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Tout ce qui a été posté par Natterer
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Question pertinente, Louve, assurément. Si j’en juge par le fait que depuis que j’ai commencé à suivre ce pont, ce printemps, j’ai trouvé un individu de plus à chacune de mes trois visites, je pense que le dérangement occasionné n’a pas été bien dommageable. Les observations que je fais ainsi sont communiquées à une des associations en charge du suivi des populations, le Groupe Mammalogique Breton. Si une nouveauté entre dans mes constatations (nouveau site, nouvelle espèce sur le site) je fais une photo afin de pouvoir étayer l’information. Elle peut permettre aussi éventuellement de préciser ou valider une détermination. C’est aussi le maximum que je puisse me permettre. Pas de capture* évidemment. Et minimiser la fréquence des passages, le temps de présence. Bien entendu aussi laisser les lieux tels quels. * A propos de capture, il est peut-être utile de préciser qu’elles sont parfois réalisées dans le cadre très strict d’opérations menées pas des personnes dûment habilitées et selon des règles précises.
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Comment lutter contre la destruction de la nature
Natterer a répondu à un(e) sujet de Ugatza dans Et si on parlait Politique
Hey Lycanos ! Sérieusement, tu vois quelqu'un se recommander d'une idéologie telle que le capitalisme et en prôner une réalisation enfin véritable et valide ? Je ne pense pas que capitalisme et communisme soient là sur un pied d'égalité. Plus clairement, il me paraît possible et légitime qu'on prétende que le communisme soit encore une idée à concrétiser quand ceux qui ont prétendu le faire n'ont rien réalisé d'autre que le pervertir. Alors que, de l'autre côté, le capitalisme (bien advenu lui) peut secréter quelque Sarko de temps en temps pour prétendre le moraliser (quel aveu !) sans surtout rien vouloir y changer (sauf évenuellement le fait de prendre soi-même la place d'un grand bénéficiaire du système). Allons, la différence entre communisme et capitalisme c'est au minimum que le communisme reste à faire. Je n'explique pas là pourquoi les régimes qui se sont prévalu de l'étiquette communiste ont versé dans le type dictatorial. Je pose seulement une base de réflexion : le communisme en tant qu'idéologie n'est pas encore une réalité alors que le capitalisme est bel et bien le régime qui prévaut depuis la révolution industrielle et qui est parvenu à digérer les tentatives de subversion qui se sont fait jour. -
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Sortie un peu hors de l'ordinaire hier : la réserve ornithologique des Sept¨Îles. Hormis la foule des clients dont nous étions (...), peu de macareux, encore moins de pingouins et de guillemots. Juste une tête de phoque aperçue quelques instants. Mais la belle nuée des fous qui tourne et vire sans cesse. Sympa quand même.
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Oui, c'est attristant, affligeant, écœurant, désespérant. Cela est à relier à ce que je disais dans le sujet sur le bocage : Encore une fois l’ignorance la plus crasse domine. Pour la majorité, la nature est seulement un lieu, un cadre aux ébats d’une humanité qui se pique d’intelligence mais à la sensibilité et à la capacité de conceptualisation dépassant sans doute que de très peu celles du lombric. Et de plus ce n’est qu’un lieu de loisir ou de production. On va dans la nature pour se détendre en braillards troupeaux de consommateurs. Oui une humanité totalement soumise aux impératifs de la consommation, des rapports socio-économiques. Il arrive que la vie (sauvage) soit perçue dans cet espace : un moustique, une ortie ou, pire, une vipère, mais ailleurs un ours ou un loup… apparaît, gène un tantinet, titille de confort de l’esclave. Alors il faut aménager ! Et puis tout se mélange, tout se brouille. Qui est tantôt jardinier de la nature, amoureux de la nature, voire défenseur de la nature en fin de matinée au bistrot se meut en spadassin de la biodiversité à visage humain. Et encore, tout ne tient pas dans ces quelques lignes amères ! Oui, c'est attristant, affligeant, écœurant, désespérant. Plus jeune ou moins usé, je dirais révoltant.
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