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romain04

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  1. Loriquet à tête bleue Trichoglossus haematodus - Rainbow Lorikeet Loriquet à tête bleue Trichoglossus haematodus Biométrie : Taille : 26 à 30 cm Envergure : Poids : 100 à 157 gr Longévité : 20 ans Identification : Les loriquets à tête bleue sont des oiseaux très colorés. On trouve presque toutes les couleurs de l'arc-en-ciel dans leur plumage. Les nombreuses sous-espèces varient considérablement entre elles. La race la plus remarquable, T.H. moluccanus, se distingue par sa tête et son abdomen bleu-violet ou bleu sombre. Ses parties supérieures, ses ailes et sa queue sont vert éclatant. La poitrine est jaune-orange, plus ou moins striée de bleu. Le bas-ventre et les sous-caudales sont jaune verdâtre. Le dessous des ailes est orangé avec une large bande médiane jaune et un bord de traîne sombre. Le bec est orange, les pattes sont grises. Les iris affichent une coloration rougeâtre. Les sexes sont identiques. Les juvéniles sont plus ternes que les adultes. Chez la plupart des autres sous-espèces, le jaune-orange de la poitrine et du dessous des ailes est remplacé par différentes teintes de rouge qui peuvent aller jusqu'à l'écarlate. La tête et la calotte sont plus ou moins sombres, pouvant aller jusqu'au noir brunâtre avec une nuance bleue. La majorité des oiseaux, quelque soit leur race, ont une tache jaune vif à jaune verdâtre plus ou moins développée sur la nuque ou l'arrière du cou. Chant : Le loriquet à tête bleue est le plus vocal de tous les perroquets . Il lance des cris aigus, roulés et puissants, répétés à intervalles réguliers lorsqu'il est en vol. Quand il se nourrit, il produit de fréquents bavardages. Au repos, il émet des gazouillements doux. Habitat : Les loriquets à tête bleue sont des perroquets des plaines et des moyennes montagnes. Ils fréquentent une grande variété d'habitats boisés tels que les mangroves, les landes et les bruyères proches du littoral, les savanes arborées, les galeries d'arbres, les boisements en cours de régénération et les forêts pluviales. Dans tous les cas, ils ont absolument besoin d'endroits où les fleurs sont abondantes. Distribution : Les loriquets à tête bleue sont endémiques de l'Océanie, à la limite du continent asiatique. On les trouve en Australie, dans l'est de la l'Indonésie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en Nouvelle-Calédonie, aux îles Salomons et à Vanuatu. Pas moins de 21 sous-espèces sont officiellement reconnues. Comportements : Les loriquets à tête bleue sont des oiseaux sédentaires, ce qui ne les empêche pas d'effectuer de courts déplacements à la recherche d'arbres en floraison. En raison de ces mouvements, les populations donnent l'impression de fluctuer localement. Très grégaires, ils vivent en couples ou en bandes dont les effectifs peuvent varier de quelques oiseaux à plusieurs centaines, selon la disponibilité des ressources alimentaires. Ces oiseaux sont très actifs et bruyants. Les loriquets à tête bleue sont monogames. Les deux membres du couple ne se séparent jamais et, même au sein de groupes nombreux, ils sont facilement discernables. Pendant les parades nuptiales, les deux partenaires se tiennent côte à côte, se balançant, le cou penché vers l'avant et la pupille de l'œil dilatée. Ils agitent irrégulièrement les ailes pour dévoiler la bande claire qui traverse leurs sous-alaires. Nidification : La saison de nidification se déroule à des moments différents selon les parties de l'aire de distribution. La race moluccanus qui vit dans l'est de l'Australie dépose ses oeufs de juin à janvier, avec une pointe au printemps, entre septembre et décembre. Les deux parents installent leur nid dans une cavité d'arbre, habituellement un eucalyptus. Plusieurs nids, deux ou trois, peuvent résider dans le même arbre mais l'entrée du nid est âprement défendue contre toute intrusion. La femelle dépose sa couvée qui est composée de 2 oeufs sur une couche de copeaux pourrissant qui garnit le fond du nid. Elle incube seule pendant environ 25 jours. Les jeunes oisillons sont nidicoles et ils ne prennent leur envol qu'au bout de 8 longues semaines. Dès qu'ils sont autonomes, ils rejoignent les dortoirs communs et les bandes, laissant le loisir à leurs parents de mener à terme une ou deux nichées supplémentaires. Régime : Les loriquets à tête bleue ont un bec pointu et une langue particulière munie de papilles qui lui permettent d'extraire le pollen et le nectar des fleurs. Ils consomment également des fruits, des baies, des graines, des bourgeons et des larves d'insectes. Protection / Menaces : C'est un oiseau très commun. Localement, il peut être très abondant. Dans certaines régions, c'est le perroquet le plus courant. C'est une espèce en pleine expansion. Un bémol toutefois, il jouit d'une très mauvaise réputation car c'est une véritable peste qui endommage les vergers. Dans certains lieux d'Australie, il est chassé pour sa chair et ses plumes sont utilisées plus tard dans les cérémonies rituelles. loriquet à tête bleu (caeruleiceps) Loriquet d'Edwards Loriquet à nuque verte Loriquet de massena Loriquet de swainson Loriquet de rosenberg Loriquet à collier rouge Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/loriquet.a.tete.bleue.html
  2. Loriquet de Goldie Psitteuteles goldiei - Goldie's Lorikeet Loriquet de Goldie Psitteuteles goldiei Biométrie : Taille : 18 à 19 cm Envergure : Poids : 45-57 gr Identification : Les loriquets de Goldie ont une calotte rouge. Leur nuque est encerclée par une bande bleue terne qui se prolonge jusqu'au pourtour de l'œil. Leurs oreillons et leurs joues sont rosâtres avec de multiples stries bleu foncé. Les parties supérieures vert sombre sont striées de noir sur la partie basse de la nuque et mouchetées de jaune verdâtre sur les côtés du manteau. Les couvertures alaires sont entièrement vert sombre, de même que le dessus de la queue. Les rémiges affichent une couleur verte avec des filets intérieurs noirs et une fine bordure jaune. Les couvertures sous-alaires sont vert jaunâtre avec des taches vert foncé, une barre jaune recouvrant les filets intérieurs des rémiges. Les parties inférieures sont vert jaunâtre avec de nombreuses stries vert foncé, ces dernières étant plus concentrées sur la poitrine. Les sous-caudales sont vert clair avec des marques longilignes vert foncé. Le dessous de la queue est jaune grisâtre. Le bec est noir, l'iris brun. Les pattes sont gris-noir. Chez les femelles adultes, le rouge du capuchon est plus terne et moins développé. Chez les immatures, le capuchon est rougeâtre avec des marques bleu foncé. Le haut du manteau est strié de jaune. Il n'y a pas de variations géographiques. L'espèce est considérée comme monotypique. Chant : Le cri principal est une simple note sifflante ou sibilante de hauteur égale. On peut également le décrire comme un cri perçant et vibrant, sec, assez aigu et manquant d'harmonie. Habitat : Les loriquets de Goldie fréquentent principalement les forêts primaires de montagne et les parcelles d'eucalyptus entre 1000 et 2200 mètres d'altitude. Distribution : Cet espèce est endémique de Nouvelle-Guinée. Elle vit exclusivement dans la chaîne montagneuse du centre de l'île, approximativement de la baie de Geelvink jusqu'à la chaîne Owen Stanley en passant par la péninsule de Huon. Comportements : Les loriquets de Goldie sont des oiseaux très grégaires. Ils s'associent souvent avec d'autres loriquets du genre Charmosyna : les loris féériques et les loris coquets. La plupart du temps, ils vivent en grands rassemblements de 30 individus ou plus. Nidification : Apparemment, le nid est dissimulé bien à l'intérieur d'un arbre au feuillage épais et sec, la plupart du temps un grand pandanus. La femelle y dépose deux oeufs blancs. En captivité, la durée d'incubation varie de 23 à 24 jours. Les petits sont nidicoles et ne prennent leur envol qu'au bout de 8 au 9 semaines. Régime : Les loriquets de Goldie ont un régime assez similaire à celui des loriquets de petite taille, c'est à dire qu'ils sont presque exclusivement végétariens. Protection / Menaces : Les effectifs mondiaux sont estimés à près de 100 000 individus. L'espèce est considérée comme ne posant pas de problème majeur, d'autant qu'elle vit dans une région très retirée et à l'abri des menaces. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/loriquet.de.goldie.html Photos du web
