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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Ce lundi de Pâques, les conditions étaient parfaites le matin pour le ski-joering, car hier soir, il a reneigé environ 2cm avant que le ciel se découvre; le thermomètre est alors descendu bien bas pour la saison, vers –10°, ce qui a durci la couche de neige compacte humide sous la petite couche de poudreuse; j'ai profité de remettre les harnais de trait à Saskia et Jiro, qui ont pu aller partout sans enfoncer et nous avons parcouru la plus longue distance de toute cette saison, soit entre 25 et 30km: sans la moindre trace, j'ai pu exercer les directions, pour éviter cela: il y avait du brouillard de l'autre côté de cette crête du Jura: Jiro veut avancer et tire Saskia de son roule-neige: le ciel devient limpide et nous traversons bon nombre de clairières: en laissant aux petits loups des moments de pause pour profiter de la neige: une rare trace attire leur attention: un refuge est toujours intéressant: nous nous rapprochons du Mont Tendre: depuis les Bioux, une route goudronnée mène jusqu'au pied du Mont Tendre; elle devient une piste de fond l'hiver, mais n'a plus été tracée depuis deux semaines: nous quittons cette route: nous voici quelques centaines de mètres sur la piste de fond qui relie la Givrine au Mollendruz: malgré le soleil printanier, on n'enfonce pas encore beaucoup vers 13 heures: là, il commence à faire trop chaud: nous avons passé par ici il y a exactement 4 heures et cette photo était un peu à contre-jour: Les trois petites vidéos de cette journée:
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Voici des paysages moins montagneux, dignes du grand Nord et, de plus, à Pâques: il y a toujours environ 2m de neige ici, à 1500m d'altitude: mais la neige enfonce et colle: nous sommes à la hauteur du deuxième étage: un grand chemin forestier se trouve là-dessous: Jiro ne laisse pas Saskia se rouler dans la neige et la tire: mésentente? un paysage de grand nord, avec même encore plus de neige: 8km, ça suffit pour aujourd'hui et voici le chemin du retour:
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Les pistes d'Arolla Une bonne douzaine de kilomètres et 300m de dénivellation depuis Satarma jusqu'au pied du Mont Collon: Le seul jour de beau temps de la semaine avec 2cm de neige fraîche seulement: c'est parfait pour se rouler dans la neige: et pour jouer: devant le Pigne d'Arolla, une montagne que j'ai gravie 6 fois, toujours à ski: la neige porte bien en dehors des pistes: mais c'est plus simple de suivre cette piste de fond, surtout lorsqu'elle est déserte: depuis ici, la piste est plus récente, mais les seuls promeneurs que j'ai rencontrés étaient en raquettes: le Mont Collon apparaît à gauche: très imposant et difficile d'accès, ce sommet est 1500m plus haut que nous: nous n'irons pas plus haut, la petite couche de neige en surface devient collante, ce qui promet quelques difficultés pour la descente et en voici quelques extraits: la chute au fond de la vallée d'Arolla: un petit détour vers le rocher glacé à l'entrée d'Arolla: la pause à l'ombre est bienvenue: le soleil printanier ne motive pas les louloups à tirer: le résultat d'une gamelle stupide lors d'une petite descente raide: et après le repas au restaurant de la Gouille, l'appareil ayant pu sécher au soleil, nous sommes repartis pour la Forclaz, un petit village bien exposé au soleil: et depuis lequel on peut admirer l'un des géants des Alpes, la Dent Blanche: [/center]
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un bel hiver qui touche a sa fin .....
Blaise a répondu à un(e) sujet de Kinya-passioncanicross dans photos
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Deuxième journée maussade, un week-end complètement raté pour certains, mais pas pour Saskia et Jiro: la neige est pourrie, Saskia n'aimait pas ces conditions avant d'avoir son copain: ici, nous sommes au Perry, à 1305m d'altitude, en face des Paccots, et voici la vue par beau temps: cette photo a été prise au mois d'octobre, de l'autre côté du même chalet...
