Christiane1111

Surtout quand on fait naître inconsidérément en se servant du prétexte de ne pas frustrer les oiseaux, de les laisser vivre leurs reproductions..... comme s'ils étaient tellement attentifs au sort de leurs oiseaux-parents! Quand on donne des graines sèches et de l'eau et que les pontes se passent mal ensuite, il ne faut s'étonner de rien, mais ils diront qu'ils respectent la nature.

Kévin tu es et tu as raison pour la sécurité de la pièce, dans une chambre ce n'est pas une bonne idée que d'avoir en liberté des becs droits. Mais s'ils sont dans une grande volière, que la jeune fille les laisse sortir un peu tous les jours, quand elle est dans sa chambre, ce serait possible d'après moi. Mais pas question, comme le souligne Christine, qui y a pensé, de laisser en liberté les oiseaux quand personne n'est avec eux et risquer un accident en ouvrant ou fermant les portes alors qu'ils seraient stressés par le mouvement. Les becs droits en liberté chez ma voisine sont dans une pièce pour eux, pas dans un endroit passant ou commun.

Est-ce qu'il ne faut pas leur procurer des brindilles, comme dans ton titre, et autres petits branchages pour le nid? Je suis de l'avis de Marie, mieux vaut ne pas faire naître, que faire naître pour souffrir. Je croirais plutôt, tant qu'à moi, que ceux qui laissent naître les oisillons en sachant qu'ils ne vont pas les garder, c'est pour le plaisir de les voir petits et une certaine dose d'indifférence quant au sort qui les attendra ensuite. J'aime les gens responsables comme tu l'es, Mélanie, bravo!

Tu veux forcer les mutations, est-ce dans ce but que tu veux former les couples toi-même?

Désolée pour toi Alex , 4 perruches c'est un beau nombre

Pourquoi un deuxième compte alors que le premier a été ouvert, il y a peu de temps, sous le nom de Julien? http://www.perruches.org/t4379-ma-perruche-ne-couve-plus#114739

Allez courage Christine

Je suis contente pour toi Christine, savoir où sont les animaux qu'on a eu du chagrin à laisser partir, même pour leur bien, c'est quand même rassurant.

Il n'était ici bien sûr pas question d'apprivoiser les Gould mais de leur donner de l'espace et de la liberté, si possible, pas n'importe où, mais dans une pièce sécurisée comme doivent l'être les pièces où des oiseaux sont en liberté.

Oui, oui, sages comme des perruches

Et as-tu des nouvelles de Gandalf, Christine?

J'adore leurs noms, c'est chic

Je n'ai pas fait de commentaires mais quand j'ai lu : je n'ai pu m'empêcher de tant je t'imaginais, tendre le bout de bois, leur parler gentiment, doucement, tout en te disant intérieurement : « allez, petits monstres, ça fait 30 minutes déjà..... écoutez-moi un peu, et entrez dans la cage, c'est le temps du dodo! »

Et moi je renchéris en disant que ma voisine, que j'ai convaincue de laisser ses oiseaux en liberté, ce qu'elle a accepté de faire, a quelques ondulées et 3 moineaux du Japon aussi en liberté et qu'elle trouve qu'ils sont plus débrouillards et encore plus allumés et intelligents que les ondulées, ce qui n'est pas peu dire! Martin trouvait aussi que les petits becs crochus sont plein de ressources et très intelligents alors qu'on ne se les procure souvent que pour leur chant ou plumage!

RIEN DE PLUS FAUX! Bien franchement, Kévin, peux-tu imaginer que ces oiseaux vivent en vase clos, sans trop de liberté, en nature? Non, les becs droits ont besoin de la même liberté que les becs crochus, ce sont les humains qui les enferment en cage, même en cages rondes, ce qui est une horreur. Ils ont besoin de beaucoup d'espace et de liberté, si on peut leur offrir, ce sont des oiseaux, ayant des ailes pour voler. Mais c'est vrai que ce sont des oiseaux capricieux, délicats, chez qui les reproductions sont toujours problématiques comme nous l'avons vu avec les Gould de Martin.

Yves, toutes les perruches ondulées ont une mutation, pour que tu puisses bien le réaliser je t'invite à lire ces 7 articles sur les mutations : http://www.perruches.org/f24-mutations

Donne-toi le temps encore Tanguy, la préparation sera la même de toute façon, tu as encore quelques jours devant toi pour peser le pour et le contre de la séparation. Attends un peu avant de prendre une décision définitive

Je les laisserais en permanence dans la pièce où je passe le plus de temps.

J'ai irrité Marie avec mes questions et commentaires lors de la première reproduction de ses oiseaux, mais ce n'était pas mon but, j'essayais de comprendre et ils m'ont permis de revoir ce que je pense et je t'en fait part à mon tour Tanguy. Je continue à croire qu'en grande volière, en colonie en cage, il faut séparer le couple qui se forme et se reproduira des autres oiseaux. Que les oiseaux qui ne vivent pas avec nous n'ont pas tout à fait le même comportement que des oiseaux vivant en liberté avec nous, comme chez Marie et chez toi. Mais tes oiseaux vivant dans les mêmes conditions que les miens, je te dis ce que je ferai quand Pomme se choisira un compagnon. J'installerai une cage contenant un nid, afin que le couple puisse s'isoler des deux autres ondulées et que je puisse les mettre à l'écart, si jamais un problème se posait, mais mes oiseaux s'appréciant tellement les uns des autres, je ne séparerai pas le groupe. Quand Joël a séparé le couple en reproduction, ses oiseaux vivaient en volière extérieure, rarement avec eux (les humains) et quand ils vivaient dans la maison pour quelques semaines de froid par année, c'était dans une cage, ce n'est pas le cas chez toi et chez moi. Mes oiseaux seraient stressés de ne pas vivre dans leur pièce, ils s'entendraient d'une pièce à l'autre et chercheraient à se rejoindre. Je ne veux pas isoler le couple ou les autres, mais il faut quand même s'assurer que tout est sécuritaire pour la femelle qui pondra et qui a besoin de calme. Pour moi l'isolement du couple ne surviendra que si les mâles se battent ou si la femelle semble stressée, sinon, j'installerai une cage de reproduction ouverte, en tout temps, dans un autre coin de leur pièce. Il faut poser des questions, débattre, se contredire, c'est comme cela que nous pouvons nous faire une idée de comment on permet à nos oiseaux de vivre. Comme Marie, je te fais uniquement part de ma réflexion.

