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Natterer

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Tout ce qui a été posté par Natterer

  1. Natterer

    Quikignaàvoir ?

    En fait, j'aurais pu placer cela dans un autre sujet de ce foruml. Je crois que je vais me faire onguler.
  2. Natterer

    QUESTIONS/REPONSES OISEAUX

    Excellent, merci bien.
  3. Natterer

    Quikignaàvoir ?

    Par ma barbe ! S'il y a une laie ou un marcassin, je ne les avais pas vus !!!
  4. Scrute, scrutons, scrutez.... 1 Plutôt facile... Isn't it...
  5. Natterer

    QUESTIONS/REPONSES OISEAUX

    Un petit tour en fin de matinée. Un petit piaf bien sympathique vient poser à porter d'objectif... Mais sans décliner son identité. J'ai une petite idée dont je ne suis pas certain du tout : Linotte mélodieuse juvénile (?).
  6. Natterer

    QUESTIONS/REPONSES OISEAUX

    Un coup de pub d'Altadis ?
  7. Natterer

    Bocage

    Bien, voilà : Dans les raisons qui m’ont incité à m’inscrire sur ce forum, il y a cette inquiétude pour ce milieu caractéristique de la région où je vis : le bocage. De ma Haute Bretagne à la Normandie d’Ugatza et à une partie de la Vendée, en bref dans une bonne part du Nord-Ouest, l’espace rural est (ou plutôt était) effectivement caractérisé par ce type de paysages dessinés par les talus arborés et/ou les haies. Dans cet espace de petits (de moins en moins) clos ceints de talus, domine le Chêne pédonculé, parmi quelques merisiers, poiriers ou pommiers sauvages, aulnes glutineux et frênes dans les parties plutôt humides, rares hêtres ou châtaigniers, plus fréquents noisetiers, pruneliers et aubépines, etc… Mais, arrivé depuis une petite dizaine d’années dans ce sud 35, je vois hiver les ruraux s’adonner à cette tâche traditionnelle qu’est l’exploitation de la ressource en bois qu’il représente. Traditionnelle, oui, mais il y a belle lurette que l’on ne sait plus lier un fagot avec une jeune pousse de chêne qu’on torsadait à la main. Mais les machines à fagoter sont des reliques. Mais encore, le faucillon et la serpe sont rangés dans les écomusées. Et toute nostalgie mise à part, ce n’est pas l’évolution de la technique qui saute aux yeux, mais son impact sur le paysage. Le « bocage » n’en est plus guère un. Dans les alentours de mon domicile, il reste si peu de talus et de haies que c’en est bientôt une quasi-moitié qui disparaît chaque année. Et pire encore, cette année à circuler dans la campagne, on se dit qu’on n’a encore jamais vu des tas de bois si nombreux et imposants dans chaque ferme, à chaque maison. La crise renverrait-elle la population à des modes de chauffage moins électriques ? Pousserait-elle à une recrudescence de l’envie de « valoriser » le bois des propriétaires ? Les inquiétudes relatives aux produits pétroliers renforceraient-elles ce retour de flamme ? Oui sans doute à toutes ces questions. Mais si l’on pense se trouver dans une perspective d’exploitation durable, c’est que la sciure des tronçonneuses nous aveugle. Le bocage a subi le remembrement (que pour ma part je nomme démembrement) qui l’avait déjà drastiquement mité. Mais ce n’est pas tout. Comme je l’ai déjà dit, talus, arbres et haies disparaissent à tour de bras mécanisés. De larges espaces ouverts donnent à la campagne bretonne des airs de Beauce. Et les impacts sur toutes les chaînes alimentaires sont inévitables. Mais qui s’occupe, se préoccupe de relever et communiquer les effets précis sur la faune et la flore sauvages ? Pourtant l’appauvrissement de la biodiversité est criant. Les jardiniers de la nature sont à l’œuvre : la vie recule dans la campagne. Certains faits comme la présence bien visible de chevreuils peuvent ravir certains regards superficiels, rassurer, laisser croire qu’au fond tout va bien. Et puis, depuis quelques années tout de même des collectivités incitent et favorisent la plantation de haies, des associations prônent la reconstitution de talus. Oui… mais quelle est la réalité du kilométrage ainsi replanté, et celle des arasements de talus ? Et quelles essences sont utilisées ? Le chêne rouge d’Amérique, le cornouiller sanguin lui aussi américain comme sur les parterres urbains ? Qui décide ? Sur la base de quelle réflexion ? Oui, je suis inquiet pour ce bocage, non pas par nostalgie des images de verdure de mon enfance, mais parce que je pressens (ou je constate) que le mot biodiversité n’est qu’un épiphénomène de type médiatique, un leurre langagier et que la, population générale vit sans la connaître, sans la voir, sans s’en préoccuper le moins du monde. Voilà, il y a beaucoup de questions qui attendent des réponses, beaucoup d’éclairages à donner, d’information à mettre au jour. Qui peut y contribuer ?
  8. Natterer

