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Céline13

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Tout ce qui a été posté par Céline13

  1. Si chacun surveille son propre chien et si tous le humains respectent les consignes de ne pas toucher les chiens sans permission, tout de passera bien Les chiens seront tendus au début et quand on stagnera mais après tout ira bien :)
  2. Un petit article sur l'Asso sur le CynPsy Mag N° 4 ... à la fin http://www.cynopsy.fr/cynopsymag/CynoPsy_Mag_N4.pdf
  3. Beaucoup de choses à revoir en effet ; l'aide d'un bon pro pourrait également t'aider Mais pour débuter, je te conseille de lire l'article concernant justement le "non" dans le CynoPSy Mag N° 4 : http://www.cynopsy.fr/cynopsymag/CynoPsy_Mag_N4.pdf
  4. 2 chiens de plus ... on a donc pour l'instant 25 akitas inus, 1 akita américain, 4 shibas inus, 3 shikokus, et 4 chiens autre race (eurasier, staff, dogue argentin et bouledogue). 37 chiens
  5. Dernier point avant demain : La météo prévoit un ciel un peu couvert mais pas de pluie. Température : 16°C, ressenti 13°C. Prévoyez de bonnes chaussures, et une gamelle d'eau pour les chiens. Pensez à Akita Home qui sera là : croquettes, accessoires divers, vieilles couvertures, etc ... J'insiste à nouveau : il y aura beaucoup plus de chiens que d'habitude, avec des caractères très différents, mais très akitaliens ; au début, beaucoup seront tendus car nous allons stagner (le temps que tout le monde soit là) ; certains chiens n'apprécient pas le contact avec les autres chiens (même sexe, ou parfois n'importe quel sexe) et pas non plus le contact avec les humains inconnus. Il est donc important que tout le monde (adultes et enfants) demandent l'autorisation d'approcher un chien et respecte la réponse du propriétaire (même si elle est négative) afin d'éviter tout accident. Le rendez-vous est à 13h30, mais certains y seront avant pour déjeuner sur place. Pensez à amener une petite collation (gâteaux, boissons, etc...) pour le goûter en fin de balade. Voici la liste des participants à jour : Marianne et André avec Lilou (akita inu femelle) Angélique avec Shikku et Maiku (akitas inus mâle et femelle) Aline avec Nym et Fuu (shikokus mâle et femelle) Chris avec Kando, Bianca Miya (Akita inu, bouledoge et eurasier) Serge et Virginie avec Zourit (shikoku femelle) Justine et Eiko (akita inu mâle) Remi et Bouba (akita inu femelle) Christophe et Véro avec Dukai et Fukumi (akitas inus mâle et femelle) Christophe et Ouji (akita inu mâle) Tanguy, moi et Inukaï (akita inu mâle) GG et Kita (akita inu femelle) Nina avec Etsuko, Iro Hito et Gandja (akitas inus mâle et femelle et staffie) Pascal avec Akumi et Kiyho (akitas inus mâle et femelle) Karine et Ichiro (shiba inu mâle) Valérie et Yumi (akita inu femelle) Emmanuelle et Magalie avec Cajan + une nouvelle (shiba inu mâle + akita inu mâle) Marion avec Iko et Louna (akita américain femelle et shiba inu femelle) Marion et Iloe (akita inu femelle) Catherine et Enko (akita inu mâle) Serge et Ikky (akita inu mâle) Pier avec Haru et Aki (akitas mâles) Caroline et Shinai (akita inu femelle) Charlotte et Gena (akita inu femelle) Alexandre et Itsumi (shiba inu femelle) Soit 35 chiens A demain, dans la joie et la bonne humeur.