  3. Loriquet eutèle Trichoglossus euteles - Olive-headed Lorikeet Loriquet eutèle Trichoglossus euteles Biométrie : Taille : 24 à 25 cm Envergure : Poids : 80-85 gr Identification : Chez les adultes, l'ensemble du plumage affiche une dominante verte. La tête est olive-moutarde avec de vagues stries jaune pâle sur toute la surface du capuchon. La nuque et l'arrière du cou sont encerclés par un collier vert clair qui se poursuit jusqu'à la gorge. Les parties inférieures en-dessous de la gorge sont entièrement jaune verdâtre. Le bec est rouge-orange. Les iris sont rouges, les pattes grises. Les juvéniles sont plus ternes que les adultes. Leur tête est légèrement plus verdâtre avec des stries pâles. Le bec est brunâtre. Les iris sont bruns. Chant : Leur vocalisation est composée principalement de longs cris poussifs. On peut également entendre un trille rapide et bourdonnant, une série variable de grincements rauques et prolongés, des gazouillements et des sifflements. Habitat : Les loriquets eutèles fréquentent les forêts primaires subtropicales humides, les forêts secondaires et les savanes boisées. Les loriquets eutèles sont endémiques de l'Indonésie. Leur aire de distribution couvre Timor et la partie orientale des petites îles de la Sonde, de Lomblen en direction de l'est jusqu'à Nila et Babar. Ils peuvent grimper jusqu'à 2400 mètres. Comportements : Les loriquets eutèles vivent en petits groupes. Ils sont surtout repérables lorsqu'ils sont en vol car ils émettent presque continuellement des cris perçants. Par contre, lorsqu'ils se nourrissent ou qu'ils se reposent à la cime des arbres, ils sont très difficilement observables, leur plumage vert se confondant avec la couleur du feuillage. Ce sont des oiseaux territoriaux, capables d'une très grande agressivité si les frontières de leur zone d'influence sont transgressées. Nidification : La saison de nidification se déroulerait peut-être de septembre à octobre, mais cette information demande à être confirmée. En captivité, les loriquets eutèles déposent 3 oeufs blancs que les parents couvent pendant environ 23 jours. Ces derniers ont une dimension de 24 millimètres sur 20. Comme chez la plupart des Loridés, le cycle de nidification est particulièrement long. Régime : Les loriquets eutèles sont surtout des végétariens. Protection / Menaces : Les loriquets eutèles ont une aire de distribution extrêmement restreinte. Leurs effectifs n'ont pu être exactement déterminés. En dépit de cela, l'IUCN et la majorité des autres organismes ornithologiques s'accordent pour le classer comme une espèce qui ne pose pas de problème majeur. Comme la plupart des perroquets au plumage chatoyant, le loriquet est victime du commerce des oiseaux en cage ou en volière. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/loriquet.eutele.html Photos du web
  4. Loriquet vert Trichoglossus chlorolepidotus - Scaly-breasted Lorikeet Loriquet vert Trichoglossus chlorolepidotus Biométrie : Taille : 22 à 24 cm Envergure : Poids : 75-95 gr Longévité : 15 ans Identification : En plumage adulte, les deux sexes sont identiques, c'est à dire qu'ils présentent un ensemble d'apparence verte. Le capuchon et les côtés de la tête sont vert-émeraude avec une légère nuance bleue. Les plumes de l'arrière du cou, de la gorge et de la poitrine sont jaunes, avec de larges extrémités vertes, ce qui donne à ces parties, un aspect fortement écaillé. Le dessus de la queue est vert, mais la base des rectrices externes porte des taches rouge-orange. La partie basse des flancs, les cuisses et les sous-caudales forment un ensemble vert fortement marqué de jaune. Le dessous des ailes est rouge-orange excepté le bord de traîne et les pointes qui sont de couleur sombre. Le bec est rouge-corail, les pattes sont généralement gris-brun. Les juvéniles ressemblent aux adultes mais leur queue est plus courte. Leurs iris sont brun clair ou noirs. Leur bec est brun avec des marques jaunes ou orange avec des taches brunes. Chant : Les loriquets verts ont un répertoire assez varié qui s'adapte à toutes les situations : en vol, ils émettent des cris stridents, métalliques, roulants et continus. Lorsqu'ils se restaurent, ils produisent des bavardages stridents. Au repos, on peut entendre des gazouillis faibles et doux. A l'approche de la saison nuptiale, les loriquets peuvent être bruyants. Habitat : Les loriquets verts fréquentent un grand nombre d'habitats boisés, y compris les parcs et les jardins situés à la périphérie des villes ainsi que les terres cultivées où les arbres en floraison sont présents. On les trouve généralement dans les zones côtières et sur les plateaux avoisinants. Distribution : Les loriquets verts sont endémiques du continent australien. Leur aire de distribution s'étend de Bomaga, à l'extrême pointe nord du Queensland jusqu'au district d'Illawarra, sur la côte sud des Nouvelles-Galles-du-Sud. Comportements : Les loriquets verts ont des habitudes assez similaires à celles des loriquets à tête bleue. Il n'est d'ailleurs pas rare de les trouver ensemble au sein de bandes mixtes où l'une des deux espèces surpasse généralement l'autre en nombre. La plupart du temps, les loriquets verts vivent en couples ou en petites bandes pouvant atteindre 10 individus. Ils sont surtout actifs à l'aube, peu de temps après que les dortoirs communs se soient dispersés. Nidification : La saison de nidification se déroule de mai à février dans le nord de l'aire de distribution où elle semble liée à la chute des précipitations. Dans l'état de Victoria et dans le sud, elle a lieu du mois d'août jusqu'au mois de janvier. Les loriquets verts nichent dans des cavités d'arbres, généralement à une assez grande hauteur au-dessus du sol. Ils recouvrent le fond du nid d'une couche de sciure de bois puis ils y déposent deux ou trois oeufs de couleur blanche et de forme ovale. L'incubation dure environ 25 jours. Les deux parents nourrissent ensemble les oisillons qui quittent le nid dans un délai qui varie de 6 à 8 semaines après l'éclosion. Régime : Les loriquets verts ont un régime assez similaire à celui du loriquet à tête bleue. Les deux espèces se nourrissent principalement de nectar et de pollen provenant en particulier des fleurs du niaouli (Melaleuca quinquenervia). Elles consomment aussi des fleurs, des baies, des fruits, des graines ainsi que des petits insectes et leurs larves. Protection / Menaces : Le loriquet vert n'est pas globalement menacé. Sa répartition est assez inégale . Au centre de son aire (sud-est du Queensland et nord-est des Nouvelles-Galles-du-Sud), il est très répandu et on peut apercevoir de grandes troupes. En bordure de cette zone, il diminue progressivement quand on va vers le nord et vers le sud. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/loriquet.vert.html Photos du web
