Chris, ton poste me semble présenter quelques contradictions.
En effet, tu nous présente l'homme comme n'étant pour la terre qu'un parasite qui se prend pour son nombril...
Or il me semble -et aussi désolant que cela puisse être- que l'homme, s'il n'est pas le nombril du monde, l'est assuremment devenu. En effet, l'homme n'a t'il pas adapté le monde à sa façon d'être, à son propre mode d'existence? Si on regarde aujourd'hui autour de nous, on ne peut que constater que tout est fait pour l'homme, le monde entier est sous la domination de l'homme et de lui seul. Les chien eux-memes sont devenu des animaux avec lesquels l'homme joue génétiquement, afin de creer de nouvelles races, plus adaptées à lui.
Ainsi il m'apparait à moi que l'on ne peut considérer l'homme comme un parasite terrien. Meme si sa constitution physinomique nous laisse entendre qu'il n'y est pas parvenu de maniere "naturelle", l'homme a assurémént aquis la domination du monde.
Tu dis aussi que l'homme devrait descendre de son piedestal afin de se reconsidérer (et j'imagine de pouvoir revoir leur relation au monde et plus particulierement les rapports conflictuels qu'il entretien avec "les animaux").
tu dis que a terre appartient aux animaux, qui eux ne la détruisent pas. Tu oppose donc l'homme destructeur à l'animal en harmonie avec son environement.
Il m'apparait pourtant que l'humain n'est qu'un animal comme les autres. C'est toi meme qui le place sur un piedestal en le mettant a part. En le différentiant du reste de la faune terrestre, tu donne une valeur particulière à la condition humaine, ce qui à mon sensn sert pas les intérets de ton argumentation.
Nénmoins je suis d'accord avec ta position selon laquelle il est plus qu'urgent d'endiguer le phénomene galopant d'abandon des chiens, développée dans ton post suivant. L'élaboration d'une législation réellement travaillée me semble urgente.
Pourtant, comme tu l'admets dans ta derniere phrase, il est aisément compréhensible que l'homme se préocupe en priorité de ses semblables, car il reste un animal mût de l'instinct de conservation de son espece.