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Tout ce qui a été posté par angelique1
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Bonjour Un vent de folie et de malheur souffle en ce moment on dirait ... restons positif meme si c'est dur on doit l'etre pour les shih-tzu mal en point pour leur donner la force de continuer leur combat pour rester aupres de leur maitre bien aime. Courage il ne faut aps baisser les bras comme on dit tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir !! angelique
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Bienvenue parmi nous Adopter un chien de passe 10 ans est rare car souvent les futurs maitres refusent de s'attacher a un chien qui peut partir en quelques mois donc je salut ton geste envers snoopi ( j'adore le prenom au passage ) J'espere que tu oseras nous presenter egalement tes autres compagnons ? A tres bientot sur le forum
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Deutscher Spitz
angelique1 a répondu à un(e) sujet de Patricia-shih-tzu dans ~toutes les races de chien~
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les photos sont très attendrissante mais perso je n'ai pas de chat mais des oiseaux et c'est pas simple pour concilier les deux alors bon faut faire un choix et ça n'a pas été de prendre un chat et puis c'est pas le nombre qui compte mettre des photos et partager son maour avec son chat c'est une belle aventure
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coucou Floralinne C'est arrive déjà pour ma chienne mais elle sa dent était complètement sortie et le vétérinaire ovulait la lui retirer mais lors de la visite pour la lui enlever elle avait disparu sa dent on n'a pas tout compris mais la chienne a du nous comprendre quand on parlait de lui arracher la dent et elle a préféré le faire elle même Je ne sais pas comment se passe l'opération mais je compte sur toi pour nous le dire car moi le soucis a été résolu avant le jour J
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La trousse de toilettage pour l'arrivée du shih tzu
angelique1 a répondu à un(e) sujet de Sweet Shit tzu dans ~toilettage~
coucou les noeuds je ne les fait plus mais si tu es un peu manuelle et que tu as un peu de patience c'est pas tres complique a realiser je n'ai pas de site consacre aux noeuds ... par contre si certaines veulent se lancer dans la realisation et ne trouve pas le materiel pour le realiser je peux vous filer un coup de main ici on a tout un tas de choses pour creer de super ruban si cela vous tente dite le moi pssst sweet shih tzu tu nous montrera ta puce avec ses jolies noeuds hein -
Chanel et son chouchou sur la tête!
angelique1 a répondu à un(e) sujet de Françoise dans ~portrait photo~
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c'est Daiko ca ?? Wowou sacre loulou dis donc il a pas peur Baloo de se laisser mordiller par ce géant ça donne envie ( heu pas de se faire mordiller ) de lui faire des tas de bisous grand Daiko une force tranquille ( enfin je te le souhaite ) merci pour ces photos j'adore ils sont complice c'est tres beau vraiment
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Chanel et son chouchou sur la tête!
angelique1 a répondu à un(e) sujet de Françoise dans ~portrait photo~
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La trousse de toilettage pour l'arrivée du shih tzu
angelique1 a répondu à un(e) sujet de Sweet Shit tzu dans ~toilettage~
coucou ta trousse est pas mal complette deja tu sais pour les noeuds tu peux les faire toi meme moi c'est ce que je fais et c'est vraiment pas tres complique crois moi. Par chez moi on a des boutique ou ils vendent des perles des rubans papier ou tissus et des tas de choses et tu liasses juste tom imagination faire le reste et tu crees tes propres noeuds a tes gouts et en fonction de ton chien. sinon les adresses sont pas mal et les noeuds sont jolie -
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Coucou On peut déjà voir ce qu'en penses les membres en faisant un sondage... mais je trouve que l'idée est excellente ! Dommage que je sois si loin j'aurai vraiment aimer tous vous rencontrer ... Le site est la pour informer partager, aimer et surtout découvrir nos boules de poils car chaque shih tzu est unique et c'est a chaque fois une grande aventure qui commence des l'arrivée de l'une de ces boule de poils. Je te souhaite un jour de pouvoir arriver a surpasser tes douleurs actuelles suite a la perte de ton loulou et de reprendre un coeur sur pattes que tu rendras heureux tout au long de sa vie et qui te le rendra au centuple j'en suis certaine.