  5. Lori sombre Pseudeos fuscata - Dusky Lory Lori sombre Pseudeos fuscata Biométrie : Taille : 25 cm Envergure : Poids : 117-192 gr Identification : Ce lori moyen, dont les plumes courtes de la queue sont arrondies, n'est pas toujours très facilement identifiable. Il possède en effet 2 phases différentes, une phase orange et une phase jaune et les oiseaux présentent de nombreuses variations individuelles. Chez les adultes, l'aspect général du plumage est olive-brun foncé. Le capuchon est jaune terne . La partie antérieure du cou est encerclée par un collier jaune ou orange rougeâtre. Souvent, une seconde bande traverse la région pectorale, la transition entre les deux bandes étant effectuée par une série de stries horizontales brunes. La partie basse de la poitrine et l'abdomen sont jaunes ou rouge-orangé selon la phase. Le bas du dos et le croupion affichent une teinte blanc-crème. Le dessous des ailes est brun terne et jaune ou rouge-orangé. Il y a deux barres sous-alaires jaunes ou orange. La queue est jaune-olive terne. Le bec est orange foncé, avec une zone de peau nue orange en dessous de la mandibule inférieure. Les iris sont rouges, les pattes grises. Les juvéniles ont plus de marques jaunes ou orange que les adultes sur leurs parties inférieures. Leur bas du dos et leur croupion sont jaune-crème sans éclat. Leur bec est noir brunâtre avec un peu de jaune terne à la base. L'iris est gris jaunâtre. Le lori sombre peut parfois être confondu avec le lori brun, bien que celui-ci soit plus grand, présente des parties inférieures plus uniformément sombres, un croupion bleu violacé et un bec noir. Chant : Les loris sombres lancent des cris stridents et grinçants qui sont plus puissants et plus aigus que ceux du loriquet à tête bleu (Trichoglossus haematodus). Contrairement à ce dernier, il est relativement plat et ne possède pas de petite inflexion vers le haut. Habitat : Les loris sombres sont assez répandus ou localement communs dans les forêts primaires, c'est à dire celles qui n'ont subi aucune transformation. Distribution : Les loris sombres sont endémiques de Nouvelle-Guinée. Leur aire de répartition couvre l'ensemble de l'île, excepté les montagnes les plus hautes de l'intérieur et les sommets les plus élevés des monts de l'Arfak. Comportements : Les loris sombres sont des oiseaux très bruyants et très grégaires. Ils se regroupent généralement en bandes pouvant compter de 20 à 100 individus, et même parfois plus. Le soir venu, ils forment des grands dortoirs communs pour passer la nuit. Dans certaines régions d'altitude, ce sont des migrateurs saisonniers, mais la plupart du temps, ils sont sédentaires. Nidification : La saison de nidification est très différente selon les régions : elle se déroule de novembre à avril dans les zones montagneuses de l'est, alors qu'elle à lieu en juillet à Irian Jaya, dans la partie indonésienne. Les loris sombres préfèrent nicher dans les grands arbres de la zone montagneuse, choisissant un trou situé à grande hauteur au-dessus du sol probablement pour se protéger contre d'éventuels prédateurs. Si le site s'avère prolifique, il est réutilisé pendant de nombreuses années consécutivement. Les deux partenaires participent aux travaux, élargissant l'entrée ou à la cavité elle-même. Même si le nid a été utilisé au cours des années précédentes, il y a toujours de petites modifications à entreprendre. En captivité, la femelle pond deux œufs qu'elle couve pendant environ 24 jours. Comme chez la plupart des loris de Nouvelle-Guinée, le cycle de reproduction est très long, aux alentours de 70 jours. Régime : Le lori sombre consomme en priorité du nectar et peut-être du pollen qu'il prélève sur des plantes du genre schleffera ou dans les arbres rudraksha (Elaeocarpus sphaericus). Protection / Menaces : L'espèce n'est pas globalement menacée. Commune et très grégaire, elle forme des dortoirs pouvant souvent atteindre plus d'un millier d'individus. Dans certaines régions du sud-est de la Nouvelle-Guinée, sa densité peut dépasser 30 oiseaux au kilomètre carré. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.sombre.html Photos du web
  6. Lori bridé Oreopsittacus arfaki - Plum-faced Lorikeet Lori bridé Oreopsittacus arfaki Biométrie : Taille : 15 à 18 cm Envergure : Poids : 16-26 gr Identification : Ce petit loriquet à dominante verte présente une longue queue graduée composée de fines plumes pointues. C'est le seul perroquet à posséder 14 rectrices. Ce caractère remarquable, associé au long bec pointu et aux motifs particuliers de la face constituent des éléments de reconnaissance absolument indiscutables. Chez le mâle de la race nominale, le front est rouge. Les joues affichent une couleur violet mais elles sont marquées dans leur partie centrale par une double rangée de stries blanches qui vont des lores jusqu'au dessous de l'œil. L'abdomen et la partie inférieure des flancs est rouge-orange. Les sous-alaires et les côtés de la poitrine sont rouges. Une bande jaune pâle parcourt le dessous des ailes. Le dessus de la queue est vert avec des terminaisons rose rougeâtre. Le bec est noir, les iris brun foncé. Les pattes sont gris verdâtre. La femelle adulte a un front vert. Les juvéniles affichent une bande frontale rouge chez les mâles et un front orange plus étroit chez les femelles. Le capuchon est vert, les joues vert plus terne avec de légères infiltrations de mauve et de vagues stries blanches en-dessous de l'œil. Chant : Les loris bridés émettent de petites notes gazouillantes et piaillantes qui résonnent comme le tintement de petites pièces d'argent. On peu également entendre des "ts" faibles qui sont répétés d'une manière abrupte. Tous ces cris ne sont pas audibles à plus de 50 mètres de distance. Habitat : Le lori bridé est avant tout un oiseau des forêts montagneuses de brume dont les branches des arbres sont recouverts de mousse. Son habitat comprend également les forêts perturbées de faux-hêtres et de podocarpes. On le trouve à des altitudes qui varient de 2000 à 3750 mètres, mais il lui arrive occasionnellement de descendre aussi bas que 1000 m. Cette espèce est endémique des régions montagneuses de Nouvelle-Guinée. Comportements : Les loris bridés vivent principalement en couples ou en petites bandes. Ce sont des oiseaux très vocaux qui recherchent leur nourriture de façon acrobatique dans la canopée et à l'étage moyen des arbres. Nidification : Les parades nuptiales interviennent au mois de juin. Les couples appariés déploient alors leurs ailes et dévoilent la bande jaune qui orne le dessous de leurs ailes. Les mâles sautillent de branches en branches, courbent leur tête et entreprennent de nombreuses salutations. Les oiseaux sont en condition de se reproduire entre le mois d'août et le mois d'octobre. D'après des observations réalisées en captivité, la couvée est composée de deux œufs blancs, mais parfois il n'y en a qu'un. La couvaison est assurée par la femelle comme par le mâle. Les oeufs éclosent au bout de 21 à 23 jours. Les jeunes sortent du nid à l'âge de 40-45 jours. Régime : Les loris bridés sont des oiseaux végétariens. Protection / Menaces : Les loris bridés sont généralement communs ou localement très répandus. Les effectifs des différentes populations semblent stables et capables de s'adapter aux habitats légèrement dégradés. texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.bride.html Photos du web
