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Cocot02

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Tout ce qui a été posté par Cocot02

  1. Pinaise ça a été facile... Tu as marabouté le souriceau?
  2. Pour moi le débat s'arrête là, cette vision cynique du monde en général et de la terrario en particulier ça me dépasse. Bonne soirée.
  3. Oui, mais la différence avec du NC c'est que ça a un impact direct sur les populations sauvages en privant l'espèce de pontes dans le milieu naturel. Après si tu es persuadé que "c'est notre comportement qui doit être condamné" pourquoi fais-tu de la terrariophilie? Qu'est-ce qui t'attires dans cette passion? (je pose ces questions sans ironie aucune) Il y a malgré tout une différence entre être conscient de l'égoïsme intrinsèque de la terrariophilie, ou de la maintenance d'animaux en captivité en général, et utiliser ce prétexte pour justifier des pratiques préjudiciables à des populations sauvages parce que, ma foi, vu que c'est déjà pas terrible c'est pas grave si c'est pire... Je ne pense pas avoir joué les vierges effarouchées en soulevant le problème éthique que pose la pratique du farming...
  4. Salut, Au delà des problèmes sanitaires évidents liés aux animaux issus de farming, le système du farming lui-même est moralement condamnable. C'est une manière détournée de piller les populations sauvages d'un certain nombre d'espèces. En effet les "fermes d'élevage" ne sont pas des structures d'élevage à proprement parlé. Elles ne disposent pas d'un cheptel captif fixe élevé et reproduit en captivité. Elles emploient un bataillon de "chasseurs" qui capture les femelles gravides en milieu naturel. Ces femelles sont maintenues à la ferme jusqu'à la ponte, puis les œufs sont incubés et les petits vendus avec la mention "farming" au lieu de "Wild caught".
  5. Se mettre à jour c'est facile à dire moins facile à faire... Certains de nos animaux sont très âgés, la législation n'existait pas à cette époque (je pense a notre regius par exemple) et là difficile d'inventer des papelards là où il n'y en a jamais eu...
  6. En région parisienne beaucoup de plans d'eau en abritent aussi.
  7. Tout dépend de ce que tu entends par "sauvage"... Il y a quelqu'un qui s'en est débarrassé sur cet étang et depuis elle doit vivre peinarde en bouffant des alevins et des têtards.
  8. Oui j'ai eu une évasion au tout début, car je pensais que mon groupe était trop restreint pour avoir de la repro et je n'avais pas doublé le couvercle de la boite avec du tissu. Mais j'avais récupérer tout le monde car elles étaient restées près de la source de chaleur. En cas d'évasion il n'y a aucun risque de repro. Les individus ne survivent pas sous notre climat et ont beaucoup de mal à trouver de la nourriture. De plus si on double bien ses couvercles il n'y a aucun soucis. Je n'ai pas vraiment d'idée quant au nombre de petits par an et par femelle... les femelles donnent naissance à une trentaine de petits par portée, mais je n'ai trouvé aucune info quant au nombre de portées par an et il est difficile de faire un suivi sur des groupes où plusieurs femelles cohabitent.
  9. Oui, mes naissances... Bon j'arrête le flood...
  10. Une fois démarré c'est des ventres je ne me fais pas de soucis pour les tiens...
  11. Salut, Très bon choix... Moi aussi j'adore les dessins, et mon couple, même si ma femelle est un peu concon par moment c'est un plaisir à maintenir. Par contre je galère avec les juv pour les faire manger... Bonne continuation. cocot
  12. Famille : Blaberidae Sous-famille : Blaberinae Genre : Gromphadorhina Gromphadorhina portentosa (Schaum, 1853) Noms vernaculaires : blatte souffleuse de Madagascar, blatte géante de Madagascar. Originaire de Madagascar la Gromphadorhina portentosa est une des plus grosses espèces de blatte au monde avec près de 10 cm de long à taille adulte. Elle vit dans le tapis de feuilles mortes des sols forestiers, dans les troncs d'arbre en décomposition, et ne quitte son abri qu'a la nuit tombée car, à l'instar de beaucoup d'autres espèces de blattes, elle est très lucifuge. Très bonne grimpeuse, avec ses pattes pourvues de griffes et de pelotes adhésives, elle se nourrit principalement de fruits murs tombés des arbres, même si elle est capable d'adopter un régime alimentaire plus omnivore. Description : La G. portentosa arbore une robe noire, cédant la place à des zones rouge cuivrées à beige orangée au niveau de l'abdomen, et est totalement dépourvue d'ailes. Elle possède en revanche une carapace dure, particulièrement coriace chez les mâles adultes, qui la rend difficile à consommer par nombre d'espèces de lézards. Les mâles, généralement plus petits et trapus que les femelles (sauf les mâles dominants), possèdent deux excroissances au niveau du pronotum, qui ont l'apparence de petites cornes. Ces rostres servent lors de combats (dont les mâles portent parfois les séquelles : pattes ou