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Lorsque les conditions sont mauvaises, il m'arrive de prendre mon appareil de photo et même d'en faire... Voici un chalet perdu dans une grande forêt, qui a attiré mon attention: plus loin, un autre, également privé: une grosse averse de grésil me prouve que le choix de cette balade à 1400m d'altitude était bon, puisque plus bas, il pleuvait:
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Voici la suite: le Weisshorn (4506m), avec son Grand Gendarme, est réservé aux très bons alpinistes: nous continuons notre course vers le sud: il y a quelques années, nous aurions été sous la glace ici: personne n'est venu voir ces grottes glaciaires aujourd'hui et la trace de ski en peaux de phoque mène à la cabane du Grand Mountet: pour accéder aux grottes, il faudrait des crampons et une lampe frontale, je préfère donc rester dans la neige avec Saskia et Jiro. mes petits loups jouent aux alpinistes, mais nous n'iront pas plus haut: le ciel se voile et nous redescendons avant le jour blanc: un regard en arrière: le ciel s'est bien couvert, heureusement que j'ai fait beaucoup de photos en montant: pour terminer, une vue d'ensemble de la vallée de Zinal prise depuis Ayer:
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Le glacier de Zinal Cette année, il est possible de visiter des grottes glacières accessibles après deux heures et demi de marche en raquettes: http://www.montagne-evasion.ch/grottes.htm entre Zinal et Zermatt, certains sommets sont parmi les plus hauts des Alpes: nous allons profiter du temps ensoleillé le matin pour faire cette excursion présentée dans la presse locale: la piste de promenade pour tous est bien damée au départ et des courses de traîneaux à chiens ont eu lieu ici pendant de nombreuses années: nous sortons des pistes pour que les petits loups puissent jouer dans 10cm de neige poudreuse tombée la nuit précédente: la piste de fond n'est pas tracée: nous sommes presque 2000m en-dessous du Besso, géant rocheux à deux éperons: nous retrouvons la piste de promenade sur laquelle de nombreux attelages de chiens ont passé: et Saskia préfère la neige vierge pour son roule-neige: à gauche du Besso, une partie du Rothorn de Zinal apparaît, le premier sommet de plus de 4000m visible: l'enneigement est moyen à cette altitude, comparé aux 2m des Préalpes fribourgeoises et au Haut Jura: Le plus haut sommet de la vallée d'Anniviers apparaît à la fin de la petite vidéo: à suivre...
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Aujourd'hui, encore 10cm de nouvelle neige, malheureusement de plus en plus humide: la route a déjà été dégagée ce matin, mais il continue de neiger! l'énorme mur de neige est infranchissable, mais les chiens essaient de l'escalader: nous sommes ici sur la piste damée tous les jours, conduisant au fameux restaurant du Vuipay: les petits loups aiment jouer à côté de la piste: après une heure de montée dans le brouillard et la neige, la fondue au fromage est incontournable et comme je suis le seul client, Saskia et Jiro peuvent occuper tout le couloir: au retour, la neige a cessé de tomber et j'ai laissé jouer les chiens longtemps:
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Apprendre au chien à courir devant le coureur ?
Blaise a répondu à un(e) sujet de Francis84 dans l'entrainement
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Le pont de la discorde... Comme prévu, la neige est revenue en force, avec environ 80cm tombés en moins de deux jours: nous quittons la route et la couche de neige est encore plus épaisse; même avec mes skis, la neige m'arrive jusqu'aux genoux et Saskia disparaît presque entièrement: pour une fois, les chiens me suivent: ... jusqu'à cette rivière qu'il faut traverser pour parcourir la boucle que j'avais prévue: le passage sur le pont est à droite, 10m plus bas: Saskia, qui connaît bien ce passage, s'élance sur le pont: Jiro la suit de près: jusqu'au moment où la neige s'effondre sous ses pattes... il a peur et fait demi-tour: je lui donne raison en voyant la neige fraîche glisser dans le lit de la rivière, pour mettre à nu un mur de vieille neige très dure sur lequel mes skis n'auraient peut-être pas tenu: je cherche en vain un passage à côté du pont, mais Saskia veut passer à tout prix sur ce pont: chaque chien reste sur sa position: Saskia sent qu'elle a perdu la partie et devra rebrousser chemin: nous revenons sur nos traces: bilan: plus de deux heures pour parcourir moins de deux kilomètres... mais ça fait toujours plaisir de voir autant de belle neige!
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Un magnifique terrain de jeu! Une bonne température, voisine de –10°C, une neige qui porte partout, un beau coucher de soleil: au fond, la montagne encore bien ensoleillée s'appelle la Cape au Moine: derrière les chiens, les hauts de Caux sont bien visibles, ainsi que le lac Léman et les Dents du Midi: deux heures de neige dont plus d'une heure de jeux, le grand bonheur, quoi de mieux, à part la liberté bien sûr, ce que j'aurais regretté en voyant deux chevreuils quelques instants plus tard et mes deux petits loups me tirant avec force sur leurs traces...
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Le trio parfait continue à jouer et aucun chien ne reste à part, même si Saskia est la seule à rester attachée: Saskia creuse mais n'atteindra pas le sol: les chiens se dépêchent de rejoindre un groupe de randonneurs arrivé au sommet. Saskia finit par être aussi détachée: Jiro visait d'abord la croix: puis, sans gêne, est retourné à table: c'est fini, on va redescendre, Saskia: c'est aussi fini la liberté:
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Hélas, maintenant, les paysages ne sont plus du tout féeriques, vivement que de la neige fraîche recouvre cette couche vieille de bientôt un mois: Aujourd'hui, montée au Niremont en raquettes à neige et descente en yooner, mais avec une surprise: le bouvier bernois du restaurant de la région nous a rejoint et Jiro a essayé d'abord de l'éloigner, d'abord en l'ignorant et en continuant de jouer avec Saskia: puis en l'attaquant: en fait, les deux jeunes mâles n'avaient envie que de jouer: et Saskia, qui a déjà fait ce tour seule avec le bouvier, a vite convaincu Jiro que c'est un copain de jeu! Saskia laisse jouer les deux mâles pour se rouler dans la neige: derrière les chiens qui jouent inlassablement, on devine le lac de Gruyère: ils s'emmêlent trop souvent et je détache Jiro pour la première fois: la suite va venir...
