dans la salle de vie. Organiser la première sortie La première sortie de nos oiseaux doit être préparée à l'avance. Avant toute chose, il faut sécuriser l'environnement, pour cela, reportez-vous à notre article « Sortie en sécurité de votre oiseau : sécuriser la pièce et créer un parc de jeux ». Ensuite, il faudra au préalable installer une aire de jeux pour que vos oiseaux puissent s'y réfugier et s'y épanouir, plutôt que de s'égarer n'importe où dans votre pièce. Il y a la possibilité d'acheter ou de construire un arbre à oiseaux, ou un parc. Pour des idées d'achat et de construction, consultez notre article sur « Parcs et aires de jeux pour perruches et perroquets ». L'instinct de conservation et l'instinct exploratoire Une fois une aire de jeux en place et la pièce sécurisée, vous pouvez ouvrir les portes de leur cage ou volière et les laisser sortir de leur plein gré. Il faut savoir qu'il existe chez tous les animaux, et donc chez nos oiseaux, un fort instinct exploratoire, qui surpasse même en certaines circonstances les besoins vitaux (alimentaires par exemple). Ainsi, nos perruches et perroquets vont également avoir ce besoin instinctif d'explorer l'environnement, de l'observer, de le parcourir, et de le toucher avec son bec, son organe du toucher. C'est pourquoi il est important de leur offrir ces heures d'exploration, en liberté, dans une pièce qui leur est adaptée. Ainsi, une fois la porte ouverte, ils ne devraient pas tarder à être curieux face à cette nouvelle possibilité de sortie et de découverte de l'environnement. Facilitez leur sortie en positionnant des perchoirs proches de la sortie, tant à l'intérieur de la cage qu'à l'extérieur, pour une circulation plus aisée entre la cage et le parc. Il faudra savoir organiser un espace de vol où l'oiseau peut s'exercer à voler pleinement pour son bien-être tant psychologique que physique, mais également un espace de jeux riche en matériaux, formes et textures divers, pour ses besoins exploratoires et de destruction. Cependant, les oiseaux sont également confrontés à leur instinct de conservation, et ont besoin d'une période d'adaptation avant d'oser sortir de leur cage afin d'explorer. C'est pourquoi plusieurs individus auront besoin de plus de temps avant d'oser faire leurs premières sorties, comparé aux plus curieux ou courageux. D'ailleurs, le principe de mimétisme, qui est très présent chez nos oiseaux, va permettre d'inciter les plus réticents à explorer à leur tour, sous le modèle des plus confiants. De plus, certains individus s'avèrent complètement néophobes : ils ont peur de la nouveauté, et donc de sortir explorer cet environnement et ces matériaux inconnus. Ils peuvent même développer des comportements d'anxiété face au changement de leur environnement et à la nouveauté (par exemple, un simple jouet). Les oiseaux néophobes sont souvent des individus qui ont été élevés à la main et qui n'ont pas reçu des stimuli appropriés durant leur période de socialisation primaire, et par la suite. Ou encore, ce sont des oiseaux qui ont évolués durant de longues années dans un environnement anxiogène, exigu, en dehors de tout enrichissement et de toute nouveauté. Ainsi, l'un comme l'autre, ils n'ont pas pu faire leurs propres expériences en tant qu'oiseau juvénile, pubère et subadulte. Leur socialisation étant déficiente, ils ne savent pas comment réagir face à la nouveauté, et ont des réactions excessives et inappropriées. Pour réduire et éteindre ce genre de réactions, il faudra désensibiliser votre oiseau à la nouveauté, grâce au renforcement positif. En outre, il faudra lui apprendre à développer sa curiosité et ses comportements exploratoires, en le récompensant à chaque étape. Pour cela, consultez notre article « le renforcement positif ». Comment les inciter à sortir de la cage quand ils ne veulent pas ? Puisque la première sortie n'est pas aussi facile pour tous nos oiseaux, et que certains restent dans leur