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Fidjy

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Tout ce qui a été posté par Fidjy

  1. Dans le désert marocain, quelques espèces animales survivent sous un climat particulièrement hostile. Parmi elles, les outardes, des oiseaux certes résistants mais tout de même en voie d'extinction. Financé par l'Arabie Saoudite, Xavier Eishaker tente de les réintroduire dans leur milieu naturel. Un gigantesque projet a été monté à cet effet. Reproduction en captivité, observations sur le terrain, tout est fait pour éviter la disparition de l'outarde. De nombreuses techniques nouvelles de reproduction ont été créées, ce qui permet à Xavier de relâcher une centaine d'outardes par an. C'est en suivant ce passionné que l'on comprend l'importance et l'intérêt d'un tel projet : éviter l'extinction d'une espèce capitale pour l'écosystème du désert marocain. VOICI UN EXTRAIT DE VIDEO VRAIMENT MARRANTE SUR LES PARADES http://www.vodeo.tv/94-24-1598-Opération-outardes.html?visu=1598 APPUYER SUR LECTURE
  2. Il y a plus de 5000 ans, un peuple pêcheur est venu s’installer sur les bords du lac Manchar, dans la vallée de l’Indus. Ils s’appellent les Mohana, les "pêcheurs d’oiseaux". Les Mohana ont une passion pour les oiseaux, pour leur grâce et leur beauté, c’est pour ça qu’ils les collectionnent. Le plus convoité des oiseaux est le pélican, il apporte bonheur et prospérité à la famille qui le possède. C’est aussi le plus difficile à capturer. Chaque famille a son jardin d’oiseaux, un endroit où ils peuvent leur parler et les admirer. c'est l’histoire de deux familles rivales depuis toujours : celles de Ramzan le Rouge et de Mohammad le Jaune. Ramzan vient de capturer un magnifique pélican, ce qui a immédiatement réveillé les vieilles jalousies entre les deux familles. Mohammad s’est juré qu’il aurait lui aussi son pélican. http://www.vodeo.tv/94-24-275-Le-pélican-de-Ramzan-le-Rouge.html CLIQUER SUR LECTURE ET EXTRAIT POUR VOIR L'EXTRAIT DU REPORTAGE: Traité sous la forme d’un conte, ce documentaire propose de superbes images des bords de l’Indus et des oiseaux qui le peuplent, nous entraînant dans un monde où la tradition et le rêve ont encore toute leur place.
  3. Merçi pas mal la photo Nerval va voir les videos chez ton voisin, tu ne regreteras pas...
  4. J'adore ça, voici le couple que je veux! Magnifique! Tu es de paris mike je crois?
  5. Enzo, le male est donc rouge d'après les explications, existe t-il aussi des couleurs mélangés de vert et rouge ou des cas exceptionnels? merçi pour tes photos ainsi les videos de Nerval sont chouettes...
  6. C'est le livre Jonathan le goeland qui m'a fait aimer les oiseaux... l’origine le goéland est un animal sauvage, mais lui aussi doit faire face à des problèmes de surpopulation sur les îlots environnants, alors il s’installe en ville parce que, ma foi, il y a tout ce qu’il faut sur place. Les décharges à ciel ouvert sont de véritables supermarchés pour oiseaux, les goélands se sont passés le mot. Nichant parfois dans des endroits insolites, tel le toit d’une camionnette, ils prennent peu à peu possession de la ville. En 1972 ils sont légalement protégés, les humains doivent les soigner, Monique-Plume-d’Ecume (Dame goéland) appelle cela la sécurité sociale ! Les autorités de Marseille ont testé plusieurs méthodes douces, afin de limiter leur expansion, mais sans réel succès, le goéland est malin, il sait s’adapter. Les Marseillais semblent avoir un regard bienveillant sur ces animaux, même s’ils occasionnent quelques nuisances. Et comme le dit un pêcheur du vieux port, les goélands sont bien utiles pour signaler les bancs de poissons aux marins, parce qu’"ils y voient bien mieux que nous". La caméra s’attache aux pas et coup d’ailes de ces oiseaux, les suivant dans les moindres recoins de la ville. Le récit humoristique des "mésaventures" de ces volatiles, se met à dire tout haut ce que les goélands pensent tout bas, sous l’œil bienveillant des Marseillais "parce qu’ils y voient bien mieux que nous". http://www.vodeo.tv/94-24-233-Les-nouveaux-go%E9lands.html?visu=233
  7. Fidjy

    Les écureuils

    Pour une fois chez moi ça marche et je me régale sur plein de sujet concernant les oiseaux et, en fonction des sujets je les mets sur le site, c'est super bien fait, bon, pense à cliquer sur "extrait ", ça se charge, je me régale à voir ça , il faut que tu te battes pour voir les extraits gratuits, c'est du hyper bio!!! Je suis aux anges!
  8. Fidjy

    Les écureuils

    Oui mais a chaque fois tu as un extrait gratuit d'une minute et ça vaut la peine de les voir
  9. Fidjy

    Les écureuils

    Oui il ya des élevages d'écureuil EAM, un ami un jour qui en a elevé à la main ainsi que d'autres animaux comme pérroquet du gabon viendra j 'éspère vous en parler; mais il etudie beaucoup et est très occuppé, il m'a promis de venir voir ce site un jour, je l'attends toujours...Mais je connais votre coeur et ne peux que vous remettre cette vidéo de naissance de petits écureuils, car je les aime autant que les dauphins; pourquoi prédateurs? Car ils mangent les oeufs des oiseaux, comme les noisettes..., et le problème des écureuils EAM, ben il faut planquer les fils éléctriques de la maison, mais c très gentil, bises à vous et peut-être l'ami viendra en parler ( appuyer sur le petit rectangle de lecture ou extrait): L'écureuil est l'un des rongeurs les plus appréciés de la faune européenne. Passant son temps à accumuler les réserves de noix et de baies, ou à préparer son nid, ce petit animal est extrêmement difficile à observer : il disparaît aussi rapidement qu'il est apparu. Très habile de ses pâtes, les biologistes parlent même d'individu droitier ou gaucher… Ce rongeur s'adapte parfaitement à la vie citadine, il n'est pas rare de la voir près des joggeurs et des promeneurs dans les parcs. L'écureuil roux n'a pas pour autant une vie facile, un nouveau prédateur a été introduit dans la nature : l'écureuil de Corée. Cet écureuil domestique est souvent relâché dans la forêt par des propriétaires inconscients, sa résistance et sa facilité d'adaptation provoque de véritables conflits d'intérêt avec l'écureuil européen. C'est en suivant ce rongeur au fil des saisons que ce documentaire tente de percer quelques uns de ses secrets. Véritable prouesse, une équipe de tournage réussit à tenir le rythme d'enfer de l'écureuil roux. (ci joint) J' en profite pour vous signaler que je suis fou amoureux des écureuils des Landes Veuillez cliquer absolument sur ce lien pour voir le fabuleux film sur les bébés ecureuils de toute beauté, c'est WONDERFULL: http://www.vodeo.tv/94-23-1889-L-%E9cureuil.html?visu=1889
