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Ballistik

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  1. Tout à fait , Le praticien chez lequel tu emmèneras la dépouille , te délivreras une preuve de dépôt . ( entreprise d'incinération ) Elle te servira de justificatif . Il est strictement interdit de jeter la dépouille d'un animal , si petit soit-il , aux ordures collectives . Comme il est interdit , d'un point de vue sanitaire, d'enterrer un serpent dans son jardin ou même dans les bois . Il faut congeler la dépouille du spécimen ( dans un congélateur prévu à cet effet ), puis l'emmener chez son vétérinaire . Attention , ne pas congeler la dépouille si vous désirez faire pratiquer une autopsie .
  2. La seconde est une photo d'ensemble , c'est un 100/90/60.
  3. Le mâle me fait penser à du "sunglow", plus qu'à de l'albinos... Mais à priori il n'a pas les yeux rouges.
  4. J'adhère à 100% au discours d'O.Marquis . Mais il est vrai que j'aurais pu étayer un peu mes propos. En argumentant, pour exemple, quant aux tendances cavernicoles d'A.childreni. Nous avons justement discuté de ce sujet très récemment avec Vincent , et avons tout à fait la même vision des choses. Au plaisir d'en débattre avec toi. Cisco
  5. Passe un coup de téléphone à la boutique , de préférence à l'heure de l'ouverture
  6. Il te suffit de regarder sur le site de Nico Tout est indiqué il me semble .
  7. Je me permets de te contredire , Le "fipronil" , molécule active du "Frontline" , agit sur le sytème de "neuro-transmission" des "ectophages" par simple contact . Nul besoin qu'ils en ingurgitent . J'avais pour habitude à une époque , de traiter en préventif tous les spécimens qui rentraient dans mon local . J'utilisais du "Frontline" en spray en suivant le protocole adapté , et n'ai jamais eu le moindre problème . J'ai pratiqué sur des spécimens "Pantherophis guttatus" adultes et juvéniles , "Pythons régius" adultes et juvéniles ainsi que "Morélias harrisoni" juvéniles . Je précise que je n'avais pas d'infestation "d'ectophages" , donc ne pourrais pas donner un avis objectif sur l'efficacité de cette molécule en traitement curatif . En revanche , j'ai acquis dernièrement un spécimen de "Morélia viridis" porteur "d'ophionyssus" . Il fut placé en quarantaine dès son arrivée comme tous les animaux entrant à la maison, et traité au "Taurus" quelques jours après . L'infestation a été éradiquée en trois semaines environ . La colonie de "Taurus" décroît pour finir par disparaître , à partir du moment ou les "ophionyssus"ne sont plus présent dans son environnement . Il faudra veiller lors de son utilisation à laisser une partie du substrat ( l'idéal étant la fibre de coco ) humide , de manière à ce que la colonie puisse se reproduire . En conclusion , dans mon parcours "terrariophile" j'ai eu la chance de n'être confronté qu'une fois à ce genre de problème , le "Taurus" est à mon sens une bonne alternative aux molécules chimiques . En revanche , je ne l'ai testé que sur un seul spécimen juvénile , donc ne pourrais me prononcer sur son efficacité à plus grande échelle .
  8. Lignes directrices pour la mise en cage de petits rongeurs de reproduction Surface au sol minimale de la cage pour une mère et sa portée (en cm2) - Souris : 200 - Rat : 800 - Hamster syrien : 650 - Cobaye : 1200 - Cobaye en harems : 1000 par adulte Hauteur minimale de la cage (en cm) - Souris : 12 - Rat : 14 - Hamster syrien : 12 - Cobaye : 18 - Cobaye en harems : 18 par adulte Lignes directrices pour la mise en cage de petits rongeurs et de lapins (stockage) Surface au sol minimale de la cage (en cm2) Pour un spécimen ; - Souris : 180 - Rat : 350 - Hamster syrien : 180 - Cobave : 600 - Lapin I kg : 1400 - Lapin 2 kg : 2000 - Lapin 3 kg : 2500 - Lapin 4 kg : 3000 - Lapin 5 kg : 3600 Hauteur minimale de la cage (en cm) - Souris : 12 - Rat : 14 - Hamster syrien : 12 - Cobave : 18 - Lapin I kg : 30 - Lapin 2 kg : 30 - Lapin 3 kg : 35 - Lapin 4 kg : 40 - Lapin 5 kg : 40 Note : Par "hauteur de la cage" on entend la distance entre le sol de la cage et la partie horizontale supérieure du couvercle ou de la cage.
