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Cacatoès rosalbin (eolophus roseicapillus)
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Perruche Mélanure (polytelis anthoplepus) Nom scientifique : Polytelis Anthoplepus Nom anglais : Regent Parrot Statut juridique : Annexe II CITES Taille : 40 cm envrion Longévité : 15 à 25 ans Vie à l'était naturel Identification : Les perruches mélanures ont une tête jaune, virant légèrement au jaune-olive sur le capuchon et sur la nuque. Le manteau est vert-olive, les scapulaires brun-olive foncé. Le bas du dos et le croupion affichent une riche couleur jaune, se nuançant de jaune-olive sur les sus-caudales. Les petites et les moyennes couvertures sont jaunes contrastant avec l'ensemble des rémiges qui sont noir bleuâtre. Les plumes intérieures des grandes couvertures et extérieures des tertiaires sont rouges avec des extrémités jaunes, produisant un effet de tache sur l'aile. Le dessous des ailes est jaune, excepté les rémiges qui sont noir brunâtre. Les parties inférieures sont jaunes, avec du jaune-olive terne sur les sous-caudales et quelques vagues traces d'orange au niveau de la zone anale. La queue est noire, avec des infiltrations bleu sombre sur le dessus des rectrices centrales et sur les filets intérieurs des rectrices latérales. Le dessous de la queue est infiltré de plumes claires. Le bec est rouge rosâtre. Les iris sont brun-orange, les pattes grises. La femelle présente un dessous plus gris et un dessus plus vert. Les lores et les couvertures auriculaires sont également plus verdâtres. La frange bleu sombre des rémiges est plus large et déborde plus sur les couvertures alaires qui sont plus jaune verdâtre que chez le mâle. Le croupion est vert-olive terne et non pas jaune. La tache rouge de l'aile est moins développée et possède moins d'éclat. La queue est vert bleuâtre dessus. Elle possède une pointe rose dessous. Les juvéniles ressemble aux femelles, néanmoins les jeunes mâles affichent plus de jaune sur la tête. Chant : Perruche mélanure jacasse, siffle. La perruche mélanure émet un "ulrick- ulrick" bas et liquide, qu'on estime plus rude que celui de la perruche de Barraband (Polytelis swansonii). Elle délivre également un doux gazouillement. Les oisillons qui réclament leur pitance, produisent des appels rudes et tranchants. Habitat : Les perruches mélanures fréquentent des habitats quelque peu différents selon les régions. Les populations qui vivent à l'est sont étroitement liés aux gommiers rouges (Eucalyptus camaldulensis) qui bordent les cours d'eau et aux broussailles de mallee. On les trouve également dans les zones mixtes d'eucalyptus et de cyprès, dans les vergers et dans les vignes. Les populations de l'ouest sont moins dépendantes du mallee. Elles résident plutôt dans les parcelles mixtes d'acacias et d'eucalyptus (wandoo, salmonophloia) ainsi qu'à l'intérieur des terres cultivées. Dans cette région, les perruches mélanures n'ont pas colonisé l'intérieur des zones forestières denses, néanmoins elles fréquentent volontiers les clairières. Distribution : Cette espèce est endémique de l'Australie où on la trouve en deux populations bien distinctes, séparées par plusieurs centaines de kilomètres. La population occidentale (P.a. anthopeplus) occupe le coin sud-ouest du continent au sud de Perth. Son aire de distribution s'étend à l'intérieur des terres jusqu'à Laverton au nord et Karonie à l'est. Dans cette région, les perruches occupent surtout la ceinture céréalière, elles n'ont pas encore totalement colonisé les zones forestières. La population orientale (P.a. monarchoides) occupe le bassin de la Murray, approximativement au confluent de cette dernière avec la rivière Darling. Son aire de distribution est à cheval sur 3 états : l'Australie Méridionale, Victoria et les Nouvelles-Galles-du-Sud. Comportements : Ordinairement, les perruches mélanures sont des oiseaux très craintifs et très prudents. En dehors de la saison de reproduction, elles se regroupent en grandes bandes bruyantes pouvant compter une centaine d'oiseaux ou plus. Elles recherchent principalement leur nourriture à terre. Le statut migratoire est différent selon les régions. Les populations de l'est sont majoritairement sédentaires, mais elles subissent quelques mouvements de dispersion qui sont très aléatoires après la saison de reproduction. A contrario, les populations de l'ouest entreprennent des