  10. Voici un extrait sur l'intelligence de l'oiseau pour trouver un happat: Des centaines d’espèces animales utilisent des outils ! C'est ce que révèlent de récentes découvertes en éthologie. Dans quel but ? Principalement pour se nourrir, mais aussi pour construire leur habitat ou encore améliorer leurs chances de reproduction. Les corbeaux de Nouvelle Calédonie, par exemple, se servent de brindilles pour extraire des larves d'insectes de leurs galeries. Les loutres de mer utilisent, elles, des pierres plates comme enclumes, sur lesquelles elles brisent les coquilles d'oursins et d'ormeaux. Quant aux chimpanzés, ils sont connus pour utiliser des pierres pour casser des noix. Trois exemples parmi des dizaines que passe en revue ce fascinant documentaire qui se penche aussi sur les techniques des poissons clowns, des singes bonobos, des lémuriens, des hérons, des fourmis,... Issus d'actes innés ou réfléchis, on peut se demander si ces comportements nécessitent une capacité de raisonnement. Cette capacité faisant la différence entre l'être humain et le monde animal… Commenté par Jacques Gamblin, ce film s'appuie sur des recherches sur le long terme et pose une nouvelle problématique qui bouscule le monde scientifique : comment l'animal qui utilise l’outil transforme-t-il le monde ? Par extension, comment cet animal transforme-t-il les autres ? Et enfin, comment cet animal se transforme-t-il lui-même ? Passionnant ! http://www.vodeo.tv/94-23-883-L-animal-et-l-outil.html?visu=883 appuyer sur lecture
  11. Voici sur cet extrait un homme qui danse devant ses oiseaux pour chasser le poisson: En Chine, la pêche au cormoran est une tradition ancestrale. Autrefois, c’est l’empereur qui donnait l’autorisation de pêcher. Aujourd’hui, il suffit de s’appeler Wang. Tous les pêcheurs au cormoran s’appellent Wang. La famille de Zongman vit de la pêche depuis le premier millénaire. Zongman est pêcheur. Il possède douze cormorans mâles qui pêchent pour lui. Ils obéissent à sa voix et le suivent partout où il va. Ses oiseaux sont les meilleurs, ils lui rapportent chaque jour plusieurs kilos de poissons. Chaque année, Zongman élève un petit cormoran. Pour cela, il a besoin d’un œuf, qu’il confiera à une de ses poules pour qu’elle le couve. Le pêcheur veillera ensuite sur le nouveau-né pendant 2 mois, durant lesquels il devra le nourrir. Cette fois, c’est au tour de Mao, son meilleur cormoran, d’être le père de la nouvelle descendance. l'extrait de film, illustré par de magnifiques images des montagnes célestes du sud de la Chine, nous entraîne à la rencontre d’un homme et d’un pays de traditions. A travers le portrait de Zongman, tous les secrets que le pêcheur tient de sa famille depuis de nombreuses générations nous sont dévoilés. http://www.vodeo.fr/94-24-267-Il-danse-pour-ses-cormorans.html?visu=267 cliquer sur extrait. Ou la vidéo traduite en français que nous a déja montré notre ami Nerval sur la communication entre le perroquet et l'animal: Tous les animaux sont capables de se prévenir si un danger les menace. Chaque espèce dispose d'une communication de base. Mais s'agit-il pour autant d'un véritable langage ? Les scientifiques tentent de répondre à cette question, sans pour l'instant y apporter de réponse définitive. Il y a 20 ans, les travaux de Karl Von Frish ont marqué une étape capitale. Il s'est intéressé à la danse des abeilles : la complexité de cet ensemble ordonné, la précision et la richesse des informations qu’elle offre sont impressionnantes. La direction et la durée de la danse indiquent l’emplacement exact de la nourriture, les mouvements sont doublement orientés par rapport au soleil et par rapport à la ruche. Les abeilles ont donc la capacité de se communiquer des informations sur des éléments distants dans l’espace et dans le temps. Les dauphins possèdent, eux, leur propre signature vocale et les orques comprennent jusqu’à l’ordre des mots... Aujourd’hui, les expériences menées avec des chimpanzés bouleversent en partie les conclusions des linguistes. S'ils sont incapables de parler à cause de la position de leur larynx, ils réussissent à utiliser les objets comme des mots. On arrive également à des résultats surprenants avec des perroquets. Ils ne se contenteraient pas de répéter mais comprendraient également certaines questions. En se rendant aux quatre coins du monde afin de rencontrer les scientifiques, un documentaire fait le point sur les recherches les plus récentes. Le réalisateur a également filmé des animaux dans leur environnement naturel. Vous pouvez en voir gratuitement un extrait...cliquer sur lecture ou extrait en cliquant sur le lien ci-dessous http://www.vodeo.tv/94-23-880-Langage-animal.html?visu=880
  12. http://www.vodeo.fr/94-24-462-Plan%E8te-poux.html?visu=462 si vous pouvez aller voir cette vidéo qui dure une minute sur les poux, bien sur le repotage concerne le pou des hommes mais ressemble au pou des oiseaux, c'est grandiose et gratuit pour le voir...comme d'autres reportages ....Si nos administrateurs ne s' y oppposent pas je vous laisse le lien pour le voir Par contre voici les puces en film: http://www.vodeo.tv/94-24-457-SOS-puces.html?visu=457 La puce est capable de faire des bonds qui représenteraient, pour un homme, un saut équivalent à la hauteur de la tour Eiffel. Avec une accélération 50 fois supérieure à la navette spatiale ! Cette capacité à sauter plus de 600 fois par heure en fait une remarquable bête de cirque. C'est du moins l'image qu'on en a traditionnellement. Ce surprenant documentaire nous en apprend bien davantage. Vecteur de la peste, la puce a été le plus grand fléau de l'humanité. Elle a décimée au Moyen-Age le tiers de la population de L'Europe. La puce est aujourd'hui encore responsable de nombreux décès via la peste bubonique à Madagascar, au Zaïre... Paradoxalement, des chercheurs l'utilisent comme seringue vivante. Sa faculté à transmettre des germes permet par exemple de vacciner les lapins de garenne contre la myxomatose. Pour certains, les puces sont un hobby. Ils les répertorient, les fichent, collectent tout ce qui touche à leur histoire (fourrures anti-puces, tableaux de chasse aux puces, poèmes érotiques), voire même leur font des habits sur mesure... Le célèbre banquier Lord Rothschild collectionne à lui seul 270 000 spécimens ! Pour d'autres, la puce est un véritable envahisseur. A Miami, la brigade d'intervention des "traqueurs de puces" reçoit jusqu'à 1000 appels de détresse par semaine. Le "Dr Flea" (Dr Puce) est devenu leur ennemi public n°1. D'autres encore en ont fait un business, élevant et commercialisant des puces 50 centimes pièce à destination des laboratoires de produits anti-parasitaires. Ce documentaire étonnant nous fait découvrir un monde microscopique et insoupçonné. Enrichi d’interventions de scientifiques, d’expériences, d’images de synthèses, d’images d’archives et surtout de prises de vues en microscopie électronique, ce sujet nous plonge dans le monde invisible de l'infiniment petit... Profitez en pour voir le reportage sur les paysages des manchot: la glace...j 'adore de tels reportages, on apprend des choses fantastiques pour info vous avez une minute de reportage gratuit!
