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Marine-perruche

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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. Ce matin j'au eu la visite d'un rougegorge qui vient régulièrement maintenant, mais il est encore plus farouche que les pies, je n'ai pas pu le photographier. Les petits étourneaux sont de retours, et ma pie vient régulièrement les chasser : Course poursuite pie-étounreaux : Portrait : Ils se disputent : Et c'est finalement le rougegorge qui gagne sur la bande d'étourneaux : (photo prise en pleine purée de pie)
  2. Il faudra changer de ta cage car comme le signal Christiane elle est insalubre et surtout rouillée et inadaptée. elle n'est pas assez large et longue (la hauteur n'a pas d'importance chez nos psittacidés). En outre, bien qu'il semble que ce soit un intoxication au téflon, on n'est jamais à l'abri d'une éventuelle infection parasitaire, bactérienne ou virus. Il aurai fallut jeter tous les éléments poreux et désinfecter de fond en comble, ce qui n'a pas été fait au vu de l'état sanitaire de la cage. C'est une erreur qui peut couter la vie de ces deux perruches. je te conseillerai de nettoyer expressément la cage et de préparer l'arrivée d'une prochaine, plus adaptée.
  3. Grosso modo tu lui dis : - qu'élevé à la main il va être complètement dépendant de sa personne et de ses soins et demandera à interagir avec lui, constamment, tout le temps, non stop. Il voudra le suivre au bain, à la toilette, dans la cuisine, sur le canapé, dans son lit, partout, être avec lui. Il ne voudra pas que ton père fasse autre chose, s'il est sur la télé, l'ordi, le bricolage, l'oiseau fera tout pour attirer son attention, même les pires bêtises. - qu'en grandissant, il va choisir un partenaire sexuel, et comme il sera imprégné à l'homme, ce sera un humain de la maison. Ainsi, il va développer de l'agressivité à l'encontre des autres individus de la famille, il va crier, mordre, attaquer, être invivable. - quand ils s'ennuiera il criera, sans cesse, il mordra, il fera des dégâts, et ça durera des années, des années, des années...... Il en aura forcément marre et revendra l'oiseau, qu souffrira complètement de l’anthropomorphisme et de la bêtise humaine. C'est dit rapidement et en dehors de tout contexte mais grosso modo sans environnement adapté, sans méthode d'élevage adapté, c'est le risque. Tout le reste tu le connais, imprimes les pages, colle lui sous le nez, quitte à lui faire la lecture à voix haute, qu'il imprime ça dans sa tête
  4. Il n'y a pas que la beauté du plumage qui compte, il y a aussi l'état émotif et psychologique de ces oiseaux et animaux. ils sont malmenés, stressés par les conditions anxiogènes de détention, par la circulation des visiteurs, c'est insalubre, c'est déplorable. Je préfère encore que tu partages de magnifiques photos de ta ville ou de votre nature sauvage, bien plus enrichissant et intéressant.
  5. La législation française autour de la détention des perroquets Il existe une réglementation Française complexe et sujet à interprétation autour de la détention des psittaciformes (les perruches et perroquets). Les chiens, chats et certains rongeurs sont des espèces classées domestiques, tout comme certaines perruches ou certains perroquets. Cependant, ça n'est pas le cas de toutes les espèces concernées par la captivité. Ainsi, de nombreuses espèces d'oiseaux captives ne sont pas des espèces domestiques, et leur intérêt est donc défendus par l'ONCFS, l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage. Les espèces sauvages sont protégées à plusieurs niveaux : au niveau international : la Convention de Washington au niveau européen : le règlement n°338/97, modifié par le règlement n°1808/2001. au niveau national en France : l'article L411 du Code de l'Environnement, l'arrêté de Guyane et l'arrêté du 10 août 2004, entre autres. Cette article fait suite à l'affaire récente de saisie partielle d'un Amazonia Amazonica (amazone à ailes oranges). La réglementation La Convention de Washington (ou CITES) consiste à protéger les espèces menacées en limitant leur commerce et exploitation. Il existe trois niveaux de protection, annexes I, II et III : les espèces en annexe I sont les plus menacées et donc les plus protégées, leur détention et leur commerce étant interdites sauf autorisation