Lone Rider

Mehaigne, village ou rivière, c'est en Hesbaye !!! Il n'y a qu'une seule variété ???

Si les Ardennaises sont en pleine forme venant de la même couvée, cela ressemble bien à un problème génétique chez les Orloff : oeufs ou reproducteurs trop vieux ou trop jeunes, anomalies dans l'oviducte, etc. Est-ce que les oeufs venaient des mêmes parents ?

Bravo pour avoir choisi d'élever la race locale par excellence ! C'est de la conservation de patrimoine. Si j'avais eu plus de place, je l'aurais fait volontiers mais....

Sur la photo, c'est un peu la "poule à l'oeuf d'or".... Des poules de Gembloux à Gembloux, qui dit mieux ? C'est ça, le retour aux sources !

Existe-t-il une liste des vétérinaires agréés ou spécialisés dans les volailles ou les animaux de basse-cour en Wallonie ? Sinon, quelqu'un a-t-il connaissance d'un tel véto dans la zone entre Fleurus - Namur - Hannut - Wavre ?

Si l'oeuf fait 33 gr, le rapport de grandeur fait penser à une fouine. Dans cette famille, les mustélidés, la belette est la plus petite. Juste au-dessus, il y a l'hermine, blanche en hiver, brune en été mais avec le bout de la queue toujours noir. Ensuite, il y a le putois et puis, la fouine et sa cousine forestière, la martre. Et enfin, le blaireau beaucoup plus gros. Depuis quelques années, les fouines comme les renards sont à nouveau bien présents aux abords des habitations.

... que c'est bien parti !!! La confirmation vers 10-12 jours. Bonne chance pour la suite !

Extra !!!

Jolie petite communauté "belge" à la frontière suisse !!! Les chiots sont toujours adorables.

Sadique !!!

Tu n'as pas de souci avec l'urbanisme pour un tel bâtiment ?

On va essayer de ne pas manquer ça et le trajet ne sera pas une excuse. Merci pour l'info.

.... ce dont je ne doute pas. C'est vrai que toutes les races ont un jour été créées au départ d'autres races ou après une mutation d'un ou plusieurs individus. Je suppose que dans le cas d'une race qui n'existe pas, on part d'abord dans l'inconnu et puis, on fixe un standard en tenant compte des résultats. Dans le cas d'une recréation d'une race éteinte, on a un but précis à atteindre, connu à l'avance, en faisant ressortir des caractères et donc des gènes en veilleuse jusque là. Perso, j'essaye de sélectionner très modestement la Marans Saumon-Doré (non homologuée) mais, avec des Marans et non d'autres races. Et là, c'est plutôt le contraire : il faut éliminer des caractères d'autres races amenés par des croisements parfois malheureux. Bravo aux vrais passionnés (dont je ne suis pas...) pour ce long travail de sélection qui permet de faire revivre des races éteintes !

Juste une question peut-être "bête" : si une race comme la Coucou de Hesbaye a totalement disparu, comment peut-on la recréer au départ d'autres races comme la Coucou de Flandres ? S'il existe un standard de la Coucou de Hesbaye, on pourrait sans doute arriver par sélection de Coucou de Flandres à produire des sujets ressemblants. En clair, avoir le bon phénotype. Mais, ça restera toujours des Coucou de Flandres au point de vue du génotype, non ? Je comprends qu'on améliore une race ou une variété encore existante par sélection, éventuellement en apportant quelque chose d'une autre race. Mais quand la race n'existe plus ??? N'allez pas croire que je veuille décourager les éleveurs passionnés qui cherchent à faire revivre des races éteintes, au contraire, c'est formidable et la réussite doit apporter une satisfaction extraordinaire. Simplement, je m'interroge sur la façon d'y arriver....

Fameux poulets ! C'est drôle comme le herminé se retrouve dans beaucoup de races, comme le coucou ou le doré. Mais là, c'est plus logique puisque c'est proche du sauvage.

C'est quelle race ?

Perso, des appâts en blocs de paraffine (Aveve) que je fixe en terre avec un petit piquet, le tout recouvert par une tuile. Il parait que ces sales bêtes emportent parfois les appâts sans les manger et en font des réserves. Le piquet les en dissuade...... faut consommer sur place !

Aurvière, c'est vite dit. Faut quand même une bonne dose d'astuce, de bricolage et de passion pour faire tout ça. Alors, parfois, on inverse 2 choses mais, ici, l'ensemble reste impressionnant. Les papas ne sont jamais contents de leur fils.... Faire et laisser dire !

Il existe des 3 étoiles. A Gembloux, c'est plutôt le Trois Clés des Marans (mauvais jeu de mots très régional...) Bravo, Pat, pour ton entrain aussi bien dans ton élevage que dans ton jardinage !!!

Pat, C'était donc à ça que servaient tes aller-retour jusqu'à Villers-le-B ? Au Japon, il y a des gens qui n'ont que ça comme appartement.... Sans blague, moi, j'ai pris un gros modèle pour stocker plein de trucs. Super pratiques, ces armoires !!!

J'ai remarqué aussi avec l'un de mes chats qui a passé une nuit de chasse et donc de grande bouffe au point d'en être malade. Bon appétit ! C'est le moment de ressortir pièges et appâts...

En dehors des crêtes, est-ce que les jeunes sélectionnés sont conformes au standard recherché ?

De mes pauvres connaissances en génétique, je crois que la question est de savoir si le gène de la crête en rose est dominant ou récessif. En plus, il faut savoir s'il est présent sur les 2 chromosomes (homozygote). En fait, on entre là dans les lois de Mendel et toute leur complexité. Les volailles ayant été fortement croisées au cours des siècles, il n'est pas facile de savoir ce qui se passe lors de croisements. Précisément, les poules à crête en rose sont-elles de la même race que le coq à crête simple ? Ne serait-il pas plus simple de se procurer un coq de même race que les poules ?