  7. Lori de Musschenbroek Neopsittacus musschenbroekii - Yellow-billed Lorikeet Lori de Musschenbroek Neopsittacus musschenbroekii Biométrie : Taille : 22 à 23 cm Envergure : Poids : 43-55 gr Identification : Les loris de Musschenbroek ont une tête verte largement infiltrée de brun-olive et fortement striée de vert pâle sur les joues et les couvertures auriculaires. Le capuchon affiche de nombreux motifs jaune pâle en forme de stries. Une ligne plus sombre parcourt le dessus du bec jusqu'au lores. Le front est vert uni. Les parties supérieures sont à dominante verte. Le dessus des ailes est également vert avec des filets intérieurs noirâtres sur les couvertures et des extrémités sombres sur les rémiges. Le dessous des ailes est rouge avec une large bande centrale noire sur les rémiges. La gorge est jaune verdâtre virant au rouge sur le reste des parties inférieures de la poitrine jusqu'aux cuisses. Le bas de la poitrine et le ventre sont rouges mais ils sont bordés de vert jaunâtre au niveau des flancs. Le dessus de la queue est vert avec de fines pointes jaunes ainsi que des stries brunes et des bases rouges sur les rectrices extérieures. Le dessous de la queue est jaune-orange, dévoilant des bases rouges sur les plumes extérieures quand elle est déployée. La queue est longue et fortement graduée, avec les bouts des plumes bien plus arrondis et plus larges que chez les loris du genre Charmosyna ou Oreopsittacus. Le bec est jaune pâle, les iris rouge. Les pattes sont grises. Les sexes sont identiques. Les juvéniles ont un plumage plus terne que les adultes, avec des motifs plus discrets sur la tête et des taches rouges sur les parties inférieures qui sont réduites au centre de la poitrine et du ventre. Leur bec est orange brunâtre, leurs iris jaune brunâtre ou orange. Les jeunes oiseaux ont les extrémités des plumes de la queue très pointues alors que les adultes les ont très rondes. Chant : Les loris de Musschenbroek sont des oiseaux très communicatifs. Leur voix est rude, sifflante et possède la même qualité que celle de l'ensemble des loriquets. Quand ils sont perchés, ils émettent un cri perçant et dissyllabique, la première note étant plus aiguë que la seconde. Ils produisent également un trille musical, trisyllabique et descendant que l'on peut retranscrire de la façon suivante : "shreedaloo". Habitat : Les loris de Musschenbroek fréquentent les forêts de montagnes, les lisières des zones boisées, les parcelles partiellement éclaircies et les peuplements en cours de régénération. On les trouve généralement entre 1400 et 2500 mètres mais ils peuvent descendre jusqu'à 1100 m et monter parfois jusqu'à 3000 m d'altitude. Distribution : Les loris de Musschenbroek sont endémiques de Nouvelle-Guinée. On les trouve exclusivement dans les monts de l'Arfak et les régions montagneuses qui recouvrent le centre de l'île. Comportements : Les loris de Musschenbroek sont des oiseaux bruyants et faciles à observer. On peut les rencontrer en couples, en petites bandes et parfois même en plus larges rassemblements pouvant compter jusqu'à une cinquantaine d'individus se nourrissant dans les arbres en fleurs. Nidification : Les loris de Musschenbroek se reproduisent de septembre à janvier, en fonction des circonstances favorables rencontrées. Néanmoins certaines pontes peuvent intervenir au mois de juin, des juvéniles et un mâle en plumage post-reproduction ayant été découverts au mois d'août. La femelle dépose habituellement deux oeufs dans une cavité de grand arbre, à une assez grande hauteur au-dessus du sol. Régime : Les loris de Musschenbroek ont un régime principalement nectarivore. Protection / Menaces : Cette espèce n'est pas globalement menacée. Bien au contraire, elle est relativement commune et sans doute en expansion. En effet, c'est l'un des rares oiseaux de moyenne montagne à avoir profité de l'éclaircissement des forêts par les humains. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.de.musschenbroek.html Photos du web
  8. au CDE c'est plus 240/270 € la femelle et 220/250€ le male
  9. Lori noira Lorius garrulus - Chattering Lory Lori noira Lorius garrulus Biométrie : Taille : 29 à 30 cm Envergure : Poids : 180-250 gr Identification : C'est le seul perroquet du genre Lorius qui possède une tête entièrement rouge. Les adultes présentent un bel ensemble rouge écarlate, hormis les scapulaires qui paraissent plus sombres. Les ailes et les cuisses sont vertes. La courbure de l'aile et les sous-alaires sont jaunes. Le dessous des ailes est traversé par une large bande rose rougeâtre au niveau des primaires. La queue est rouge avec une large bande terminale vert noirâtre. Le bec est orange. L'anneau orbital est gris, l'iris rouge-orange. Les pattes et les pieds sont gris foncé. Chant : En vol, les loris noiras émettent une note nasale, brayante et chevrotante. Toutefois, leur répertoire est assez varié et on peut également entendre de nombreuses sortes de cris puissants et perçants. Habitat : Les loris noiras fréquentent principalement les forêts primaires, les parcelles qui subissent une exploitation raisonnable et les zones boisées de colline situées à grande distance des habitations. Distribution : Les loris noiras occupent une aire de distribution très restreinte. Ces oiseaux sont endémiques du nord des Moluques. Comportements : Les loris noiras vivent normalement en couples, mais on peut aussi les rencontrer, bien que moins couramment, en petites bandes pouvant compter jusqu'à une dizaine d'individus. Ce sont des oiseaux bruyants et assez aisés à repérer en vol. Ils sont également visibles pendant la saison de reproduction lorsque les couples chantent à partir de perchoirs bien exposés situés tout au sommet d'arbres morts. Les loris noiras sont des oiseaux actifs et querelleurs, se penchant souvent tête à l'envers sur une branche avant de se laisser tomber et de rejoindre en voletant une autre ramure. Nidification : La saison de nidification se déroule de juin à novembre. Les couples commencent à prospecter pour trouver un emplacement de nid au début du mois de juin. Ce dernier est généralement situé dans une cavité creusée dans la tumeur d'un tronc d'arbre, à une hauteur qui varie de 20 à 25 mètres au-dessus du sol. Il peut être également placé dans un arbre mort ou dans la branche cassée d'un palmier. En captivité, la ponte contient deux oeufs blancs qui sont couvés pendant environ 26 jours. Comme chez la plupart des loris, la période de nidification est particulièrement longue, pouvant atteindre 76 jours. Régime : Les loris noiras possède un régime principalement nectarivore. Protection / Menaces : La population de loris noiras subit un rapide déclin pour deux raisons principales : la dégradation progressive de son habitat et la capture de nombreux oiseaux pour le commerce des cages et des volières. Chaque année, plus de 9500 oiseaux sont capturés et commercialisés. Les spécialistes ont calculé que les proportions devraient être divisés par 10 pour que la pression devienne supportable. Cependant, cet oiseau possède un plumage très attrayant et est considéré comme un beau parleur, si bien qu'il figure en tête des ventes en Indonésie. Un recensement réalisé en 1990 détermine des effectifs compris entre 56 et 105 000 individus pour la seule réserve de Lalobata, ce qui est un résultat bien plus encourageant que celui qu'on aurait pu craindre. Toutefois le braconnage est si élevé et les effectifs en chute si significative que l'espèce est désormais classée comme vulnérable. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.noira.html Phots du web