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Mon cher Blaireau ce forum vit grâce aux membres je n'y suis pas pour grand chose ... je veille juste au maintient du respect de chacun et des que quelque chose ne me plait pas je remet les choses en places sans perdre de temps pour ne pas abimer l'ambiance familiale et amicale qui règne sur le forum. Ca prend des années pour arrivée la ou nous en sommes ca demande un temps fou et beaucoup d'investissement personnel alors merci a vous de continuer de faire vivre le forum et d'être la régulièrement
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coucou Blaireau Je vais te paraitre tres idiote mais la j'avoue ne pas savoir a propos des associations mais je vais chercher et je te dit ca au plus vite. Je fais de mon mieux pour que tout le monde se sente bien sur le forum je gere avec le temps que j'ai a dispo et ma sante et tes paroles je l'avoue me font tres chaud au coeur merci beaucoup.
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On observe qu’un chien ne sait pas rester seul sans détruire et/ou souiller la maison, quand il est animé soit de détresse de solitude, soit d’incompréhension et colère à voir sortir librement ses propriétaires (un chien pouvant vivre plusieurs de ces raisons associées) - La détresse de solitude est ressentie par un animal qui n’a pas acquis assez d’autonomie. Ses atteintes à son environnement sont généralement dirigées sur le mobilier (canapés, fauteuils, coussins) sur des vêtements ou objets divers (CD, revues, télécommandes, etc…) Le flairage effréné, la prise en gueule (avec ou sans mordillements) d’objets et vêtements, signalent la quête désespérée de l’animal pour « retrouver ses maîtres » et les faire être plus présents. - L’incompréhension et colère de voir sortir librement ses propriétaires, animent un chien qui ne se considère pas comme leur subordonné (dans les codes sociaux canins, ce privilège étant réservé à la dominance). L’animal redirige alors la forte tension ressentie, en grattage des murs, portes ou fenêtres et/ou sème urines et selles moulées de marquage (ces marquages étant des « rappels à l’ordre façon hiérarchie canine ! ») Un statut ambigu pour certains chiens est émotionnellement des plus inconfortable à vivre, alors que certains rituels de priorité d’accès à la nourriture ou de gestion de l’espace et des interactions par exemple, réduisent ces ambiguïtés pour le chien et favorisent l’harmonie des relations. Tous ces comportements (symptômes des difficultés d’adaptation de l’animal) ne sont donc pas destinés à nuire, mais sont exutoires aux différentes formes de tensions intérieures ressenties. Devant les différents dégâts, déduire donc que le chien avec sa mine penaude au retour de ses maîtres, « sait pourtant bien qu’il a mal fait (la preuve : il détale pour se cacher ou prend toutes les postures de la soumission pour demander pardon !) » relève du même mécanisme anthropomorphique. D’un rapide coup d’œil, l’animal a très bien associé les traits un tantinet soucieux des maîtres qui scrutent leur intérieur en rentrant, avec les cris, menaces (et coups parfois) qui en ont découlés. Dès lors, il a l’habitude de redouter ces colères qui s’abattent souvent sur lui (de manière inégale et imprévisible) quand ses maîtres rentrent et cherche à les apaiser avec un comportement du répertoire social canin. Les postures de soumission (déclinées en attitudes plus ou moins marquées, d’aplatissement de l’animal jusqu’au renversement sur le flanc avec exposition de sa gorge et son ventre) sont, selon les codes sociaux canins, destinées à signifier à l’autre sa grande vulnérabilité et son désir de ne pas entrer en conflit. Il n’est pas question dans de telles séquences comportementales entre congénères, de « demander pardon à l’autre de ses fautes ! », mais bien simplement d’éviter tout combat avec celui qui menace. source : http://www.communicanis.com/anthropomorphisme.html