  13. Les oiseaux se servent de l'eau comme miroir: Ainsi, en période d' amour chez le Pingouin d'Adélie, les mâles présentent des pierres non seulement, comme cela est normal, à leurs femelles pour les coutiser. Un exemple de transfert analogue par expérience a été noté chez un mâle captif de Faisan Argus, enfermé avec une femelle appartenant à une autre espèce. Après des essais répétés de parade devant cette femelle, il y renonça et les effectua devant sa propre image dans l'eau. Ces déviations peuvent conduire à des rapprochements entre animaux du même sexe. On a maintes fois constaté des accouplements entre mâles. Les oiseaux se servent ainsi de leur image dans l'eau. Ainsi les oiseaux qui nagent sur les lacs se servent de leur propre image qui reflète dans l'eau pour chasser, s'accoupler, voir éviter des prédateurs...
  14. Chez les Oiseaux (comme les Mammifères), la vue et l'ouïe jouent un rôle dans l'attraction sexuelle. Ils sont guidés par les chants ou les cris des animaux de l'autre sexe et se reconnaissent ainsi à distance, se répondant souvent l'un à l'autre. Il est possible aussi que, dans certains cas, interviennent des sens que nous ne connaissons pas. La reproduction sexuée est générale dans toutes les espèces animales. Il y correspond une fonction sexuelle dont le jeu détermine toute une série de comportements ou d'instincts spéciaux, qui constituent une vie sexuelle plus ou moins complexe, plus ou moins riche, sans que cette complexité ou cette richesse aient une relation quelconque avec la classification zoologique ni avec le degré d'évolution de l'espèce. Les parades nuptiales: Les manifestations qui précèdent ou accompagnent l'acte sexuel prennent parfois un caractère très particulier; on les désigne sous le nom de parades nuptiales. Elles sont fréquentes chez les Arthropodes, Insectes en particulier, et surtout chez les Oiseaux, groupe où les instincts sexuels sont les plus riches et les plus variés; elles sont rares chez les Mammifères. Le plus souvent, seul les mâles se livrent à ces démonstrations, mais dans certains cas les deux sexes y prennent part simultanément. Les animaux ont l'air, pour employer un langage anthropomorphique, de se faire la cour (les Anglais désignent d'ailleurs ces parades sous le nom de courtship). exemple le paon bleu: Surtout connu pour ses parades amoureuses spectaculaires et sa magnifique traîne de plus de 1 m 50, le paon est aussi un redoutable chasseur de serpents. Les villageois se sont organisés pour qu'il reste sur leurs terres : ils lui distribuent chaque jour des graines. Les résultats ne se sont pas fait attendre, les paons sont maintenant presque aussi nombreux que les habitants du village… Les couleurs sont sublimes, la lumière parfaite… http://www.vodeo.tv/94-24-1595-Danse-avec-les-paons.html (cliquer sur extrait) Très fréquemment la parade nuptiale consiste en des évolutions dont l'allure rappelle des danses (chez de nombreux Poissons, Oiseaux, Insectes, etc.). Chez certaines Araignées errantes, les mâles, presque toujours brillamment ornés, agitent leurs pattes ornées de poils, en soulevant la partie antérieure de leur corps, tournent autour de la femelle en faisant montre de leur brillante parure. La réaction motrice peut être localisée à un organe particulier. Chez certains Crabes semi-terrestres (Gelasimus, Callinectes), les mâles possèdent une pince extrêmement large, souvent brillamment colorée. Si une femelle mûre passe près d'un mâle, celui-ci se dresse sur les pattes et brandît sa pince en l'air "le mâle semble proclamer sa masculinité, il paraît indiquer son état sexuel" (Pearse). La parade nuptiale peut consister dans une offrande. Chez un Papillon (Hepialus), la dernière paire d'ailes est transformée en organes semblables à des houppes à poudre, normalement maintenus dans une paire de poches garnies de glandes à parfum; le mâle les utilise pour projeter des gouttes de parfum sur la femelle. L'offrande consiste parfois en nourriture. Chez les Oiseaux, avant la parade, le mâle va parfois en chasse pour la femelle et lui apporte des aliments. Chez un Criquet (Œcanthus), le mâle possède sur le côté une glande capable de sécréter un liquide sucré dont il fait offrande à la femelle, qui l'absorbe avant l'accouplement. Chez certaines espèces de Diptères (Empidés), le mâle offre un Insecte dans une sorte de ballon qu'il tient au bout de ses pattes et qui est formé de bulles brillantes qu'il sécrète. Dans d'autres espèces de cette famille, la proie est remplacée par des objets colorés: pétales de fleurs ou même fragments de papier de couleur. Chez les Oiseaux, l'objet offert est souvent du matériel pour l'édification du nid; herbes, chez les Grèbes et les Plongeons, pierres chez les Pingouins, débris de bois chez les Hérons, tiges ou feuilles chez certaines Fauvettes. La parade nuptiale se manifeste souvent par l'exécution, parfois "à vide", de certains actes de la vie courante de l'animal. Ainsi le Busard Saint-Martin mime une scène de dépeçage : campé sur une motte de terre, non loin de la femelle, il abaisse à plusieurs reprises son bec crochu vers ses serres vides. Les Grèbes et les Cygnes font souvent semblant de lisser leurs plumes. Chez certains Oiseaux de paradis, le mâle prépare une surface de terrain qu'il nettoie soigneusement et sur laquelle il dépose une collection d'objets brillants, feuilles, fleurs, coquilles, graines. Parfois il construit une sorte de berceau à l'entrée duquel il dépose les objets. Lorsque la femelle arrive sur le terrain ainsi préparé, le mâle se livre à des évolutions rapides autour d'elle et la dirige vers le berceau Le rôle des manœuvres prénuptiales: Certaines manifestations prénuptiales telles que les parades du mâle agissent vraisemblablement d'une façon analogue sur le système nerveux par l'intermédiaire des organes des sens, et contribuent à déclencher les réactions sexuelles. Chez la Drosophile, le mâle approche la femelle en agitant les ailes d'une manière particulière; on coupe les ailes de certains mâles et on constate qu'ils peuvent encore s'accoupler, mais avec un retard assez considérable sur les mâles normaux employés comme témoins. Sous l'influence des manœuvres prénuptiales et des associations complexes qui s'effectuent dans les centres nerveux supérieurs, les réflexes sexuels peuvent devenir des réflexes conditionnels et se déclencher en dehors de leur excitant normal physiologique. Chez les femelles de Mammifères en particulier, ils pourraient ainsi s'émanciper du strict contrôle cyclique des hormones et se produire à d'autres moments qu'à l'œstrus. Cette tendance, qui se manifeste au maximum chez l'homme, s'observe par exemple chez les Singes. La rencontre des deux sexes semble parfois se faire au hasard; l'acte sexuel survenant lorsque les animaux sont dans le voisinage immédiat l'un de l'autre ou même lorsqu'ils entrent fortuitement en contact. Mais d'une façon générale il est le résultat d'une attraction réciproque qui se traduit par des déplacements relatifs. A ces déplacements peuvent prendre part les mâles et les femelles, mais le plus souvent c'est le mâle seul qui est actif et qui va à la rencontre de la