  10. Lori des dames Lorius domicella - Purple-naped Lory Lori des dames Lorius domicella Biométrie : Taille : 28 cm Envergure : Poids : 235 gr Identification : Avec le lori à collier jaune, c'est l'une des 2 seules espèces de lorinés à posséder un capuchon noir et une bande pectorale jaune. On peut toutefois le distinguer de ce dernier grâce à sa nuque violette, sa bande sous-alaire jaune et sa queue entièrement rouge. Chez les adultes, le plumage est à dominante rouge écarlate. La zone qui va du front et des lores jusqu'à l'occiput est noire. Elle est bordée dans sa partie inférieure par une tache violette. Une bande jaune d'épaisseur variable traverse le haut de la poitrine. Les cuisses sont bleu-violet, l'ensemble des couvertures alaires vert-émeraude. Le dessous des ailes est parcouru par une bande jaune. La queue est rouge, avec une large bande terminale brun-rouge plus foncé. Le bec est orange. L'anneau oculaire est gris foncé, les iris rouge-orange. Les pattes sont gris sombre. La femelle est identique à son partenaire. Les juvéniles ont une tache nucale plus développée et d'un violet plus foncé. La bande pectorale jaune est moins prononcée mais plus large. Les grandes couvertures du dessous des ailes sont bordées de noir. La queue affiche une légère pointe bleue. Le bec est brunâtre, l'anneau orbital gris blanchâtre. Les iris sont bruns. Chant : Les loris des dames sont réputés pour émettre des notes mélodieuses en vol. Leur répertoire est sans doute plus étoffé, mais il n'a pas été exploré dans sa totalité et beaucoup de lacunes subsistent quant à sa connaissance globale. Habitat : Cette espèce vit principalement dans les forêts primaires et secondaires de colline et de moyenne montagne entre 400 et 1050 mètres d'altitude. Distribution : Les loris des dames ont une aire de distribution très restreinte. Actuellement leur présence n'est avérée que sur Seram dans le nord de l'archipel des Moluques. Comportements : Les loris des dames vivent habituellement en solitaire ou en couple, mais on les trouve aussi parfois, quoique très rarement, en petites bandes. Ce ne sont pas des oiseaux très faciles à observer car ils passent la majorité de leur temps dans le feuillages et les hautes branches des grands arbres où ils se restaurent et se reposent calmement. Ils sont très timides, ne se laissant que peu souvent approcher. Nidification : Le nid est aménagé dans un creux d'arbre. En captivité, les loris des dames pondent généralement deux oeufs blancs qui sont couvés pendant environ 25 jours. Le cycle de reproduction est généralement très long et peut durer jusqu'à 3 mois. Les jeunes sont nidicoles et ne s'envolent que 4 à 6 semaines après l'éclosion. Régime : Apparemment, les loris des dames ont un menu plutôt frugivore. Ils se nourrissent acrobatiquement dans les branches des arbres où ils recueillent les graines pendantes des palmiers du genre Calamus. Protection / Menaces : Les loris des dames sont une espèce très menacée. En 1991, la population mondiale était estimée à moins de 20000 individus. Bien qu'elle ait sans doute légèrement augmenté depuis lors, elle continue à endurer le braconnage et la capture afin d'être commercialisée comme oiseau de cage. Dans son milieu naturel, le lori des dames souffre également de la destruction de son habitat. Pour ces deux raisons, l'espèce est classée comme vulnérable. Jeune avec un jeune swainson Certains eleveurs hollandais ont étendu la marque violette Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.des.dames.html Photos du web
  11. Lori à collier jaune Lorius chlorocercus - Yellow-bibbed Lory Lori à collier jaune Lorius chlorocercus Biométrie : Taille : 28 cm Envergure : Poids : 153-225 gr Longévité : 28 ans Identification : Chez les adultes, la plus grande partie du plumage est rouge. Le front et la région qui part des lores jusqu'à l'occiput forment une superbe calotte noire qui contraste fortement avec le reste de la tête. Une tache bleu noirâtre en forme de croissant orne les deux côtés du cou. Une large bande jaune est placée juste en dessus de la poitrine. Les cuisses sont bleu-violet. L'ensemble des ailes est vert. Le dessous des ailes est parcouru par une bande rose rougeâtre. La queue est rouge avec de larges terminaisons vertes. Les adultes ont un bec rouge-orange, une peau nue orbitale gris foncé. Leurs iris sont rouges, leurs pattes gris sombre. Chez les juvéniles, la tache sombre à la base du cou et la bande jaune pectorale sont indistinctes ou complètement absentes. Les cuisses sont plus ou moins infiltrées de vert. Le bec est brunâtre, la peau orbitale blanche. Les iris sont bruns. Chant : Le lori à collier jaune émet des "chui-lik" ou des "chu-er-wee" perçants et aigus. En vol, il produit des notes encore plus tranchantes et abruptes. Habitat : Le lori à collier jaune est assez commun à localement abondant dans les forêts primaires et secondaires à toutes les altitudes. Le lori à collier jaune est endémique de l'archipel des Salomon. Son aire de distribution s'étend de Savo et de Guadalcanal jusqu'à San Cristobal et Rennell. Comportements : Les loris à collier jaune ne sont pas très grégaires. On peut les rencontrer en solitaire, en couples ou en petites bandes contenant au maximum une dizaine d'individus. D'ordinaire, ce sont des oiseaux assez facilement observables car ils émettent des cris bruyants et ils volent de façon assez démonstrative au-dessus de la cime des arbres. Nidification : En captivité, les loris à collier jaune pondent 2 oeufs de couleur blanche et de forme elliptique. Leur dimension est de 30 mm sur 24. Régime : Les loris à collier jaune sont principalement des végétariens. Protection / Menaces : C'est un oiseau assez courant. C'est le perroquet le plus répandu à Guadalcanal et à San Cristobal et il ne bénéficie, à notre connaissance, d'aucune mesure de protection. Du coup, deux dangers le guettent : c'est un oiseau de volière qui est est très populaire aux îles Salomon. Par ailleurs, il est également chassé pour sa chair. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.a.collier.jaune.html Photos du web
  12. Loriculus galgulus Coryllis à tête bleue Autres noms : Loricule à tête bleue Le Coryllis à tête bleue (Loriculus galgulus), ou Loricule à tête bleue est un psittacidé de l'Asie du sud-est. Il semble être le plus commun du genre. Description Le Loricule à tête bleue est un petit oiseau de 12 cm au plumage vert vif agrémenté par des nuances jaunâtres sur les flancs et le ventre. La couronne bleue ornant le sommet de la tête lui donne son nom spécifique. L'iris est marron, le bec noir et les pattes gris foncé. Le dimorphisme sexuel est net : le mâle présente en effet une marque rouge sur la gorge, absente chez la femelle. Aire de répartition Cet oiseau vit dans la péninsule malaise, à Singapour, dans les îles Anamba, à Bornéo, dans l'archipel Riau, dans les iles Bangka et Belitung, à Sumatra et sur les îles voisines de Nias, Siberut, Sipora et Enggano. Habitat Cet oiseau peuple les forêts secondaires de plaines mais a également été observé dans les cocoteraies et les jardins des villages. Statut Cet oiseau est assez commun et répandu de façon assez homogène sur toute son aire de répartition. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Loriculus_galgulus Photos du web
  13. romain04

    Les calopsitte et les courant d'aire

    pour les volière exterieur, on les protèges des vents dominant. Moi c'est a l'aide de plaque de polycarbonate
