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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Saskia a l'habitude des directions, depuis les milliers de km parcourus en ski-joring, c'est indispensable! Une erreur et, pour moi, c'est la chute, donc je la félicite toujours lorsqu'elle fait juste... Je skie avec les deux bâtons dans la main gauche et l'appareil de photo dans la main droite, sans gants, pour faire ces vidéos et aussi les photos, ce qui signifie que le moindre écart de Saskia me déséquilibre!
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Je vais à pied, ou avec mes skis de fond quand il y a beaucoup de neige mais quand même une bonne trace, en principe je choisis un lieu où Saskia n'enfonce pas trop. J'ai aussi des raquettes à neige, en dernier recours... J'ai ouvert un nouveau post "Nouvelles courses de Saskia dans la neige" avec aussi des petites vidéos, par exemple de ski-joring, car l'hiver météorologique a commencé, et la suite des balades automnales sera en automne 2013 si tout va bien...
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–18°C ce matin au Sentier, près du lac de Joux: et une nouvelle tempête de neige est annoncée, avec une alerte rouge pour la neige dans les Préalpes: il faut vite profiter des traces du week-end avant qu'elles soient effacées! donc départ pour le col du Marchairuz: où une bonne trace de raquettes à neige permet de faire courir Saskia en ski-joring: voici la meilleure vidéo de la course: quelques traces d'animaux sauvages captent son attention: et de nombreux bains de neige ponctuent la course: la tempête prévue arrive et le diaphragme de mon appareil ne s'ouvre pas complètement, bloqué par du givre: avant la prochaine rafale, Saskia essaie péniblement de rejoindre la trace: la trace est encore visible lors du retour, mais déjà bien remplie de neige:
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Mon anniversaire avec Saskia dans la neige... Ce sera le dernier reportage de cette année dans ce post, car l'hiver météorologique commence! Le tour du Lac Noir un peu de géographie pour commencer: j'attendais plus de neige ici et surtout il fait moins froid que prévu, seulement –11°C; après une seule nuit relativement froide, le lac n'est pas gelé et il en faudra plus pour que les avions puissent se poser sur cette surface, comme l'hiver dernier: mais cette neige est parfaite: une petite partie commence à geler: ici, l'eau est libre: le sol est encore chaud et Saskia part en chasse: nous sommes arrivés à la moitié du tour: Saskia est de plus en plus intéressée: mais les colverts ont vu qu'elle est au bout de sa laisse: le soleil réchauffe le côté le plus touristique du lac: Le tour du lac est fini, après environ 2 heures de promenade, mais je décide de prendre de l'altitude, direction Gantrisch: ici, on skie à 1400m d'altitude: difficile d'évaluer la hauteur de la neige, mais je pense environ 70cm, avec des accumulations de plus d'un mètre, donc impossible de marcher sans raquettes ou sans skis! Saskia aimerait bien partir sur ces traces de ski: le brouillard arrive: tandis que le soleil se cache derrière un sommet: nous voici au col du Gurnigel, dans le brouillard givrant: une ambiance polaire avec –6°C et heureusement un vent assez faible: les pistes de fond sont ouvertes depuis hier: la carapace de givre sur les branches est impressionnante: Saskia ne peut pas avancer dans cette neige: et se contente d'observer: à 14 heures, c'est le dernier moment pour s'offrir un bon repas: j'ai choisi le menu le plus copieux, pour en partager un peu avec ma Saskia, particulièrement affamée:
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C'est encore officiellement l'automne, mais les hauts de Vevey ont pris une allure d'hiver, j'espère pour de bon cette fois: la tempête de neige de fin octobre a laissé des traces: Saskia est dans son élément: en-dessus de 1200m, c'est le blizzard et la neige qui s'enfile partout, dans les poches et même dans la fourre de l'appareil de photo, qu'il faut bien protéger: les bordures de forêts sont abritées: Saskia s'éclate à fond: et fait des bonds: adopte la nage dauphin: reprend son souffle: et repart: mais la neige la fatigue bien: et, vers 1350m d'altitude, on enfonce bien: une motoneige vient de passer à toute allure pour ne pas se planter et Saskia quitte la haute neige pour suivre la trace toute fraîche: mais le resto est fermé: une bonne trace de bob va faciliter la descente: en attendant le train: peu de monde, mais la saison débute le 1er décembre:
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Enfin!!! cette fois, elle devrait rester jusqu'au début mai, car de nouvelles chutes de neige sont annoncées et le thermomètre devrait descendre vers -15°C en fin de semaine! plus bas, ça commence à tenir même sur la route, qui va devenir une piste de raquettes à neige et, pour Saskia, une piste de course: une rencontre fortuite avec une chienne malinoise: et un mâle moins joueur: il est vrai que la neige pousse les chiens à jouer, la preuve vient d'être donnée une fois de plus!