spéciale. les espèces en annexe II sont moins menacées, mais leur commerce est contrôlé. Le règlement n°338/97 correspond à la transposition de la CITES en droit européen. Les espèces sont classées en annexe A, B et C (les espèces en annexe A étant les plus protégés). Synthèse du règlement : http://europa.eu/legislation_summaries/customs/l11023_fr.htm Le règlement 1808/2001 (pour sur le n°338/97) : http://www.bulletin-officiel.developpement-durable.gouv.fr/fiches/exboenvireco/200109/A0090029.htm Les réglementations internationale et européenne s'appliquent en France, auxquelles se rajoutent de nombreux textes réglementaires nationaux, comme par exemple principalement l'article L411 du Code de l'Environnement, l'arrêté de Guyane et l'arrêté du 10 août 2004. Les espèces natives et présentes en Guyane française ont un statut de protection particulier, de par l'arrêté de Guyane, pour éviter tout trafic en provenance d'Amérique du Sud jusqu'en Europe. Il n'y a pas de « liste » réglementaire d'espèces « guyanaises » de disponible, ainsi, le texte est sujet à interprétation par l'ONCFS et les DDSV (directions départementales des services vétérinaires). Par conséquent, tout Psittaciforme natif de Guyane est susceptible d'être concerné par cet arrêté. En dehors des espèces classées dans la faune sauvage, quelques espèces de psittaciformes sont classées parmi les domestiques dans l'arrêté du 11 août 2006. (source : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000789087 ) Voici la liste des perruches et perroquets classés domestiques : - les variétés domestiques de la perruche ondulée (Melopsittacus undulatus) ; - les variétés pastel, cinnamon, lutino, opaline de la perruche omnicolore (Platycercus eximius eximius) ; - les variétés bleue, jaune, cinnamon de la perruche de Pennant (Platycercus elegans) ; - la variété cinnamon de la perruche palliceps (Platycercus adscitus) ; - les variétés cinnamon, lutino, vert de mer, opaline de la perruche à croupion rouge (Psephotus haematonotus haematonotus) ; - les variétés cinnamon, panaché, jaune aux yeux noirs, lutino, ailes en dentelles (lacewing) de la perruche à bandeau rouge ou kakariki à front rouge (Cyanoramphus novaezelandiae novaezelandiae) ; - les variétés cinnamon, panaché, lutino, ailes en dentelles (lacewing) de la perruche à tête d'or ou kakariki à front jaune (Cyanoramphus auriceps) ; - les variétés opaline (rose), jaune, fallow, ino, isabelle de la perruche de Bourke (Neopsephotus bourkii) ; - les variétés foncée, lutino, panaché, cinnamon de la perruche élégante (Neophema elegans) ; - les variétés foncée, ventre rouge, poitrine et ventre rouges, jaune, opaline, grise de la perruche d'Edwards ou perruche turquoisine (Neophema pulchella) ; - les variétés bleu de mer, bleue à poitrine blanche, ino, ventre rouge, cinnamon, grise de la perruche splendide (Neophema splendida) ; - les variétés domestiques de l'inséparable à face rose (Agapornis roseicolis) ; - les variétés domestiques de l'inséparable de Fischer (Agapornis fischeri) ; - les variétés domestiques de l'inséparable masqué ou à tête noire (Agapornis personatus) ; - la variété lutino de l'inséparable de Liliane (Agapornis lilianae) ; - les variétés foncée, bleue, violet de l'inséparable nigrigenis (Agapornis nigrigenis) ; - les variétés domestiques de la perruche à collier d'Asie (Psittacula krameri manillensis) ; - les variétés foncée et panachée de la perruche tête de prune (Psittacula cyanocephala) ; - les variétés grise, lutino, albino de la perruche grande alexandre (Psittacula eupatria) ; - les variétés bleue, lutino, albino de la perruche souris (Myiopsitta monachus monachus) ; - les variétés vert foncé, bleue, foncé bleue, lutino, albino de la perruche rayée ou perruche catherine (Bolborhynchus lineola lineola) ; - les variétés bleue, lutino, albino (bleue et lutino) de la perruche à calotte bleue ou perruche princesse de Galles (Polytelis alexandrae) ; - les variétés bleue et ino de la perruche de Barnard (Barnardius zonarius barnardi) ; - la variété bleue de la perruche à collier jaune ou perruche vingt-huit (Barnardius zonarius semitorquatus) ; - les variétés bleue, fallow, lutino, albino, cinnamon de la perruche céleste (Forpus coelestis) ; - les variétés bleue et cinnamon de la conure de molina (Pyrrhura molinae) ; - les variétés domestiques de la perruche calopsitte (Nymphicus hollandicus). Suite aux arrêtés du 10 août 2004, la détention d'un animal d'espèce non domestique est considéré comme un « élevage d'agrément ». En outre, il existe des quotas au-delà desquels il est nécessaire d'obtenir un certificat de capacité. Maximum 6 oiseaux particulièrement protégés : espèces dont la capture est interdite en application de l’article L. 411-1 du code de l’environnement, ou inscrites en annexe du règlement communautaire no 338-97susvisé (à l’exception de celles figurant en annexe III du règlement [CE] no 1808-2001susvisé) Maximum 40 moyens ou grands psittacidés : Psittaciformes : Alisterus spp., Aprosmictus spp., Aratinga spp., Barnardius spp., Brotegerisspp., Cyanoliseus spp., Cyanoramphus spp., Myiopsitta spp., Platycercus spp., Polytelis spp., Psittacula spp., Pyrrhura spp., Nandayus nenday Maximum 100 psittacidés de petite taille : Agapornis spp., Bolborhynchus spp., Forpus spp., Neophema spp., Psephotus spp., Nymphicus hollandicus, Melopsittacus undulatus, Larthamus discolor. Maximum 10 autres psittaciformes Afin de pouvoir détenir certaines espèces particulièrement protégées (annexe I A et arrêté de Guyane), il faut une APD, autorisation préfectorale de détention, dont ont fait la demande auprès de la DDSV de son département. Il faut élaborer un dossier de demande, qui servira à prouver votre compétence pour détenir les oiseaux concernés. En outre, il faudra tenir des registres des entrées et sorties des oiseaux de ces espèces que vous détenez. Pour certaines espèces protégées et spécifiques, il vous faudra un certificat de capacité pour pouvoir les détenir légalement. Pour obtenir le certificat de capacité, il faut prouver sa compétence et justifier d'une expérience minimum dans l'entretien des espèces pour lesquelles on souhaite devenir « capacitaire ». Le dossier de demande est alors étudié par une commission départementale. Enfin, pour toute autre espèce que les classées domestiques, il vous faudra un certificat CITES : http://www.perruches.org/t363-modele-de-certificat-de-cession-pour-perruche-ou-perroquet A savoir, quand on développe une activité d'élevage pour la vente, il est nécessaire d'obtenir, en plus de son certificat de capacité, une autorisation d'ouverture d'établissement. Dans les faits Dans les faits, vous devez toujours avoir un certificat de CITES (carte d'identité de l'oiseau). Cela peut-être une facture d'achat claire et précise (et non pas seulement un ticket de caisse qui n'a aucune valeur), ou un certificat de cession (si c'est auprès d'un éleveur, ou d'un particulier). Les oiseaux ne possédant pas de certificat de détention sont familièrement nommés « sans papiers ». Pour les espèces classés domestiques, être « sans papiers » n'est pas dommageable. Cependant, pour des espèces protégées par l'arrêté de Guyane, la convention de Washington, ou l'arrêté du 10 août 2004, vous risquez de sévères répercussions. Dans pareil cas, vous vous exposez à une saisie plénière ou partielle : retrait de l'oiseau, et/ou amande pouvant aller jusqu'à 10000 euros, et/ou jusqu'à trois ans d'emprisonnement. Comme précédemment expliqué, puisque l'arrêté de Guyanne ne cite aucune espèce, toute espèce native de Guyanne - comme le Amazonia Amazonica (Amazone à ailes oranges) du reportage – est susceptible d'être concernée. Vous devez donc impérativement avoir un certificat de détention. En outre, l'arrêté de Guyane est rétroactif et concerne donc l'acquisition des espèces antérieur à 2004. A savoir, quand vous partez en pays étranger et souhaitez revenir avec une espèce protégée par les réglementations en vigueur nommés ci-dessus (importation), veuillez considérer qu'en plus de vous faire saisir l'individu (le contenu de la saisie), vous pouvez vous faire saisir le contenant, soit votre propre moyen de locomotion. Concerné par l'absence de certificat CITES (certificat de cession, ou facture) ? Des milliers de foyers en France sont concernés par l'absence de documents réglementaires à la possession de perroquets natifs de Guyane, ou protégé par la convention de Washington et l'arrêté du 10 août 2004. Dans ce cas, vous pouvez contacter à titre anonyme votre DDSV (intégrées dans les directions départementales de la cohésion sociale et de la protection des populations, collaborateurs à l'ONCFS). Expliquez-lui votre situation (dans un premier temps