glaurung

J'vois pas trop l'intéret... Et question bête : comment prouver qu'on a bien vu tans d'espèces en 24h

Vu dimanche, probablement ramenés par la tempête car peu fréquente dans le loiret...

Un peu d'humour, lu dans charlie hebdo n°756 (cette semaine) :

La tempête de vendredi a eu quand même quelques effets sur les oiseaux et particulièrement sur les océanites : non seulement il y en avait en grand nombres près des côtes et même dans les villes cotières, mais il y en a eu de déplacés dans les terres : un a été trouvé dans un terrain de foot de l'indre épuisé et n'a pas passé la nuit , et un autre a été vu sur un étang du loiret mais en pleine forme cette fois ci. photos ici.

Bon personne ne se décide alors voilà : l'oiseau d'orever est un accenteur alpin (contrairement à son cousin des plaines : le mouchet).

Moi depuis 2 semaines je revoit son cousin le fan de mouche, mais ici point d'alpiniste

Elles font quelle taille ??? Sinon compare peut etre tes traces avec celles de cators, ici par exemple.

J'aurais bien dis hibou des marais, mais vu que ce n'en est pas un ben j'laisse ceux connaissant les oiseaux d'afrique trouver

On croirait presque une caricature tellement c'est absurde... http://www.chasseursducentre.fr/28/Arrete%20EureEtLoir/SomRevue.pdf Double page :

Cette charmante personne a eu la brillante idée de venir faire sa toile dans une de mes casseroles pendant le week end...

T'inquiète pas Mais c'est bien un vanneau leucique

Charlie hebdo de cette semaine avec un article sur les verts...

Veux et peux Veux mais a cours... Les 3 Déjà voir combien on sera pour savoir par combien diviser...

Euh, ça a pas l'allure d'un gravelot et encore moins d'un pigeon... La seule retouche est le recadrage. Bon voilà pour aider (là ça saute aux yeux ), mais pas besoin de faire compliqué...

Bizar, pour moi si je faisais parti du conseil général je serais plus convaincu d'une diminution par une étude de terrain que par 3-4 photos ayant put être prise n'importe où...

J'vois pas en quoi cela apporte quelque chose à la sauvegarde des chevreuils de montrer les photos de tableaux de chasse...

Jamais vu de phalarope, encore moins leucique...

Suffit d'être passiant...

:rire: :rire: :rire: Nop mais on s'en rapproche...

D'accord pour les 2 premiers, et donc le blanc ??? (c'est un peu pour lui que j'ai mis la photo )

J'ai vu pour la 1ère fois de mes yeux un tableau de chasse ce matin, c'été :vomi: :vomi: :vomi: :vomi: :vomi: :vomi: Je ne sais même pas comment tu peux faire pour avoir envie de prendre des photos... :vomi:

Dans le style photo pourri j'aurais put difficilement mieux faire... Alors combien d'espèces différentes et lesquelles ???

Voici des nouvelles du balbu équipé d'une balise et qui est né à côté de chez moi (infos visibles ici) En ce moment il est un peu feignant et trouve que le portugal c'est pas mal plutôt que de traverser le détroit de gibraltar. Donc depuis début septembre Tom squatte l'estuaire du Tage. Sinon les cigognes noires baliseargosées ( ) se sont aussi arrêtées avant la grande traversée, elles hivernent en espagne.

Week end grand duc et cidre, c'est tentant ??? :rire: :sors:

Code:Pesticides et biodiversité Par Christian Pacteau et François Veillerette A l'échelle mondiale, le déclin constaté de la biodiversité est interprété, notamment par l'U.I.C.N., comme le résultat de trois causes principales : l'effet de serre, la destruction des habitats, la concurrence des espèces envahissantes introduites. Sans nier l'importance de ces facteurs, des hypothèses alternatives, du point de vue de leurs importances respectives, peuvent être formulées. C'est le cas notamment dans les pays fortement industrialisés où la transformation des habitats sont déjà fort anciennes et alors même que les espèces des milieux bâtis se maintiennent, les populations d'espèces des milieux agricoles sont en chute spectaculaire (MNHN-IFEN). L'hypothèse retenue dans cet article, rédigé par Christian Pacteau et François Veillerette (auteur de Pesticides, le piège se referme), est que, dans les pays industrialisés, l'emploi annuel de dizaines de milliers de tonnes de pesticides (notamment en France, troisième utilisateur mondial en quantité), contribue pour une très grande part à expliquer la chute récente et particulièrement brutale des effectifs des espèces tant d'oiseaux que d'amphibiens ou d'insectes. Cet article a également été publié dans le numéro 64 de l'Oiseau Magazine. Pour lire l'article c'est ici