déplacements qui sont plus réguliers. Tous les étés, on assiste à des mouvements de dispersion en direction du sud. En automne, les perruches mélanures se concentrent en dessous du parallèle qui indique 32° de latitude sud puis elles remontent au nord-est pendant l'hiver. Certains mouvements migratoires observés dépassent plus de 300 kilomètres. Nidification : La saison de nidification se déroule d'août à janvier. Ces oiseaux nichent soit en couples isolés soit en petites colonies pouvant compter au maximum 18 couples. Avant l'accouplement, on assiste à des offrandes rituelles de nourriture. Le site choisi pour la reproduction se situe généralement à 20 mètres au dessus du sol dans un grand et vieux gommier mort ou bien malade qui est proche d'un cours d'eau permanent. Le couple sélectionne une branche brisée qui possède une cavité naturelle profonde et réutilise souvent cet endroit pendant de nombreuses années consécutives. La ponte comprend 3 à 6 oeufs de couleur blanche qui sont déposés sur une couche de copeaux de bois en décomposition. La femelle couve seule pendant 21 jours. Son partenaire, qui a déserté l'arbre de nidification et rejoint un groupe composé uniquement de mâles, vient la ravitailler. Les oisillons possèdent un duvet blanc. Ils quittent habituellement le nid au bout de 5 à 6 semaines, mais après l'envol, ils restent au sein du groupe familial durant quelques semaines encore. Régime : Les perruches mélanures ont un régime exclusivement végétarien. Elles consomment les graines des plantes herbeuses, les fruits, les baies, les bourgeons et les fleurs. Les céréales des récoltes, les noix des vergers, de même que les graines tombées sur les bords des routes constituent également de bonnes ressources. Pendant la période de reproduction, les populations de l'est se restaurent principalement dans les zones de mallee, ingurgitant les graines de mallee blanc (E.dumosa) ou de mallee rouge (E. socialis). Protection / Menaces : La perruche mélanure est considérée comme localement commune dans les zones riveraines et dans les broussailles. La population mondiale est estimée à un peu plus de 15 000 individus, mais la race orientale est largement la moins commune des deux. La dégradation des zones de mallee, les accidents sur le bord des routes, l'occupation des cavités naturelles par des essaims d'abeilles et les persécutions dues aux agriculteurs constituent les menaces les plus récurrentes. En dépit de son expansion originelle dans les régions du sud-ouest grâce au développement de l'agriculture, même dans ces régions, l'espèce est considérée comme en léger déclin. L'espoir vient du fait qu'elle est peut-être en train de coloniser de nouveaux territoires, en zone forestière, dans l'extrême sud-ouest. Pour l'instant, l'espèce est considérée comme ne posant pas de problème majeur. Néanmoins, dans presque toutes les régions, hormis dans les zones de culture intensive, elle bénéficie de mesures de protection. Vie en captivité Les Mélanures sont des grandes perruches relativement calmes et pacifiques. Elles cohabitent volontiers avec des calopsittes, des ondulées ou des Bourkes. Cependant elle a besoin d'un grande espace (comme tout oiseau d'ailleurs) car elle a besoin de voler comme elle le souhaite. Son cri n'est pas dérangeant, mais à moins d'obtenir un baclon que l'on transformera en volière, la vie en maison (dans une volière dans le jardin) reste favorable. Même besoins que les autres Grandes Perruches, c'est à dire plusieurs branches de bois naturel ainsi que des lianes sèches, des cordes, etc. Concernant l'alimentation, on lui donnera un mélange de graine pour grande perruches, mais le préférable reste de faire son propre mélange de graines, de façon à limiter au maximum les graines de tournesol (oléagineuses). Cette nourriture sera compensée par une pâtée aux oeufs et aux fruits, ainsi que des fruits et légumes frais, tels que des pommes, des carottes, etc. Reproduction Si la volière est assez vaste, elles se reproduisent volontiers, leur nichoir doit avoir un diamètre d'au moins 35 cm, une hauteur de 60 cm et un orifice d'entrée de 7 à 8 cm. Ces oiseaux ne construisant pas de nid, il faut garnir entièrement le fond de tourbe mousseuse humide où seront déposés 3 à 6 oeufs incubés pendant 3 semaines. Pendant cette période d'incubation, la femelle ne quitte presque jamais le nid; c'est le mâle qui se charge de lui apporter à manger. Les juvéniles acquièrent leur premier plumage à 5 semaines. Au début, ils ont tous la même couleur que leur mère. Ce n'est que vers 1 an et demi qu'ils revêtent leur plumage adulte (c'est à ce moment qu'il sera possible de distinguer les jeunes mâles des jeunes femelles). Et il leur faut patienter encore 6 mois pour devenir mature sexuellement. Sources : Vie à l'état naturel : www.oiseaux.net Vie en captivité : moi Reproduction : perroquet.biz