sans vous identifier), que vous n'étiez pas informé d'une telle réglementation,et que récemment sensibilisé, vous prenez conscience que vous possédez un oiseau protégé par l'arrêté de Guyane et que vous n'avez aucun certificat de détention. Demandez des informations sur les risques encourues et s'ils permettent des démarches pour déclarer l'oiseau tout en permettant qu'on puisse le garder. Selon les départements, les DDSV peuvent être plus ou moins clémentes et ouvertes à vous trouver une solution en régularisant la détention de votre oiseau. Pour cela, ils vous aident à élaborer une DAPDD (demande d'autorisation préfectorale de détention). Ensuite, ils déclenchent une saisie partielle, c'est-à-dire en vous laissant « gardien » de l'oiseau. Ainsi l'oiseau est déclaré. Cependant, toutes les DDSV ne sont pas si flexibles et clémentes, certaines font directement appelle à l'ONCFS pour saisir votre oiseau. C'est pourquoi il est préférable que le premier contact reste anonyme. Ensuite, libre à vous de régulariser la situation ou non, selon les informations obtenues par votre DDSV. Pour plus de renseignements sur la réglementation relation à la détention des oiseaux : l'ASAP : http://asaperroquet.sharepoint.com/Pages/Jamais_sans_papiers.aspx Le site de la CITES : http://www.cites.org Le site français de la CITES : http://cites.ecologie.gouv.fr Le site réglementaire de l'Europe : http://eur-lex.europa.eu Le site de Légifrance : http://www.legifrance.gouv.fr L'arrêté du 10 août 2004 : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000454569&dateTexte=&categorieLien=id Un résumé de l'arrêté du 10 août 2004 : http://www.nosvolieres.com/legislation1.htm Mes remerciements à Anne Boisset de l'ASAP, que j'ai eu au téléphone ce matin, et qui m'a apporté d'importantes notions et précisions sur la législation Française autour de la détention de perroquets. Si vous souhaitez plus d'information, retrouvez SOS Perroquet, l'association de sauvegarde et d'accueil des perroquets, sur www.asap.asso.fr
  6. Mon nouveau pommier attire visiblement les étourneaux : Portrait :
  7. Pour ce qui est des frustrations sexuelles liées aux hormones et aux inhibitions des comportements naturels Tanguy ? Oui ça concerne tous nos oiseaux, cependant des espèces sont plus propices que d'autres à en souffrir. Par exemple les perruches ondulées ne souffrent pas automatiquement de l'absence de possibilité de se reproduire, certains individus n'expriment jamais le besoin. Cependant d'autres l'expriment et il est nécessaire de pouvoir les laisser exprimer ces comportements. En fait, il faut s'adapter aux individus qu'on a chez soi, à leurs comportements et leurs besoins qu'ils expriment. Inhiber n'a aucun sens quand ils paradent, ou expriment des comportements sexuels. Auquel cas mieux vaut les aider à réaliser un simulacre de ponte et couvaison, afin de permettre de passer la période hormonale.
  8. Oui je te comprend, cela t'évitera un autre incident du genre. j'ai déjà connu un de vos membres qui a intoxiqué involontairement au téflon ses oiseaux, avec l'appareil à raclette justement. Ils sont tous morts rapidement. C'est vrai que quand on n'est pas sensibilisé sur le téflon on est loin de s'imaginer sa toxicité pour les oiseaux. le téflon c'est l'alliage antiadhésif (en général noir).
  9. Ne cherche pas plus loin, elles sont mortes intoxiqué au téflon, dû à l'appareille à raclette. Le téflon lorsqu'il chauffe dégage un gaz toxique indolore qui tue les oiseaux. D'où le fait qu'ils ne doivent jamais être dans une pièce (même proche) d'un appareil à base de téflon en train de chauffer. Je suis navrée pour toi;
  10. Non évidemment je ne parlais pas pour tout de suite, en plein hiver. Si je te dis que tes 5 oiseaux ne sont pas intégrables en volière en plein hiver ce n'est certainement pas pour y mettre Holly. Je parlais pour le printemps, je me dis que ce serait constructif pour elle de s'équilibrer dans un groupe de son espèce. A mon avis c'est ce qui lui faut, au vu de la recherche constante d’interactions et de congénères dont elle fait preuve. Quant au cris, qu'en penses-tu ? Est-ce que c'est purement l'hyperactivité, et la recherche de congénères ou y a-t-il une autre explication ? Parce qu'elle me fait penser à Lucky, qui criait tout le temps, pour un oui et un non, qui en jouait, mais qui avait son caractère aussi.