  6. oui c'est notre record d'habitude on tourne entre 16 et 20 chiens max
  7. ben écoute depuis le début de la semaine, il est sensé pleuvoir averse ... j'ai eu droit chaque jour à 10-15min de pluie faible en tout .... donc on va croiser les doigts et faire la danse du soleil
  8. Je refais un dernier petit message avant la balade afin de m'assurer que tous les participants ont bien reçu le point de RDV, l'horaire, etc ... Aux dernière nouvelles, nous avions 32 chiens. J'imprime la liste, afin de savoir qui attendre le jour J :)
  9. Ce sujet déchaîne souvent les passions, et pour cause : faire reproduire son chien ou sa chienne est un acte qui doit être parfaitement réfléchi, car souvent lourd de conséquences. Nombreux propriétaires rêvent d’avoir un jour une portée de leur compagnon adoré qui «est le plus beau, le plus gentil », bref, parfait … à leurs yeux. Pour autant, faire naître et socialiser des chiots correctement, ça ne s’improvise pas : éleveur, c’est un métier, pas une vocation. Cela nécessite des connaissances pointues sur la race, sur la génétique, sur le comportement canin, sur le développement physique et psychique du chien. 1) Le choix des reproducteurs C’est certainement le point le plus délicat ; nous voyons fleurir sur internet et réseaux sociaux des annonces de saillies ; nombre de nos connaissances veulent faire une portée à leur chien… mais ces personnes savent elles vraiment ce qu’elles font ? Font-elles réellement les bons choix ? - Physique et caractère : « mon chien est beau et bien charpenté » … oui mais peut être a-t-il un prognathisme ou un autre défaut qui fera de lui certes un joli chien, mais pas un beau reproducteur. « Mon chien est gentil » … oui, mais parfois il a des peurs excessives ou des montées en pression parfois surprenantes vis-à-vis de certaines situations anxiogènes. Le physique et le caractère sont des éléments très importants, car ils se transmettent aux chiots : combien de propriétaires font reproduire leurs chiennes craintives, parfois même agressives, transmettant ainsi leurs gènes à leur chiot ? De plus en plus malheureusement. - Age des chiens reproducteurs : la maturité physique n’est pas suffisante pour faire reproduire un chien. Ne seriez vous pas choqués si une petite fille de 13 ans était enceinte ? Il est important de choisir des chiens ayant atteint la maturité physique mais également psychique : on évite donc de faire reproduire une chienne avant ses 24 mois. De même, la ménopause n’existant pas chez la chienne, on évite aussi de faire reproduire une chienne trop âgée (après 6 ans), car les risques de difficultés lors de la mise bas augmentent considérablement. - Etude des lignées : dans de nombreuses races, il existe des maladies génétiques et héréditaires. Ces maladies peuvent être dites récessives, ce qui implique que les deux parents doivent être porteurs du gène défectueux pour transmettre la maladie au chiot. Mais il existe à ce jour des maladies dont le mode de transmission n’a pas été encore établi, et il est impossible de savoir si elle se transmet par le biais d’un seul ou des deux parents. C’est par exemple le cas pour l’adénite sébacée et le VKH chez l’akita : à ce jour, nous savons qu’il s’agit de maladies génétiques, mais nous ne savons pas encore si seulement l’un ou les deux parents doivent être porteurs pour transmettre le gène au chiot. Pour cela, il extrêmement important (quand on est un minimum consciencieux) de connaître parfaitement les lignées de chacun des reproducteurs et de s’assurer que d’un côté comme de l’autre, il n’y a pas eu de chiots malades, en remontant bien au-delà des parents et grands parents. La consanguinité est également un facteur très important, souvent négligée par les naisseurs. Certains avancent, pour justifier un mariage trop consanguin, que le but est de fixer certains caractères génétiques de la lignée (couleur, taille, etc…) … oubliant soigneusement que les tares sont du coup fixées à leur tour ! Car dans ce type de mariages, il n’y a pas que les gènes positifs qui sont fixés (Cf : http://www.fci.be/uploaded_files/29-2010-annex-fr.pdf ) - Tests de santé : bien souvent négligés par les particuliers, certains sont pourtant d’une importance capitale. Par exemple, sur les chiens de grande race, les radiographies des hanches devraient être effectuées automatiquement pour toute reproduction pour écarter d’importants risques de dysplasie. D’autres tests, en fonction des races, devraient aussi être imposés : examen des tares oculaires, coudes, gènes du poil long, carte ADN, etc … Personne ne devrait acheter de chiot sans avoir vu au préalable les tests de santé des deux parents reproducteurs. 