A la demande générale, j'ai retrouvé mes plans de découpe, heureusement ! Les dimensions indiquées ne tiennent pas compte de l'épaisseur de la scie. Il faut 5 panneaux de 125 x 250 cm d'une épaisseur de 21 mm. 1er panneau pour le devant : couper en largeur un morceau de 40 cm (x 125). Le grand panneau de 210 cm sera recoupé sur la largeur de 110 cm. La chute de 15 cm servira à faire les rampes d'accès en y clouant des échelons en lattes de bois. Les trappes et fenêtres seront découpées selon besoins ou désirs. 2e panneau pour l'arrière : couper en largeur un morceau de 40 cm (x 125). Le grand panneau de 210 cm sera recoupé sur la longueur pour avoir un morceau de 30 cm. Le panneau arrière mesure donc 210 x 95. 3e panneau pour le plancher : couper en longueur un morceau de 40 cm (x 250). Le plancher mesure donc 85 x 250. 4e panneau pour les côtés : il faut savoir que la partie basse des côtés est constituée par les pondoirs amovibles. Donc, on s'occupe ici de la partie supérieure fixe. La largeur des côtés à découper est égale à la largeur du plancher (85 cm). Vérifiez néanmoins cette dimension par rapport à l'épaisseur du trait de scie. Donc, couper le panneau en largeur pour obtenir un morceau de 85 cm (x 125). Ce morceau sera coupé en 2 en biais : d'un côté, on mesure 70 cm et 55 cm et de l'autre, on mesure l'inverse, de façon à obtenir 2 trapèzes. Assembler les 4 faces de façon à ce que les chants de l'avant et l'arrière soient recouverts par les côtés. Relier le haut de la façade avant avec le haut de la façade arrière, avec 3 petits chevrons placés à égale distance, pour rigidifier l'ensemble et soutenir le panneau de toit. Le corps du poulailler ainsi obtenu est posé et fixé sur le plancher. Pour ce faire, il faut basculer le tout sur l'arrière ou l'avant et visser à travers le plancher. Celui-ci, plus long que le poulailler, doit être centré par rapport au corps et ce qui dépasse de chaque côté servira de support aux pondoirs. Le 5e panneau intact devient le toit qu'il faut centrer de façon à laisser un débordement sur les 4 côtés. Le mien est fixé à l'arrière par 3 grosses charnières, de façon à pouvoir accéder à l'intérieur du poulailler par le haut pour le nettoyage. Préalablement, on peut raboter légèrement en biais le chant des panneaux avant et arrière pour obtenir un meilleur ajustage du toit sur le poulailler. Pondoirs : découper d'abord la plaque qui servira de cloison entre le pondoir et le poulailler. Elle doit parfaitement combler le "trou" de 40 cm laissé au montage du poulailler. Découper 2 fenêtres dans cette plaque, par où les poules entreront dans les nids, en laissant un seuil de 10 cm de haut et sans déforcer la plaque. Chez moi, les 2 fenêtres mesurent 22,5 cm de haut sur 30 cm de large avec 10 cm entre les 2. Le reste du pondoir est assemblé avec les chutes qui vous restent, y compris une cloison entre les 2 nids. La largeur du pondoir ne devra pas dépasser 35 cm pour que son toit de 40 cm déborde légèrement. Ici, c'est la chute de 30 cm de large venant du panneau arrière qui sert de fond. Gardez la chute provenant du plancher (40 x 250) que vous pouvez couper en 2 pour en faire les toits de vos pondoirs, montés sur charnières, et dont le côté contre le poulailler doit être recoupé avec un angle de lame de 25-30°, de manière à ce qu'il vienne se coller parfaitement au panneau de côté du poulailler. Les pondoirs viennent se poser sur les bouts du plancher J'ai découpé les 2 petits panneaux des pondoirs situés à l'avant et à l'arrière du poulailler, de façon à ce qu'ils débordent de 3-4 cm sur la façade avant et arrière du poulailler. Ainsi, il n'y a pas d'interstice entre pondoirs et poulailler (pluie) et une vis de chaque côté verrouille le pondoir au poulailler. Evidemment, lorsque l'on veut retirer le pondoir, il faut préalablement dévisser ces 2 vis à l'aide d'une visseuse. Mais, c'est vite fait… Il y a sans doute moyen de maintenir les pondoirs contre le poulailler à l'aide de loquets ou autres. A vous de voir ! Il faut enfin vous glisser dans le poulailler par les pondoirs enlevés, pour placer 3 perchoirs en bois. J'ai utilisé des supports en galvanisé (Brico) vissés sur les panneaux et dans lesquels les perchoirs viennent se déposer tout simplement, afin de pouvoir être enlevé facilement. La hauteur des perchoirs est fonction de la race de poules et donc de la hauteur sous toit. Ici, c'est 40 cm. On peut aussi découper 1 ou 2 portes à l'avant ou à l'arrière du poulailler. Tenir compte alors de l'emplacement des perchoirs et du dispositif éventuel de trappes automatiques. Ouf, j'espère n'avoir rien oublié car, croyez-moi, ce n'est pas facile d'expliquer un bricolage par écrit…

Oui, superbe reportage car, pour ceux qui n'ont jamais fait de photos dans une exposition, il faut savoir que ce n'est pas facile de cadrer un animal enfermé dans une cage exiguë. En plus, il faut veiller à ce que la mise au point aujourd'hui automatique sur la majorité des appareils, ne se fasse pas sur un des barreaux qui apparaîtra bien net sur la photo, alors que l'animal sera flou. C'est ce qui m'est arrivé la première fois...