  11. N'est-il pas possible de l'intégrer à ta volière d'insés ? Quant aux cris, je me demandais s'ils étaient aussi nombreux avant son accident 'de la patte) ou si c'est un facteur déclencheur ? C'est vrai que Holly est particulièrement hyperactive, je n'avais jamais cela auparavant, la quantité de cris qu'elle puisse donner à la moindre occasion, et cette hyperactivité.
  12. Je suis vraiment désolé pour toi Richard, courage
  13. Bonjour, Vers quel âge les calos entrent en période de maturité ? Si elle est encore en période de prépuberté (la période clé pour l'empreinte sexuelle) alors elle peut encore être réhabiliter et s'imprégner à sa propre espèce, en étant en contact avec un groupe social (individus de son espèce). La présence d'un seul mâle n'est pas l'idéal, il lui faudrait les conditions d'un groupe social. Si elle est entrée en période de maturité, il sera bien plus difficile de la réhabiliter et de compléter sa socialisation, l'empreinte sexuelle devient presque irréversible. Semble-t-elle rechercher ton contact, depuis sa volière ?
  14. Oui quand l'hiver est rude tu dois donner !!! C'est magnifique, je trouve que c'est un magnifique spectacle. Moi qui travaille devant ma baie vitrée, je l'ai observe durant des heures, ils sont fascinant. je manque de diversité d'espèce mais je m'en contente
  15. je viens de regarder sur mon guide ornitho de delachaux et niestlé et en effet ce sont bien des étourneaux je ne sais pas pourquoi j'étais persuadé que c'était des merles. Sur les photos ce sont des femelles alors ? En tout cas ils n'avaient pas peur de moi, ils n'étaient pas farouches. Tu dois avoir une faune assez abondante chez toi Marie, quel régal ce doit être. Ici il y en a beaucoup moins, en pleine ville, surtout au 5ème étage. Mais ils ont fini par trouver la source alimentaire. J'adore vraiment les voir venir, se nourrir interagir, c'est vraiment intéressant. Et j'adore ma petite pie qui vient régulièrement et en couple.
  16. Depuis plusieurs semaines, j'ai des visiteurs sur ma terrasse, dont une pie présente quotidiennement. Elle vient souvent avec un compagnon, le même, ou quelques autres de temps en temps. Bien entendu elle est timide et étant donné ma grande baie vitrée, il est difficile de ne pas me faire remarquer. Quand je travaille sur mon bureau (qui est devant ma baie vitrée), je suis derrière un voile vert (rideau léger). C'est comme cela que j'arrive à l'observer discrètement, sans qu'elle n'est peur. Je les nourris tous les jours avec du pain au céréales, les reste de légumes des miens, mes recettes ratés, des graines de tournesol en masse, des chips (huile de tournesol) et les graines non mangées de mes titous. photo prise à travers le rideau, ma pie bavarde préférée : Elle commence à s'aventurer de plus en plus en avant de ma terrasse : Aujourd'hui j'ai eu de nouveaux visiteurs, il faut dur que nous rentrons dans la phase de froid, les oiseaux commencent à vraiment avoir faim Eux sont beaucoup plus osés et se laissent aisément photographier, la baie vitrée à nue. Les étourneaux sansonnets : C'est un véritable débarquement : Celui là est un habitué, et pas du tout farouche : Cependant, j'ai eu une visite particulière, la pie, absolument pas contente de cette invasion sur son territoire, qui est venue les houspiller à plusieurs reprises : Ma pie, elle appelle un congénère : Un visiteur insistant :
  17. Bonjour Val, est-ce qu'elle semble dormir ? Les perruches peuvent gonfler leur plumage au moment de la sieste, et mettre leur tête dans leur plumage pour dormir (parfois sur une patte) et quand tu t'approche et fais du bruit, elle sort sa tête de derrière et se redresse, cette-fois-ci le plumage et le corps affiné. Est-ce que cela ressemble à cela, ou plutôt qu'elle ne bouge jamais, ne semble pas être active, mange peu, n'a pas d'échanges avec les congénères, s'isole, ou est constamment en boule ?
  18. Marine-perruche

    Balade des rats

    Quand Bounty fait dodo avec moi, sous les grattouilles, y'a rien pour le sortir de son sommeil : (pour ceux qui voient une grosseur, oui, c'est la tumeur) Étalé sur le dos, non mais : Regard plein de tendresse, ce regard là, c'est celui des yeux de biche, genre, câline moiiiiii :
  19. Marine-perruche

    Des petits nouveaux...

    C'est la même que ma deuxième, mais c'est vrai qu'ils ne sont que deux, ça peut le faire, avec sorties quotidiennes.
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