Chibichan

Alimentation de l'activité du forum.

[quote="john smith"] Woof?! J'oserais pas, moi...

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Chuis pas sûr d'avoir tout compris dans ton message, mais ce que je pense, c'est qu'aujourd'hui les attentes vis-à-vis d'un animal domestique tel qu'un chien ne sont plus les mêmes qu'autrefois? On le veut près de soi (c'est mon cas). On le considère comme un membre de la famille (c'est mon cas). Par comparaison avec ce que j'ai connu dans ma campagne étant enfant, c'est très différent. Par voie de conséquence, les attentes, espoirs et exigences ne sont plus les mêmes. (Bwouf! Je vais relancer une nouvelle polémique, j'en ai peur. )

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Il n'y a aucune notion de morale dans mon raisonnement sur l'éducation des chiens. Il s'agit simplement de mettre les bornes où il convient pour le bien-être des uns et des autres. Je ne compare pas l'éducation des chiens et celle des enfants. Je les mets en parallèle.

A défaut d'une grosse pierre, j'en apporte une petite à l'édifice, à la mesure de la seule petite expérience que je peux revendiquer. Ce débat sur la méthode d”éducation canine “classique” (dominant/dominé) ou “moderne” (plus douce) ne peut-il pas se résoudre simplement de la manière suivante. Lorsqu'un couple a des enfants (et là, j'ai de l'expérience , il ne raisonne pas avec une logique de “dominant” (les parents), “dominés” (les enfants). Il raisonne en se disant qu'il va devoir tracer et borner un chemin à ses enfants dans la société afin qu'ils puissent s'y insérer et s'y bien trouver, et qu'ils ne laissent pas derrière eux une longue traînée de verre brisé au fur et à mesure qu'ils progressent dans leur vie et leur carrière! Bref, qu'on le veuille ou non, qu'on aime ce raisonnement ou non, on essaye de rendre ses enfants heureux en leur mettant des limites à ne pas dépasser, sachant que le respect de ses limites - sociales, légales, religieuses ou simplement “de bon sens” - vont leur permettre de se déplacer en société avec le plus d'aisance possible, en incommodant le moins de monde possible, et avec comme résultante celle d'être heureux et bien dans leur peau pour avoir trouvé leur place. Eh bien, peut-être me trompé-je, mais c'est de cette manière que j'essaie d'éduquer Hatchan. Il n'y a donc ni méthode classique, ni méthode moderne dans ma démarche. Le seul objectif est qu'il soit heureux avec nous et nous avec lui.

Adobe Photoshop est payant. Je ne sais pas si tu as trouvé une solution dans l'intervalle, mais en fait de logiciel gratuit, je recommanderai "The Gimp". Téléchargeable ici: http://www.01net.com/telecharger/windows/Multimedia/creation_graphique/fiches/5245.html Et voici le manuel: http://docs.gimp.org/fr/

Bienvenue! Je suis curieux de savoir comment les chats et les chinchillas cohabitent?

Il est effectivement très beau, et a gardé son petit air mignon même à l'âge adulte. Celui que j'ai vu hier avait l'air très hautain et renfrogné . Une question: le gardes-tu toujours en laisse, même en rase campagne? J'ai envie d'essayer de laisser gambader Hatchan avec une longe de 15m qui traîne deriière lui et me permettrait de le rattraper facilement si problème il y avait. Pas en ville, cela dit! Juste à la campagne.

C'est effectivement pareil, sinon qu'il va deux fois plus vite... mais je pense que ça doit être la même chose avec Inukai qui, juste sur cette vidéo, n'atteint pas la vitesse maximum.

J'étais trop stressé cette fois pour prendre des photos! ce sera pour la prochaine fois! Par contre il y en a un autre qui ne l'étais pas, ... stressé !

Pour l'instant avec Hatchan, la réponse est oui sans équivoque. Lorsque nous sommes dans la maison, il adore que je lui lance une balle qu'il va me rapporter. Enfin, il la garde dans la gueule et le jeu consiste à la lui enlever pour la relancer, mais il la rapporte bien. Lorsque nous sommes dans le jardin, même jeu mais la différence est qu'il fonce vers moi et m'évite comme pour m'inviter à le poursuivre, ce que je fais. On peut jouer ainsi pendant de longues minutes. Lorsqu'il se rend compte que je ne peux pas l'attraper, on dirait qu'il ralentit pour que je l'atteigne. Je lui prends la balle dans la gueule, la relance et boum, c'est reparti. Le mieux, c'est la pomme de pin. Hatchan a d'ailleurs fait un post qui évoque le sujet. (Y m'pique mon ordinateur quand j'ai le dos tourné ). Lorsqu'il a trouvé une pomme de pin, il court comme s'il avait un réacteur aux fesses. Comme défouloir, c'est vraiment top. Mais pour calmer un moment d'excitation: rien de mieux que la corde qu'on fait tourner au sol. Il court avec une frimousse de petit prédateur après l'extrémité à une vitesse incroyable. Ca aussi, c'est un excellent défouloir. Ce comportement est-il celui des Akita à cinq mois? Comment tout cela évolue-t-il lorsque l'Akita devient adulte?