  14. Lori à joues bleues Eos cyanogenia - Black-winged Lory Lori à joues bleues Eos cyanogenia Biométrie : Taille : 31 cm Envergure : Poids : 120 gr Identification : Ce lori présente un plumage à dominante rouge. Chez les adultes, la face est recouverte par une tache bleue qui part de l'œil, traverse les couvertures auriculaires et parvient jusqu'aux côtés du cou. Les différentes couvertures alaires, les scapulaires et les tertiaires sont noires. Les primaires et les secondaires ont des liserés noirs. Les cuisses et les flancs sont pointillés de noir. Le dessous des ailes affiche une très large bande rouge. Les rectrices centrales sont noires contrastant avec les rectrices externes rouges bordées de noir. Le bec est rouge-orange. Les iris sont rouges, les pattes grises. Les juvéniles sont plus ternes que les adultes. Ils ont des extrémités bleu-noir sur les plumes de la tête, du cou et des parties inférieures. Leurs couvertures alaires sont noires, avec une légère teinte vert terne. Le bec est brun-orange, les iris bruns. Chant : On connaît vraiment peu de chose sur sa vocalisation. En vol, le lori à joues bleues émet un "schwet....schwet" perçant. Lorsqu'il se nourrit, il produit une série de "schenk" rudes, nasaux et à peine articulés. Habitat : Les loris à joues bleues sont assez communs et répandus dans les zones côtières, dans les plantations de cocotiers, les zones boisées en cours de régénération, les friches broussailleuses où il reste quelques grands arbres et les jardins des villages. Les loris à joues bleues sont endémiques des îles de la baie de Geelvink, dans la partie indonésienne de la Nouvelle-Guinée. Comportements : Les loris à joues bleues vivent en couples ou en petits groupes familiaux, mais on les trouve aussi parfois en bandes pouvant compter une quarantaine d'individus ou plus. Ce sont des oiseaux bruyants et très facilement observables. Localement, ils sont très populaires. Dans l'île de Biak, les indigènes les capturent très souvent pour en faire des oiseaux de compagnie. Nidification : Dans le milieu naturel, les parades et les premières investigations pour l'emplacement du nid commencent en juin et en juillet. En captivité, les loris à joues bleues pondent habituellement 2 oeufs blancs que les deux parents couvent environ pendant 26 jours. Comme chez tous les loris, le cycle de nidification est particulièrement long et dure entre 75 et 89 jours. Régime : Les loris à joues bleues ont un régime qui ne diffère guère de celui des autres perroquets du genre Eos. Protection / Menaces : Compte-tenu de son aire de distribution extrêmement restreinte, le lori à joues bleues est considéré comme une espèce vulnérable. Sur l'ensemble de son territoire, sa répartition est très inégale. Deux dangers importants guettent cette espèce : la dégradation alarmante de son habitat et sa capture comme oiseau de volière. Au cours des années 90, plus de mille oiseaux par an étaient piégés et commercialisés. Depuis décembre 1989, l'importation de loris à joues bleues à l'intérieur de la Communauté Européenne est formellement prohibée. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.a.joues.bleues.html Photos du web
  15. Lori arlequin Eos histrio - Red-and-blue Lory Lori arlequin Eos histrio Biométrie : Taille : 31 cm Envergure : Poids : 150-185 gr Identification : On l'appelle également lori rouge-et-bleu car ce sont les deux couleurs principales qui compose son plumage. Ce dernier est particulièrement remarquable par la disposition de nombreuses bandes bleues qui s'y juxtaposent ou s'y rejoignent. Chez les adultes de la race nominale, une large bande bleu violacé traverse la partie postérieure du capuchon. Une bande bleu-mauve part de la base de l'œil, traverse les couvertures auriculaires, les côtés du cou et vient rejoindre la large tache bleu-violet qui recouvre le manteau et la partie supérieure du dos. Une large bande transversale bleue orne l'ensemble de la poitrine. Les cuisses sont noires. Les sous-caudales sont largement infiltrées de bleu. Les rectrices du dessus de la queue sont violet rougeâtre. L'iris est rouge, les pattes grises. Chez les juvéniles, les plumes de la tête et de la poitrine ont des liserés bleu sombre. Le bleu du capuchon s'étend jusqu'à la nuque et jusqu'en dessous des yeux. La bande pectorale bleue est moins contrastée. Les cuisses sont mauve terne. Les iris sont bruns. Chant : Lorsqu'ils sont en vol, les loris arlequins émettent généralement des cris perçants brefs et rauques sur le ton du bavardage. Quand ils s'alimentent, ils font preuve d'un grand calme et ils sont plutôt silencieux. Habitat : Les loris arlequins fréquente les forêts primaires de plaine et les boisements de colline. Distribution : Les loris arlequins ont une zone de distribution très réduite. On les trouve exclusivement dans l'archipel des Sangihe (îles de Sangihe, Siau et Ruang), dans les îles Talaud et les îles Nanusa, en Indonésie, entre Sulawesi et les Philippines. Comportements : Les loris arlequins sont des oiseaux qui effectuent quotidiennement de courts déplacements. Aux îles Talaud, on peut les apercevoir volant d'îles en îles. A l'origine, ils vivaient en grandes troupes. Ils effectuaient de grandes concentrations qu'on retrouvait à la tombée de la nuit dans de grands dortoirs communs. Nidification : Aux îles Talaud, la saison de nidification se déroule principalement d'avril à mai, mais elle a lieu également en novembre-décembre. Dans l'archipel des Sangihe, cette dernière date doit être retenue comme période principale. Les loris arlequins nichent dans des trous de grands arbres, appartenant le plupart du temps au genre canarium, de la famille des burséracées. On trouve les nids à la fois dans les forêts et dans les zones cultivées. La ponte comprend généralement 2 oeufs qui sont couvés pendant environ 25 ou 26 jours. On ne possède pas d'autres renseignements dans le milieu naturel. Régime : Bien qu'ils consomment également quelques larves d'insectes, les loris arlequins sont majoritairement végétariens. Protection / Menaces : Le lori arlequin est une espèce en danger. Au siècle dernier, ses effectifs étaient plutôt nombreux sur les zones côtières de Talaud, mais déjà plutôt réduits dans les collines de Sangihe. Dans les années 90, les populations ont été estimées à environ 2000 oiseaux sur Talaud et entre 30 et 100 oiseaux sur Sangihe. Cette dernière île a bénéficié de l'arrivée d'oiseaux échappés de Talaud, si bien que la nouvelle population est fortement hybridée. Le lori arlequin n'est pas seulement victime de la dégradation de son habitat. Ses couleurs resplendissantes en faisant une cible de choix, la capture pour le commerce des volières constitue la principale menace qui l'atteint de plein fouet. On estime que plusieurs centaines d'oiseaux sont capturés chaque année et vendus clandestinement aux Philippines. Des mesures urgentes sont à prendre pour sauver cette espèce menacée. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/lori.arlequin.html Photos du web