  9. MUS MUSCULUS Classification: Règne: Animalia Embranchement: Chordata Sous-embr.: Vertebrata Classe: Mammalia Cohorte :Euarchontoglires Ordre: Rodentia Sous-ordre: Myomorpha Famille: Muridae Sous-famille: Murinae Genre: Mus Sous-genre: Mus (Mus) Nom binominal: Mus musculus Linnaeus, 1758 Synonymes: Mus abbotti Waterhouse, 1837 Mus domesticus Rutty, 1772 Répartition géographique : I) Maintenance et soins : A) Maintenance : L'on conseille une surface au sol de 600 cm2 par spécimen . Les conditions de maintenance sont sensiblement les mêmes que pour Rattus norvegicus . L'on pourra apporter un complément alimentaire aux femelles gestantes et allaitantes sous forme de mélange de graines , en prenant soin d'éviter les aliments trop gras ( tournesol , noisettes , noix , ect...). La nourriture sous forme d'extrudés convient parfaitement aux souris maintenues en cages d'élevage . Il faudra absolument éviter de faire cohabiter plusieurs mâles , mêmes issus d'une même portée . B) Soins : Se reporter à la fiche sur Rattus norvegicus C) Reproduction : Il faudra veiller à ne pas dépasser 1.5 par contenant , les femelles en nombre supérieur pourraient se battre pour les petits , mais il se peut également qu'elles les élèvent ensemble , tout dépendra des spécimens . Les temps de gestation de Mus musculus est d'environ 21 jours . Le temps de sevrage alimentaire est de 4 semaines . Les portées comptent de 7 à 15 souriceaux .
  10. RATTUS NORVEGICUS CLASSIFICATION : Règne: Animalia Sous-règne: Metazoa Embranchement: Chordata Sous-embr.: Vertebrata Classe: Mammalia Sous-classe: Theria Infra-classe: Eutheria Ordre: Rodentia Sous-ordre: Myomorpha Famille: Muridae Sous-famille: Murinae Genre: Rattus Nom binominal: Rattus norvegicus (Berkenhout, 1769) Synonymes: Epimys norvegicus Miller, 1912 Mus decumanus Pallas, 1778 Mus hibernicus Thompson, 1837 Mus norvegicus Berkenhout, 1769 Statut de conservation UICN : LC : Préoccupation mineure RÉPARTITION GEOGRAPHIQUE I) MAINTENANCE ET SOINS : A) Maintenance : Un rat a besoin de 0,05m3 minimum, mais cela n'est valable qu'à partir du moment où il a une surface au sol suffisante pour se déplacer et évoluer aisément.Il faudra choisir un contenant en fonction du nombre de spécimens détenus . Il existe plusieurs types de contenants , les cages traditionnelles ( composées d'un bac et d'une grille ) et ce que l'on appel "cages laboratoire" ( matériel d'expérimentation animale ). D'un point de vue prohylaxique les "cages laboratoire" sont mieux adaptées à l'élevage de rattus norvégicus . En matière de substrat , plusieurs choix sont possibles : - Les copeaux de bois blanc : Ils sont très absorbant , mais ont pour inconvénients d'être très poussiéreux et d'engendrer à moyen terme des complications respiratoires chez le rat , qui deviennent chroniques assez rapidement .Eviter les copeaux de résineux qui émanent des phénols . - Le chanvre : C'est le substrat le mieux adapté , mais attention , selon les marques il peut être très poussiéreux .Il a l'avantage d'atténuer les odeurs d'urines . - Le lin : Peu poussiéreux , en revanche , une très forte odeur se dégage, seulement au bout de quelques jours....je déconseille . - La rafle de mais :Peu adaptée , abrasive , devient très vite un nid à bactéries , souvent traitée aux parfums de synthèse . - Le foin :Peu adapté , il ne supporte pas l'humidité , véhicule souvent des parasites . - La paille :Peu adaptée , elle ne supporte pas l'humidité , véhicule souvent des parasites . Les contenants doivent être nettoyés et désinfectés régulièrement avec des produits adaptés ( 1 X par semaine ). L'idéal étant , pour exemple , de nettoyer et désinfecter le lundi puis de changer uniquement le substrat le jeudi . De cette manière , les contenants restent "propres", et les odeurs d'urine ne sont gênantes ni pour les rongeurs , ni pour l'éleveur . ( L’idéal étant de posséder un système de "VMC" dans son local d'élevage ) En ce qui concerne les températures , il faudra prendre garde à ne pas descendre en dessous des 16° , ce qui pourrait entraîner des pathologies respiratoires . L’idéal étant de conserver une moyenne entre 18 et 21° . Des gradients thermiques trop bas