Eh bien voilà. Hatchan est allé à l'école du chiot pour la première fois aujourd'hui. Il a tout juste cinq mois, mais c'est une coincidence. Ce n'était pas un cadeau d'anniversaire! En fait d'école du chiot, il s'est retrouvé avec une trentaine de chiens et chiots mélangés. Tout d'abord, on les laisse gambader pendant une bonne demi-heure. C'était la première fois qu'il voyait autant de chiens. Il a bien bousculé, a fait son petit dominant , s'est bien fait bousculer, a bien grogné et montré des dents lorsque cela s'avérait nécessaire. J'étais là sur le bord du terrain à regarder en serrant les fesses, égal à moi-même donc inquiet bien sûr, mais ça c'est bien passé. Je pense que l'expérience a été très bénéfique (quoique fatigante). Ensuite, boum. Entrée en matière avec l'apprentissage de la marche en laisse et du commandement "au pied". Petit problème linguistique rapidement maîtrisé puisque nous ne lui parlons ordinairement qu'en japonais ("tsuke!"), mais il se met rapidement aux langues étrangères, heureusement. Il s'est littéralement vite mis au pas . Je pense que la ronde de tous les chiens marchant à la queuleuleu l'un derrière l'autre y était pour quelque-chose, ainsi que le fait que celui qui le menait au début était un étranger pour lui. Un éducateur. Puis, apprentissage de la rencontre d'un autre chien: "assis!" sans bouger pendant que les deux maîtres font la causette et que l'autre toutou est assis immobile en face de lui. Enfin, apprentissage du "couché". Etant donné qu'il était assez fatigué, ça ressemblait plus à un "bon, je ne bouge plus et je me repose" qu'à un "couché", mais enfin, il était couché, c'était l'essentiel. Incidemment, il y avait un Akita adulte dans le groupe, fier et dominant, qui restait un peu hors de la mêlée l'air de dire: "je laisse les gamins s'amuser". Il était extrêmement calme et très obéissant. J'ai remarqué avec intérêt que Hatchan qui a bousculé ou essayé de bousculer pratiquement tous les chiens ne s'est approché de lui qu'une fois. Il a été accueilli par un grondement sourd et... il n'y est plus jamais retourné. Impressionnant!

Il y a quelque-chose de coquet et de délicat chez chez cette belle dame.

Pas de problème en ce qui me concerne

Tu décris exactement ce qui se passe chez nous: câlin après la sieste mais plus de distance pendant la séance du télévision du soir!

Je ne peux pas vraiment comparer mon expérience à la tienne, la mienne n'ayant que trois mois! Mais je suis d'accord sur ce que tu dis, et je semble vivre cela aujourd'hui "en concentré" sur une courte période. Pendant les premières semaines avec Hatchan, j'étais hyper-stressé, la vis serrée au maximum, plongé dans des lectures et parcourant toutes sortes de sites divers pour trouver les bonnes recettes me permettant de ne pas faire d'erreurs. Seulement trois mois se sont écoulés depuis l'arrivée de Hatchan et je suis beaucoup plus cool. Je tends à lui faire un peu plus confiance et à ne plus être aussi dirigiste. Je dois faire des erreurs, mais je pense que l'affection en rachète quelques-unes. Je me dis aussi (mais peut-être suis-je trop idéaliste - si c'est le cas, tant pis pour moi!), je me dis aussi que la question d'avoir un chien qui prend l'ascendant sur son maître perd de son importance quand le chien sent l'affection dont il est entouré, et qu'il veut la rendre, bref, qu'il veut faire plaisir à son maître. L'important est peut-être de savoir garder la bonne distance, et que chacun comprenne où est sa place, au sens propre comme au sens figuré. Ca, c'est moins simple!

La ligne entre "garder une distance indispensable" et "manifester de l'affection" est tantôt très fine, tantôt très floue, et il faut une grande objectivité pour ne pas la perdre de vue!

Oops. Erreur. Adachiya est à Tokyo. Pas ce magasin!

Est-ce que ce n'est pas ce site que vous cherchez? http://www.adachi-pet.com/

La tête posée sur la pantoufle, ou sur la cuisse... C'est là où on se sent fondre! C'est là où je me dis: heureusement qu'ils ne savent pas parler. S'ils nous demandaient quelque-chose à ce moment, on ne pourrait pas leur refuser...

