Oxpemul

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ben je pense pour la première solution mais faut regarder de très près avec une loupe fort grossissement (à travers une vitre ou plastique) suivant la méthode proposée sur le site de Rick West (rubrique FAQ), à la recherche des fusillae dans le cas des mâles.

ben oui mais quand on est dans un hamac et qu'on la voit descendre de l'arbre c'est quand même sympa!

je crois pas qu'on le trouve sur le net, du moins sans payer. Cela étant il s'agit d'une revue "classique" que l'on trouve dans la plupart des bibliothèques universitaires.

non ca mange beaucoup et ca possède des poils urticants très désagréable. Préférer une Brachypelma, c'est plus costaud et tolérant en plus!

non, mais j'préfère les photos avec des fonds naturels!

Pour ceux que les mygales intéressent, dans le "Journal of Comparative Physiology A: Neuroethology, Sensory, Neural, and Behavioral Physiology" de novembre il y a un article de Senta Niederegger and Stanislav N. Gorb sur la "Friction and adhesion in the tarsal and metatarsal scopulae of spiders". Cet article compare chez une mygale l'adhérence et les forces de friction des scopulae chez Aphonopelma seemanni et une grosse aranéomorphe.

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ben ça va pas être cocon de chasser tous ces envahisseurs!

le problème c'est que pour la plupart des Pamphobeteus, seuls les mâles ont été décrits. Trois espèces sont très apparentées : ornatus, insignis et nigricolor. Pour nigricolor Ausserer a aussi décrit la femelle et la description colle assez pour ce qui concerne le rapport longueur sur largeur du sternum (#2), la longueur "normale" du segment apical des filières et les équations liant les patella+tibia IV au céphalo et aux autres articles. Sachant que ces espèces sont très proches, ornatus n'est donc pas une mauvaise idée. Pour lever l'ambiguïté, il faudrait un mâle (les mâles de ces trois espèces ayant été décrits)

Moi en tout cas je comprends toujours pas ce que tu entends par "avis du GEA". J' aurai aimé en savoir plus sur le sujet... Une classification de Fabian V. ou de Marc T. envoyée dans un Chélicères ? Et puis tu n' as pas l' air de comprendre ce que j' essaie d' expliquer... Je ne dis pas que tu te plantes, mais que les classifications varient d' un auteur à l' autre et qu' il n' existe pas d' autorité supérieure pour designer laquelle est juste. MV Il ne faut pas mélanger les choses, il y a les données et il y a ce que les uns et les autres pensent. D'abord les données : la sous-famille des Poecilotheriinae a été créée par Simon elle a été utilisée par plusieurs auteurs, dont le dernier, le Vogelspinnen de Schmidt et reprise dans le livre de JM Verdez Poecilotheria a été placé dans la sous-famille des Selenocosmiinae par Raven (1985 p118) aux côtés de Psalmopoeus entre autres. L'analyse cladistique de Marshall, Raven et Hoeh de 1999 place Poecilotheria comme groupe frère de Psalmopoeus. Voilà pour ce qui est des écrits, il n'y a pas d'autre travail, à ma connaissance qui tente de positionner les différents genres les uns par rapport aux autres et de définir les sous-familles chez les asiatiques. Pour les faits techniques : Poecilotheria, comme Psalmopoeus partage l'ensemble des caractères propres aux Selenocosmiinae, la synapomorphie définie par Raven : "Prolateral maxillae with distinct area of bacilliform setae forming lyra", ce que Simon définissait comme organe de stridulation de type I. Ceux qui justifient la sous-famille des Poecilotheriinae la justifient par la présence de tarses et métatarses élargis et par un mode de vie arboricole (l'un étant d'ailleurs une conséquence de l'autre (toutes les mygales arboricoles ayant les tarses et métatarses élargis mais l'inverse n'est pas vrai). Ces derniers critères (avec deux/trois autres) sont à l'origine de la sous-famille des Aviculariinae (c'est d'ailleurs une des deux raisons pour laquelle Psalmopoeus a longtemps été placé dans cette dernière sous-famille). Si donc on considère que les tarses élargis et le mode de vie arboricole justifient la sous-famille des Poecilotheriinae, il faut impérativement inclure Psalmopoeus dans cette sous-famille. Voilà pour les faits. Pour ce que pensent les uns et les autres, je ne me prononcerais pas à leur place. En ce qui me concerne, si je devais décrire une nouvelle espèce de Poecilotheria ou écrire un article sur ces espèces, j'utiliserais la sous-famille des Poecilotheriinae (puisqu'elle est couramment utilisée) mais cela ne m'empêche pas de penser que cette sous-famille est artificielle car elle ne repose sur rien de tangible. J'ajouterais qu'en toute rigueur il faudrait également parler de la sous-famille des Yamiinae puisque c'est une famille proposée par Zhu et Tso (2005). Enfin aucune des deux personnes que vous évoquez ne sont au GEA. Voilà, j'attends des éléments de réponse sur des faits, pas sur des on-dits....

Afrique du sud, colonie d'Orange (localité typique : Vredefort), Holotype mâle, longueur 26 mm, Allotype femelle, longueur 33 mm.

Harpactira hamiltoni mâle : [right]

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Oki, je vais me la jouer gros lourd mais ces articles tu les trouves où ? Merci. Cordialement, Bullguard. dans les bibliothèques (celles du muséum d'histoire naturelle, de l'ISA et d'entomologie pour Paris), sur internet (un peu) et sans doute aussi un peu dans les bibliothèques universitaires. Par échange également avec les collègues..

Il est magique ce type !!! Et tu sors tout ça de... (histoire que si c'est un bouquin je puisse aller chercher toutes les infos que je recherche directement dedans...) Merci encore. Cordialement, Bullguard. non, il n'y a pas de livre sur le sujet, seulement une foultitude d'articles à rassembler ça et là! S'agissant de Cyriocosmus, je jouais sur du velours, c'est un gnre tellement caractéristique et qui a fait l'objet déjà de trois révisions!

[right] le monsieur

oui c'est attendrissant, cette scène de la mère à l'enfant. On se croirait devant un tableau de l'Ecole italienne! Les petits peuvent rester jusqu'au stade 2, après vaut mieux les séparer!

oui on est dans le géant, mais c'est beau et économique en grillons!

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Chaetopelma gracile femelle et progéniture [right]