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Le deuil de l'animal: comment s'y préparer La vie de nos animaux familiers est toujours trop courte. Un chien selon sa taille peut vivre en moyenne 10 à 17 ans, un chat 16 à 18 ans. Le perdre peut être une épreuve douloureuse et difficile à supporter. A l’annonce de la mort de leur compagnon, nombre d’entre nous se demandent comment désormais vivre sans lui? Que l’animal très aimé qui a partagé nos joies et nos peines arrive en fin de vie et s’éteigne doucement ou qu’il meurt brutalement d’une maladie foudroyante empoisonné ou renversé par une voiture, c’est toujours un immense chagrin et l’heure de pleurer. Dans le premier cas les maîtres ont pu se préparer à cette échéance. Ils savent que la mort fait partie du cycle de la vie, et connaissent bien la trop courte espérance de vie de leur compagnon. Par contre si la mort est violente, inattendue, que l’animal est très jeune, alors cette disparition est encore plus insupportable et éveille une grande colère, voire le refus de croire à ce qui vient d’arriver. Tsiranne mort depuis 1 heure, à l'âge de 8 ans1/2 Les morts qui nous semblent prématurées sont tout particulièrement bouleversantes et la brutalité d’un décès accidentel n’offre pas la préparation au deuil. *L'euthanasie Pour un animal qui arrive en fin de vie ou dans la dernière phase d’une maladie mortelle, qui souffre trop, se replie sur lui, perd conscience, ne mange plus, les maîtres se posent la question de l’euthanasie pour lui éviter la pire des agonies et couper court à des douleurs insupportables. Décider que la vie de notre compagnon doit s’arrêter là, est une des résolutions les plus difficiles à prendre. Comment déterminer le degré de souffrance de l’animal, à partir duquel il ne sera pas charitable de le maintenir en vie, si ce n’est juste pour différer notre douleur de le perdre. Nous avons envie de dire à tous ceux qui sont ou seront un jour confrontés à cette terrible échéance, qu’il s’agira de percevoir avec le plus d’honnêteté possible le moment où la souffrance et la détresse auront gagné sur le plaisir de vivre de l’animal. Les pertes de l’appétit, des capacités motrices et de l’intérêt pour l’entourage, l’incontinence massive, les plaintes et gémissements, étant quelques-uns des signes évidents de cette détresse. Avec l’avis de son vétérinaire et mis devant l’évidence, on peut alors avec le praticien prendre la lourde décision de lui faire administrer une injection pour « une mort douce». Pour ceux qui le souhaitent et peuvent le supporter, il est recommandé d’accompagner courageusement son animal jusqu’au bout. Certaines personnes derrière cette épreuve, gardent ainsi le réconfort de ne pas s’être détournées et d’avoir jusqu’au dernier instant assisté dignement leur compagnon. *Un cérémonial est nécessaire Se pose alors une dernière question : que faire du corps de l’animal ? Plusieurs solutions sont possibles : *Le laisser chez le vétérinaire. * L ’enterrer dans son jardin à la campagne (à condition de respecter les réglementations : profondeur et chaux vive) *Prendre une place dans un cimetière animalie *Opter pour la crémation qui permet d’enterrer ou disperser ses cendres dans un endroit aimé. Chacun choisira selon sa sensibilité, mais un cérémonial comme enterrer ou faire incinérer l’animal mort peut aider beaucoup le travail du deuil. Se renseigner d’avance et parler de ces dernières dispositions à prendre, peut faciliter les choses le moment venu, quand on se trouve trop écrasé de chagrin. *Est-il normal d’être déprimé après la perte de son animal ? Combien de temps cela dure t-il ? Les effets du deuil et sa chronologie sont trop peu souvent évoqués. Notre société d’aujourd’hui plutôt portée à allonger la vie, préfère ne pas parler de la mort. Pourtant, le deuil qui est à la fois état et conséquences de la perte d’un être cher est un phénomène normal. Il n’est pas fou d’avoir du chagrin à la perte de l’animal avec qui on a parfois passé 15 ans d’une vie. C’est même notre dernière expression d’amour pour lui et mieux vaut éviter en cette période les personnes qui ne le comprendraient pas. Il est au contraire réconfortant de pouvoir exprimer son chagrin auprès de sa famille ou d’amis qui peuvent le recevoir. Celui qui peut parler, dire son émotion et pleurer avec les siens est favorisé. Il est important de ne pas se sentir critiqué dans sa douleur mais d’être compris et respecté. La meilleure aide pour un endeuillé vient de personnes proches aimant elles aussi les animaux, patientes, indulgentes et sachant simplement écouter sans rien vouloir empêcher de la douleur et des larmes de l’autre. Tout le monde ne réagit pas de la même manière, et certaines personnes auront plus ou moins besoin de contacts ou d’intimité. Le deuil se caractérise par l’humeur dépressive, la perte de l’intérêt pour le monde extérieur, la culpabilité, et peut conduire à une dépression grave. Mais attention à ne pas prendre toutes ces manifestations normales du deuil pour un état pathologique. À la perte