2) La socialisation des chiots La socialisation du chiot est d’une importance capitale : de la réussite ou de l’échec de cette étape dépendra l’adaptation du chiot dans sa vie future. Cela commence dès l’instant où les chiots sont dans le ventre de leur mère. De très nombreux exercices peuvent être réalisés pendant la gestation de la chienne afin de commencer à sensibiliser les chiots au monde extérieur. Une fois mis au monde, une très grosse responsabilité incombe au naisseur : beaucoup s’en remettent à la mère, pensant qu’il faut « laisser la nature suivre son cours ». Pour autant, si l’on souhaite que les chiots évoluent favorablement dans notre société humaine, il faut les y préparer. La mère transmet les codes canins mais n’est pas apte à socialiser ses petits à nos codes à nous. Contrairement aux idées reçues, il ne faut pas attendre les 8 semaines d’un chiot avant de le sortir. Il est très important qu’il soit soumis à de multiples stimuli (dont l’intensité et la durée sera à adapter en fonction de son âge) afin de le préparer à sa vie dans son futur foyer : ainsi, si le chiot est destiné à vivre en plein centre ville avec un chat et des enfants, il faudra qu’il découvre tout cela avant son arrivée dans son nouveau foyer. Il est donc essentiel que le naisseur ait : - Des connaissances concrètes et pointues: sur le développement physique et psychique du chien, savoir à quel moment il est possible de le soumettre à tel ou tel stimulus, lui présenter des êtres vivants (humains et animaux divers et variés), de nombreux objets de toute sorte, différents environnements, tout en respectant des règles strictes d’hygiène. - De l’espace : selon les races, certaines portées peuvent atteindre 10 à 12 chiots, qui prennent de plus en plus de place au fur et à mesure qu’ils grandissent. - Du temps : on ne socialise pas un chiot uniquement les week end et une ou deux heures par jour en semaine, c’est un travail quotidien et de longue haleine si l’on souhaite faire les choses correctement - De l’argent : vermifuges, antiparasitaires, soins vétérinaires, identification par puce … une portée coûte souvent bien plus cher qu’elle ne rapporte. 3) Le choix des futurs propriétaires et le suivi du chiot Savoir choisir correctement les propriétaires qui conviendront aux chiots peut s’avérer être un vrai parcours du combattant. Leur mode de vie convient il au chiot, à sa race ? L’environnement de vie dans lequel il va évoluer sera il adapté ? Sauront ils faire face aux soucis divers que l’on peut rencontrer lorsque l’on prend un chien (problème de santé, de comportement, etc …) ? Sont-ils prêts à s’investir sur 10 ou 15 ans ? Difficile d’être sûr … mais c’est du choix du naisseur que dépendra l’avenir des chiots. Et si l’un de ces propriétaires venait vouloir abandonner le chien, quelle sera la réaction du naisseur : cherchera t’il à le récupérer pour le replacer, quelque soit l’âge ou le souci de l’animal ? Ou laissera-t-il ses clients le vendre sur internet au premier venu ? Vous l’aurez compris, faire reproduire son chien n’est pas à la portée de n’importe qui. Alors posez-vous les bonnes questions : pourquoi tenez-vous absolument à ce que votre chien se reproduise ? Avez vous les compétences requises pour faire en sorte que tout se passe le mieux possible, tant pour votre chien que pour les futurs chiots ? Aimer, c’est savoir faire passer le bien des autres avant ses propres envies. Céline Morin Cynologiste La Voix du Chien LVC et Secrétaire Association Info Santé Inu