Je vais vous raconter mes 3 premiers mois dans ma nouvelle maison avec mon maître Chibichan (= “le P'tit”. Il croit que je ne sais pas comment il se prénomme sur le forum! Pfff! ). Mon maître est un inquiet de nature, toujours à se demander si je mange assez, pourquoi je me gratouille, pourquoi je fais cette tête-là... Mais je sens qu'il m'aime beaucoup. L'autre jour, je l'ai entendu dire à quelqu'un qui lui faisait remarquer des traces rouges sur sa main: “Bof, c'est quand je joue à la balle avec Hatchan. Il a les dents pointues comme des clous. Ce n'est pas grave. J'accepte ces petits accidents. Hatchan accepte bien mes erreurs de compréhension.” Il est mignon, mon maître, non? Il me sort trois fois par jour. J'ai un énorme besoin de gambader. D'abord, on va se promener le long de la Marne. Il me tient en laisse et n'aime pas quand je m'arrête brusquement. Il a essayé des trucs du genre “tirer à gauche quand je veux aller à droite” pour me faire redémarer. Bon, pour lui faire plaisir, je vais dans son sens quelquefois. D'autres fois je m'arrête un peu pour le faire enrager, ou parce que j'ai entendu un bruit, ou vu un oiseau s'envoler. Récemment, mon maître a fini par comprendre que lorsque je m'arrête, il y a souvent une raison. Alors, il m'explique des tas de choses que je ne comprends pas, mais comme je comprends qu'il veut m'aider, je repars. Sauf quand je veux un peu le faire enrager. Mince alors. J'ai mon petit caractère. Après, il me lâche dans le jardin. On joue à la balle qu'il me lance et que je vais chercher pour lui rapporter. Mais le jeu le plus super, c'est la pomme de pin. Lorsque j'en trouve une, je file comme une fusée pour qu'il ne puisse pas m'attraper. Je passe en trombe à ras de ses jambes Il m'effleure le dos de la main car il sait que ça m'excite encore plus et que j'accélère ! Comme mon maître n'arrive jamais à m'attraper, je le laisse m'approcher innocemment. Il est tout content d'avoir récupéré la pomme de pin et me la relance. Il faut me voir courir. Les pommes de pin, c'est extra pour s'amuser! Pour ce qui est du pipi et du cacounet, j'ai fini par comprendre que mon maître n'aimait pas trop que je fasse dans la maison, même sur le tapis pipi. D'ailleurs, il a fini par l'enlever il y a 10 jours. Alors, pour lui faire comprendre que je dois sortir, je tourne en rond devant la porte et on va faire un petit tour dans le jardin. Le plus important: les croquettes. Il vient de changer mes croquettes pour de nouvelles sans céréales. Il paraît qu'elles viennent du Canada et qu'il y a de la viande de bison dedans. Miam! Avec les croquettes d'avant, je faisais 4 à 6 cacounets par jour. Mon maître était super inquiet! Avec les nouvelles, je ne fais plus que 2 fois. Mais comme j'aime bien qu'il me rajoute quelque-chose avec, je “lui fais les yeux” et il me donne un peu de gruyère râpé ou des morceaux de pomme. Ah oui: “Je lui fais les yeux”. Alors ça, c'est super. C'est quand je m'asseois devant lui et que je le regarde immobile droit dans les yeux pour lui dire que je l'adore. Il faut le voir pour le croire. Il devient tout doux, tout mignon. Il fond littéralement et je peux lui faire faire ce que je veux! Les ordres? Bon. Chaque fois qu'il me veut me mettre mon collier ou me donner mes croquettes, il me dit: “Assis” avant, l'air péremptoire. Il a lu quelque part qu'il ne faut pas que les chiens soient excités quand ils vont commencer à manger ou qu'ils vont partir en promenade. Alors je fais non de la tête deux ou trois fois pour la forme, puis je m'assois. Mais c'est bien pour lui faire plaisir parce que je ne suis pas excité du tout ! En plus, parfois, je tends la patte vers lui pour lui dire: “Bon ça va cette fois, non?” Mais il insiste: “Assis!” Alors je m'asseois. Ah, les humains! “Viens”, ça j'aime pas trop. Ca dépend si je suis occupé ou non. “Couché”, non, ça je ne fais pas encore. Demain, mon maître m'emmène à une école du chiot, qu'il m'a dit! Il essaie de me culpabiliser en me disant: “Tu vas voir, l'éducateur est bien plus sévère que moi!” Ca me fait rigoler mais je garde un air sérieux en l'écoutant. La nuit, je n'embête personne. Je dors. Je ne pleure jamais. Pour ça, mon maître est super content. Voilà. En un mot, je suis heureux d'avoir trouvé ce maître. Au fur et à mesure que le temps passe, il se dé-stresse un peu à mon sujet et on s'amuse bien ensemble.

Ouh la la. Pas simple. "Fusayoshi" pourrait à la rigueur être un prénom sans signification particulière: 房吉 bien que je ne sois pas sûr qu'un tel prénom existe. En ce qui concerne "go", là, je reste sec. Ca pourrait être "gô" 郷　qui voudrait dire "campagne, pays d'origine". Le nom serait alors: "le pays de Fusayoshi", mais c'est un peu tiré par les cheveux! Par contre, "Fusa" comme diminutif, ça marche, mais c'est un prénom féminin! Le mieux, c'est probablement de considérer uniquement le nom phonétiquement? Fujisan 富士山 , c'est plus simple: c'est simplement le Mont Fuji (dit "Fujiyama" chez nous).