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jean 45111

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Tout ce qui a été posté par jean 45111

  1. oui, je viens de voir ! lollllll Je suis honoré!
  2. Je n'ai pas parlé de maintenance là Elo, juste des notes et réflexions que je fixe a travers mon élevage, ma façon de penser. Je pense d'autant plus qu'il est nécéssaire de rappeller qu'il y a encore des gens sérieux (en France) qui préfèrent euthanasier, plutot que de vendre a n'importe qui.......(je n'ai jamais vendu de venimeux à des non-capacitaires et c'est pas maintenant que ça va commencer). C'est surtout ce que j'ai voulu dire......comme tous les forums, ici comme ailleurs, on ne controle pas tous les membres, alors je préfère prévenir plutot que de recevoir un mp de je ne sais qui, me demandant de lui vendre quoi que ce soit......
  3. Comme je l'ai dit sur un autre forum, j'ai essayé cette méthode, mais avec le flan de l'éponge, et j'avou que c'est sécurisant.........Après, pour un gavage en série, ça prend 2 à 3 fois plus de temps.......
  4. MDRRRRRRRRRRRR, l'ombre de ton doigt de pied.............vu la taille de la gamine lolllll il doit etre petit.............
  5. je suis en train de faire une grosse restructuration dans ma pièce......mais promis dès que tout sera rentré dans l'ordre, je posterai des photos toutes neuves! Après, j'ai toujours possibilité de poster des photos avant ces changements...... Mais une vidéo serai sans doute plus appropriée...........Hein Elo? Cherchez un peu sur daylimotion (france5 serpents)......pour ceux qui n'ont pas vu..................LOLLLL
  6. Je ne chercherai à reproduire des venimeux qu’en cas très particuliers : si j’arrive à trouver d’autres éleveurs de vipera ursini ou d'autres espèces menacées en Europe, ayant le même intérêt que moi pour l’espèce qui est menacée ; et si j’ai la chance de pouvoir reproduire des animaux dont la reproduction est parfois difficile à obtenir en captivité et que des éleveurs sérieux sont intéressés par les résultats. A par ces cas particuliers, je ne chercherai pas à reproduire mes venimeux. Admettons qu’une reproduction ait lieu, qui ne soit pas désirée (sachant que je maintiens mes animaux individuellement, ou groupés par sexe, ce cas est hypothétique). Deux cas se présentent : 1_ En cas d’espèce ovipare, je sors les œufs du terrarium et les détruits. 2_ En cas d’espèce ovovivipare - les petits naissent déjà formés, je serai contraint de les euthanasier. La mort dans l’âme, mais d’un autre côté me retrouver avec des vipéraux partout ne m’enchante guère : à qui les vendre ? Plutôt que de m’en débarrasser aux premiers venus, je préfère les euthanasier. La méthode est celle généralement préconisée par les vétérinaires, qui limite autant que possible les souffrances : ne régulant pas leur chaleur interne, les serpents sont mis au réfrigérateur quelques heures, et cela les anesthésie. Puis on les place au congélateur quelques heures. Reste à les emmener chez un vétérinaire qui les incinèrera. Etant un éleveur sérieux, ce cas restera hypothétique. Mais il est important de le soulever, et ma réponse est claire : vendre des venimeux, oui, mais pas n’importe comment. Et reproduire des venimeux, oui aussi, mais dans un cadre et un contexte clairs. De toute façon, je maintiens mes animaux séparément, ou au pire à deux maximum groupés par sexe : mâles ensemble, femelles ensemble. Je contrôle ainsi les reproductions et sais qui a engendré qui, avec qui. Conclusion : toute reproduction non souhaitée sera neutralisée.