  10. Ce sujet déchaîne souvent les passions, et pour cause : faire reproduire son chien ou sa chienne est un acte qui doit être parfaitement réfléchi, car souvent lourd de conséquences. Nombreux propriétaires rêvent d’avoir un jour une portée de leur compagnon adoré qui «est le plus beau, le plus gentil », bref, parfait … à leurs yeux. Pour autant, faire naître et socialiser des chiots correctement, ça ne s’improvise pas : éleveur, c’est un métier, pas une vocation. Cela nécessite des connaissances pointues sur la race, sur la génétique, sur le comportement canin, sur le développement physique et psychique du chien. 1) Le choix des reproducteurs C’est certainement le point le plus délicat ; nous voyons fleurir sur internet et réseaux sociaux des annonces de saillies ; nombre de nos connaissances veulent faire une portée à leur chien… mais ces personnes savent elles vraiment ce qu’elles font ? Font-elles réellement les bons choix ? - Physique et caractère : « mon chien est beau et bien charpenté » … oui mais peut être a-t-il un prognathisme ou un autre défaut qui fera de lui certes un joli chien, mais pas un beau reproducteur. « Mon chien est gentil » … oui, mais parfois il a des peurs excessives ou des montées en pression parfois surprenantes vis-à-vis de certaines situations anxiogènes. Le physique et le caractère sont des éléments très importants, car ils se transmettent aux chiots : combien de propriétaires font reproduire leurs chiennes craintives, parfois même agressives, transmettant ainsi leurs gènes à leur chiot ? De plus en plus malheureusement. - Age des chiens reproducteurs : la maturité physique n’est pas suffisante pour faire reproduire un chien. Ne seriez vous pas choqués si une petite fille de 13 ans était enceinte ? Il est important de choisir des chiens ayant atteint la maturité physique mais également psychique : on évite donc de faire reproduire une chienne avant ses 24 mois. De même, la ménopause n’existant pas chez la chienne, on évite aussi de faire reproduire une chienne trop âgée (après 6 ans), car les risques de difficultés lors de la mise bas augmentent considérablement. - Etude des lignées : dans de nombreuses races, il existe des maladies génétiques et héréditaires. Ces maladies peuvent être dites récessives, ce qui implique que les deux parents doivent être porteurs du gène défectueux pour transmettre la maladie au chiot. Mais il existe à ce jour des maladies dont le mode de transmission n’a pas été encore établi, et il est impossible de savoir si elle se transmet par le biais d’un seul ou des deux parents. C’est par exemple le cas pour l’adénite sébacée et le VKH chez l’akita : à ce jour, nous savons qu’il s’agit de maladies génétiques, mais nous ne savons pas encore si seulement l’un ou les deux parents doivent être porteurs pour transmettre le gène au chiot. Pour cela, il extrêmement important (quand on est un minimum consciencieux) de connaître parfaitement les lignées de chacun des reproducteurs et de s’assurer que d’un côté comme de l’autre, il n’y a pas eu de chiots malades, en remontant bien au-delà des parents et grands parents. La consanguinité est également un facteur très important, souvent négligée par les naisseurs. Certains avancent, pour justifier un mariage trop consanguin, que le but est de fixer certains caractères génétiques de la lignée (couleur, taille, etc…) … oubliant soigneusement que les tares sont du coup fixées à leur tour ! Car dans ce type de mariages, il n’y a pas que les gènes positifs qui sont fixés (Cf : http://www.fci.be/uploaded_files/29-2010-annex-fr.pdf ) - Tests de santé : bien souvent négligés par les particuliers, certains sont pourtant d’une importance capitale. Par exemple, sur les chiens de grande race, les radiographies des hanches devraient être effectuées automatiquement pour toute reproduction pour écarter d’importants risques de dysplasie. D’autres tests, en fonction des races, devraient aussi être imposés : examen des tares oculaires, coudes, gènes du poil long, carte ADN, etc … Personne ne devrait acheter de chiot sans avoir vu au préalable les tests de santé des deux parents reproducteurs. 