femelle. D'après Darwin, l'union sexuelle ne se ferait pas au hasard; il y aurait un véritable choix exercé par la femelle et ce choix serait une loi presque aussi générale que le désir du mâle. Le mâle possède en effet très souvent des ornements dont la femelle est dépourvue et qui souvent n'apparaissent qu'au moment de la reproduction sous la forme de "parure de noces", plus ou moins richement colorés. Les parades nuptiales sont presque toujours le fait du mâle seul et seraient des manœuvres destinées à séduire la femelle. Le mâle a l'air en effet de faire souvent montre de ses ornements : le Paon étale les plumes de sa queue, le Chardonneret devant sa femelle tourne la tête d'un côté et d'autre, mettant ainsi en évidence l'éclat du disque écarlate qui encercle son bec; de même lorsqu'il se livre à des exercices variés, il a l'air de vouloir faire admirer sa grâce ou son habileté. Les femelles seraient sensibles à ces ornements et à ces démonstrations et elles accorderaient leur préférence au mâle le plus beau par sa livrée ou au plus habile chanteur ou à celui qui exécuterait le mieux certaines parades. Il en résulterait une véritable sélection d'origine sexuelle. A SAVOIR: Chez le Pingouin d'Adélie, les mâles présentent des pierres non seulement, comme cela est normal, à leurs femelles mais aux autres êtres vivants qui attirent leur intérêt, tels que explorateurs et chiens. Un exemple de transfert analogue a été noté chez un mâle captif de Faisan Argus, enfermé avec une femelle appartenant à une autre espèce. Après des essais répétés de parade devant cette femelle, il y renonça et les effectua devant sa propre image dans l'eau. Ces déviations peuvent conduire à des rapprochements entre animaux du même sexe. Chez les animaux: les relations entre individus de même sexe: Ce sont généralement des relations d'indifférence; mais parfois une animosité engendre des combats, des luttes plus ou moins violentes. Cette sorte de phobie unisexuelle est fréquente surtout dans le sexe mâle. Les combats de mâles sont bien connus, puisqu'ils font l'objet de spectacles dans certains pays : combats de Coqs, de Poissons combattants. Chez ces Poissons la lutte est acharnée; ils se saisissent par les mâchoires, se débattent en tous sens et cherchent à se fatiguer mutuellement jusqu'au moment où la résistance du plus faible commence à céder. Le plus fort accentue alors son étreinte qu'il ne relâche qu'après la mort du vaincu. Le vainqueur lui-même succombe souvent à ses blessures. De tels combats sont fréquents, surtout chez les Mammifères et les Oiseaux, mais il est rare qu'ils finissent ainsi : la lutte est généralement moins vive et se termine par la simple défaite de l'un des deux combattants qui s'enfuit devant l'autre.Souvent aussi les luttes prennent plutôt le caractère de jeu. Ainsi deux mâles de Huppes ne cherchent pendant des heures qu'à se dominer l'un l'autre dans le vol; deux coqs de Perdrix, alternativement poursuivants et fuyants, laissent toujours entre eux la distance qui évite le corps à corps. Il semble que le rôle principal dans ces luttes soit joué par certains caractères des mâles en présence (crête du coq par exemple) qui agissent comme excitants sur chacun des deux adversaires; ceux-ci parfois cherchent à s'en déposséder mutuellement. Les luttes entre femelles sont extrêmement rares.Chez les animaux sociaux Chez les animaux vivant en société, l'instinct sexuel et l'instinct social interfèrent entre eux de manières très variées et pouvant parfois s'opposer l'un â l'autre. Ainsi la plupart des bandes d'Oiseaux (Outardes, Pinsons, Moineaux, Mésanges) se dissipent en couples isolés à l'époque de la reproduction. Il en est de même chez les Rennes, qui vivent normalement par troupeaux de plusieurs centaines de têtes. L'interférence de l'instinct sexuel et de l'instinct social permet de comprendre la structure de nombreuses sociétés. Beaucoup d'entre elles sont formées par un seul mâle adulte et plusieurs femelles auxquels s'adjoignent souvent des jeunes. Ainsi les Tarpans, Chevaux d'Asie redevenus sauvages, se réunissent en troupeaux de plusieurs centaines qui se subdivisent en petites familles à la tête de chacune desquelles est un étalon. Les jeunes mâles sont chassés par chacun des chefs de familles; ils se rassemblent entre eux et suivent la bande à distance respectueuse. Dans la formation de ce type de société interviennent d'une part l'instinct sexuel et d'autre part l'instinct social des femelles qui restent groupées entre elles, et l'instinct anti-social des mâles qui se combattent entre eux et sont ainsi exclus de la société à l'exception d'un seul. Lorsque les mâles n'ont pas d'instinct combatif, il se forme des sociétés qui renferment des mâles et des femelles (les Eléphants et la plupart des Singes). Le groupement est alors conduit généralement par l'un des mâles. Chez les Sangliers, les vieux mâles n'ont plus d'instinct social et vivent solitaires, les troupeaux ne comprennent que des femelles et des jeunes; mais à l'approche de la saison des amours l'instinct sexuel pousse les vieux mâles à se joindre au troupeau en chassant les mâles plus faibles. Dans les sociétés d'Insectes (Termites, Abeilles, Fourmis), la vie sexuelle est l'apanage d'un petit nombre d'individus, qui forment la caste des sexués, tous les autres membres de la société étant des neutres. Chez les Abeilles, deux individus seulement prennent part à la vie sexuelle : la reine et le mâle unique qui s'accouple avec elle lors du vol nuptial. C'est chez les Abeilles que s'observe l'un des rares cas d'animosité entre femelles les reines ne peuvent se tolérer entre elles. Lorsque, dans la ruche, éclosent de jeunes reines, l'ancienne les tue à coups d'aiguillon, à moins que les ouvrières n'interviennent.
  15. La plupart des oiseaux chanteurs naissent sans plume, aveugles et totalement sans défense. Le duvet grandit cependant très vite. Après quelques jours, quand les vraies plumes apparaissent, ils commencent à ressembler à leurs parents. À la naissance les jeunes oiseaux se répartissent en deux catégories : les nidifuges et les nidicoles. Le développement des nidicoles est encore très incomplet au moment de l'éclosion. Ils sont encore nus et aveugles, seul leur tube digestif est parfaitement fonctionnel. Dès qu'ils ressentent une vibration du nid, les oisillons ouvrent largement le bec. Dans cette position, ils attendent d'être nourris. Tant que leur plumage est incomplet, ils doivent être réchauffés par un adulte. Ce dernier les prend sous son aile ou les maintient contre ses plaques incubatrices, zones de peau riches en vaisseaux sanguins situées sous les plumes du ventre. Les Columbidés (tourterelles, pigeons), les rapaces et les passereaux sont typiquement nidicoles. Le développement des nidifuges, en revanche, est déjà suffisamment avancé, pour leur permettre de quitter le nid quelques heures, ou au plus tard quelques jours, après l'éclosion. Ils recherchent leur nourriture, de façon plus ou moins autonome, sous la protection d'un des parents ou des deux. Les canards et les oies, les gallinacés (poules, perdrix, etc.), les sternes et les limicoles sont typiquement nidifuges.