cage malgré la porte ouverte, nous pouvons les inciter d'une manière positive à sortir d'eux-même. Pour cela, il faut dans un premier temps que vous positionnez un perchoir au niveau de la porte de sortie, à l'intérieur, et un de même, à l'extérieur de la cage. Ensuite, assurez-vous que depuis le perchoir habituel où est positionné votre oiseau, et jusqu'à la porte de sortie, la trajet soit aisé. N'hésitez pas dans les premiers temps à ajouter des perchoirs entre votre oiseau et la sortie, pour l'inciter à parcourir de lui même sa cage, jusqu'à la sortie. Assurez-vous également que depuis la porte de sortie jusqu'au parc, le chemin soit facile et court à parcourir. Pour les premières sorties des oiseaux les plus timides, mieux vaut que le parc soit près de la cage, c'est-à-dire soit au dessus, soit à coté, ou juste devant. Vous pourrez le déplacer plus loin une fois seulement vos oiseaux accoutumés aux sorties. Dans un deuxième temps, munissez-vous de sa friandise préférée : millet en grappe, graines de tournesol, petit bout de noix ou de cacahuète, salade, pomme, etc. Vous allez chaque jour déposer un petit morceau de friandise, coincé entre les barreaux, ou à l'aide d'une pince, proche de votre oiseau. Plus les jours passeront, plus vous éloignerez la friandises de lui, mais de sorte à ce qu'elle soit sur le chemin de la sortie. Attendez qu'il s'habitue bien à trouver la friandise, et le jour d'après éloignez-la toujours un peu de lui, en la rapprochant de la sortie (quitte à vous aider du chemin tracé par les perchoirs). Par la suite, déposez la friandise proche du perchoir de la porte de sortie, toujours à l'intérieur. Cette étape suffit parfois à attirer la curiosité de l'oiseau, qui se retrouve en face de la porte de sortie, et peut tenter de s'aventurer à l'extérieur. Si c'est le cas, récompensez-le avec sa récompense préférée, que ce soit alimentaire, ou autre (jouet, compliments ou grattouilles). Également, s'il sort, montrez-lui son aire de jeux et ce qu'il peut y trouver d'intéressant : matériaux à détruire, friandise, ou jouet. Ainsi, il pourra assimiler la sortie et sa présence sur cette aire avec le plaisir d'y retrouver ce qu'il aime. Au fur et à mesure de sa progression, pensez à la renforcer avec les récompenses. Si la présence de l'oiseau à l'intérieur de sa cage au niveau de la porte de sortie ne suffit pas à lui permettre de s'envoler à l'extérieur, nous pouvons continuer l'exercice. Dans ce cas, vous continuez de lui déposer la friandise, au niveau de la sortie. Une fois qu'il sera complètement à l'aise pour venir la chercher à cet endroit, pour pourrez la déposer le jour suivant, toujours au niveau de la porte, mais cette fois, à l'extérieur de la cage. C'est ici que le perchoir extérieur va aider votre oiseau à passer de l'intérieur de la cage à l'extérieur, tout en restant à peu près au même niveau. Il faudra patienter qu'il ait bien l'habitude de traverser sa cage et d'en sortir pour aller chercher sa friandise, avant de passer à l'étape qui suit. Vous pouvez maintenant mettre la friandise un peu plus près du parc, toujours sur le chemin tracé et facile, qui mène de la porte de sortie au parc. Enfin, prenez soin de déposer une friandise sur l'aire de jeux, afin que l'oiseau trouve un intérêt à sortir de sa cage et à aller sur son parc. Cet exercice permet de le désensibiliser progressivement à la sortie, et lui permettre de voir les avantages de pouvoir sortir : comme la liberté, le jeu, et les friandises. Par la suite, votre oiseau s'habituera à sortir et y prendra plaisir. Il ne faut pas oublier qu'un oiseau confiant envers les humains de la maison et de son environnement sera plus rassuré et sortira plus facilement et avec aise de sa cage pour aller explorer et jouer. C'est pourquoi il est important de respecter les besoins essentiels et instinctifs de vos oiseaux, et d'établir une relation d'écoute et de confiance avec eux. Pour les oiseaux habitués