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Saskia détachée, en compagnie d'une louve de 14 ans et d'un berger blanc! Saskia semble me demander pourquoi sa copine Cora est libre, mais pas elle: à son âge, Cora ne pense plus à fuguer, mais apprécie la liberté: et voilà l'arrivée d'un autre ami de longue date, lui aussi détaché, faveur accordée aussi à Saskia: les chiens libres sont rarement bien placés pour faire de belles photos et sur une dizaine, il y en a 2 ou 3 de valables: Saskia montre son indépendance en cherchant un jouet comme si elle était seule: Cora est venue inspecter le morceau de bois sans vouloir le lui disputer: puis les deux chiennes sont parties ensemble à la découverte des odeurs sans s'éloigner de leurs maîtres: le chemin est parcouru par de nombreux chiens chaque jour: et Apache invite Saskia au jeu: elle se soumet devant son camarade deux fois plus lourd qu'elle, joue la victime, ce qui incite le berger blanc à aboyer toujours plus fort: et le calme après l'orage revient dans le bois: les jeux donnent soif: et, cerise sur le gâteau pour l'heureux maître de Saskia, un retour avec des pieds bleus: et des vrais!
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Une combe isolée du monde depuis octobre jusqu'en fin mai: la Grande Bon(n)avau(x): la route d'accès est déjà recouverte de neige, de restes d'éboulements et d'arbres cassés par la tempête de fin octobre: le redoux a fait presque disparaître la neige sur les versants d'en face, exposés au soleil, mais ici, à l'ombre, la neige est bien conservée: on retrouve le Moléson, certes assez loin: encore 20cm de neige lourde recouvrent les rhododendrons: Saskia adore se faufiler dans cette végétation enneigée: au fond de la combe, une grande ferme: en redescendant, on peut contempler les montagnes de Haute Savoie que nous venons de parcourir dans la neige poudreuse:
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Après avoir brassé la neige pendant 3 heures, le plus dur reste à faire: pas question de retourner en plein soleil sur le chemin traversant la pente avalancheuse! la montée au Pic Boré semble plaire à Saskia, qui sent le danger et aurait refusé de continuer si c'était risqué: voilà le passage où il faut assurer chaque pas, en évitant la corniche de droite et la pente glissante à gauche, mais Saskia retrouve le sentier sous la neige et cette neige permet de bien marquer les pas; sans neige, les pieds glissent beaucoup plus facilement sur l'herbe et une glissade se termine 300m plus bas: une petite pause sur un replat: puis nous continuons l'ascension de l'arête, qui ressemble à la fameuse course du 25 novembre de l'an dernier à plus de 4000m d'altitude: le souvenir du Breithorn (4159m) à Zermatt est revenu dans ma tête: mais avec le Cervin en vue: l'absence totale de neige en novembre 2011 nous avait poussés jusqu'à cette altitude... heureusement que la neige est venue après en abondance! Saskia suit toujours le sentier: et nous voilà au sommet: avec un petit vent du sud-est rafraîchissant: un regard en arrière, avec Montreux derrière le dos de Saskia: cette petite descente pourrait aussi être risquée sans neige: depuis ici, c'est un "boulevard": quelle belle neige, qui enfonce parfois plus haut que les genoux: je ne peux pas m'empêcher de contempler cette pointe que nous venons de traverser: et voilà qu'il faut remonter, en brassant une neige plus lourde: et la fin de cette interminable arête, dernier regard en arrière: puis la descente facile, en direction de Bernex (74): les crêtes sommitales du Jura sont enneigées: un chemin de raquette à neige: va jusqu'au col de Neuva(z): un petit bout du lac Léman vers Villeneuve est visible depuis ce col: plus de 20cm de neige poudreuse à l'ombre rendent la descente très agréable: la boucle est finie, nous retrouvons nos traces de montée: deux sangliers ont passé par là: dernier regard vers le col de Neuva(z): un itinéraire bien indiqué: la fin de la descente après avoir brassé la neige pendant 7 heures: la neige a beaucoup fondu en face: les montagnes que nous avons parcourues, vues de Vevey: le lendemain, redoux malheureusement...