    Bocage

    J'aurais bien vu un nouveau forum "Milieux" parmi les quatre existants. Mais je ne suis pas certain qu'il susciterait assez d'échanges pour valider son existence. Aussi ai-je choisi celui-ci pour ce sujet sur le bocage. Dans un messge qui vient à la suite, j'amorce une discussion dont je ne sais où elle ira.
  9. Ceci étant dit, il est arrivé, et même il n'y a pas des lustres, que l'appendice capte quelque effluve qui parlait de goupil, voire d'ophidiens. Mais ce n'est pas tous les jours. Dommage d'ailleurs.
  10. Ben oui quoi, j'aurais dû y penser avant de poser la question... Mais bon, je sais bien que ça peut entrer en ligne de compte, par exemple pour la martre dont on dit que les laissées au parfum musqué ne sont pas forcément désagréables à humer. M'enfin, avec vingt-sept ans de tabagisme (et même si cette ineptie a cessé pour moi depuis quatorze ans) mon tarbouif n'est plus en mesure de donner la moindre information sur l'âge, le sexe, l'état de santé ni la disponibilité (ou son contraire) en matière de reproduction du signataire. Ce qu'on peut avoir mis comme distance entre la réalité naturelle et nous-mêmes ma Pôv' Dam'... Euh, pardon, Camarade (ceci étant dit avec beaucoup de respect tant pour les termes que pour la personne, je vous prie de le croire). Pour faire court, sans récuser l'argument, je crois que ça ne va pas le faire. En revanche, merci du tuyau, U ; finalement il s'en faut de peu qu'il ne m'eût permis d'être un peu plus au parfum.
  11. Peut-être aurais-je dû ouvrir un autre sujet. Bref, petite balade hier au crépuscule : chevreuil, lièvres, pipistrelles en goguette, passage d'un Moyen-duc. Et il y a cette crotte déposée au bord d'un ruisseau. Mustélidé n'est-ce pas ? J'incline pour le putois. Mais je ne trouve pas le moyen d'être catégorique. Donc y a-t-il un moyen d'aller un peu plus loin dans la détermination quand on est sur le terrain (quelque chose de plus pointu que le guide Delachaux et Niestlé) ?
  12. Natterer

    C'est beau, l'amour !!

    Impressionnates de qualités techniques les photos de Louve ! J'ai ceci en stock, réalisées à domicile au cours des trois ou quatre dernières années.
  13. Natterer

    Cigales

    Bonjour à tous. De nouveau j'entre dans un sujet qui date un peu. Mais qu'importe, j'ai fait quelques séries de photos ces dernières années. Et plutôt que de les conserver inutilement dans une mémoire d'ordinateur, il me paraît finalement plus intéressant qu'elles servent à quelque chose, si cela est possible. Alors voici ces deux cigales qui se sont laissé tirer le portrait en juillet 2006 dans le Gard. Si elles ont chacune une dénomination précise disponible, ça m'intéresse.
  14. Natterer

    Araignée

    Voici quelques images qui datent un peu déjà. En cas d'erreur, merci de me le faire savoir. Dans le Gard, été 2006. Une Lycose sauf erreur. Sud Ille et Vilaine, été 2007. Argiope fasciée. Encore une célèbre épeire... diadème n'est-ce pas ? Là si quelqu'un peut faire les présentations, je suis preneur.
  15. Natterer

    QUESTIONS/REPONSES OISEAUX

    Si tu as pu le voir dans des conditions favorables, ressemblait-il à ça ?
  16. Quelques autres vieilles images, j'ai toujours eu un faible pour les reptiles : Dans le talus d'en face, il ya trois ans : Vipera berus mâle, la dernière mue n'est pas ien éloignée. Dans les Pyrénées... C'était au siècle dernier. Même commentaire que précédemment. En 2006, at home. Cette ponte trouvée dans la terre lors d'une opération de jardinage devait être une ponte de Lacerta viridis, sauf erreur. J'avais tenté de replacer ces oeufs dans des conditions favorables pour leur évolution : peine perdue. Très dommage.
  17. Ce sont en fait des Péliades (Vipera berus). Bien qu'on dise depuis quelque spetites années que Vipera aspis étende son aire de répartition de puis le Sud et qu'elle serait déjà installée dans le Sud de L'ille et VIlaine, ces photos ont été faites dans la moitié Nord du département.
  18. Bien entendu, il faut lire "Et n'est-ce pas plus honnête........."
  19. Eh oui... Pour moi qui ne suis pas familier des forums et autres lieux de parole, qui vis à l'écart de la place publique, il semble bien que là comme ailleurs la confrontation des idées laisse souvent la place à l'affrontement des caractères... C'est bien regrettable. Car enfin, dans une discussion intitulée " Et si on parlait politique ", je ne trouve pas insupportable qu'on parle de politique. Et si l'un, ou un autre avance à visage découvert, cela me paraît de nature à permettre un dialogue honnête et constructif. Il n'est d'ailleurs pas toujours certain que si nombreux soient ceux qui sont prêts à prendre des positions sincères et étayées par une véritable réflexion. La prise de parole devient un véritable engagement. Et n'est pas plus honnête si l'on se sent prêt à accorder attention et intérêt aux idées avancées par les autres. Mais il y a beaucoup de monde à avoir des positions qu'il n'y en a à avoir des idées. Rien de nouveau sous le soleil, mais à choisir entre l'invective et un bonne argumentation, si l'on veut faire avancer (un tant soit peu) des solutions plutôt que les problèmes, le choix est assez simple. Il reste l'absention comme solution à qui refuse la confrontation des idées... Tout comme à celui qui n'a que faire de la confrontation des caractères, reste la possibilité de se retirer.
  20. Bien, merci pour ces compliments. Je continue donc, mais cette fois, avec de vieilles photos (années 80 et début 90) faites en argentique et scannées depuis. Notre voisine pendant trois ans, à quelques mètres du portail de notre location. Dans le creux d'une bille de chêne où je venais de mettre la main afin de la déplacer pour voir si dessous ne se cachait pas une vipère... Encore une voisine de ces années-là. Elle me surveillait, attentive au mouvement trop inquiétant que j'aurais pu faire. Elle n'a prêté aucune attention à la sauterelle. Ce fut un grand moment.
  21. P'têt ben qu'est ceux-là mêmes qui disent qu'il a inventé tout ça pour eux-mêmes.
  22. Ce n'est probalbement pas la viellie chevrette claudiquante qui pait à l'instant à la lisière de la châtaigneraie devant ma fenêtre qui me contredira.
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