2) La socialisation des chiots La socialisation du chiot est d’une importance capitale : de la réussite ou de l’échec de cette étape dépendra l’adaptation du chiot dans sa vie future. Cela commence dès l’instant où les chiots sont dans le ventre de leur mère. De très nombreux exercices peuvent être réalisés pendant la gestation de la chienne afin de commencer à sensibiliser les chiots au monde extérieur. Une fois mis au monde, une très grosse responsabilité incombe au naisseur : beaucoup s’en remettent à la mère, pensant qu’il faut « laisser la nature suivre son cours ». Pour autant, si l’on souhaite que les chiots évoluent favorablement dans notre société humaine, il faut les y préparer. La mère transmet les codes canins mais n’est pas apte à socialiser ses petits à nos codes à nous. Contrairement aux idées reçues, il ne faut pas attendre les 8 semaines d’un chiot avant de le sortir. Il est très important qu’il soit soumis à de multiples stimuli (dont l’intensité et la durée sera à adapter en fonction de son âge) afin de le préparer à sa vie dans son futur foyer : ainsi, si le chiot est destiné à vivre en plein centre ville avec un chat et des enfants, il faudra qu’il découvre tout cela avant son arrivée dans son nouveau foyer. Il est donc essentiel que le naisseur ait : - Des connaissances concrètes et pointues: sur le développement physique et psychique du chien, savoir à quel moment il est possible de le soumettre à tel ou tel stimulus, lui présenter des êtres vivants (humains et animaux divers et variés), de nombreux objets de toute sorte, différents environnements, tout en respectant des règles strictes d’hygiène. - De l’espace : selon les races, certaines portées peuvent atteindre 10 à 12 chiots, qui prennent de plus en plus de place au fur et à mesure qu’ils grandissent. - Du temps : on ne socialise pas un chiot uniquement les week end et une ou deux heures par jour en semaine, c’est un travail quotidien et de longue haleine si l’on souhaite faire les choses correctement - De l’argent : vermifuges, antiparasitaires, soins vétérinaires, identification par puce … une portée coûte souvent bien plus cher qu’elle ne rapporte. 3) Le choix des futurs propriétaires et le suivi du chiot Savoir choisir correctement les propriétaires qui conviendront aux chiots peut s’avérer être un vrai parcours du combattant. Leur mode de vie convient il au chiot, à sa race ? L’environnement de vie dans lequel il va évoluer sera il adapté ? Sauront ils faire face aux soucis divers que l’on peut rencontrer lorsque l’on prend un chien (problème de santé, de comportement, etc …) ? Sont-ils prêts à s’investir sur 10 ou 15 ans ? Difficile d’être sûr … mais c’est du choix du naisseur que dépendra l’avenir des chiots. Et si l’un de ces propriétaires venait vouloir abandonner le chien, quelle sera la réaction du naisseur : cherchera t’il à le récupérer pour le replacer, quelque soit l’âge ou le souci de l’animal ? Ou laissera-t-il ses clients le vendre sur internet au premier venu ? Vous l’aurez compris, faire reproduire son chien n’est pas à la portée de n’importe qui. Alors posez-vous les bonnes questions : pourquoi tenez-vous absolument à ce que votre chien se reproduise ? Avez vous les compétences requises pour faire en sorte que tout se passe le mieux possible, tant pour votre chien que pour les futurs chiots ? Aimer, c’est savoir faire passer le bien des autres avant ses propres envies. Céline Morin Cynologiste La Voix du Chien LVC et Secrétaire Association Info Santé Inu
  11. Nous avons crée un site avec des collègues sur les débuts avec un chiot, je t'invite à le lire, notamment la partie propreté : http://tyal.jimdo.com/2014/02/06/la-propret%C3%A9/
  12. Non cela vient de nous, depuis le début il est en libre service. Cela n'est pas bon pour lui? Il se régule tout seul et mange quand il en a envie Ce n'est ni bon , ni mauvais, mais si vous avez besoin de travailler quelque chose et que les friandises sont interdites, soit il faut utiliser une récompense ludique (jouet, bâton, feuille, etc ... tout ce qui lui plait), soit il faut utiliser les croquettes et dans ce cas, rationner sa gamelle en ne lui en donnant qu'une seule afin que cela puisse avoir de l'intérêt pour lui lors des exercices