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Il fait souvent chaud au soleil, mais à l'ombre, le thermomètre auto indiquait -3°C à l'ombre, à 1200m d'altitude. Mais c'est vrai, nous avons souvent une inversion de température, due aux courants océaniques chauds en altitude et au maintien d'une nappe d'air froid stagnante entre le Jura et les Alpes! Parfois, il fait aussi très froid en Suisse: un record de température de -41,8°C a été enregistrée dans le Jura: http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Br%C3%A9vine
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Voilà enfin l'occasion de faire une nouvelle grande course de montagne avec Saskia: beau temps, belle neige! En face de Vevey, une chaîne de montagnes offre la plus belle vue plongeante sur le lac Léman: celle qui aboutit au Pic Boré (1974m), que Saskia ne connaît pas encore. Entièrement en Haute Savoie (74), l'accès le plus direct est facilité par le télécabine de la station de Thollon-les Mémises, interdit aux chiens! Donc c'est par les hauts du petit village frontalier de Novel que nous commençons la course: je laisse la voiture au parc de la Planche: 10 à 15cm de neige poudreuse, car le fond du vallon de Novel est très peu ensoleillé à cette saison: nous passons par la gouille de la Joux, que Saskia connaît pour sa grande population de grenouilles au printemps: nous rejoignons la route d'alpage de la Neuva(z), non goudronnée: puis nous quittons cette "route": pour retrouver le chemin du col de Parchet encombré par des coulées de neige d'hier: j'ai prévu de redescendre par le col de Neuva au fond du vallon à droite, pour éviter de repasser ici: nous prenons de l'altitude et la neige reste de bonne qualité malgré le soleil: voilà le Pic Boré derrière Saskia, bien pointu, que nous allons essayer de gravir, pour redescendre de l'autre côté, après le passage d'une longue arête vertigineuse: le col de Parchet est le premier point de vue sur le lac Léman: nous allons d'abord vers la pointe de Pétalouse en brassant 30 à 50cm de neige poudreuse: au fond, la pyramide de la Dent d'Oche qui atteint 2222m d'altitude et qui domine une grande partie de la Suisse romande: mais Saskia n'est intéressée que par la neige, ce qui bouge encore dessous et les traces d'animaux sauvages: retour vers le col de Parchet pour commencer la véritable ascension: la réserve d'eau pour le bétail: c'est là que les choses sérieuses commencent, la pente devenant de plus en plus raide je n'oserais jamais faire cette pente herbeuse sans une bonne couche de neige... la suite de l'aventure, c'est pour demain, car il y a encore beaucoup de photos que je dois trier...
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Heureusement pour nous, la neige n'a pas tardé à revenir et avec une bonne couche sur les hauts de Montreux: la Dent de Jaman fait une apparition furtive: une belle épaisseur aux endroits où il reste de la neige tombée en octobre: 200m plus bas, la neige se transforme très vite: l'éclaircie arrive à Caux: quelques trouées permettent de voir le lac Léman: un temps automnal:
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Cet automne hésite encore entre été et hiver: près de 20° à nouveau ces deux derniers jours: Saskia cherche son dessert: plus haut, elle retrouve un reste de la formidable tempête de neige, une semaine après: derrière elle, le sommet du Moléson apparaît, la montagne que nous aurons vue de presque partout, de presque tous les côtés: La chaleur après l'humidité a été bénéfique pour les champignons: avec 1,3kg, il y a assez pour quelques bons repas: avec du raisin de la région comme dessert!