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Cacatoès rosalbin (eolophus roseicapillus)
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Cacatoès rosalbin (eolophus roseicapillus) Le Cacatoès rosalbin est un perroquet de plus en plus connu de nos jours. Découvrez ce fascinant Cacatoès à travers cette fiche. Nom scientifique : Eolophus roseicapillus Nom anglais : Galah Cockatoo Étymologie : du grec EU (vrai), LOPHOS (crête) ROSEI (rose) et CAPILLUS (cheveux) Convention de Washington : Annexe II CITES Taille: 35 à 36 cm Poids : 300 à 400 g Longévité : 40 à 60 ans Origine : Australie A l'état naturel Identification : Chez les adultes, le front, la huppe et le capuchon forment un ensemble rose pâle infiltré de blanc qui contraste légèrement avec l'arrière du cou plus sombre. La face, le cou et les parties inférieures sont rose foncé. Le bas des flancs, les cuisses et les couvertures sous-caudales sont gris clair. Les parties supérieures affichent une couleur gris-pigeon qui est légèrement plus pâle sur le croupion et les sus-caudales. Les tertiaires sont gris moyen et les rémiges gris sombre. Le dessus de la queue est gris pâle avec une pointe terminale plus foncée. Le dessous de la queue est uniformément brunâtre. Le bec est couleur corne. L'anneau orbital est rouge grisâtre. Les iris affichent une teinte brun foncé. Les pattes sont grises. La femelle est semblable à son partenaire, hormis les iris qui sont rouges. Les juvéniles peuvent être distingués des adultes par leurs parties inférieures infiltrées de gris. En plus de la race nominale, on a répertorié deux autres sous-espèces dont les différences ne sont guère marquées : E.r. albiceps se distingue par son cercle oculaire moins étendu, rose foncé ou pourpre terne. E.r. kuhli présente un plumage plus clair et une crête plus courte. Il est également plus petit. Chant : Le cacatoès rosalbin émet des cris très caractéristiques. Lorsqu'il est en vol ou perché au sommet d'un arbre, il lance un cri aigu et grinçant qui se prolonge et se termine par une brusque inflexion montante, un peu comme le bruit d'un bouchon de liège que l'on visse dans le goulot d'une bouteille. Quand il se restaure, le cacatoès rosalbin produit des faibles grognements. Son cri de contact est un "chill-chill" strident. Alarmé, il délivre des notes rudes et tranchantes. Habitat : Dans le nord de son aire de distribution, le cacatoès rosalbin fréquente les forêts de montagne alors que, plus on va vers le sud, plus il a tendance à vivre dans les forêts tempérées de plaine. Pendant la saison estivale, il est plus répandu dans les zones boisées d'altitude, séjournant en priorité dans les petits ravins frais et ombragés, toujours à proximité d'un cours d'eau. En hiver, il s'installe volontiers dans des zones boisées plus arides à des altitudes plus modérées. A cette période de l'année, il visite également les parcs des zones urbaines et les jardins. Le cacatoès rosalbin est un oiseau des zones ouvertes, évitant presque toujours les forêts denses. Distribution : Le cacatoès rosalbin est endémique d'Australie où il occupe la totalité du continent. Son bastion est constitué par le sud-est des Nouvelles-Galles du sud et l'est de l'état de Victoria. Ailleurs, il est moins abondant. Trois sous-espèces sont officiellement reconnues : -E.r. roseicapilla, la race nominale (Australie Occidentale, au sud du Grand Désert de sable, et probablement dans le désert de Simpson, dans la partie méridionale du Territoire du Nord) - E.r. albiceps (Tasmanie ainsi que l'est et le sud-est de l'Australie, en direction du nord jusqu'au 20ème degré de latitude sud) - E.r. kuhli (nord de l'Australie, du district de Kimberley jusqu'à la péninsule du Cap York, dans le Queensland). Comportements : Pendant la saison de nidification, les cacatoès rosalbins vivent en couples ou en petits groupes familiaux, mais le reste de l'année, ils se regroupent en bandes qui peuvent être assez nombreuses dans les