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Christiane1111

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Tout ce qui a été posté par Christiane1111

  1. C'est la même maladie : « Elle a longtemps été incomprise et appelée mue française jusqu'à ce qu'on en détermine la cause. » www.animauxexotiques.com/oiseaux/maladies/virus.htm Ça demeure la même maladie : www.labofarm.com/prestations/maladiesdep.php?id=1 Il n'y a aucun risque à prendre avec la contamination.
  2. Pour ceux qui ne le savent pas, la mue française ou Psittacine Beak and Feather Disease, d'où l'abréviation PBFD, dans le jargon du monde aviaire, est une très grave maladie qui nécessite d'isoler les sujets atteints des autres oiseaux. Dans ce cas-ci, Suzie est sûrement aussi porteuse de la maladie qui lui aura été transmise par Billy. Ces deux oiseaux ne doivent pas se retrouver en contact avec d'autres oiseaux et les humains doivent observer une hygiène rigoureuse avant de se rendre là où il y a des oiseaux quand ils vivent avec des oiseaux atteints ou potentiellement porteurs de la maladie. L'alimentation est très importante afin que les oiseaux gardent quand même la forme. On ne cède pas les oiseaux atteints de cette maladie, ni ne les reproduit ou en fait l'élevage. Un article du forum : Mue française ou PBFD Si vous lisez sur internet à ce sujet, vous trouverez de nombreux articles tant en français qu'en anglais, à ce sujet. La mue française par Anne-Caroline et Damien HANQUET
  3. Après avoir lu leur histoire, je trouve tes oiseaux encore plus beaux.... quelle chance pour eux d'être arrivés chez toi.
  4. Est-ce que tu tailles leurs plumes? Peuvent-ils sortir de la cage et voler?
  5. tu as vraiment l'oeil Marine, je suis tellement scotchée sur Eddy, que je ne remarquais même pas Coco qui battait des ailes à l'arrière et qui ne manque rien du spectacle!
  6. C'est dingue qu'en plus de la parole, il imite également les gestes des humains. Je n'avais jamais vu un oiseau reproduire ça. Du coup, j'avais raté Coco, dans le fond, qui fait travailler ses ailes . Mais c'est Eddy dans la vidéo, pas Coco? Eddy qui dit Coucou, non?
  7. Non, ce n'est pas tout le monde, même avec de la bonne volonté, qui peut prendre la responsabilité d'un oiseau qui se retrouve en refuge. Sauver un perroquet, à long terme, n'est pas qu'une mince affaire. Le bon coeur, le geste spontané, ne suffisent pas. Bien sûr il y a l'espace à offrir, les soins à donner, une hygiène rigoureuse à observer. Il faut parfois faire des levées de fonds ou placer un appel auprès de donateurs afin de pouvoir acheter des fruits, légumes, graines de qualité, remplacer les accessoires et les jouets, payer les visites chez le vétérinaire et surtout, avoir beaucoup de temps à consacrer à ces oiseaux rescapés. En traduction libre, le texte du refuge Feathered Sanctuary « So you want to start a Parrot Rescue? » VOUS AVEZ L'INTENTION DE DEVENIR REFUGE POUR LES PERROQUETS? Nous, qui sommes responsables de refuges, vous nous prenez pour une bande de sentimentaux, pas vrai? Tout le monde ne réagit pas avec autant de sensibilité que nous à la description des mauvaises conditions dans lesquelles peuvent vivre un oiseau, personne ne peut être aussi profondément touché par le sort réservé aux perroquets. Les humains qui aiment les perroquets, qui comprennent l'importance de répondre à leurs besoins afin de les maintenir en santé et leur procurer une bonne alimentation sont conscients du fragile équilibre entre faire ce qu'il faut, et un peu plus, et il devient évident pour certains d'entre eux que la solution réside en mettre sur pied un refuge pour accueillir ces oiseaux. Est-ce ce qu'il y a de mieux à faire? Peut-être pas. J'aimerais aujourd'hui vous raconter l'histoire d'une personne très sensible qui communiquait récemment avec moi et me demandait de raconter son histoire. Bien qu'elle ne m'ait pas demandé de préserver son l'anonymat, je l'appellerai Jeanne. Il faut plus, pour ouvrir un refuge, que comprendre et aimer les perroquets. Bien sûr, c'est une partie importance de l'entreprise mais il faut, en plus, avoir des qualités semblables à celles des gens d'affaires. Les besoins sont grands, il faut faire appel aux donations et on est constamment à la recherche