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Pour profiter au maximum de cette semaine de neige, nous avons encore parcouru les versants à l'ombre de la Dent de Lys, dans un vent de sud-ouest devenant tempétueux sur les hauteurs: presque toute la neige poudreuse a été arrachée des flancs des montagnes, mais 2cm de neige mouillée en petits grains sont tombés en-dessus de 1200m d'altitude, ce qui a reblanchi le Teysachaux et le Moléson (à droite); cette fois nous nous promenons au sud de cette chaîne, alors qu'hier, nous étions juste derrière: nous marchons sur la route goudronnée qui conduit au célèbre restaurant d'alpage du Vuipey, en traversant la zone d'avalanches sous la Dent de Lys: la route a disparu sous la neige: pour faire une boucle, nous changeons de versant, contournant les deux collines (dont celle culminant à 1574m) par le côté nord, afin de rejoindre la route vers l'alpage de Belle Chaux: la route depuis la Cuva à Belle Chaux est un magnifique itinéraire de traîneau et j'y ai accompagné de nombreux attelages; la montée par le point 1308 et le Vuipey est damée en hiver; c'est aussi la piste de bob! Vidéos de bob avec Saskia sur cette piste: http://youtu.be/efBAUO8Ngus et une variante: http://youtu.be/X9YFGi0PZXg etc. après la fondue au fromage, évidemment bien arrosée, c'est vraiment super, le retour en enfance... je dis ça car les bobs sont plutôt prévus pour les enfants, vu leur taille! Saskia suit une petite trace: puis la neige est vierge, pas encore transformée par le soleil, malgré la chaleur... c'est magnifique: la neige fond à vue d'oeil sur les pentes ensoleillées: mais ici, il y a encore de la poudreuse pour Saskia, et on enfonce beaucoup moins que ces derniers jours: passé le col de Belle Chaux, nous retrouvons les congères obstruant la route: belle vue sur la plaine (le lac Léman se devine à gauche) et le Jura au fond: deux heures après avoir passé ici, le massif du Moléson a changé de couleur, avec le redoux: tout le parcours est maintenant au soleil, la neige s'humidifie, c'est la fin. il fait +2°C au thermomètre de la voiture, qui est restée à l'ombre (–1° à notre arrivée) et le thermomètre montera jusqu'à 16° à Vevey, à 400m d'altitude...
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Deux jours plus tard, nous voici dans la même région, mais à l'ombre du Moléson: le Niremont est en face, nous y étions il y a deux jours, avec le jeune bouvier: le redoux que je redoutais a dégarni les pentes exposées au soleil, et je suis content de mon choix d'aujourd'hui, la neige tassée est restée poudreuse en surface, c'est la neige préférée de Saskia. cette énorme congère ne va pas disparaître de si tôt, même si le soleil des ces trois derniers après-midis a formé un "carton" détestable pour les skieurs: l'incontournable roule-neige: le seul petit lac de la région: la pointe du Teysachaux: le soleil va humidifier la neige, il faut prendre le chemin du retour à la voiture: après la promenade:
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Nouvelle journée de bonheur pour Saskia, au Niremont. Départ au parc du restaurant du Petit Oiseau, dans la petite station de ski du Rathevel. Saskia est déjà venue ici: A peine sortie de la voiture, Saskia fait la connaissance de Bouboule, bouvier bernois de 6 mois: la neige est tout aussi bonne qu'hier et elle s'est un peu tassée: mais transformée par le soleil d'hier ici: le jeune Bouboule se lie d'amitié avec Saskia et la suit partout: ses propriétaires le laissent partir en promenade avec Saskia et nous commençons la montée: chaque joli coin de neige profonde est une occasion de jeu: la progression est lente dans cette neige profonde et, après une heure, nous sommes à peine 100m plus haut que le restaurant: sur le chemin de la crête, dans la forêt, c'est moins pénible (pour moi!) de suivre des traces de raquettes à neige: nous voici sur la crête du Niremont, bien petite face à l'imposante montagne d'en face, le Moléson, qui culmine à 2002m d'altitude et offre de belles pistes de ski; nous voyons la station d'arrivée du téléférique, d'où s'élancent les skieurs: de l'autre côté, c'est le lac Léman, peu visible sous la brume: un sapin cassé lors de la tempête de neige du week-end passé: le sommet du Niremont est dépourvu de neige: et la couche de givre sur la croix témoigne de l'importance des dernières intempéries: toute la neige s'est déposée au sud de la crête, où l'épaisseur de la neige compactée dépasse le mètre: à l'ombre, c'est l'hiver parfait, tout est givré: lors de la descente, la neige est déjà humide, c'est fini la poudreuse avec ce vent de sud-ouest qui va tout détruire malheureusement: de retour au restaurant, fermé jusqu'à l'ouverture des skilifts, Bouboule retrouve sa maison, pour un repos bien mérité: la neige a déjà bien fondu, après plus de 3 heures de promenade! à propos de skilifts, Saskia a été photographiée près de l'un d'eux: et nous étions montés ici en compagnie d'un attelage:
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