peuvent entraîner une baisse de la fertilité . Les petits "plus" du local d'élevage : - Ioniseur d'air - Diffuseur d'huiles essentielles par ionisation ( Eucalyptus Globulus ) a) Alimentation : Bien que le rat soit un animal omnivore , la mono alimentation ( de qualité...) lui convient dans le cadre d'un élevage alimentaire . Les granules pour rongeurs , autrement appelées extrudés ou bouchons conviennent parfaitement au mode de maintenance en "cages laboratoires" . Le rat devra disposer de nourriture en permanence . L'eau devra être changée tous les deux jours maximum . Il est conseillé de supplémenter à la nourriture une cure de vitamines une fois par semaine , pour les femelles gestantes et allaitantes . L'on pourra également apporter un complément en protéine par le biais de croquettes pour chatons . Certaines marques proposent des mélanges adaptés , mais ce style de nourriture à pour inconvénient de passer à travers les grilles des cages laboratoires et de ce fait souiller le substrat si elle n'est pas consommée. B) Soins : Les rats sont des animaux fragiles sur le plan respiratoire , mais également sujets à des complications au niveau de l'épiderme si les conditions de maintenances ne sont pas respectées ( substrat humide , abrasif ). Les complications respiratoires interviennent rapidement ( substrat poussiéreux , températures trop basses ) et deviennent à moyen terme chroniques . Ce qui engendre un affaiblissement du spécimen , un amaigrissement et une baisse de productivité . Les symptômes d'une infection respiratoire sont : - des éternuements - des gènes respiratoires ( râles ) - un amaigrissement - l'apathie - La sécrétion de porphyrine ( à la base des poils , en sécrétions lacrymales ) Porphyrine:Les porphyrines sont des molécules à structures cycliques impliquées dans le transport de l’oxygène et pouvant jouer le rôle de cofacteur lié (groupement prosthétique) de certaines enzymes. Elles entrent dans la composition de l’hémoglobine, dans le globule rouge (où l'on parle alors de Porphyrine érythrocytaire) et ont donc une place importante dans le métabolisme respiratoire. Les propriétés physiques de ces structures naturellement fluorescentes en font également des fluorophores de choix pour marquer des réactifs biologiques (anticorps, nucléotides...) Gale sarcoptique: (gale de la peau) La gale sarcoptique est une affection contagieuse de la peau provoquée par des acariens, les sarcoptes, qui se nourrissent du sang de l'individu contaminé. La gale se développe sur les animaux tels les rongeurs, les chiens, les chats... ils se grattent alors fréquemment, les démangeaisons (prurit) sont les premiers signes de cette maladie parasitaire. Chez les individus qui ont des défenses immunitaires affaiblies la gale prend un aspect particulier: les lésions sont plus étendues, recouvertes de croûtes et situées de préférence aux endroits facilement atteignables par grattage comme vers le cou et derrière les oreilles. Plus les démangeaisons sont fortes, plus le risque de grattage, donc de surinfection, est important. La gale notoedrique: (gale des oreilles) La gale notoédrique est une dermatite (inflammation de la peau) due à un parasite. A l'occasion d'un stress, ou d'une surinfection bactérienne des boutons, apparaissent. Les lésions se localisent sur le museau (forme de corne, on parle alors de "rat licorne"), les oreilles (aspect de "boutons blancs" sur le haut des lobes) ou la queue (pertes des poils de queue par endroits et formation de croûtes). Avant d'introduire un nouveau rat chez vous il vaut mieux l'examiner minutieusement et faire une quarantaine. La gale est très contagieuse entre rats, il faudra donc soigner tous les rats de la maison, sous peine de voir le traitement échouer. Les puces: La puce est un insecte sans ailes, son corps est aplati ce qui lui permet de circuler facilement entre les poils. Elle se déplace également par des bonds grâce à ses pattes arrières très développés. La puce peut percevoir la présence d'un animal et se fixer sur la peau pour prélever le sang. Elle se nourrit en prélevant le sang de son hôte. 36 à 48 heures après avoir prélevé du sang sur l'animal, la puce femelle commence à