  16. Cacatoès de Goffin Le Cacatoès de Goffin (Cacatua goffini (Finsch, 1863)) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Psittacidae. C'est une espèce endémique aux forêts de l'îles de la mer de Banda en Indonésie. Ils pèsent, en moyenne, environ 250 grammes pour les femelles et 300 grammes pour les mâles. Ils mesurent environ 31 cm de la tête à la queue. Les Cacatoès de Goffin sont les plus petits de tous les cacatoès. Il s'agit d'un cacatoès blanc avec des plumes de la face roses ou saumon et un bec gris pâle. Les deux sexes sont similaires. Comme tous les membres des Cacatuidae, le cacatoès de Goffin possède une crête, ce qui signifie qu'il a une collection de plumes sur sa tête qu'il peut gonfler ou diminuer. Son corps est principalement recouvert de plumes blanches, avec des plumes de couleur rose saumon entre le bec et les yeux. Les plumes les plus profondes de la crête et du cou sont aussi couleur saumon, mais la coloration est ici masquée par la couleur blanche des plumes les plus superficielles. Les plumes des dessous des ailes et la queue présentent une teinte jaunâtre. Les yeux vont de brun à noir. En raison de la perte de leur habitat en cours sur l'archipel des Tanimbar, de leur quantité limitée et de leur chasse illégale, les cacatoès de Goffin sont considérés comme quasi-menacés sur la Liste rouge de l'UICN des espèces menacées. L'espèce est inscrite à l'Annexe I de la CITES. Dans les années 1970, les bûcherons japonais ravagèrent les îles. Beaucoup d'oiseaux étourdis et désorientés ont été capturés pour le commerce. Bien que de nombreux animaux aient été perdus dans les contraintes d'expédition, on peut avoir une petite lueur d'espoir derrière cette catastrophe écologique, car de nombreux cacatoès de Goffin se sont reproduits en captivité. De sorte qu'il y a maintenant plus de cacatoès de Goffin en captivité que dans la nature. Texte de wikipedia Photos du web
  17. Cacatoès de Ducorps Le Cacatoès de Ducorps (Cacatua ducorpsii) est un oiseau appartenant à la famille des psittacidae et à la sous-famille des cacatuinae (cacatoès). Description Le Cacatoès de Ducorps est le plus blanc de tout le groupe des cacatoès blancs. Il ne présente une coloration jaune que sous les ailes et la queue. Le reste de son plumage est blanc avec des reflets miroitants sans aucune nuance d'une autre couleur. Il arbore une huppe arrondie bien développée. Les yeux sont brun foncé chez le mâle et orange chez la femelle. Ils sont entourés d'un cercle orbital de peau nue bleu ciel. Le bec et les pattes sont gris très clair. Cet oiseau mesure environ 31 cm. Cacatoes de ducorps a gauche , cacatoès a huppe orange a droite Texte issus de wikipedia Photos du web
  18. [b]Cacatoès rosalbin [/b] Eolophus roseicapilla Intro Le cacatoès rosalbin semble être le plus abondant et familier de tous les perroquets australiens. Cette espèce a bénéficié de la colonisation européenne, devenant plus largement répandu et commun, grâce à la déforestation qui a permis les cultures et sa principale source de nourriture. QUELQUES MESURES: L : 35 à 36 cm ; Poids : 300 à 400 gr LONGEVITE : 50 ans DESCRIPTION DE L’OISEAU: Le mâle adulte a les parties supérieures grises sur le dos, les ailes et la queue. Les secondaires, le croupion et les sus-caudales sont gris blanchâtre. Les parties inférieures sont d’un beau rose foncé, mais le bas de l’abdomen et le bas-ventre sont gris blanchâtre. Le dessous des ailes et les sous-caudales sont gris. Les petites couvertures alaires sont rose foncé. Sur la tête, la calotte et le front sont rose foncé. L’arrière du cou est plutôt blanc rosâtre. La face, le menton et la gorge sont rose foncé. Il porte une crête blanche ou rosée, qui couvre la moitié du sommet de la tête. On peut aussi voir un cercle oculaire rose pâle et charnu. Les yeux sont noirs. Le bec est crochu et fort, d’un blanc bleuté clair. Les pattes et les doigts sont gris. La femelle est semblable, mais elle a les yeux brun-roux. Le juvénile ressemble aux adultes, mais le couleur rose est légèrement teintée de gris clair et le cercle oculaire est plus petit. CRIS ET CHANTS : Le cacatoès rosalbin lance fréquemment des cris de contact en vol, de brefs « chet » souvent répétés. Le même cri est lancé et répété plus rapidement quand l’oiseau est en alerte. Quand il est posé, il émet un « tit-ew » ou un « chet-it ». Le cri territorial est un « chet-at » prolongé répété plusieurs fois. Quand le cacatoès s’envole, il lance un « lik-lik ». Quand l’oiseau est menacé ou en défense territoriale, il répète un cri perçant et sonore « scree », avec la crête dressée, la queue et les ailes déployées. HABITAT : Le cacatoès rosalbin aime les habitats boisés, habituellement proches de l’eau. On peut le trouver dans tous les habitats, excepté dans les forêts denses et les déserts de sable sans arbres. Il est relativement abondant dans les zones urbaines, les parcs et les jardins. Il est résident et sédentaire dan son habitat. DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE : Le cacatoès rosalbin vit dans la majeure partie de l’Australie et dans quelques îles au large. On peut le trouver jusqu’à 1600 m d’altitude, mais plus généralement en dessous de 1300 mètres. COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE : Ils forment des vols énormes et très bruyants et ils se nourrissent au sol, de préférence le matin et en fin de journée, et ils passent la majeure partie de leur temps au frais. Ils s’abritent dans les feuillages des grands arbres qu’ils abiment en déchirant les feuilles et en arrachant l’écorce. Ils arrivent à détruire ces arbres en les privant de leurs feuilles. Les parades acrobatiques en vol font partie des rituels nuptiaux. Le couple des cacatoès rosalbins reste uni pour la vie, et commence à se reproduire vers l’âge de quatre ans. REPRODUCTION DE L’ESPECE: Le cacatoès rosalbin nidifie dans un trou d’arbre, ou une cavité dans une falaise. La saison de reproduction varie de février à juillet au nord, et de juillet à décembre au sud. La femelle dépose 2 à 5 œufs blancs. L’incubation dure environ quatre semaines, partagée par les deux parents. Les poussins sont nidicoles et sont nourris au nid par leurs parents pendant 5 à 6 semaines. ALIMENTATION: Le cacatoès rosalbin se nourrit de graines cultivées ou non, de fruits, baies, noisettes ou noix, herbes, racines, jeunes pousses, bourgeons, insectes et larves. PROTECTION / MENACES / STATUTS : Le cacatoès rosalbin est considéré comme un parasite dans la majeure partie de l’Australie. L’agriculture locale subit de grosses pertes, plus spécialement dans la production de grain. Ils abiment aussi les arbres dans lesquels ils ont leurs dortoirs. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Cacato%C3%A8s_rosalbin Photos du web
  19. Cacatoès blanc Cacatua alba [b]Localisation[/b] Il est endémique des iles d'halmahera, bacan, Ternate, Tidore, Kasiruta et Mandiole ou nord de Maluku, indonésie. Age : 80ans [b]Description[/b] Il mesure 48 cm pour un poidt de 400 grammes pour une petite femelle et 800 grammes pour un gros male. Il est tout de blanc vétu avec les yeux marron à noir. Il possède une grosse crête errectible blanche [b]Reporduction[/b] Il fait son nid dans une cavité d'arbre. La femelle pond deux oeufs blanc, qu'ils couvent pendant 28 jours a tour de role. le plus vieux des jeunes domine le plus jeune pour la nourriture. Ils quittent le nid au bout de 84 jours [b]Conservation[/b] Il est considé comme espèce vulnérable par le IUCN. Le nombre d'oiseaux en liberté ne cesse de décroitre a cause de la destruction de son milieu et du braconnage pour les oiseaux de compagnie. Il est en appendice 2 du CITES [b]Elevage[/b] Il est très prisé car il est très affectueux envers son eleveur et pour sa beauté. il est considé comme étant le meilleur oiseaux parleur du monde Il est beaucoup utilisé pour les activités de distraction dans les zoo et cirques car il est naturellement acrobatique et il est facile a manipuler. Car il a une très grande sociabilité et un niveau d'intelligence élevé Texte issus de wikipedia Photos du web