antennes amputées) et ils sont particulièrement développés chez les mâles dominants. La femelle présente un pronotum lisse. Mâle Femelle Comportement : Les blattes souffleuses craignent la lumière et passe donc la majeure partie du temps cachée sous une écorce ou dans le substrat. Craintives et totalement inoffensives elles émettent, lorsqu'elles sont dérangées, un chuintement caractéristique résultant de l'expulsion de l'air par les stigmates de leur abdomen. On notera que les pattes robustes et hérissées de piquants peuvent piquer les doigts de l'indélicat qui essayerait de saisir une blatte contre son avis. Maintenance en captivité : La G. portentosa est une espèce très simple à maintenir en captivité mais qui a une croissance relativement lente pour une blatte : environ 1 an pour atteindre la taille adulte, et une espérance de vie de plus de 3 ans. C'est cependant un avantage, étant donné que ce sont principalement les juvéniles qui seront utilisés comme nourriture pour les reptiles. On peut cependant accélérer cette croissance en augmentant la température. Ces blattes peuvent être élevées entre 18 et 20°C mais grandissent plus rapidement à des températures de 25/26°C. J'utilise pour les maintenir des boites de transport en plastique chauffées par tapis ou câble. Une bonne couche de substrat (rafle de maïs, copeaux ou litière pour rongeurs) et des nombreuses cachettes (des demis noix de coco) constituent l'ensemble du décors. On utilisera un bout de tissu ou de moustiquaire afin d'éviter toute évasion étant donné qu'elles grimpent sans problèmes aux vitres. Principalement frugivores, je les nourris de pommes et d'oranges que je complète avec des croquettes pour chat. Il faudra enlevé les fruit non consommés dès lors qu'ils commencent à pourrir. Reproduction : La reproduction est aisée pour peu qu'on ait 4 ou 5 adultes mâles et femelles. Dans la plupart des fiches il est conseillé de maintenir plus d'une dizaine d'individus. Mais j'ai pu constater qu'en maintenant un groupe plus restreint mais dans un petit espace on obtenait très facilement des reproductions. La cohabitation de différentes génération dans un même bac ne pose pas de problème, je n'ai jamais constaté de cannibalisme, et quand la population atteint un certain seuil il suffit de séparer les individus les plus gros en les plaçant dans un nouveau bac. Les petits naissent déjà formés, les femelles ne pondant pas d'oothèques elles incubent les œufs dans leur abdomen. Ils ne mesurent pas plus de 10 mm à la naissance et sont particulièrement susceptibles de s’échapper. Conclusion : La blatte géante de Madagascar est, plus qu'une proie, un véritable animal de terrarium. Elle est d'une maintenance facile, ne dégage pas de mauvaises odeurs, pour peu qu'on enlève régulièrement la nourriture non consommée, et n'est pas cannibale. Avec son apparence impressionnante et son mauvais caractère c'est l'un des insectes les plus attachant qu'il m'ait été donné d'élever.
  13. Voici quelques photos prises lors de deux sorties à l'abbaye de Mortemer en forêt de Lyons (76). Une ancienne abbaye, trois étangs, des oies, des canards, le tout en bordure de forêt, un site idéal pour observer insectes, reptiles et batraciens. Un Carabus auronitens Deux Bufo bufo Natrix natrix Une squateuse exotique, Trachemys scripta elegans cocot
  14. Merci pour ces photos, j'espère que la repro se passera bien...
  15. Je te souhaites plein de réussite pour cette repro.
  16. Pour en avoir manipulé des adultes lors de mon stage CDC, je dois dire que c'est assez sympa comme bestiole mais c'est vraiment balèze à taille adulte. La taille est le facteur primordial à prendre en compte parce qu'un bulldozer de 25 à 40 kg il faut pouvoir le caser dans son chez soi, surtout quand le climat est un peu rude l'hiver...
  17. Laisse-les tranquille pendant 48h. Il a fallu entre 24 et 48h pour mes maculosa entre l'incision et la sortie effective de l’œuf et il y a eu 24h de décalage entre le premier et le dernier sorti. Félicitations...
  18. Super cette fiche. Merci Kevin. On peut ajouter que le ternissement des couleurs et l'opacité des yeux sont dus à la lymphe qui se diffuse entre l'ancienne et la nouvelle couche d'écailles facilitant le décollement de l'éxuvie.
  19. Salut max, Merci pour ces photos, c'est un bien beau spécimen que tu nous présentes là. Je te souhaites de la réussite pour les projets de repro futurs que tu aurais.
  20. Salut Aaren, Merci pour ces nouvelles et cette photo. si tu cherches une femelle je connais des éleveurs qui en font.
  21. Super! Elle dure combien de temps l'incubation pour les réticulés? Tu incubes à quelle température? cocot
  22. Superbes photos Phil et surtout joli bébé...
  23. Ça risque de ne pas marcher parce que les œufs d'oiseaux doivent être régulièrement retournés.
  24. Alors c'est pour quand la sextape des pogonas? Beau boulot.
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