Super!

Tu devrais commencer maintenant l'alimentation enrichie qui peut être celle que l'on donne tous les jours, mes oiseaux mangent des graines germées, matin et soir, ils les préfèrent aux graines sèches et, si tu leur fais goûter la pâtée aux oeufs maintenant, pour voir s'ils l'aiment, ils sauront l'apprécier et et en manger quotidiennement un mois avant, quant au reste, commence maintenant. Légumes et fruits verts foncés, légumes et fruits orangés contiennent le plus de vitamines. Commencer une bonne alimentation un mois avant n'est pas suffisant quand on sait qu'il faut parfois des mois avant qu'un oiseau goûte un nouveau légume. Tu pourrais commencer à donner un petit bouquet de brocoli, ou tout autre légume vert maintenant, en plus de la carotte.

J'espère que ce n'est pas une animalerie à Laval qui fait une publicité monstre et surtout de l'élevage à la main en trois secondes pour chaque oiseau...

mais quand les déménages-tu du salon à la chambre puisque tu dis qu'ils sont dans la chambre? l'arbre est où? La séquence n'est pas claire pour moi

Je pense que des oiseaux élevés en « vraie » volière, extérieure, depuis le jeune âge, c'est à dire plusieurs mètres de largeur et longueur, en groupe ne posent pas tant de problèmes de cohabitation que d'avoir dans une maison des oiseaux, d'espèces différentes que l'on fait cohabiter. La cohabitation est sans doute plus facile quand les oiseaux sont EPP que EAM, les oiseaux EAM étant peu intéressés par leurs congénères et par les autres espèces. De même que des perroquets, habitués à vivre chacun dans leur cage, ne devraient pas être placés dans la même cage, les risques de mouvements d'agressivité peuvent se développer alors que chacun pris séparément n'est pas agressif. On ne tient pas assez compte du besoin d'espace et de liberté des oiseaux, de leurs besoins d'intimité et de pouvoir être seuls. Quand on recommande de séparer les espèces, je crois que ça s'adresse à nous qui vivons en intérieur avec nos oiseaux. Chez moi, la cohabitation perruches ondulées, calopsittes a été désastreuse, autant pour une espèce, que l'autre. J'avais une grande pièce (que j'ai toujours) qui, finalement, est la volière intérieure de mes oiseaux. J'avais 2 calopsittes (malheureusement EAM qui ne se sont jamais accommodées déjà, l'une de l'autre) et quatre perruches ondulées. Les oiseaux vivaient en liberté, n'entrant dans leur grande cage que pour dormir ou se mettre à l'écart des autres oiseaux, se reposer. Tous les oiseaux avaient également accès à toutes les pièces de la maison, les calos m'y suivant mais les ondulées restaient plutôt dans leur pièce à jouer. Les calos ne supportaient pas la proximité des ondulées et les ondulées étaient beaucoup plus bruyantes, énervées qu'elles ne le sont maintenant qu'elles sont seule espèce chez moi. Les calos sont des oiseaux pacifiques, peu agressifs pour ne pas dire rarement agressifs, mais EAM elles recherchaient l'exclusivité avec moi et supportaient difficilement ces petits oiseaux qui, par imitation, venaient se poser sur moi, manger aux mêmes endroits que les calos bref, faisaient comme les calos qui les chassaient. Les deux espèces se chassaient l'une et l'autre, les calos tentaient continuellement de mordre les ondulées alors que jamais elles n'ont tenté de me mordre, les ondulées se mettaient à deux ou trois pour chasser les calos de l'arbre aux oiseaux, envahissaient leur cage comme si elles en prenaient possession. Mes calos sont allées vivre ailleurs où on s'occupe d'elles comme d'oiseaux EAM, sans cohabitation avec une autre espèce et ça se passe bien pour elles et mes ondulées ont modifié leur comportement depuis qu'elles ne sont plus chassées par les calos, et ont établi de solides liens d'apprivoisement avec moi. Je ne recommande pas la cohabitation si un oiseau est EAM Je ne recommande pas la cohabitation d'espèces au tempérament trop différent, comme la calme calo et la primesautière ondulée Je ne recommande pas la cohabitation si on ne peut pas fournir un espace de vie suffisant pour chacune des espèces Je la crois possible en volière extérieure, immense, avec des individus sauvages, EPP, sains, élevés ensemble dès le plus jeune âge, dans un environnement enrichi où les jeux et accessoires sont nombreux, où on offre à chaque espèce des conditions matérielles et psychologiques qui respectent les besoins propres à chacune des espèces. Je ne sais pas si je réponds bien à ce que tu veux comme information.