  16. La vivacité de la couleur du bec témoigne du système immunitaire des oiseaux mâles, révèle une étude de Science Alors que les couleurs chatoyantes vont et viennent dans le monde de la mode, les becs de couleur vive sont toujours de mise chez les oiseaux mâles désireux de faire la cour. De nouvelles recherches suggèrent que les becs de couleur rouge ou orange de certains oiseaux mâles sont le signe d'un système immunitaire efficace, un critère indispensable pendant la saison des amours. Les résultats de deux études parus la revue Science publiée le 4 avril offrent les premiéres preuves que la vivacité de la couleur du bec des mâles de deux espèces d'oiseaux donnent des informations probantes sur le système immunitaire des intéressés. Lorsque les femelles succombent à un bec de couleur vive, elles choisissent en fait un mâle en bonne santé. Un groupe de chercheurs britanniques s'est intéressé à la couleur du bec des diamants mandarins et une équipe de chercheurs français a étudié la couleur du bec des merles noirs mâles. Au royaume des animaux, ce sont souvent les mâles qui affichent les caractéristiques les plus flamboyantes, de la queue du paon à la crête du coq. Même si les scientifiques se doutaient depuis longtemps que ces caractéristiques témoignaient de la santé des mâles, deux nouvelles études confirment cette hypothèse grâce à des mesures directes qui relient les couleurs chatoyantes du bec des oiseaux mâles à un système immunitaire résistant. « Ces deux articles sont complémentaires. Ils font tous deux appel à des mesures du système immunitaire pour aller au-delà des simples suppositions et prouver que la vivacité de la couleur du bec témoigne avec précision de la bonne santé des oiseaux », déclare Stephen Simpson, un éditeur de la revue Science qui travaille à Cambridge, au Royaume-Uni. « Depuis Darwin, nombreux sont ceux qui ont réfléchi sur le lien entre les caractéristiques distinctives du mâle et sa condition physique », nous dit Jonathan Blount de l'Université de Glasgow, au Royaume-Uni. Son équipe de recherche a découvert que les diamants mandarins mâles dont le bec est le plus rouge sont ceux qui attirent le plus d’intérêt sexuel de la part des femelles et qui ont le meilleur système immunitaire. Les caroténoïdes sont les pigments rouges et jaunes qui colorent le bec des mâles chez certaines espéces d'oiseaux, y compris les merles noirs et les diamants mandarins. Les oiseaux ne peuvent pas synthétiser les caroténoïdes et doivent les obtenir par leur alimentation. D'aprés Bruno Faivre de l'Université de Bourgogne et du CNRS de Dijon, qui a fourni un contexte historique pour ces nouvelles découvertes, les caroténoïdes stimulent la production d'anticorps et absorbent certains des radicaux libres nocifs produits au cours de la réponse immunitaire. « Les scientifiques supposaient que les ornements sexuels des oiseaux mâles soulignaient leur capacité à combattre les infections et les maladies parasitaires. Cependant, aucune étude, à notre connaissance, n'avait prouvé de façon directe la concordance entre l'activation immunitaire et le niveau d'expression des ornements sexuels », déclare Faivre. Les caroténoïdes peuvent être considérés comme la « monnaie biologique » des deux études sur le degré de vivacité de la couleur du bec. Dans l'une des études, les niveaux de caroténoïdes des oiseaux ont été augmentés au moyen de dépôts, tandis que l'autre fait état de réductions de l’apport de caroténoïdes. Les scientifiques britanniques ont suppléé à l'alimentation d'un groupe de diamants mandarins mâles avec des pigments de caroténoïde et ont mesuré les effets de ces niveaux élevés de caroténoïdes sur les fonctions immunitaires, la couleur du bec et l'intérêt sexuel chez les diamants mandarins femelles. Ils ont découvert qu'en élevant le taux de caroténoïdes dans le sang des diamants mandarins, les défenses immunitaires s'en trouvaient améliorées et le bec de l'oiseau était plus rouge. Ces mâles attiraient également plus d’intérêt de la part des femelles. Les chercheurs français ont abordé leurs recherches sur la corrélation entre caroténoïdes et fonctions immunitaires sous un angle différent. Ils sont partis d'un équilibre de référence des caroténoïdes pour la couleur du bec du merle noir. Après avoir mis le système immunitaire de merles noirs à l'épreuve, ils ont remarqué que la couleur de leur bec se ternissait en raison de la baisse du niveau de caroténoïdes. « Chez le merle noir, le déplacement dynamique des caroténoïdes depuis le bec jusqu'au systéme immunitaire semble indiquer une mise à jour continuelle sur la santé du mâle », déclare Frank Cézilly, coauteur de l'article de Faivre et professeur à l'Université de Bourgogne à Dijon. « Le déplacement des caroténoïdes a pu être observé en trois semaines. Nous ne pensions pas que la réponse pouvait être aussi rapide ». Le groupe de Blount a également découvert que le systéme immunitaire des mâles dont le bec était trés rouge était supérieur à celui du groupe témoin. Bien que la couleur du bec liée aux caroténoïdes ne soit pas le seul facteur auquel s'intéressent les diamants mandarins femelles dans leur choix d'un mâle, « il est désormais clair que le niveau de caroténoïdes est lié à l'attrait sexuel et aux fonctions immunitaires », déclare Blount. Selon Blount, l'étape suivante consiste à distinguer l'importance relative des différents facteurs qui peuvent déterminer l'étendue des signaux relevant des caroténoïdes. Ces facteurs comprennent les fonctions immunitaires, l'efficacité dans la recherche de nourriture, la susceptibilité aux parasites et le degré de dommages qu’ils entraînent, ainsi que le niveau d'énergie qu'un individu doit dépenser pour convertir les caroténoïdes alimentaires en une forme utilisable. Bien que la couleur du bec ne soit probablement pas le seul facteur dans l'attrait sexuel du merle noir, ces oiseaux sont un modèle biologique approprié pour étudier la relation caroténoïde-immunocompétence, affirme Faivre. « La surface colorée du bec peut signaler rapidement un changement dans l'affectation des caroténoïdes parce que cette couleur est continuellement renouvelée par ces caroténoïdes. Ce type d'information n'est pas transmis par la couleur des plumes, car les pigments du plumage spécifiques à l'attrait sexuel ne sont affectés aux plumes qu'une ou deux fois par an, pendant la mue », déclare Faivre. Faivre dresse l'hypothèse que les signaux basés sur les caroténoïdes peuvent avoir évolués car ce sont des signaux qui témoignent véritablement de la forme physique de l'individu. « Après que les mâles et les femelles aient commencé à s'adapter aux signaux relevant des caroténoïdes, leur expression a ensuite été favorisée par sélection naturelle ».
