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CHPOMPISTE

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Tout ce qui a été posté par CHPOMPISTE

  1. CHPOMPISTE

    ampoule

    merci pour l'infot
  2. CHPOMPISTE

    ampoule

    oui tu peus mettre les deux sorte de douille
  3. le tèra est un de passage en attente de ma batteri qui era casi fini ce week je maiterais des photo
  4. oui car j'enlève la branche pour la nourir
  5. carrément elle ce porte a merveille elle mange comme quatre et imite ça maîtresse :31: :31: :31: :31: :31: :31:
  6. ouai mais deja poster une photo alors t'enpis et oui madame et encore très souple :31: :31: :31:
  7. CHPOMPISTE

    [lezard] uromastyx

    nan pas de problème pour les élever pareille que les pogo . moi je le trouve joli
  8. c'est justement ce qui me fait kiffer ces yeux
  9. et voila sont petit bidon bien rebondit
  10. CHPOMPISTE

    [lezard] uromastyx

    Le fouette-queue Uromastyx sp Fiche réalisée par Olivier ANTONINI de l'association Bébésaurus Présentation : Classification : Le genre Uromastyx MERREM, 1820 fait partie de la famille des Agamidae. Selon la nouvelle classification proposée par WILMS et BÖHME en 2001, il comprend 16 espèces et 9 sous-espèces. Le genre Uromastyx MERREM, 1820 fait partie de la famille des Agamidae. Selon la nouvelle classification proposée par WILMS et BÖHME en 2001, il comprend 16 espèces et 9 sous-espèces. Réglementation : Toutes les espèces d’Uromastyx sont classées en annexe II de la Convention de Washington et en annexe B du règlement Européen 338/97 et 939/97. En conséquence, tous les animaux de capture ou de provenance extra–communautaire doivent être vendus avec un numéro de CITES. Par contre, les fouette–queues nés en captivité à l’intérieur de la CEE n’ont pas besoin d’un numéro de CITES mais d’une facture de l’éleveur permettant de prouver leur origine. Pour plus d'informations : La réglementation Il est maintenant soumis à une nouvelle réglementation en France. Désormais il est classé en annexe 2 du décret de 2004, cela signifie que pour acheter un Uromastyx, vous devez être capacitaire pour l'espèce. Voir la réglementation et vos obligations. Données morphologiques : Uromastyx est un lézard dont la taille varie, selon les espèces, de 22 (U. macfadyeni) à 75 cm environ (U. aegyptia). Répartition : On rencontre les représentants du genre Uromastyx dans des régions désertiques ou sub-désertiques, du nord-ouest de l'Inde au sud-ouest de l'Asie, et de la péninsule arabique jusqu'a la région saharienne, ainsi que dans les régions côtières arides de l'Ethiopie et de la Somalie. Longévité : La longévité d’U. acanthinura est supérieure à 20 ans et plus de 30 ans pour U. aegyptia. Conditions d'élevage : Comportements sociaux : Uromastyx est un lézard terrestre, diurne et héliotherme, sédentaire, avec un régime alimentaire typiquement herbivore. Les contraintes du milieu désertique ont amené ce lézard à développer une grande résistance à la chaleur et au jeûne. Le comportement d’Uromastyx en captivité varie d’un individu à l’autre. Mais, en règle générale, le fouette–queue né en captivité est un lézard au tempérament curieux et qui ne fuit pas le contact et la manipulation. En revanche, la contention est mal supportée. Le comportement interspécifique est très intéressant et varié selon les saisons, surtout si on maintien un couple. En effet, la cohabitation entre individus du même sexe semble être assez problématique. Les mâles ainsi que les femelles sont presque toujours agressifs entre eux, vu qu’ils sont très territoriaux. En revanche, un mâle et une femelle adulte peuvent partager le même terrarium. En ce qui concerne les juvéniles, ils doivent être maintenus seuls pour éviter les agressions ou l’état de stress prolongé de l’individu dominé. En fait, la condition d’individu dominé est dangereuse à plus forte raison pour un jeune animal et ne peut être maintenue longtemps. Terrarium : Un terrarium adapté à recevoir un couple d’Uromastyx adultes doit avoir une surface au sol d’au moins un mètre carré. Ces animaux préfèrent avoir une profondeur importante, donc 100 x 100 x 50 cm représente un terrarium type. Un tube néon qui diffuse les UVA et UVB doit être placé à l’intérieur du terrarium. Sur un côté du terrarium, un spot de 60W placé à 20 cm du sol et avec une pierre plate au-dessous crée un point chaud de 45 à 50 °C. La zone la plus fraîche est située à l’autre extrémité où la température sera de 28 °C environ. Les juvéniles sont maintenus seuls dans des terrariums de 60 x 40 x 30 cm équipés d’un néon UV et d’un petit spot de 40W : leur besoin en chaleur est sensiblement le même que celui des adultes. La nuit le chauffage est coupé et la température du terrarium redescend à la température de la pièce (entre 16 et 30 °C, selon les saisons). Des grilles d’aération permettent un changement d’air suffisant pour empêcher la surchauffe du terrarium. Le substrat ne doit pas avoir une granulométrie trop importante : en cas d’ingestion, il doit pouvoir être éliminé par les voies naturelles. Le Litalabo (constitué de minuscules copeaux de bois qui, même s’ils sont ingérés, ne provoquent pas des blessures internes) ou le sable de calcium sont des substrats envisageables. Les nouveau-nés et les juvéniles d’une taille de 11 cm environ sont maintenus sans substrat. De ce fait, il est plus facile de contrôler leurs excréments, source de renseignements sur leur état de santé. Le décor sera constitué en premier lieu d’une écorce (ou d’une tuile), abri indispensable pour le bien-être de ces lézards. Pour qu’ils acceptent cette cachette, placée dans le côté frais du terrarium, il faut qu’elle ne soit pas trop haute, ils ne doivent pas pouvoir s’y tenir debout. Une souche ou une écorce qui permet au fouette–queue de s’approcher du néon constitue l’autre pièce indispensable du décor, étant donné que ce type de néons ne diffuse pas les rayons UVB au–delà de 30 cm. Alimentation : Dans le milieu désertique ces lézards ne s’alimentent pas de manière régulière mais en suivant le cycle des saisons et selon les précipitations, plus au printemps, peu en été, de nouveau en automne, presque pas en hiver. En captivité également, il est préférable de donner un cycle annuel à la prise de nourriture (tableau 1). Le tableau 2 présente une liste d’aliments consommés par Uromastyx en captivité. Les salades et les légumes seront saupoudrés avec du carbonate de calcium trois fois par semaine (tous les jours pour les juvéniles et les femelles en phase de reproduction), tandis qu’une fois par semaine on ajoutera à la nourriture des compléments vitaminiques. Les insectes seront distribués rarement, une fois par mois au maximum, plus souvent aux femelles gravides ou qui viennent de pondre et aux juvéniles. En effet, une nourriture trop riche en insectes risque de provoquer, chez les adultes, des problèmes rénaux (goutte) parfois mortels chez les lézards végétaliens adultes. Les insectes, petits grillons et vers buffalos, peuvent cependant être utilisés temporairement pour démarrer les nouveau-nés. Une coupelle à fond plat d’eau sera mise à la disposition des animaux une ou deux fois par semaine. Néanmoins, les femelles gravides ou qui viennent de pondre, ainsi que les juvéniles, doivent pouvoir boire tous les jours. Il faudra toutefois éviter que le taux d’hygrométrie dans le terrarium dépasse les 40%. Reproduction : Hivernage : Une période de repos hivernal est indispensable pour déclencher le cycle reproducteur chez Uromastyx. Cependant, une phase d’hivernage est toujours bénéfique pour ces animaux, cela permet de se rapprocher au plus près des conditions naturelles, en donnant aux fouette–queues le rythme des saisons. Le Tableau 3 schématise les changements dans la photopériode et dans la température qui simulent les variations saisonnières. On remarque qu’il y a toujours la possibilité pour les