de fonds pour maintenir à flot le refuge. Vous devez être une personne de tête, autant que de coeur. Il vous faudra parfois dire non, aux nouvelles demandes de placement, afin de préserver le bien-être et la quiétude des oiseaux déjà en résidence. Il arrivera parfois, qu'il n'y aura tout simplement plus de place pour accueillir un nouvel oiseau. Nourrir et abreuver plusieurs oiseaux est plus difficile qu'on ne l'imagine. Vous avez la responsabilité de maintenir les ustensiles, la vaisselle, les cages et les pièces de vie très propres. Ça semble peut-être étonnant, mais c'est demandant physiquement. Mais, c'est surtout émotivement très éprouvant. Et c'est là, où Jeanne, a craqué. Ce qui est difficile dans le sauvetage d'oiseaux ce ne sont pas les oiseaux eux-mêmes, ou leur nombre, mais le facteur humain. Jeanne me disait : « Pourquoi les gens attendent-ils si longtemps, quand leur oiseau semble malade, mal en point ou à moitié mort, avant de faire quelque chose et réagir? La piètre condition de certains oiseaux que j'ai recueillis m'a fait détester les humains. Comment ont-ils pu laisser la situation en arriver là? Que leur est-il arrivé pour qu'ils permettent cela? » Pour Jeanne, ce qui est en premier lieu le plus difficile dans le sauvetage des oiseaux, c'est de prendre conscience du côté obscur de la nature humaine - ce côté qui rend les humains insensibles ou indifférents à la souffrance que vivent d'autres êtres vivants. - La deuxième chose la plus difficile, est de ne pas s'en prendre à ces êtres humains. Jeanne me disait qu'au bout d'un certain temps elle s'est mise à changer, qu'elle est devenue quelqu'un de continuellement mécontent. Quand elle a ouvert son refuge, elle croyait qu'elle allait recueillir des oiseaux à remettre sur pied et à qui trouver une nouvelle famille qui allait leur permettre de prendre un nouveau départ dans la vie. Mais après quelques années, elle n'en pouvait plus de d'être confrontée à des montagnes russes d'émotions et elle a mis la clé dans la porte. Elle a trouvé une famille pour certains oiseaux recueillis, certains sont allés dans d'autres refuges, elle n'a conservé que ses propres oiseaux. Ce qu'elle voulait me faire comprendre afin que je vous le transmette c'est que, malgré ses bonnes intentions, ses grandes capacités, elle n'avait pas les qualités qu'il fallait pour être responsable d'un refuge - et ce fut une douloureuse révélation pour elle! - Elle est encore bouleversée d'avoir dû replacer 9 oiseaux très instables émotivement, de les avoir privés de ce qu'ils croyaient être leur foyer, encore une fois. Elle m'a demandé de dire aux gens de ne pas s'engager à la légère dans une telle entreprise et de s'y engager avec des attentes réalistes. Il n'y a pas que l'aspect réjouissant de remettre en santé et sur pied et oiseau, et avoir le bonheur de lui trouver une famille, il y a aussi la réalité, à vivre avec ces oiseaux, de la tristesse, de la déception et de la mort de certains d'entre eux et c'est sans compter l'agressivité que vous développez envers les gens qui ont laissé ces oiseaux dans ces conditions et que vous auriez envie de gifler. Il faut des qualités particulières pour opérer un refuge. Vivre la réalité d'un refuge c'est faire face à une situation ultime, sans issue possible, parce qu'il arrivera toujours d'autres oiseaux. Pour avoir envie de faire ce travail de sauvetage il faut quelqu'un de profondément touché par la souffrance de ces oiseaux, mais pour bien faire le travail auprès d'eux, il faut être capable d'objectivité face à cette souffrance et à leur condition. Ce n'est pas un travail pour les coeurs trop tendres qui risquent de se briser... Si vous songez à devenir refuge, à recueillir les oiseaux négligés, maltraités, dont on ne veut plus, informez-vous bien de comment cela se passe, et de l'intérieur, prenez votre temps et soyez sûr de votre coup avant de recueillir des oiseaux pour qui vous deviendrez une planche de salut. Jeanne a éprouvé beaucoup de culpabilité à ne pouvoir continuer ce qu'elle avait commencé et cette culpabilité a perturbé davantage certains des oiseaux qu'elle a eu à placer.
  8. Malekus, comme Audrey nous en a donné l'explication, c'est pour l'oiseau qui a un handicap et ne vole pas que cette planche.