  17. Plaidoyer pour un prisonnier: par Johanne Vaillancourt, béhavioriste aviaire - Octobre 1997 Les êtres humains ont depuis toujours aimé tout régenter, que ce soit les villes, les gens, la nature ou les animaux. Un jour, l'être humain a senti le besoin d'une compagnie autre que celle de ses semblables. Il a donc décidé d'adopter des animaux mais, naturellement, en leur imposant sa manière d'être et de vivre. Eh oui ! l'être humain est ainsi fait. Il a soif de pouvoir et de dominance. Il ne pouvait donc pas avoir d'animaux de compagnie en les laissant être eux-mêmes. Il devait les contrôler, les soumettre et surtout, leur enlever ce qui est essentiel à tout être vivant, la liberté. Victimes de leur grande beauté, les perroquets n'ont malheureusement pas échappé à cette volonté de conquête. L'être humain a voulu avoir comme parure dans sa demeure, le plus libre des animaux, l'oiseau. Et quand il eut capturé l'oiseau, ce qu'il trouva de mieux à faire fut de le mettre en cage, lui, l'oiseau qui avait toujours eu des kilomètres de territoire à survoler. Là, l'humain le condamne à l'oisiveté perpétuelle et lui impose des lois qui sont contraires à son instinct de survie, c'est-à-dire ne pas crier, ne pas gruger, ne pas dominer. En fait, tout ce qui est essentiel à sa survie dans la nature, l'être humain le lui interdit. Puis vient le moment où l'humain veut faire de l'oiseau sa créature ; l'humain veut que son oiseau parle comme lui, qu'il mange comme lui, et, qu'à des heures décidées par lui, l'oiseau s'occupe avec des jouets d'humain ; bref, que l'oiseau soit semblable à l'humain. L'oiseau n'a aucun droit dans le monde des humains. Jamais il ne peut protester ou se plaindre de sa vie. Il doit toujours être prêt à jouer quand l'humain en a envie ; mais si c'est lui qui veut jouer ou avoir de l'attention, il doit refouler ses envies sous peine d'être puni. L'oiseau n'a pas le droit de revendiquer, il doit attendre le bon vouloir de son maître. Mais les perroquets sont des prisonniers récalcitrants. Ils sont rebelles et se souviennent trop bien du temps de la liberté. Alors, ils développent en captivité des comportements qui leur étaient jusque là étrangers en liberté : picage, obésité, agressivité, cannibalisme et névroses diverses. L'ennui est le pire ennemi du perroquet. Que pourrait-il donc faire pour occuper ses journées, lui qui était pourtant si occupé lorsqu'il était en liberté. Chez les humains, il n'y a rien à faire, rien ! Alors il observe. Toute la journée, il observe. Sa vie est réglée comme en prison au rythme des levers, des repas et des couchers. Il observe et attend son maître. Il attend que celui-ci daigne bien lui accorder une petite heure dans sa journée. Mais que doit-il faire des 23 autres heures? Alors, de grâce, vous les humains qui lisez ces lignes, soyez indulgents avec votre perroquet. Accordez-lui une apparence de liberté, offrez-lui une vraie vie d'humain. Sortez-le de sa cage le plus souvent possible, donnez-lui de l'espace, laissez-le gagner une petite discussion de temps en temps, laissez-lui l'impression de faire des choix, de décider. Donnez-lui la chance de vivre avec vous, de partager vos activités, CE N'EST PAS UN CAPRICE, C'EST UN BESOIN ! S'il crie, cherchez à savoir pourquoi. Votre oiseau ne vit pas avec le seul espoir de vous faire suer pour rien. Soyez attentifs à ses besoins et il le sera aux vôtres. Les perroquets sont très intelligents, ils ont une sensibilité à fleur de peau. Ils ne connaissent pas vos lois et ne reconnaissent pas vos biens de valeur. Ils n'en ont rien à cirer de votre beau piano. Pour eux, c'est un gros morceau de bois et le bois, c'est fait pour être grugé ! Alors soyez humains et offrez-leur du bois à gruger. Leur besoin sera ainsi satisfait et le piano sera sauf. Dites-vous que si votre oiseau mange quelque chose dans votre maison, ce n'est pas de sa faute mais bien de la vôtre puisqu'il ne connaît pas vos lois. Ce n'est pas difficile d'être heureux avec votre perroquet, un peu de bon sens, une attention particulière à ses besoins naturels, bref, ne lui faites pas subir ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse subir. La prison est déjà une peine bien assez lourde à supporter !
  18. J'ai trouvé cet article, je voulais connaitre votre avis?: Un article écrit dans PET CONNECTION par Gina Spadafori : Les moulées sont préférables aux graines pour la nourriture de base des oiseaux Une des mes meilleures amies ne pratique pas les soins préventifs pour ses chiens ; ses chats se promènent dans tout le voisinage. Elle fait le contraire de tout ce qui est de bon conseil allant jusqu’à nourrir sa calopsitte exclusivement de graines de tournesol. Elle aime ses animaux de compagnie, mais s’obstine à suivre les standards en cours il y a 20 ans. La calopsitte aime le tournesol… il n’y a aucun mal à cela ! Les enfants aiment les bonbons…pourtant, elle ne leur permet pas d’en manger à longueur de journée. Nous avons convenu de n’avoir pas le même point de vue en ce qui a trait aux animaux. Parfois, il faut se résigner à ne pas pouvoir changer le monde ni même ses amis. Les vétérinaires aviaires sont d’accord pour dire que les moulées sont supérieurs aux mélanges de graines. Un oiseau nourri exclusivement aux graines sera malade à plus ou moins longue échéance, disent les experts, parce que sa diète sera déficiente en nutriments indispensables à leur longévité et à leur immunité aux possibles maladies. Ces dernières années, les granulés sont en vogue avec des résultats encourageants quant à la santé des oiseaux. Le choix des granulés est de plus en plus grand ; on les trouve dans la plupart des animaleries et chez les vétérinaires. La moulée ne devrait pas avoir du colorant, à la longue ils peuvent développer le cancer. Les clinques vétérinaires pour les oiseaux ne vendent que de la moulée naturelle sans colorant. Les granulés sont un amalgame de céréales, de graines, de fruits, de légumes et d’autres sources de protéines. Les fabricants mélangent tous ces ingrédients et les coupent ou les émiettent pour en faire des granulés de la taille désirée selon l’espèce à laquelle ils seront servis (gros granulés pour les gros becs, petits granulés pour les petits becs). Ce procédé donne une nourriture supérieure et l’oiseau ne peut pas choisir ce qu’il préfère ; il mange de tout puisque tout se trouve dans chaque bouchée. Les granulés sont aussi faciles et pratiques à servir. Les moulées devraient constituer l’essentiel de la nourriture de votre oiseau (70 à 80%), mais ils doivent être accompagnés d’autres aliments. Votre oiseau a besoin de recevoir aussi des fruits et des légumes frais ainsi que de la nourriture de table, comme des pâtes, des œufs, du pain, du riz ainsi que des noix non salées en écale. Il faut éviter les aliments trop gras ou transformés qui causent l’obésité chez les oiseaux peu actifs. La règle à suivre est simple : ce qui est bon pour votre santé l’est pour celle de l’oiseau. Des granulés (moulées) et de l’eau fraîche devraient toujours être à la disposition de l’oiseau. En plus de compléter une alimentation fabriquée, les aliments frais, les noix et la nourriture de tables occupent l’oiseau et rendent sa vie moins monotone. Pour de meilleurs résultats, il est recommandé de servir ces aliments les plus naturels possible. Il faut bien les laver, mais rendre leur consommation intéressante en laissant les noix en écale, le maïs en épi, etc. Les graines, données en petite quantité, sont excellentes pour récompenser la bonne conduite de l’oiseau, l’encourager à apprendre des tours. Elles ne doivent jamais constituer la base de l’alimentation. Les oiseaux, nourris aux graines, choisissent leur graine. Ils choisiront probablement les hautes graines grasses d'abord laissant les substances nutritives importantes dans le plat ou sur le fond de la cage.