  7. Mon attitude vis-à-vis des venimeux :
  8. mon avis sur l’acquisition et la vente de venimeux : Je sais ce que je fais, et si j’ai décidé après une très longue maturation de me lancer dans le venimeux, c’est que je sais le faire dans les meilleures conditions. Il n’est pas question d’acheter n’importe quoi à n’importe qui : si certaines espèces sont immédiatement identifiables, d’autres le sont difficilement. C’est le cas de nombreux Naja. Or en bourse, il y a le choix certes, mais de quoi ? Quel élément me certifie que le vendeur vend bien telle espèce, et pas un hybride entre deux ? Combien de Naja ont été hybridés par des gens peu regardants ? Les venins des progénitures ont alors des caractéristiques nouvelles qui risquent de compliquer très sérieusement le tableau clinique : en effet, si l’on se fait soigner pour une morsure de Naja kaouthia, et qu’en fait l’animal est un hybride de kaouhtia et de N.naja, quels seront les effets ? Alors je n’achète qu’à des gens que je connais bien, ou à des gens que eux connaissent bien. Et de toute façon, je ne passe mon temps à acheter de nouveaux spécimens. Si je suis amené à vendre des venimeux, ma démarche serait encore plus stricte que lorsque je vends des serpents aglyphes. A savoir que je ne suis pas marchand, et peux légalement refuser une vente si la personne ne me parait pas apporter les garanties nécessaires. Des questions simples permettent de savoir si la personne est fi able et sait ce qu’elle fait : je cherche à savoir les détails des installations, le mode de chauffage, de nourrissage, etc... S’il s’agit de venimeux, il faudra me prouver une expérience parce que ces animaux sont capables de tuer ; et un imprudent court un risque inouï que je refuse d’assumer. Je connais des éleveurs chevronnés, ils en connaissent aussi, cela forme un «réseau» d’initiés qui sont sûrs et compétents. A eux, je peux vendre sans inquiétude. Et comme le paragraphe suivant vous le montrera, mon but avec les venimeux n’est pas d’en «sortir» des centaines par an pour me faire de l’argent.
  9. Oui, Perth est une ville d'Australie occidentale
  10. Notes et réflexions sur l’élevage de serpents venimeux : Pourquoi risquer sa santé à pratiquer une activité dangereuse ? Qu’est-ce qui me pousse à vouloir maintenir des serpents venimeux ? Comme je l’ai déjà dit, il s’agit de ma passion pour les serpents, tous les serpents ; un jour j’ai décidé d’en élever. . Mais les venimeux m’ont toujours attirés, au même titre que n’importe quelle couleuvre ou Boïdé. Maintenant que je suis installé sur un beau terrain bâti d’une maisons, j’ai la possibilité de réaliser la salle étanche que j’ai depuis longtemps envie de faire. Cela fait une bonne année que l’idée de m’installer ici fait son chemin ; mon intérêt pour les serpents venimeux, jusqu’à lors exprimé par une très bonne connaissance théorique et pratique, pouvait alors prendre de l’importance et prendre une nouvelle dimension. Ma démarche est celle de quelqu’un de censé, n’ayant pas envie de se retrouver à l’hôpital ni d’y envoyer une tierce personne !! Un parachutiste risque sa vie dangereusement : se lancer à 3000 mètres d’un avion, avec une grosse serviette pour atterrir vivant ? Evidemment, les gens qui regardent de l’extérieur ont du mal à comprendre... Le parachutiste connait les risques et fait tout ce qu’il peut pour éviter l’accident : vérification du matériel, répétition des gestes, entrainement, concentration, etc... Et les accidents sont rares. En revanche, des milliers de gens se tuent chaque année dans leur salle de bain ou en voiture. Un parachutiste doit être licencié d’un club pour pratiquer, il sera jugé par des parachutistes qui évalueront son niveau en connaissant la chose. Si le parachutisme est considéré comme un sport