lieux où les ressources alimentaires sont importantes. On peut ainsi parfois rencontrer des rassemblements de près de 1000 oiseaux dans certaines pâtures où ils recherchent leur nourriture. Ces groupes sont plurispécifiques et peuvent également contenir des cacatoès corellas, laboureurs, de Baudin, des cacatoès de Leadbeatter, à huppe jaune ainsi que des perruches de Barnard. Ils possèdent des systèmes de sentinelles chargées de donner l'alarme en cas de danger. Les lieux de nourrissage sont distants de nombreux kilomètres des lieux de repos. Au crépuscule, les cacatoès se désaltèrent et accomplissent des vols acrobatiques avant de rejoindre le dortoir. Occasionnellement, ils peuvent être actifs et bruyants pendant la nuit. Vol : Le vol du cacatoès rosalbin ressemble à celui d'un hibou avec des battements d'ailes lents et puissants. C'est un voilier endurant, mais il préfère procéder par courtes étapes d'arbres en arbres quand il se déplace. Il parcourt parfois de longues distances et son atterrissage est précédé de longues spirales descendantes qui le rendent bien visible. Nidification : Dans le nord, la reproduction se déroule entre février et juin. Ailleurs, elle a lieu entre juillet et février, bien qu'elle ait tendance à être concentrée entre août et octobre. Pendant la parade, le mâle se pavane devant sa partenaire, effectue des révérences, agite la tête, dresse sa crête, produit de faibles notes et fait claquer son bec. Il peut également réaliser quelques prouesses acrobatiques. La plupart du temps, le nid est une cavité naturelle dans un eucalyptus, située entre 2 et 20 mètres au-dessus du sol. Le cacatoès rosalbin arrache l'écorce du tronc tout autour de l'orifice qui constitue l'entrée du nid. Cette pratique est parfois si excessive qu'elle provoquer la mort de l'arbre. Des façades de falaises peuvent également être utilisées comme site de nidification. En général, de nombreux couples nichent à proximité les uns des autres. Ces colonies peuvent émettre de fortes mauvaises odeurs. Les deux partenaires participent à l'élaboration du nid. Ils garnissent le fond de la cavité de brindilles qu'ils machouillent et jonchent le pied de l'arbre de détritus. Les couples s'apparient généralement pour la vie et sont fidèles aux mêmes sites de nidification pendant plusieurs années consécutives. La ponte comprend 2 à 6 oeufs. La femelle dépose un œuf tous les un ou deux jours et l'incubation dure environ 25 jours. Les deux parents couvent à tour de rôle et apportent leur assistance aux oisillons. Ils alimentent leur progéniture toutes les 3 heures, entrechoquant leur bec pour régurgiter la nourriture. Les jeunes qui sont pourvus d'un duvet rosâtre séjournent au nid pendant 7 ou 8 semaines. Bien qu'il soient capables de voler vite dès leur départ du nid, leur taux de survie est peu important. Les premiers jours qui suivent l'envol, ils reviennent au nid pour y passer la nuit. Peu de temps après, ils forment de larges crèches au sein desquels les parents cherchent leurs propres rejetons pour les nourrir. Cette assistance alimentaire dure encore environ 7 semaines avant que les parents ne s'en aillent pour accomplir leur mue. A l'occasion, les cacatoès rosalbins déposent une seconde ponte dans la saison. Régime : Les cacatoès rosalbins sont omnivores. Néanmoins, ils consomment une grande variété de végétaux telles que les graines d'avoine ou de froment ou celles des nombreuses plantes herbeuses. En plus de cela, ils ingurgitent également des insectes et leurs larves, des baies, des bourgeons, des fleurs et des graines d'eucalyptus. Les cacatoès rosalbins se nourrissent presque exclusivement à terre. Ils possèdent de nombreuses façons de se désaltérer : soit ils avalent une grosse goulée en se tenant dans la boue qui borde la pièce d'eau, soit ils gobent l'eau en vol à la manière des hirondelles. Ils peuvent également choisir d'atterrir au beau milieu de la mare pour plonger leur bec dans l'eau. Protection / Menaces: Bien qu'il ait une action bénéfique pour stopper la propagation de certaines mauvais herbes, le cacatoès rosalbin possède un potentiel de destruction encore plus considérable et il est considéré comme un parasite dans la majeure partie de l'Australie. Les cultures, en particulier les céréales, subissent de grosses pertes chaque année. Les cacatoès provoquent souvent la destruction des arbres dans lesquels ils nichent ou établissent leurs