pondre. Une seule femelle pond tout au long de sa vie une moyenne de 200 oeufs. Au bout de 1 à 10 jours une larve sort de son oeuf. Cette larve fuit la lumière et la sécheresse, en s'enfonçant dans l'épaisseur des moquettes, dans les fentes de parquet, dans les canapés... Après différentes étapes, la larve se transforme en puce adulte. Un cycle peut durer de 3 semaines à 6 mois selon si les conditions sont favorables (chaleur et humidité) ou défavorables (pas d'hôte, basse température). La puce affaiblit son hôte. Chez de très jeunes animaux, l'infestation peut provoquer une anémie sévère, et même mortelle. La piqûre de puce est irritante, l'animal va se gratter, se secouer. La salive de puce peut provoquer dermite par allergie qui se traduit par des petits boutons blancs sur les oreilles. La puce peut également transmettre le ténia. Les poux du rat: Les poux préfèrent les animaux affaiblis (vieux, malades) pour la première attaque. Puis ils contaminent les autres rats. Les poux ressemblent à de la saleté brune sur et à la base du poil. Plus il fait chaud et plus ils se déplacent vite. Il faut surveiller les rats affaiblis pour ne pas que leur état s'aggrave. Ces poux sont spécifiques aux rats, pas de risque de transmission à l'homme. La teigne ou dermatophyte: Rougeur provoquée par la teigne La teigne désigne une infection des cheveux ou des poils provoquée par des champignons (du genre dermatophytes). Le groupe de champignons responsables des teignes peut aussi toucher : -la peau (herpès circiné) -les pieds ou les espaces entre les orteils (intertrigo inter-orteils ou pied d'athlète) -les plis de l'aine (eczéma marginé de Hébra) -les ongles (mycose des ongles ou onychomycose) Il existe différents types de teignes, ils peuvent être divisés en trois groupes: Les dermatophytes zoophiles, d'origine animale, Les dermatophytes anthropophiles, d'origine humaine, Les dermatophytes géophiles, provenant du sol, Les transmissions qui nous intéressent ici sont celles transmises par l'animal à l'animal, par l'animal à l'homme. Il arrive également que la teigne puisse être transmise par une source extérieure, par exemple d'un ballot de litière de chanvre contaminé. Transmission de l'animal à l'animal: La teigne peut se transmettre d'un rat à un autre par contact ou par une contamination extérieure (autre animal, litière, etc...). Symptômes: La teigne se manifeste par une zone dépoilée généralement concentrique appelée "rond de sorcière". La zone dépoilée n'est pas forcément rougeâtre mais ressemble à une petite zone de mue. Sur les rats rex (et double rex) faire attention à ce que ce ne soit pas simplement une zone sans poils. Un contrôle vétérinaire est indispensable Transmission de l'animal à l'homme: Les mycoplasmes zoophiles qui sont à l'origine des teignes sont transmises par contact avec des animaux (chats, chiens, rongeurs, etc.). La transmission des mycoplasmes de type zoophiles (Microsporum Canis) se fait par contact direct avec les poils de l'animal contaminé mais également à partir d'objets contaminés. La teigne provoquée par des mycoplasmes transmis à l'homme par les animaux ne se transmet en général pas d'homme à homme (Tricophyton Rubrum, Tricophyton mentagrophytes). Fortes démangeaisons ! Teigne chez l'humain: Symptômes : Tache rouge dans les cheveux ou sur la peau formant un cercle bien délimité. L'intérieur du cercle est généralement plus clair et ses bords sont épais et squameux. D'autres formes existent, telles les "teignes inflammatoires" : le placard rouge est présent et est surmonté de pustules folliculaires,foyers de suppuration qui forment de véritables tumeurs inflammatoires rondes et globuleuses. Un examen avec une lampe à ultraviolets (lumière de Wood) fait apparaître une fluorescence avec certains mycoplasmes; la mise en culture d'un prélèvement cutané obtenu par grattage de la lésion au scalpel sur un milieu approprié (Sabouraud) reste la meilleure technique diagnostique. Les résultats mettent environ un mois à arriver (jusqu'à six semaines de culture, avec une moyenne de deux semaines). Le diagnostique précis du type de dermatophyte est important car il permet de déterminer le type de mycoplasme