SCHMITT01

Salut, J'ai posté car il me semblait important de rappeler certains points, parfois oubliés avec ce genre et ce dans le but de limiter le taux de moertalité des personnes voulant démarrer avec ce genre, attractif, docile (excepté laeta) mais délicat et peu adpté aux débutant, excepté pour les stades déjà très avancé ou adulte. Sinon, à partir du moment que j'ai écrit quelque chose, tu peux bien évidement en faire ce que bon te semble, du moment que mes dires soient correctement transposés, si celà peut servire à d'autres, c'est le but lorsque j'écris, sinon, pourquoi le ferais-je sur le net ? J'oubliais, comme je disais, il est inutil d'avoir de petit tronc creux de liège, il suffit de prendre deux morceau long et pas trop épais de la même matière, proportionnel au pot, et de les mettre en V INVERSE tout simplement. La mygale fera le reste comme une grande ! Ha oui, et comme je l'ai dit déjà "ailleurs", l'écorce de liège peut être avantageusement remplacer par de l'écorce de cerisier, souple (pour créer un "tronc" par exemple), extrêment résistant en térrarium en condition tropical humide, c'est le meilleurs rapport qualité/durée de vie que j'ai trouvé à ce jour, juste un point, pas de four ou micro onde, brosser et lavé éventuellement à l'eau chaude, point final, sans produits, qu'elle qu'il soit, diluer ou non, afin de na pas briser la structure du bois, tout simplement, et sa propriété relativement imputrécible, c'est un peu le même principe avec la tourbe, moins résistante et poussiéreuse si passé au four ou micro onde. Pour les pots...pour ma part, c'est très souvent les cornichons (qui se ressemble s'assemble, non ? ) que j'utilise. toute taille dispo, la famille écoule le contenu, je garde juste le contenant. Suffit pour l'étiquette de tremper dans l'eau chaude quelques minutes. Bonne chance à tous, Steve

Salut, En effet...ce n'est en aucune façon une dyscolus, tu as vu juste ! Même avant une mue ou après, elle n'est en aucune façon brune ou brun rouille. En voici une "vraie", si l'on puis dire, avant sa future mue, au passage, dispo, trois ans, adulte. Steve

Salut, Dans la mesure ou je détiens et reproduit cette espèce, je veux dire, la vraie métallica (la couleur de fond est bleu claire une fois adulte, surtout le caphalo, et l'abdomen est entièrement NOIR SANS poil rouge -orange, contrairement aux autres variété qui ne sont pas des métallica) je voulais juste me permettre de conseiller une température de 25 max (elle vie en forêt tropicale, pas dans les maisons ni en lisière des bois, la T° est plus faible en moyenne) de plus, une hygronométrie stable à 80 % avec quelques période plus sèche (la guyane est soumise à des périodes sèches environ une à deux fois l'an, d'une durée variable, la plus courte étant celle de mars, appelé aussi "petite saison sèche") attention à la condensation avec les sujets juvenilles, c'est une cause de mortalité pour certaines espèces. Enfin, pas d'eau stagnente dans le fond du pot, mais plutôt de régulière pulvérisation, permettant nottament à l'eau de bien s'évaporer... Faire grandire une Aviculaire est bien plus difficile qu'une Psalmopoeus, dont on peu en revanche laisser un fond bien humide. ASTUCE : prendre plutôt un grand pot dès le début et en verre de préférence (type pot à cornichond ou fruit divers peu importe mais assez haut, mettre des écorces de liège dedans, soit deux morceaux formant une sorte de V mais inversé, mettre des copeaux de coco dans le fond et éviter la tourbe (retiens trop l'eau) prendre un couvercle en métal bien percé ou mieux, le découper et fixer dessus un bas ou collant, et voilà, prêt à l'emploi. A celà se rajoute un bon éclairage, pour certains, jugé inutil, celà dit, les aviculaire viennent toutes, chez moi en tout cas, se mettre sous les tubes en pleines journée. Bonne chance ! elle nécéssite plus de soins et d'attention qu'un autre genre, mais celà en vaut la peine ! En voici la preuve, exemple d'une femelle adulte d'Avicularia metallica, après presque trois ans de croissance depuis le stade 1 : Steve