extrême «cool», j’ai moins de reconnaissance avec mes serpents qui font peur à la collectivité parce que... parce que l’un d’eux a donné une pomme à Eve ? Le mythe fait beaucoup de dégâts... A juste titre, pratiquer l’élevage de serpents venimeux est soumis à législation ; c’est vous, chers lecteurs, qui allez statuer sur ma compétence. Parmi vous, certains ne connaissent pas les serpents. J’espère que vous saurez prendre du recul par rapport à tout ce que l’Humanité trimballe comme idioties, et pourrez considérer ces animaux particuliers tel que je vous les présente : dangereux, mais au risque limité pour peu que tout soit mis en œuvre pour éviter l’accident... comme en parachutisme. Mon but en tant qu’éleveur est très clair : c’est une passion très égoïste. Je reproduis mes phelsumas et vends les petits avec l’espoir que cette attitude largement partagée parmi nous, éleveurs, puisse participer à la réduction des prélèvements de spécimens sauvages. Proposer des animaux nés en captivité n’a que des avantages. Ma démarche est nettement relativisée avec les venimeux : si le défi de reproduire mes espèces venimeuses me séduit, que faire des petits ? Les vendre à n’importe quel idiot capable de se faire mordre en déballant le bébé une fois rentré chez lui ? Certainement pas. Je refuse de reproduire mes venimeux à tort et à travers, j’envisage de le faire dans des conditions très strictes que j’exposerai plus tard. Si vous craignez qu’un homme arrive dans le département pour faire du business de venimeux, je vous rassure tout de suite : ce n’est pas moi !! D’ailleurs, un tel personnage ne passerait pas son certificat de capacité. Le profil du mâle en mal d’affirmation qui achète un gros serpent venimeux bien exotique, pour faire peur à ses amis et épater les filles, existe bel et bien malheureusement. J’ai même vu et entendu un «éleveur» (je suis contraint de mettre des guillemets) se vanter de ses seize morsures... Mes venimeux seront à l’abri dans leur salle sécurisée, personne ne peut y entrer facilement, en tout cas pas sans moi. Les visiteurs de la salle sont amenés au compte goutte et je ne fais jamais entrer quelqu’un qui a peur des serpents. Si lui faire approcher une petite couleuvre peut avoir (si c’est bien fait) un rôle pédagogique, l’emmener devant des crotales qui sonnent et des cobras qui coiffent est une très mauvaise idée : si la personne panique, on fait comment ?? Alors chez moi c’est simple : elle n’entre pas. Et de toutes façons, je ne me vante jamais d’avoir des serpents, je n’en parle pas naturellement. Je ne le cache pas, mais je me fiche de savoir ce que les gens font chez eux. Mes proches le savent, mes collègues éleveurs aussi, et les autorités compétentes également. Les autres n’ont pas à connaitre ma vie privée. Pour finir là-dessus, je ne cherche pas à posséder des tonnes de venimeux : je veux élever quelques espèces qui me tiennent à cœur dans les meilleures conditions de sécurité. Cela implique un nombre restreint de spécimens afin de ne pas étaler les interventions et risquer une baisse de forme, que le serpent ne pardonnera pas.
  11. Salut Cocot, La faune française est accescible en venom, sous condition bien sur de ,pouvoir prouver que tu as fait différents stages en milieu scientifique...... J'ai eu énormément d'européennes (vipera, montivipera et macrovipera, en passant par aspis et seoannei pour parler de faune française), mais aujourd'hui ce qui me fascine le plus sont les grosses bitis.........
  12. Héhé .... sauf si c'est un gros asper bien con xd c'est pas faux non plus ! HAHA
  13. arffff Elo, dès que tu es capa venom, je t'offre ton couple de cerastes........a moins que pat t'est déjà proposé lolllll :!
  14. si y'avait que de l'ophio, ça irai encore.......mouahhhhhhhhhhhhh !!!!