  13. C'est le vétérinaire qui t'a conseillé le libre service ?
  14. La récompense dépend du chien : elle peut tout a fait être ludique . Au pire, tu peux prendre ses croquettes en guise de récompense
  15. Une petite image également pour vous aider :
  16. Rien de plus important pour créer une relation avec son chien et l'épanouir
  17. Elle cherche simplement à attirer votre attention, ni plus ni moins
  18. Normal du coup quelle ne s'en approche pas, si elle n'a eu que des expériences négatives avec ces objets.
  19. Tout dépend de l'environnement dans lequel ils évoluent et des expériences qu'ils font ; généralement , entre 5 et 8 mois, ils ont un regain de confiance en eux, parfois considéré comme une pré-adolescence pour les chiens les plus téméraires ; puis de 10 a 12 mois, la période de peur réapparaît, et c'est cette période également qu'il faut savoir gérer pour que le chien puisse évoluer correctement.
  20. La mienne n'a jamais mordu les chaussures ni les manteaux sauf quand tu joue avec elle avec ceux que tu portes... Les balais ne les fait pas tomber non plus sauf quand tu t'en sers.... Et mon chat ne joue plus avec ses jouets donc je les ai donner à mon frère qui a également un chat... Par contre elle met ses peluche et sa couette en morceaux ce qui est normal Mettre les peluches et la couette en morceaux, ce n'est pas plus normal ou anormal pour un chiot que de prendre les jouets du chat, faire tomber les balais ou mordre les chaussures Ils ont l'opportunité et le temps de faire telle ou telle bêtise donc ils en profitent, il n'est pas question de normalité ou non, chaque chiot est différent .
  21. Normal qu'elle n'ait pas eu peur à l'élevage : la peur apparait chez le chien à sa 8° semaine de vie. En revanche, peur au point de s'uriner dessus, c'est moins courant tout de même. Sauf quand on a un chien très sensible dont le seuil de réactivité est très bas. Il faut que tu la socialises, mais de façon contrôlée : ne la jette pas dans la cage aux ours, ne la soumet pas à de trop gros stimuli d'un coup, sinon ça aura l'effet inverse. Vas y progressivement et récompense à chaque fois. Pour les humains, c'est à toi de les gérer : demande leur de se baisser (pour paraître moins menaçants aux yeux de ta puce), se mettre un peu de côté et tendre la paume de la main. Donne leur une friandise aussi. Mais attention : si elle montre clairement qu'elle ne souhaite pas de contact, il ne faut pas la forcer. Ce sera ta mission la plus compliquée, car quand ils ont cet page là, tout le monde veut caresser la peluche et personne n'a peur, tout le monde se fiche des conséquences qu'un contact forcé peut avoir sur l'avenir d'un chiot. Donc c'est à toi de te montrer ferme vis à vis de ces personnes. Autre chose importante quand elle bloque : détend la laisse à fond et laisse la aller à son rythme, observer, sentir. Ne pas la brusquer. Il faut également la désensibiliser à ce qui lui fait peur. Par exemple, si tu as des enfants dans ta famille, utilise les pour habituer ta puce progressivement aux enfants. Sinon, si tu n'en as pas, utilise ceux en bas de ton immeuble : par exemple, quand tu sors, va doucement dans leur direction avec ta puce, et avant qu'elle bloque, récompense et félicite la puis repars en sens opposé des enfants ; le jour suivant, idem, en te rapprochant un peu plus d'eux, puis tu repars ; et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'elle réduise sa zone de confort et comprenne que les enfants ne sont pas un danger (ceci dit si elle n'en a jamais vu avant, c'est normal, les enfants sont assez turbulents et donc impressionnants pour des chiots) Ça peut prendre quelques semaines, mais si tout est fait à son rythme, ça passera très vite
  22. Georgette est ce que tu peux me l'envoyer par mail stp lavoixduchien@gmail.com
  23. Aaaaah mais zut je vois pas l'image !!!! Ca me saoule ces changements !!!
  24. J'ai aussi perdu Kinou. Et je ne l'ai pas sur mon ordi. Donc si jamais quelqu'un l'a et peut m'envoyer l'image en MP ou sur le fofo, je suis preneuse pour essayer de la remettre en haut :)
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