qui permettra de savoir si il est contagieux ou non. A savoir que l'animal suspecté porteur pourra également faire l'objet d'un prélèvement ensuite mis en culture. II) REPRODUCTION : Temps de gestation : de 21 à 24 jours Temps de sevrage alimentaire :4 semaines Il faudra veiller à ne pas dépasser 1.2 pour une contenant de taille adaptée , sinon il arrive que les femelles se disputent leurs petits et les blessent . Il faut prendre en compte également que les femelles seront à nouveau fécondées juste après la mise bas , ce qui les fatigue énormément dans le cadre d'une reproduction intensive . Il est conseillé de renouveler les reproductrices environ tous les 6 mois . Pour éviter la consanguinité , il faudra également prendre soin d'introduire dans l'élevage des reproducteurs de souches différentes , et ce tous les 6 mois . Dans le cadre d'une reproduction "contrôlée" ( Séparation des femelles pour la mise bas ), on prendra soin de séparer les femelles du mâle une fois qu'elle auront été fécondées et ce jusqu'à ce qu'elle mettent bas et sèvrent leurs portées . Cette technique d'élevage à pour but de ne pas épuiser les femelles , mais elle s'avère beaucoup moins productive . Lors du sevrage , l'on prendra soin de séparer mâles et femelles , pour éviter des reproduction précoces . ( Une femelle peut être féconde à partir de 6 semaines , un mâle est mature sexuellement à partir de 4 semaines ) .
  11. Théoriquement , l'on part du principe que la taille du contenant ( Largeur + Longueur ) doit correspondre à la taille du spécimen . Je dis bien théoriquement. Pour exemple : Un serpent qui mesure 1M20 , pourra être maintenu dans un contenant de 80/40. Mais cette règle reste très aléatoire dans le sens ou selon les espèces , et les moeurs des spécimens, leurs besoins ne seront forcement pas les mêmes .
  12. Salut, Pourrais-tu nous donner un peu plus de précisions quant à cet "avortement volontaire? Personnellement, c'est la première fois depuis que je m'intéresse au royal, que je vois et entends ce genre de cas. Bien que n'étant pas vétérinaire, je reste septique quant à la théorie de ton praticien concernant le fait qu'elle ne soit pas prête pour la reproduction et que c'est cela qui a engendré ce phénomène. Il serait intéressant d'en connaître le processus.
  13. Tu peux également passer ton substrat quelques minutes au "micro-onde" avant de l'utiliser . De cette manière tu es sur de ne pas introduire d'ectoparasites dans ton élevage .
  14. Hêtre ou pas hêtre, telle est la question... Ok je sors...
  15. Euh oui, mais plus précisément... NC Europe?, NC France? , Farming Afrique? , USA?
  16. Pour ma part, je trouve que les royaux patissent souvent d'une réputation non fondée. Parlons du stress: Si l'on prend l'exemple de spécimens "WC" , pour en avoir fait l'expérience il y à quelques années. La période d'acclimatation est longue et difficile. Aussi bien en terme de nourrissage, qu'en terme d'aménagement et de manipulation. Ce qui semble tout à fait logique... Au passage, je suis totalement contre le prélèvement , mais à l'époque ou j'ai acquis ce spécimen, les "NC" étaient rares. A contrario , j'ai pu remarquer que les spécimens issus de générations, elles-mêmes nées en captivité. Avaient tendance à perdre certains instincts "naturels". C'est en ce sens que je considère qu'il n'est pas juste de généraliser, quant au comportement du royal. La terrariophilie a évoluée ( étude du comportement ) , mais malheureusement beaucoups de "règles établies" concernant la maintenance et le comportement de cette espèce sont aléatoires à mon sens. Je reste persuadé que les générations de spécimens nées en captivité , elles aussi ont "évoluées" en fonction de leur mode de maintenance . Ce qui était "légion" il y a trente ans , ne l'est plus aujourd'hui. Pour te répondre "thunderstorm", je pratique chaque mois une vérification de chacun de mes spécimens ( ouverture de la gueule, cloaque, yeux, ect....). Sur des espèces telles que P.royal, Otf, A.childreni, ou encore M.viridis. Et pourtant, tous mes animaux s' alimentent parfaitement bien , et ne montrent aucun symptôme de stress.
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