  15. Dans le monde des dsv ou de la non-terrario, prouver par A+B que tu es compétente se révèle dur....... Les seules solutions sont la lecture d'ouvrages dédiés et les stages...avec des attestations bien sur! le monde de la terrario venom est tellement fermé que personne "n'ose imaginer que c'est possible"...! En france, nous avons des lois, et il faut les respecter, car moins nous les respecterons, moins ce sera possible.... Il y a 20 ans en arriere, le problème ne se posait pas, c'était nouveau, je regrette a aujourd'hui ne pas m'etre mis en regle a ce moment là.........quoi que...Certains exemples de terrario capa venom depuis ces dates ci, se révèlent etre des gens indomptables et m'as-tu vu au plus profond d'eux memes...
  16. comme le dit Elo, la sécurité du soigneur avant le reste!!! Les crochets, sont notre sécurité, l'ambiance ds le terra, "nuira" ou pas a la sensibilité des animaux (mais on s'en fou un peu......) papier journal ou copeau ou autre.....pas bien grave, les animaux s'y retrouveront...... Alors, je dis oui au changement de décors !
  17. Contention et manipulation Manipuler un serpent venimeux reste une chose accessible : pas besoin de dix ans d’études en biologie comportementale pour le faire correctement. En revanche, n’importe qui ne doit pas le faire : quelqu’un qui panique, instable psychologiquement, hyperactif, ou ayant des difficultés à se concentrer ne doit en aucun cas s’approcher de tels animaux. Il ne faut jamais paniquer lorsqu’un serpent venimeux réagit d’une façon imprévue : ce sont des animaux sauvages, donc par définition imprévisibles. L’aplomb permet de gérer l’imprévisible sans panique. La panique se traduit par des gestes brusques et irréfléchis qui provoquent à coup sûr une réaction offensive de la part du serpent. Quand un venimeux tombe du crochet, sort de sa boite, se jette hors du terrarium, il faut avec des gestes posés l’orienter au crochet, en douceur. Un serpent qui se trouve dans une telle situation stress très fort, a une décharge d’agressivité un bref instant, puis rapidement se relâche. En effet, les ophidiens ont une endurance très limitée : ils s’épuisent bien vite. Il suffit de le laisser se calmer une ou deux minutes, laps de temps pendant lequel il comprend qu’il n’est pas victime d’un acte de prédation. Ses mouvements sont contrôlés au crochet, pour le garder à bonne distance sans le laisser s’éloigner. Enfin, on le reprend en douceur au crochet, par une boucle qu’il forme naturellement, et on le remet dans son bac de destination. S’il recommence, aucun problème : on a le temps, on réitère la méthode. Les serpents sabulicoles sont un peu plus susceptibles de tomber du crochet : ils sont nés pour glisser, il arrive qu’un mouvement de crochet trop lent ou pas assez volontaire leur laisse le temps de glisser et de tomber. Avoir un plan de travail est bien utile à ce niveau là. Les arboricoles tiennent tellement bien au crochet, que certains vont remonter le long de la tige en direction de la main : avec eux, on utilise toujours deux crochets. Avec le second on repousse l’animal vers le bas. On tient toujours le crochet orienté vers le bas, c’est le bras qui monte. En effet, il serait bien inconfortable que le serpent tombe sur la main !! En inclinant le crochet vers le bas, si la bête tombe, c’est sur le plan de travail ou au sol. Mieux vaut une chute du serpent qu’une morsure en plein visage ou en plein cœur... jamais je ne suis à distance de frappe des animaux : ils peuvent attaquer autant qu’ils veulent, ils ne peuvent pas m’atteindre. Au quotidien, ces méthodes simples permettent de s’occuper des animaux en sécurité. Le secret, je me répète, est la distance. Il faut être hors de portée des crochets venimeux. A cela il faut ajouter du calme et du sang-froid, en se donnant le temps de bien gérer les imprévus.
  18. la routine s'installe tjrs....c'est le problème....quoi que tu fasses.....elle est là.....le but est d'etre conscient des risques....avant tout !
  19. En venom, le ridicule ne tue pas et meme pour n'importe quellle autre bestiole d'ailleurs, nous somme tous là pour apprendre!
  20. ça prouve que tu es dedans et ça fait plaiz !
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