  19. Quand un oiseau crie, c'est pour dire qu'il veut avoir ou qu'il lui manque quelque chose (ex: son bain, ses légumineuses, ect...Les oiseaux crient seulement quand leurs besoins ne sont pas satisfaits : bain, fruits, légumes ou gâteries. C'est comme ça que les oiseaux communiquent avec nous, les humains... pour nous dire : « Je ne suis pas content.... je veux avoir ceci ou cela». Mieux et plus vite on comprend le langage des oiseaux, moins ils auront besoin de crier pour se faire comprendre. Un oiseau auquel on donne l’attention dont il a besoin pour se sentir de la famille, dont les autres besoins sont satisfaits est un oiseau heureux et comblé qui vocalisera de plaisir. Dans la nature, les oiseaux crient pour communiquer entre eux, se situer dans la végétation dense de leur environnement, pour signaler un danger, un arbre avec des fruits appétissants, attirer un partenaire…Leurs cris doivent porter loin pour parvenir aux oreilles de ceux à qui ils sont destinés. En captivité, les oiseaux font la même chose : la pièce est vide, l’oiseau crie pour retrouver la trace de son maître ; une nouvelle personne arrive à la maison, l’oiseau qui la perçoit comme un danger en avertit son maître…Dans nos maisons ou nos appartements, ce cri devient trop perçant et dérangeant. Pour le prévenir, il faut se rappeler aussi que les oiseaux supportent mal de vivre seuls ; dans la nature, ils sont toujours en couple ou en groupes ; les isoler de la famille quand tout le monde est de retour du travail, c’est s’exposer à des cris qui sont des appels de détresse. Les oiseaux sont des êtres intelligents qu’il faut tenir occupés pour éviter qu’ils s’ennuient. Dans la forêt tropicale, leurs journées sont remplies d’occupations diverses et ils n’ont pas le temps de s’ennuyer. Dans nos maisons, tout est à portée de leur bec ; ils n’ont pas grand-chose à faire sinon attirer l’attention de la famille par leurs facéties, mais aussi par leurs cris. Leur trouver des occupations, leur apprendre des tours, stimuler leur curiosité en cachant des noix, en inventant des jeux sont autant de moyens d’empêcher les cris inutiles.
  20. Selon Louis Lefebvre, dans leur milieu naturel, les perroquets manifestent souvent moins de talent que la corneille, le merle noir, le héron, les pics ou le moineau domestique... Louis Lefebvre, professeur au département de biologie de l'Université McGill Canada (docteur en psychologie et spécialiste du comportement des oiseaux). Selon le chercheur, l'intelligence d'un oiseau est proportionnelle à sa capacité d'innover pour se nourrir. Et souvent, plus la nourriture est difficile à trouver, plus les oiseaux doivent redoubler d'astuce pour remplir leur estomac. À l'inverse, ceux qui vivent là où la bouffe est très abondante, comme les oiseaux de rivage, par exemple, montrent peu de talent pour l'innovation. Plus encore, les espèces ayant plus de facilité à découvrir et à mettre en pratique des trucs pour se nourrir s'adaptent mieux à leur milieu naturel. «Nos données permettent même de dire quel oiseau pourrait facilement envahir un nouveau milieu et y prospérer. Les cas du merle noir et du moineau domestique sont éloquents à cet égard. Cette faculté d'innovation pourrait même accélérer l'évolution d'une espèce», explique-t-il en entrevue. Par ailleurs, le chercheur a constaté qu'un oiseau disposant d'un gros cerveau n'a pas nécessairement un important quotient intellectuel. Selon ses analyses, les perroquets ont le plus gros cerveau de tous les oiseaux, mais leurs capacités intellectuelles sont moyennes, du moins dans leur habitat naturel. Il faut expliquer aussi que la méthode du professeur Lefebvre est tributaire du nombre d'observations signalées. Ainsi, les données seront plus rares dans le cas d'une espèce difficile à observer ou ayant suscité peu d'intérêt. Le «test d'intelligence» a été mis au point en notant et en dénombrant les comportements novateurs dans la littérature scientifique mondiale depuis 1930. Ces observations ont été cautionnées par les comités de rédaction des revues scientifiques même si, dans le cas des oiseaux, plusieurs rapports proviennent d'ornithologues amateurs. Cette situation unique dans la communauté scientifique a aussi permis d'augmenter la quantité des données. On a donc signalé quelque 2000 comportements différents un peu partout dans le monde, dont 900 en Europe, d'où provient le plus grand nombre d'observations, et 600 en Amérique du Nord. Dans certains cas, il s'agit tout simplement d'un ajout au régime alimentaire: un pic à ventre roux qui dévore les petits d'une nichée de mésanges, ou un canard colvert qui mange une grenouille ou un crapaud, par exemple. D'autres cas sont plus complexes, comme ces géospizes des îles Galapagos qui utilisent un instrument pour déloger des insectes. On a d'ailleurs dénombré une centaine d'espèces qui se servent d'un instrument d'une façon ou d'une autre. Jusqu'à maintenant, M. Lefebvre a compilé des données sur environ 800 espèces d'oiseaux. Quels sont les plus inventifs? L'évaluation scientifique place les corvidés au sommet de l'échelle de l'intelligence dans le monde aviaire. Le plus brillant de la famille? La corneille noire, une Européenne qui a affiché 31 comportements innovateurs. Viennent ensuite les rapaces. Par exemple, notre balbuzard obtient la note de 18 et la buse à queue rousse, 11. Le troisième groupe dans l'échelle Lefebvre est représenté par les pics. Le minuscule pic mineur, par exemple, obtient la note de 8. Par contre, le merle noir, le pendant européen de notre merle d'Amérique, obtient 29. On sait notamment qu'il utilise des brindilles comme balai afin d'enlever la neige sur sa nourriture. Avec de tels résultats, on ne s'étonne pas que cet oiseau se soit installé avec succès dans plusieurs régions du monde, même en Australie. Des cas spectaculaires ou inusités Un corbeau de Nouvelle-Calédonie a trouvé le moyen d'extirper de la nourriture d'un récipient de verre trop étroit pour y plonger le bec. Pour ce faire, il a utilisé un fil de métal souple qu'il a plié à l'extrémité et dont il s'est servi comme hameçon pour agripper son repas. Incroyable! L'oiseau a répété son exploit en laboratoire. Espèce répandue du Canada à l'Amérique du Sud, le héron vert utilise souvent des leurres pour pêcher. Il dépose à la surface de l'eau un bout de bois, un morceau de pain, une plume ou d'autres petits objets afin d'attirer les poissons. En Nouvelle-Zélande, un moineau domestique a découvert qu'il lui suffisait de passer devant un oeil magique pour ouvrir les portes d'une cafétéria où il pouvait ramasser des miettes de pain sur le plancher. En Angleterre, les mésanges charbonnières avaient appris à enlever le bouchon des bouteilles de lait afin d'en boire seulement la crème, les oiseaux ne pouvant digérer le lait. L'aigle royal chasse parfois en équipe. On a vu l'un d'eux se mettre à l'affût pendant que son compagnon se dirigeait vers le bosquet où se cachait un lapin. Chassé de sa cachette, la bête fut prestement capturée. On cite aussi le cas de deux corbeaux affamés qui observaient un chien en train de gruger un os. L'un d'eux s'est approché de l'animal pour lui mordre la queue. Le chien a laissé échapper son os, dont s'est rapidement emparé l'autre corbeau. Les moineaux inspectent à l'occasion les grilles de radiateur d'automobiles pour manger les insectes qui y sont écrasés.