  9. Vous êtes toujours à côté du sujet Hervé parce que vous ne lisez pas, sur un forum où vous êtes nouveau venu, les articles et échanges qui y sont déjà. Pour votre information : Les articles du forum à lire avant de réinventer la roue....
  10. Ce sont justement les graines sèches qui ne figurent pas au menu dans la nature, la verdure et les légumes sont donc excellents pour nos oiseaux, y compris les haricots, Chantal, soit rassurée.
  11. J'adore ça un oiseau qui mange de tout, qui est curieux de goûter à tout ce que les humains goûtent
  12. Bien dis donc, il semble drôlement apprécier
  13. Oui, Malekus, une question de temps, avec les oiseaux, c'est beaucoup plus loin qu'avec les autres animaux, ils demeurent fondamentalement sauvages, un rien les effraie et les fait recommencer à zéro leur apprentissage. Le maître mot c'est la patience.
  14. Je ne serai pas (trop) méchante, mais je souhaite à la personne qui a laissé ces oiseaux devenir dans cet état, parce que ça s'étale sur des mois cette progression de la gale, d'attraper la même chose pour quelques semaines.... Elles sont magnifiques, elles seront bien chez toi. Attends avant d'installer davantage de jouets ou accessoires dont tu risques de devoir te défaire à cause de la gale. Tout ce qui est poreux, les cordes, etc, n'en n'ajoute pas, il te faudrait les retirer, la gale envahit tout.
  15. Vraiment réjouissant, très contente qu'elles soient enfin chez toi, la belle vie va commencer.
  16. Fabienne, je sais que tu crois avoir une grande volière, mais ces dimensions sont celles d'une cage qui serait correcte pour tes ondulées, mais que tu devrais quand même faire sortir quotidiennement. Une volière doit permettre le vol sur une certaine distance et certains déplacements. Les dimensions de ta cage ne conviennent vraiment pas pour deux espèces. Pour ce qui est des kakarikis je te recommande vivement ce site Le kakariki un fantastique petit perroquet et de partager sur des forums de kaks, ils demandent certaines précautions pour être bien dans leurs plumes.
  17. Bonjour, Il est toujours très délicat de faire cohabiter des espèces différentes, risqué aussi et même s'il y a des réussites, je ne le recommande pas du tout, surtout quand on ajoute une espèce c'est encore plus délicat que quand on introduit en même temps, dans un très grand espace, deux espèces. Pour le bien-être de chacune des espèces, donne leur chacun leur volière. Les kakarikis n'ont pas du tout le même mode de vie que les ondulées. Les ondulées sont vives, ne partagent pas volontiers l'espace, peuvent être intolérantes avec qui n'est pas de la même espèce qu'elles. Les kaks sont pacifiques, tolérants et sont souvent ceux qui seront attaqués. C'est un très mauvais choix que la cohabitation de ces deux espèces. Quelles sont les dimensions de la volière existante?
  18. C'est vraiment, comme les anciens disaient chez moi, « de la belle ouvrage », c'est vraiment très, très réussi Audrey, tu m'émerveilles à chaque fois, que tu es attentive et généreuse pour ces oiseaux. Belle réussite!
  19. Tu pourrais aussi lui mettre un petit bouquet de verdures d'été, si tu as des feuilles de pissenlit, épinards ou du plantain, ou de la carotte mais un morceau que tu remplaces à chaque jour là où elle mange, elle finira par y goûter. Ce peut être long, patience. Plantes sauvages pour nos oiseaux
  20. Bravo, tu fais vraiment des efforts pour améliorer l'environnement de ton oiseau, je te félicite, tu as l'esprit ouvert
  21. Christiane1111

    accouplement

    Tes oiseaux sont peut-être porteurs de maladie, sans qu'ils ne soient malades, si tu ne sais pas par un vétérinaire chez qui tu aurais fait faire une autopsie, de quoi ils sont morts, dans lequel cas on ne peut que déconseiller la reproduction de ces oiseaux. tu dis : c'est une très grand cage 75 X 60 X 40, c'est une très petite cage pour 3 animaux dotés d'ailes pour voler. Tes oiseaux vivraient sûrement en plus grande harmonie s'ils ne vivaient pas dans une telle promiscuité, surtout un couple avec un oiseau seul qui semble ne pas apprécier la situation. Je sais que je me répète, mais je le fais quand même, il me semble bien plus important de fournir un environnement amélioré à ces trois oiseaux que d'en faire naître de nouveaux, pour ton bon plaisir, avec les risques que les parents soient porteurs de maladie, dans l'état actuel des choses.
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