d’un animal très aimé, le chagrin est inéluctable et naturel. C’est l’absence d’affliction qui peut être anormale et doit être repérée par les proches. Le maître endeuillé peut aussi nier cette mort et faire comme si l’animal était encore là, or non-dit et refus de la mort diffèrent ou bloquent le deuil. *Les différentes phases du deuil Le déroulement normal du deuil passe successivement par différentes phases : *D’abord le choc : celui qui reste, heurté, secoué dans toutes ses fibres, saisi d’une lassitude écrasante est atteint jusque dans sa santé, perd l’appétit, le sommeil. Émotionnelle ment perturbé, tour à tour agité il crie sa peine, ou comme anesthésié, silencieux, muré, il gémit livré à des affects d’impuissance, de révolte, de colère, d’abandon, de honte parfois, de culpabilité souvent. Tel maître se sent coupable de n’avoir pas repéré plus tôt les premiers signes de la maladie et n’avoir pas conduit son chien ou son chat de suite chez le vétérinaire ; tel autre de n’avoir pas prévu le danger qui guettait son compagnon. S’en prenant à la terre entière « pourquoi est-ce mon chien qui est mort ? », d’autres enragent aussi de la négligence d’un tiers qui a mal refermé le portail du jardin, contre le chauffard qui a renversé leur animal, ou le maître de ce chien qui a brisé la colonne de son chat… Certains rendent responsable le vétérinaire de n’avoir pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour sauver leur animal. Même celui qui a pu se préparer à son deuil, n’échappe pas à cette phase qui peut être moins violente mais plus insidieuse, et jeter parfois davantage dans la torpeur. *Puis vient l’état dépressif : comme soudain coupé des autres, c’est la grande solitude. L’endeuillé est seul à savoir ce que la perte de son animal représente de douleur pour lui. Tout est sombre, chaque geste du quotidien est laborieux, ce qui pourrait le divertir est rejeté, il ne peut être distrait ni déchargé de sa tâche de remémoration des souvenirs communs avec l’animal chéri. Sans plus être très bien capable de s’occuper de lui-même, il a besoin d’être protégé, consolé. Il faut ce temps comme pour tourner à vide… pour accepter peu à peu la réalité, la révolte, la blessure, l’état de fragilité, le déséquilibre qu’a engendré la perte. Des rêves surviennent, on voit le chien, le chat encore vivant, puis il s’éloigne, s’estompe, s’efface… *Enfin avec le temps grand consolateur du deuil, la douleur s’adoucit même si elle se réveille plus ou moins à des occasions anniversaires ou en croisant un autre animal de même race…celui que l’on ne peut plus voir, sentir, caresser va maintenant vivre à l’intérieur de nous. Sa photo nous accompagne, on aime évoquer les bons moments passés en sa compagnie …on sait qu’il n’est plus, mais il reste présent au fond de nous à jamais. On accepte ce passé qui ne sera plus et l’avenir qui ne sera pas avec l’être perdu. Ce parcours achemine vers la finalisation du deuil, qui laisse enfin la possibilité de reprendre goût à la vie. Ces différentes phases ne sont normalement que passagères, et c’est par contre si le maître s’enferme dans l’une d’elle qu’il ne peut terminer son travail de deuil et sombrer dans la dépression. *Peut-on parler de la mort aux enfants, et comment ? Pour comprendre et accepter, les enfants ont besoin de connaître la vérité. Selon leur âge, la nature et la force du lien qui les unissait à leur compagnon, ils peuvent être plus ou moins troublés ou affectés par sa perte. La mort est perçue différemment selon les âges : *Des explications justes mais simples seront suffisantes pour les plus jeunes jusqu’à environ 6 ans. Pour les petits le « plus jamais » n’existe pas encore et il ne sera pas véritablement question de deuil pour eux, mais d’expérience de séparation, de perte qu’il faut veiller à ce qu’elle ne soit pas vécue dans la solitude. C’est la toute chaude présence rassurante des parents qui leur permettra de dépasser l’épreuve sans traumatisme. *Les plus grands poseront de nombreuses questions, inutile cependant d’entrer dans des détails qui pourraient les choquer. Par contre, répondre avec clarté aux interrogations fréquentes comme « est-ce qu’il a mal, est-ce qu’il a froid ? » rassure et apaise le jeune. Présenter franchement les faits douloureux ainsi que proposer à l’enfant de voir l’animal mort s’il le souhaite, n’est pas choquant pour lui comme beaucoup le croient habituellement. Cela le conduit au contraire à l’acceptation de l’irréversible de cette perte. De