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Fin de la série: le foehn s'est levé depuis deux jours et la neige a souffert: les sapins ont perdu leur beauté blanche: trois heures pour parcourir une douzaine de km dans le Risoux, évidemment sans demander aux petits loups de tirer! depuis le refuge du Poteau, j'ai accompagné de nombreux attelages et l'un des itinéraires que j'aimais tracer passe par les Cernicolets, le Gros Crêt, sommet du Risol, puis, lors du retour le long de la frontière, deux refuges dont le nom manque sur la carte, le refuge Kennedy et celui de la Belle Etoile, lieu de notre pause. Avant le changement de temps, nous avions fait une petite marche plus près de la maison, au-dessus de Vevey; la neige avait déjà souffert du soleil, sans être pourrie jusqu'au fond: au moins, c'est la fin de cette brume de pollution en-dessous de 1000m: les traces sur le toit datent du 16 février: avant notre passage: c'était si beau: le retour du froid devrait se faire dans une semaine, il ne reste plus qu'à espérer...
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On s'éclate à Leysin! Simple course pour la Berneuse: le Kuklos, restaurant panoramique tournant, admet les chiens: mais ce sera pour une autre fois: après une descente raide en neige dure où le yooner était difficilement contrôlable avec mes deux louloups bien excités qui tiraient dans tous les sens, nous montons au sommet des pistes par la crête: pour éviter les plaques de neige et les cassures, l'arête très pentue est plus sûre mais à déconseiller pour ceux qui ont le vertige: mes deux huskies alpinistes ne craignent pas les pentes raides tant que leurs pattes ne glissent pas: nous voici à 2200m d'altitude, bien au-dessus du lac Léman, sous la brume polluée: les tours d'Aï (2331m) et de Mayen (2326m) ne sont pas beaucoup plus haut qu'ici mais leurs falaises impressionnent toujours: une pause rafraîchissante: prêts pour descendre la piste noire: le bas de cette piste permet quelques excès de vitesse par rapport aux chiens: Après plus de 1000m de dénivellation à la descente, Saskia et Jiro ont pu courir à fond une bonne dizaine de kilomètres sur de la neige bien damée, sans devoir tirer, ce qui leur convient à merveille...
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Une grande balade dans le Jura, au sud du Mont Tendre: depuis la route du Marchairuz, peu de promeneurs partent du Grand Fuey, où les possibilités de parcage sont restreintes en raison des murs de neige; le chalet de la Correntine est pratiquement le seul but de course de cette région parmi les moins fréquentées du Jura, alors que les crêtes du Mont Tendre sont relativement connues des touristes. Nous allons jusqu'au pré de Ballens pour revenir par le crêt de Mondisé et la Correntine, ce qui correspond à environ 16km et 400m de dénivellation, dont une partie tracée par les raquettes et, surprise, 3km par des motoneiges. Le soleil est printanier: voici la Foirausaz, qui n'est même pas sur la première carte: il y a encore de la bonne neige derrière la ferme, pour le grand bonheur des petits loups: nous voici à la ferme du pré de St-Livres: et sur la piste de motoneige où je regrette de ne pas avoir mis les harnais de trait: il y a une dizaine d'années, ma chienne Nykyt était attelée sur ce parcours et j'y ai fait passer de nombreux attelages de huskies et de groenlandais, le plus souvent en ouvrant la trace: un passage magnifique où la neige est restée presque intacte depuis plus de deux semaines: depuis ici, il faut tracer dans la neige profonde souvent cartonnée, en plus à la montée: la vue devient magnifique sur tout le bassin lémanique recouvert de brume et de nuages bas, avec les Alpes à l'arrière-plan: ce chalet avec la vue extraordinaire appartient à un ski-club privé et est bien fréquenté les week-ends. Nous rentrons à la tombée de la nuit avec deux louloups épuisés par cette neige irrégulière!
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Jiro suit les traces des animaux sauvages et lorsque nous avons aperçu un chevreuil, il serait parti le poursuivre; j'ai eu beaucoup de mal à le retenir... Inutile de prendre le risque de le perdre en le détachant, il est heureux avec Saskia et s'est habitué à jouer attaché. Voilà ce que ça donne lorsqu'on détache ses deux huskies: Ces deux huskies trop habitués à être détachés ont pris goût à la chasse et ont dévalisé un poulailler, tué d'autres animaux et ont été finalement euthanasiés, voilà le résultat... tandis que Saskia, sagement attachée, n'a jamais été blessée non plus lors d'une fugue mais a trouvé son bonheur en creusant, tellement intéressée par cette activité que j'ai pu la détacher dans des champs de taupinières puis la récupérer sans difficulté!
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Je leur mets le harnais de trait lorsque je vais en ski-joering sur des chemins bien tracés, mais pas pour les grandes descentes où je vais aussi vite qu'eux sans leur aide: si un chien s'arrête, il va se faire tirer par l'autre ou par moi-même et son harnais risque de s'enlever; pour cette raison, les harnais Julius-K9 sont plus sûrs et plus pratiques lors de ces promenades mais ne leur permettent pas de tirer efficacement.