au renforcement positif : la commande entrer et sortir de la cage Pour pouvoir faire rentrer et sortir de sa cage votre oiseau sur commande, il doit être habitué au renforcement positif et aux exercices d'apprentissage. Également, il doit connaître le « monter sur la main » (ou monter sur un perchoir), et n'avoir aucune crainte de vous. Enfin, il doit avoir déjà exploré de lui-même la pièce, en toute liberté. Pour commencer, vous venez joyeusement et vous lui donnez la commande de « sortir de sa cage » en tendant votre bras ou votre perchoir. Il va comprendre votre commande et va monter, ainsi il faudra immédiatement le récompenser, pour qu'il fasse le lien. Une fois habitué, donnez la demande de sortir, tout en restant à une légère distance, de quelques centimètres au début, afin que de lui-même il marche ou s'envole pour aller sur votre main ou sur le perchoir désigné. Ce doit être progressif tout en récompensant chaque petit effort. Ensuite, vous pourrez lui demander de sortir avec une certaine distance entre vous et lui. Récompensez-le constamment avec des compliments, des friandises, des caresses ou des jouets à gruger. Pour la sortie, ce sera le même principe, mais cette fois en lui indiquant de rentrer dans sa cage, et en lui montrant avec le doigt où il doit se percher. Ne forcez jamais votre oiseau à entrer ou sortir en appuyant sur son poitrail ou en étant insistant. Cet apprentissage doit se faire avec le libre choix de votre oiseau de sortir ou non. Il faut pratiquer cet exercice quand il est réceptif et disponible, vous aurez plus de chance de succès. Avec l’entraînement, et si vous lui permettez le choix, votre oiseau acceptera de plus en plus systématiquement de sortir ou rentrer selon vos besoins. Photos : Kikilachieuse : perruche ondulée, Toudou Juliette78 : perruche ondulée, prune ; perruche à collier, kiwi
  15. Oui c'est parfait les filles vos témoignages, cela me permet une plus large réflexion sur ce qu'on peut entendre par cohabitation. Considères-tu Margaux que les insés aient des comportements opportunistes interspécifiques dans la nature ? Quant est-il de leur tolérance face à une autre cohabitation que avec les calos ? D'après les témoignages que tu as pu recueillir. Et enfin, trouves-tu des différences de capacités à la cohabitation entre les roseicollis, les fischer et personata ? Je suis d'accord sur ces points, je pense que si nous envisageons une cohabitation, elle est plus saine dans ces critères, des oiseaux élevés par leurs parents, qui sont dans un environnement le plus libre et riche possible et surtout des espèces qui se ressemblent sur l'activité. Par exemple, moi qui fait cohabiter perruches ondulées et touis catherines, jamais je ne ferai de la réussite de ma cohabitation une généralité. Je suis certaine que ça n'aurai pas de succès dans d'autres conditions que les miennes. Les ondulées seront toujours une espèce exclusivement monospécifique. Et il faut considérer une chose indispensable, c'est qu'une cohabitation réussit la plupart du temps parce que les oiseaux ont grandit dans ce contexte, et ont évolué ensemble.
  16. Bonjour, J'ai besoin de vos témoignages J'ai besoin de recueillir vos témoignages sur des tentatives de cohabitations entre différentes espèces, et me préciser si elles ont été réussis ou si elles ont échoué ? Si elles ont échoué, quelles sont pour vous les causes possibles (et observations faites de leur comportement) ? Pouvez-vous également me préciser l'environnement, cage, volière (et quelles dimensions?), intérieur, extérieure, en liberté, etc. ? Cela concerne les espèces (et groupes d'espèces) suivantes : Perruche ondulée Calopsittes élégantes Touï Catherine Touï Céleste Inséparables Pyrrhura Aratinga Poicephalus Eclectus Amazone Gris du Gabon Cacatoès Ara
  17. oui, le permettre la liberté plusieurs heures par jour (plus que 2 heures) te permettra de garder la volière future pour 4 oiseaux
×
×
  • Créer...