même que l’adulte, il sera aidé dans son travail de deuil s’il peut ensuite fleurir la tombe de son animal, ou savoir où sont ses cendres. L’enfant qui perd son petit compagnon adoré, voit sa souffrance majorée si les parents font silence sur l’évènement, et ne veulent pas lui laisser vivre la réalité des choses. Le sentiment de solitude et d’abandon qui pourrait en résulter, ne ferait que le bloquer dans ce passage pourtant obligé par la souffrance, qui lui permettrait de rompre progressivement les liens avec l’animal perdu. L’enfant qui éprouve de l’angoisse face à la mort, sera rassuré si vous lui dites que toutes les maladies ou les blessures n’y mènent pas forcément. Lui dire que l’on a volé son chat ou son chien ou bien qu’il est parti… ne le ferait que développer des scénarii faux et angoissants du genre « il est parti parce que le l’ai disputé, est-ce qu’il va revenir ? ». Il pourrait se sentir trahi le jour où inévitablement il apprendra la vérité. Parce que l’on ne peut jamais soustraire ses enfants aux épreuves de la vie, il ne sert à rien de vouloir les abriter de la mort de leur animal chéri. Cette tentative de se protéger soi-même les empêche de grandir et de se préparer sainement à la vie et aux pertes inévitables qui la jalonnent. Il est donc capital que l’enfant puisse dire sa peine à ses parents, extérioriser ses émotions et se sentir accompagné dans son chagrin. Il peut le faire d’autant mieux que les adultes eux-mêmes ne dissimulent pas leur propre peine en lui montrant ainsi qu’il est normal de l’exprimer. *Ne pas négliger les autres animaux de la maison Plusieurs animaux qui cohabitent, tissent entre eux des liens d’attachement. Lorsque l’un d’eux décède, l’autre le cherche et ressent un vide. Il perçoit aussi la détresse de son maître qui le délaisse un peu. Dans son chagrin, il ne faut pas oublier celui qui reste et s’efforcer de lui consacrer du temps et lui garder ses habitudes. Faute d’attention, certains petits compagnons de longue date dépriment, ou même se laisse mourir à la suite de la disparition de leur « copain ». Sans ce nécessaire travail naturel du deuil, aucune relation nouvelle avec un autre ne pourra se nouer sainement. Se précipiter de manière prématurée pour reprendre un compagnon fait partie de ces vaines tentatives d’échapper à l’incontournable souffrance du deuil qui ne manquera pas de ressurgir un jour dans un moment et des circonstances inattendus. C’est également exposer douloureusement « l’animal de remplacement » à des comparaisons sûrement pas toujours à son avantage par rapport au mort idéalisé. Ce malheureux « remplaçant » risque fort d’en souffrir, toujours perdant dans cette sorte de compétition inégale. Nié dans ses qualités propres et sa singularité, le nouveau chien ou chat souvent choisi de même race et de même couleur, n’étant là que pour masquer la perte du précédent. « Jamais ce chien ne pourra dominer, se soumettre, se hiérarchiser, s’enfuir ou se cacher, éprouver un code clair de comportement avec ce maître-là, parce qu’il est à la fois appelé et chassé, attendri et angoissé. » « Il ne pourra participer à aucun rituel d’interaction cohérent, puisque dans l’esprit de son maître « il a été mis là pour » évoquer le disparu et souffrir de la comparaison. » Boris Cyrulnik (l’ensorcellement du monde, éd. O. Jacob pages 132 à 141) y expose très bien le drame du « chien de remplacement » toujours victime de troubles du comportement. Tout animal chéri disparu est irremplaçable. Celui qui lui succèdera pour continuer avec vous un bout du chemin de la vie se montrera capable de vous apporter aussi du bonheur, si après votre deuil, vous savez l’accueillir pour lui-même. Co-rédaction de Danièle Mirat et Françoise Gaudron comportementalistes
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A quel âge parle-t-on de vieillesse chez le chien ? En fonction de leur taille, leur poids, leurs conditions de vie ainsi que de leur potentiel génétique personnel, nos chats et nos chiens ne sont pas égaux devant le vieillissement. On observe qu’un grand chien entre dans le 3ème âge après ses 7 ans, son espérance moyenne de vie étant de 10 à 12 années. Les chiens de travail (gendarmerie, sauvetage, ring, pistage etc.) et les chiennes reproductrices sont d’ailleurs mis à la retraite à partir de cet âge. Un chien de petite race pouvant vivre beaucoup plus longtemps (15/18 ans), leur vieillesse ne débutera que vers les 10 ans. Basées sur des critères variés, des grilles de