dortoirs. La population mondiale est estimée à plus de 5 millions d'individus et les effectifs sont en constante augmentation. Cette espèce remarquable n'est pas protégée dans toutes les régions et elle peut être abattue si elle provoque des pertes agricoles trop importantes. En captivité Comportement : Les Cacatoès Rosalbins sont de véritables perroquets dotés d'un tempérament curieux et joueur. Malgré qu'il soit de la famille des Cacatoès, le Rosalbin (ou Galah) est beaucoup plus indépendant que ses cousins les Cacatoès blancs. Cependant, les séances de câlins, d'éducation, et de jeux sont indispensables pour son bien-être psychologique. De plus, ces oiseaux sont très enclins au dressage et adorent apprendre des tours. Ils apprennent avec une certaine rapidité. Mais autre point important : les besoins affectifs et les caresses. Ils adorent être caressés, et papouillés entre congénères. L'oiseau imprégné pourrait rester des heures dans vos bras. Ils semblent toujours être en manque d'amour et feront tout pour porter l'attention vers eux. Sa cage doit être équipée de nombreux jouets, de nombreuses cordes, de nombreuses branches, afin qu'il puisse s'épanouir comme il le souhaite. Pour cette raison, une volière est plus adaptée aux besoins des rosalbins. Il ne faut jamais sous-estimer les besoins d'une espèce en fonction de sa taille. Il doit pouvoir sortir quotidiennement durant des heures s'il est en intérieur. Alimentation : Les Rosalbins sont assez gourmands. Chaque jour, un mélange de graines et/ou granulés pour perroquets australiens sera le bienvenue ainsi que des fruits et légumes frais, crus et biologiques. Les germinations et les végétaux seront également appréciés. Ils ont aussi tendance à prendre facilement du poids, donc on évite les graines de tournesol trop riches en matières grasses que l'on garde pour l'apprentissage. Il faut faire goûter de nombreux fruits et légumes au Rosalbin dès son plus jeune âge sinon il risque de faire son difficile et de ne manger que des graines, qui ne lui apportent pas tous les bienfaits nutritifs que lui apportent les végétaux. Aptitudes à parler : Ils ne sont pas spécialement connus pour ça. Mais certains d'entre eux peuvent apprendre quelques mots et quelques phrases, ainsi qu'imiter des sons et bruits spécifiques. Ses exigences : Il est indispensable d'avoir plusieurs congénères et de ne pas les maintenir seuls. Ils sont grégaires et fait pour vivre avec des congénères et un partenaire de vie. Les Rosalbins ont besoin d'un grand espace libre et enrichie en matériaux, donc il est conseillé de leur offrir une grande volière, comme indiqué plus haut. On la garnira avec diverses branches, cordes, jouets, lianes sèches, un maximum de choses pour rendre son environnement enrichissant. sources : http://www.oiseaux.net/oiseaux/cacatoes.rosalbin.html http://www.oiseaux-birds.com/fiche-cacatoes-rosalbin.html Vos questions et réactions via ce post. Révisé par Marine Scié
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Leur palace
Martin Parrot's Lover a répondu à un(e) sujet de Martin Parrot's Lover dans Environnement : installations, accessoires, jouets et liberté
Il y a des cordes et des perchoirs, seulement sur la photo on ne les voit pas... Puis hier soir après avoir mis la photos j'ai mis une corde qui traverse la volière . Kelly (ma conure),Swchep's et Téquila (touïs) en sont fous ! Les calopsittes sont moins joueuse et mon acrobate, donc pour elles j'ai mis des gros perchoirs stables. Je ne supportais plus de voir mes oiseaux en cage (même si elle était grande..), je savais que malgré les sorties dans la maison il ne pouvaient être heureux avec si peu d'espace. Depuis qu'ils sont dans la volière, on voir nettement la différence, il y a beaucoup moins de problèmes d'hyper-vocalisation de la part de ma Conure et Zozo mon mâle Calopsitte en adolescence n'essaye plus de "défendre" son territoire. Il est passionant de les voir s'épanouir, voler à leur aise.. Ma Kelly est beaucoup plus proche de moi. L'espace que l'on offre à nos oiseau influe fortement sur leur santé physique et mentale. Même s'ils ont cette grande volière, les sorties quotidiennes sont toujours d'actu. Malgré tout, rien ne pourra remplacer le vol libre -
Article : Grand Éclectus (eclectus roratus roratus)
Martin Parrot's Lover a répondu à un(e) sujet de Martin Parrot's Lover dans Nos Perruches et perroquets en photos et vidéos