  21. Fidjy

    Arbre à oiseaux !

    Quel magnifique sapin, ça fait plaisir de te revoir parmi nous Muriel.
  22. Fidjy

    Les dauphins

    LES DAUPHINS SOURIANTS Il n'y a pas d'animal plus sympathique et amical que les dauphins. Vous pouvez constater sur leur visage la docilité . Au moment de la naissance d'un dauphin, ce sont d'abord sa queue, puis son corps et dernièrement sa tête qui sortent. La mère serre et relâche ses glandes mammaires pour le nourrir et fait jaillir son lait vers la bouche de son petit. Le mouvement de la mère peut être comparé à ce qui suit: imaginez que vous ayez une boîte en plastique dans votre main et que le lait dedans gicle quand vous la serrez. Les mammifères qui vivent hors de l'eau n'ont pas besoin d'un système pour faire jaillir le lait en vue de nourrir leurs petits. Pourtant les animaux marins ont besoin d'un tel mécanisme dans l'eau. Est-il possible que la mère pense à un tel système et décide de le fixer? Peut-elle ajouter des muscles à ses glandes mammaires? le corps de la mère a été créé de la manière la plus convenable pour satisfaire les besoins de son petit. Le système respiratoire des dauphins ressemble à celui des hommes. Pourtant leurs narines ne sont pas situées au milieu du visage mais sur la tête. Tout comme les hommes, les dauphins aussi inspirent de l'air avant de plonger, puis retiennent leur souffle et pénètrent dans l'eau. En émergeant, ils commencent à jeter dehors l'air contenu dans leurs poumons avec de l'eau peu avant d'atteindre la surface. Vous savez combien les dauphins sont d'excellents nageurs. Peut-être les avez-vous même vus faire des concours avec les bateaux! La peau lisse de ces animaux leur permet de glisser facilement sur l'eau et de nager très vite. La structure de leur nez aussi les aide à nager si rapidement. Les hommes qui se sont rendus compte de ce fait ont construit la proue des bateaux qui demeure sous l'eau semblable au nez des dauphins. Aujourd'hui les bateaux naviguent à plus vite grâce à cette propriété. Savez-vous que les dauphins ne sentent aucune odeur et qu'ils sont aveugle. ils ont une ouïe très développée. Les dauphins peuvent entendre des sons provenant de loin grâce à ce sens. En plus, ils trouvent leur voie facilement et déterminent la position de leur proie à l'aide d'un système qui se trouve dans leur corps et qui ressemble à l'appareil de détection sous-marine appelé "sonar". Voilà comment cela a lieu: les cris des dauphins, qui ne peuvent pas être entendus par l'oreille humaine, se propagent dans l'eau sous forme d'ondes. Ces ondes sonores heurtent les obstacles qu'elles rencontrent sur leur route et se retournent. La durée pendant laquelle le son avance, heurte un poisson, une roche ou quoi que ce soit et revient indique donc la distance de la proie ou de l'obstacle. Le système sonar des sous-marins est produit de la même façon en imitant cette caractéristique des dauphins. Les dauphins qui ne sont pas pourvus d'odorat et qui sont aveugles évitent d'être la proie d'autres poissons grâce à ce système magnifique.
  23. La vue des oiseaux est très perçante. Ils ont une faculté de vision excellente outre celle du vol car le vol qui est à lui seul un miracle sera dangereux s'il n'est pas accompagné par une capacité supérieure de vision. Les oiseaux peuvent voir les objets éloignés plus nettement et d'un angle plus large par rapport aux hommes. Ainsi ils saisissent les dangers d'avance et changent leur destination et leur vitesse de vol. Les yeux des oiseaux sont fixés dans leurs orbites. Ils ne peuvent pas les mouvoir comme le font les hommes. Néanmoins les oiseaux élargissent la zone de vision en tournant la tête et le cou vers la droite ou la gauche. En outre les oiseaux nocturnes tels les hiboux ont de très grands yeux. Certaines cellules particulières dans leurs yeux sont très sensibles à la lumière demi-obscure. Par exemple, la finesse de vision de l'hibou est 100 fois supérieure à celle de l'homme. Grâce à ce trait, l'hibou peut facilement voir et chasser ses proies pendant la nuit. Les yeux de l'oiseau d'eau sont créés de manière à lui procurer une vision nette dans l'eau. Nous ne pouvons pas ouvrir les yeux pendant plus de 45 secondes dans l'eau tandis que cet oiseau attrape les insectes et les mollusques en plongeant sa tête dans l'eau. Comme c'est la seule façon pour lui de se nourrir, il a besoin de voir nettement dans l'eau où il fera la chasse. Pour cette raison, lil existe une structure convenable à la vision sous-marine dans les yeux de cet animal qui aperçoit ainsi ses proies distinctement sous l'eau et nage vers elles sans perdre de temps. L'audition est aussi très importante pour les oiseaux. Certains d'entre eux ont une membrane d'oreille qui leur permet d'entendre très finement. La vision nette sous l'eau et dans l'obscurité et l'audition des voix très basses sont des caractéristiques qui n'existent pas chez l'homme. D'ailleurs nous n'en avons pas tellement besoin non plus. C'est parce que nous pouvons facilement mener notre vie sans elles. Cependant, il est impossible que les oiseaux nourrissent eux-mêmes ni leurs petits et perpétuent l'existence de leur espèce sans ces caractéristiques. Les oreilles des hiboux sont très sensibles à la voix. Leur ratio d'ouie est plus élevé que celui des hommes. Des deux côtés de la face du hibou se trouvent des poils semblables aux cheveux, qui rassemblent les ondes sonores et les transmettent à l'oreille. En plus, ces poils séparent une oreille de l'autre, ainsi le son qui provient du côté droit est plutôt capté par l'oreille droite. Les oreilles des hiboux ne sont pas symétriques sur la tête: l'une est située plus haut par rapport à l'autre. Aussi le hibou entend-il les bruits de plusieurs directions et même s'il ne voit pas l'être duquel parvient le son, il détermine sa position de façon tout à fait correcte. C'est un avantage important pendant les temps neigeux où il devient de plus en plus difficile pour les animaux de trouver des proies.
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