comparaisons d’âges de l’être humain par rapport à ceux du chien sont même proposées. Ces estimations n’ont d’intérêt que pour retenir qu’un chien âgé de 10 à 16 ans n’est pas un adolescent mais un vieillard ! et qu’il doit pour cela être traité avec des égards. Certains facteurs influent sur la longévité de nos petits compagnons. Le code génétique bien sûr, mais spécialement tout le soin que l’on a pris d’eux dès leur jeune âge, pour leur assurer une bonne condition physique et psychique (l’une n’allant pas sans l’autre). Être attentif à certains signes Graduellement moins beau, moins actif, moins présent, l’animal âgé est plus fragile qu’un jeune adulte et doit donc faire l’objet d’observations et d’attentions toutes particulières. Le regarder vivre et se déplacer, le palper, noter tout changement pour reconnaître ses déficiences progressives, aide à vite déceler l’apparition d’une maladie liée au vieillissement. L’allongement du temps de repos et de sommeil, qui lui est normal, ne devra donc pas être une inquiétude. Mais lentement l’animal peut venir à souffrir dans sa locomotion, s’essouffler, mal entendre ou mal voir … plusieurs de ces déficiences finissant par s’ajouter ! Résultat sa vitalité est diminuée et il peut être moins prompt à obéir. Le cerveau, organe de traitement des informations et de commande est concerné par le vieillissement. Son inévitable dégénérescence entraîne et accompagne progressivement nombre de troubles organiques, mais aussi de l’humeur et du comportement souvent. Les signes du 3e âge se voient donc sur le plan physique, psychologique et comportemental. Le corps commence à sentir le poids des années Ses performances physiques diminuant progressivement, l’animal se fatigue plus vite, il peine à sauter ou monter les marches Des poils blancs apparaissent sur le museau, le corps, la fourrure devient plus terne ou dépilée par endroits Des verrues ou kystes peuvent se former, qu’il faut faire examiner car les tumeurs sont légion chez les seniors (d’ailleurs nombreuses sont les femelles âgées qui développent des tumeurs mammaires) L’animal s’alourdit parfois. La surcharge pondérale est toujours préjudiciable au cœur, aux reins… mais surtout si c’est un chien dysplasique qui alors boitera davantage. La cataracte opacifie le cristallin, ce qui rend la vision de plus en plus trouble. Les facultés auditives diminuent et le chien obéit plus mal aux ordres : d’où l’intérêt de lui avoir appris à réagir à la voix et aux gestes. Le chien âgé peut se mettre à tousser ou s’essouffler, voire tomber en syncope… peut-être des symptômes de maladies cardiaques, pour le vétérinaire. Des insuffisances rénales (les reins filtrant moins bien) peuvent provoquer la mort de l’animal (c’est une des premières causes de mortalité chez le chat) : alerter son vétérinaire quand on voit l’animal boire davantage. La perte d’appétit ou au contraire la boulimie, l’incontinence nocturne, des constipations en alternance avec des diarrhées sont autant de points de repères de l’affaiblissement des fonctions vitales de l’organisme de l’animal. Sa psychologie et son comportement évoluent aussi Graduellement la vie relationnelle de notre compagnon vieillissant s’appauvrit. Mais ce phénomène s’accompagne parfois de troubles de l’humeur et du comportement plus marqués, et certains de ces dysfonctionnements nécessitent de consulter le vétérinaire : L’animal a moins d’intérêt pour tout ce qui le stimulait autrefois. Il accueille son maître avec moins d’enthousiasme et réagit comme « avec retard » ou comme « un peu décalé » quand on le sollicite, jusqu’à ne plus répondre aux ordres Il gémit parfois dans des circonstances du quotidien (toujours un peu les mêmes) pour ce qui ne semble pas être des douleurs ; il devient moins patient (voire despotique pour celui qui n’était déjà pas très souple !) Il peut avoir des réactions disproportionnées ou un peu inopportunes à des bruits plus ou moins familiers Il peut se mettre à déambuler de jour et même de nuit, voire se « perdre » dans son environnement habituel (dans le jardin notamment) Il peut rechigner à sortir hors de chez lui, et sembler avoir oublié ses apprentissages du jeune âge, ou même être « retombé en enfance » ingurgitant, comme un chiot, tout ce qu’il trouve. www.communicanis.com
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Petit coucou des Border Terriers !
angelique1 a répondu à un(e) sujet de border dans ~presentons-nous~
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