animaux de se chauffer sous le spot au minimum pendant deux-trois heures par jour. Un tel procédé –et parce-que la température ne descende jamais au-dessus de 15 °C– permet au lézard de garder la flore intestinale indispensable pour digérer les végétaux. Les juvéniles également bénéficient d’un changement saisonnier par la variation progressive de la photopériode (8 heures en hiver, 14 heures en été) ainsi que par une baisse relative de température notamment la nuit (le néon et le spot restent allumés, pour eux, pendant les 8 heures du jour). Au cours de l’hivernage leur croissance s’arrête tout comme en milieu naturel. Accouplements : En captivité, les femelles Uromastyx peuvent être en état de se reproduire à l’âge de 3–4 ans. Les parades nuptiales commencent, selon les individus, au bout de 15 jours jusqu’à deux mois environ après la fin de l’hivernage, quand la photopériode est entre 10h et 13h. Cependant, la majorité des accouplement a lieu quand la photopériode est de 12h30. L’accouplement peut durer 5-10 minutes, D’une manière générale, les fouette–queues s’accouplent quotidiennement pendant environ 7 à 11 jours. Ponte et incubation : Les Uromastyx pondent une seule fois par an. La ponte a lieu entre 4 et 6 semaines après le dernier accouplement. Une semaine environ avant la ponte, la femelle s’arrête de manger et commence à creuser un peu partout, de manière de plus en plus décidée à mesure que la date de la ponte approche. Une boite de ponte remplie de vermiculite légèrement humide sera alors installée dans le terrarium. Les nombre d’œufs pondus diffère selon l’espèce, l’âge et la taille de l’animal. Pour Uromastyx acanthinura nigriventris il varie entre 9 et 21. Après la ponte, la femelle peut devenir agressive envers le mâle, une situation qui peut durer deux à trois semaines environ. Les œufs fécondés (reconnaissables par une tache rosâtre) sont placés dans une boite remplie à moitié de tourbe sèche et avec un couvercle troué. Cette boite est ensuite placée dans un incubateur où la température est de 31-32 °C et l’humidité de 100%. En bref, il faut les disposer sur un substrat sec dans une atmosphère saturée d’humidité. Ces données sont maintenues constantes pendant la durée de l’incubation, entre 70 et 80 jours environ (pour Uromastyx acanthinura nigriventris). Les naissances sont échelonnées sur 3 à 4 jours. Le taux d’éclosion varie entre 60 et 100% (pour Uromastyx acanthinura nigriventris). Les nouveau-nés sont pleins de vigueur et commencent à manger deux à trois jours après la naissance. En ce qui concerne la croissance d’Uromastyx, elle est extrêmement rapide au cours des premiers mois ; elle se ralentit pendant l’hivernage et ensuite reprend rapidement quand les jours s’allongent et que la température remonte ("croissance par palier"). Cependant, la croissance en captivité paraît être plus rapide qu’en milieu naturel. En conclusion : En conclusion, Uromastyx est un lézard robuste et facile à élever. On peut lui construire un terrarium de taille gérable, lui procurer facilement une nourriture équilibrée et répondre à ses besoins en chaleur par quelque KW d’électricité. La maintenance des différentes espèces d’Uromastyx peut varier quelques peu, mais elle obéit aux mêmes règles de base énoncées dans cette fiche d’élevage. REPTILES-PASSION
  11. c'est rien pas de prob c'est
  12. CHPOMPISTE

    ponte

    http://video.google.fr/videosearch?q=pogona+vitticeps&hl=fr&sitesearch=# http://video.google.fr/videosearch?q=pogona+vitticeps&hl=fr&sitesearch=#
  13. CHPOMPISTE

    Blattes

    nan sant deconer tu leur met un programateur de temps avec 6 heurre de nuit et ça marche très bien
  14. desoler mais un peut trop loin pour moi mais qui sait ?
  15. CHPOMPISTE

    Blattes

    si mais elle font leur affaire sous la boite à oeuf
  16. trop ça doit être surprenant d'avoir des pogo identique . mais le sont ils vraiment ?
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