  20. Caïque Maïpourri Genre: Pionites Nom Latin: Pionites melanocephala Informations générales: Petit perroquet sympathique, calme et intelligent pouvant parler. Dimorphisme sexuel:Bec légèrement plus petit chez la femelle. Taille: 23 cm environ. Sous-espèces: Il existe 2 sous-espèces. Description et habitat naturel:Originaire d'Amérique du sud, plus précisément à l'Est du Venezuela, Nord-est du Pérou et également en Amazonie. Ce petit perroquet est quadricolore: front et haut du crâne noirs, zone verte en dessous de l'oeil vers le bec, zone fine de blanc puis partie basse de la tête ainsi que la partie arrière du cou entièrement couvertes de jaune orangé. Le ventre avant est blanc, ses ailes sont vertes et cuisses orangées. La queue est verte foncée sauf le dessous des rectrices qui est jaune et le bec est noir. Dans la nature il habite la savane, brousse et les forêts près des rivières, ils se déplacent en groupes. [b]Elevage en captivité et informations diverses: [/b]Cet oiseau est parfois bruyant car son cri est très puissant, cependant s'ils sont apprivoisés lorsqu'ils sont très jeunes ils sont d'adorables compagnons très joueurs et très intelligents. Les Caïques Maïpourri sont de beaux perroquets sympathiques s'attachant beaucoup à leur maître s'ils sont apprivoisés. Ce sont néanmoins des oiseaux assez fragiles en période d'acclimatation il est donc nécessaire pendant cette période de laisser la température à plus de 22°c, sinon en temps normal la température doit être assez élevée donc maintenue à plus de 15°c. Il est donc préférable de ne pas les laisser à l'extérieur en hiver. Attention si vous souhaitez apprivoiser cet oiseau, il est nécessaire de prendre un oiseau jeune sinon il restera distant et sera assez timide. La cage doit absolument être entièrement en fer car c'est un oiseau assez destructeur. Il peut parler dans certains cas mais avec beaucoup de difficultés la plupart du temps. Assez agressif [b]Alimentation et soins à apporter: [/b]Son alimentation se compose de graines de tournesol, de maïs, d'avoine, millet blanc et du blé. Pendant la période de reproduction il est conseillé de lui fournir fruits, graines germées ainsi que des noix et des branchages qui lui seront indispensables. Ils aiment se baigner. [b]Reproduction en captivité: [/b]Même pendant la saison normale n'oubliez pas leur nichoir! La température ne doit pas descendre en dessous de 20°c en période de reproduction sinon les oisillons ne survivront pas. Un nichoir de 35cm par 25cm et 35cm de hauteur et une entrée de 9 cm de diamètre conviendra à ce Caïque. Vous pouvez avoir jusqu'à 4 oeufs par ponte. La durée d'incubation de ces oeufs est de 23 jours environ et les oisillons sortent au bout de 2 mois après éclosion. Ils sont généralement sevrés au bout 20 jours Texte issus de http://www.psittacides.com/psittacides.com_perroquets_lesespeces_caiqueperroquet.htm Photos du web
  21. attention dans certaines photos il y a le caique a ventre blanc cuisses jaunes -> Pionite leucogaster leucogaster dans d'autres il y a le caique a ventre blanc cuisses vertes -> Pionite leucogaster xanthomeria
  22. Caïque à ventre blanc Pionites leucogaster - White-bellied Parrot Caïque à ventre blanc Pionites leucogaster Biométrie : Taille : 22 à 23 cm Envergure : Poids : 155-165 gr Identification : Chez les adultes de la race nominale, le capuchon, la nuque, l'arrière du cou et la partie supérieure des oreillons sont de couleur orange. La gorge et les côtés de la tête sont jaunes. Les parties supérieures, y compris les ailes, revêtent une belle teinte verte. La poitrine et l'abdomen sont blanc-crème. Les flancs et les cuisses affichent une couleur verte tandis que la zone anale et les sous-caudales sont jaune éclatant. Les axillaires sont rouge-orange, tranchant avec le reste du dessous des ailes qui est vert. Le dessus de la queue est vert. Le bec présente une couleur corne. La peau nue qui encercle les yeux est rose. Les iris sont rouge-orange, les pattes roses. Chez les juvéniles, la calotte et la nuque sont brunâtres, parsemées de quelques plumes noires. Le bec est couleur corne avec du gris à la base. L'anneau orbitale est gris, l'iris brun. Les pattes sont grises. Chant : Les caïques à ventre blanc sont très communicatifs. Ils émettent un mélange variable de notes qui comprennent des cris rauques, des sifflement musicaux et flûtés ainsi que des appels perçants. Habitat : Les caïques à ventre blanc vivent principalement dans les forêts pluviales de plaines, qu'elles soient inondables ou pas, encore qu'ils marquent une légère préférence pour les boisements qui sont régulièrement envahis par les eaux. Distribution : Cette espèce est endémique du centre de l'Amérique du Sud. Son aire de distribution couvre la rive sud de l'Amazone au Brésil, mais aussi le nord de la Bolivie et l'extrême sud-est du Pérou. Comportements : Ce sont des oiseaux sédentaires, bruyants et assez faciles à observer. Ils vivent généralement en couples, en petits groupes familiaux ou en petites bandes qu'on peut souvent entendre quand ils se déplacent d'une partie de la forêt à une autre. Ils séjournent habituellement dans le feuillage au sommet des arbres et ils en jaillissent en poussant des cris perçants dès qu'ils sont dérangés. Nidification : Dans la partie orientale de leur aire de distribution, les caïques à ventre blanc nichent au mois de janvier. Ils installent leur nid dans une cavité d'arbre, à environ 30 mètres au-dessus du sol. La femelle y dépose probablement entre 2 et 4 oeufs. Elle couve seule alors que le mâle se charge du ravitaillement. Les petits sont nidicoles et ne quittent pas la cavité avant 12 ou 14 semaines. Grâce à une observation réalisée en captivité, on sait que la durée d'incubation est d'environ 26 jours. Régime : le caïque à ventre blanc est majoritairement végétarien. Il consomme des fruits, des baies et des graines, et vraisemblablement quelques insectes. Protection / Menaces : Bien que son habitat subisse de sérieux dommages, l'espèce n'est pas globalement menacée. Dans l'est du Pérou, elle est même considérée comme assez abondante. Par contre, à Santa Cruz, dans le nord de la Bolivie, la race est peut-être éteinte. La capture et la commercialisation de cet oiseau qui avaient connu un certain succès dans les années 1980-1983 sont désormais pratiquement nulles. Texte issus de http://www.oiseaux.net/oiseaux/caique.a.ventre.blanc.html Photos du web
  23. Crick a ventre bleu Triclaria malachitacea [b][u][size=12][b]Distribution[/b][/size][/u][/b] Il est la seule espèce dans son genre. Il est considéré comme endémique aux forêts humides du sud-est du brazil, mais il a été observé deux fois lors de mission en Argentine. On peut le voir jusqu'a 1000 m. Description Il est relativement grand avec ses 28 cm de longueur. Il est totalement vert avec un gros bec blanc, seul le male possède une tache bleu sur le bas du ventre. voila d'où viens son nom. Moeurs Il vit en couple il est peu bruyant, ce qui fait que l'on ne le repère si difficilement [b][u]Alimentation[/u][/b]* Il mange des graines, fruits, fleurs, nectar et insectes reproduction Il fait son nid dans la cavité du grand palmier. Il se reproduit entre septembre et janvier, pendant la saison d'élevage il est très territorial. [b][u]Conservation[/u][/b] Sa population est estimé a 10 000 individus, dont la grande majorité se trouve dans l'état de Rio de Janeiro and Sao Paulo. il est peut concerné par le commerce du fait de sa couleur monochrome, mais il est en danger du au fait de la déforestation pour la culture de tabac et banane. Il fut importé dans les années 1970-1980 par les pays bas en grande majorité. Texte issus de http://en.wikipedia.org/wiki/Blue-bellied_Parrot Photos du web
  24. romain04

    mutation à deviner

    il y a pas du cinammon dessus :pensif:
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