Sérieusement, à la base, je suis venu ici pour découvrir de nouvelles choses uniquement...pas pour bosser ! On ne peut généraliser les conditions de maintenances par genre, il faut une approche par espèce. Toutefois, les tapinauchenius, en dehors du fait qu'il faille globalement plus d'humidité et qu'elles soient très sensible aux excès de lumières (strictement nocturne et donc, à l'instar des Poecilothéria, pas d'éclairage) la maintenance est à l'identique d'une psalmopoeus irminia (dont elles ont souvent le caractère) ou d'une cambridgei. Quand au cyriopagopus, là encore, une analyse par espèce est plus que nécéssaire, un seul point commum à tous, semi arboricole, prévoir des troncs ou demi tronc de liège (plaqué sur l'arrière du térra) dont la base, sur 10 (mini) à 15 cm sera enfoncé dans le substrat. De plus, pour ces espèces, c'est l'air qui doit être humide, pas le sol qui doit être détrempé, d'ou la nécéssité de pulvériser régulièrement, pas d'eau stagnente ! Bref, pas mal de détails à respecter avec ces espèces, souvent térricole aux premiers stade, puis plus arboricole au fur et à mesure de leur évolution. La conception d'un térra pour Cyriopagopus comprends certaines règles, et je serais honnête avec vous et franc, sans moquerie aucune ni vantardise de ma part, mais j'ai lu certaines intervention, et pour la plupart d'entre vous, vous n'êtes, et de loin, pas prêt pour détenir ces espèces, ni d'autre genres asiatiques plus délicates à maintenir en captivité, ne m'en voulez pas pour ma franchise, merci d'avance. Steve

Je ne voulais pas, je me suis juger de ne pas, mais bon. 1 le livre est la seule base à connaître en premier, la plus neutre, la plus solide. Les éleveurs de longue date (pour la plupart et à quelques très rare exception près) ayant eu un élevage conséquent sur une longue période excédant les dix ans ont tous commencés par lire. Ceux qui pensent que celà est inutil sont le plus souvent ceux qui "disparaissent" (en tant qu'éleveur d'arachnide) au bout de quelques mois ou deux à trois ans, ou encore ceux qui ont le plus de problèmes dans leur élevage ou le plus de questions de base élémentaires posées de manière répétitives et vous pouvez rigolez si vous le souhaitez, moi, je le constate chaque jours d'avantage dans ma région et sur les forum, et à ce niveau, je sais parfaitement de quoi je parle. 2 les forums, c'est un lieu de partage et d'information, PAS de formation 3 en arboricole, les aviculaires, excepté laeta, sont une bonne base, à ceci près que leur croissance reste délicate depuis le stade 1, surtout pour des débutants. Ensuite, on peut envisager la P.pulcher, la cambridgei, en AUNCUN CAS une irminia J'élève et reproduit cette espèce particulière, avec plusieurs sujets sur plusieurs stade, au venin reconnu très actif, à ce titre, et je l'ai souvent dit, elle serait à classer parmis les dernières arboricole à détenir, avec les Poecilothéria, et même après la P.regalis. 5 viennent les Tapinauchenius 6 enfin, les Poecilothéria 7 Les semi arboricoles type Cyriopagopus ne sont pas à envisager avant, leur maintenance et leur besoins spécifique nécéssite quelques années dernières soit pour bien réussir selon moi, après, vous faite comme vous l'entendez bien évidement Bonne chance à vous tous. Steve

Bonjours, Juste pour info. Elever des insetes d'élevages permet certe de diminuer parfois les coûts, notament pour les blattes et les grillons, ceci dit, il est impératif de posséder un élevage de mygales conséquent, sinon, l'opération sera économiquement non rentable au finale. Le plus onéreux étant le criquet, dans la mesure ou cet insecte, pour être sain et bien nourrit, consommera des herbes l'été, facile, mais en hiver, pour tout les éleveurs habitant, on va dire, au-dessus d'une ligne horizontale partant de lyon, les choses deviennent plus difficile à gérer en cas de gel ou de neige. Et je parle pas des coûts d'électricité pour les lampes, indispensable, le chauffage, le contenant à fabriquer de grande taille,etc Le grillon, mais surtout le criquet, dispose d'une croissance rapide, ce qui implique de les utiliser sur de courte périodes. Avec moins de dix mygales en élevage, élever des insectes deviens économiquement inutile, sauf si fais pour d'autres raisons, bien évidement. Conçernant les revendeurs en magasin. Je ne suis pas marchand, et je ne cherche pas à les défendres, ceci dit, je trouve que certains d'entre vous ne devraient pas oublier les inévitables interférences qui rentre dans le coût de revente, petit rappel rapide : 1/ salaire du personnel, vous n'aimeriez pas travaillez pour rien non plus 2/ coût de stockage (électricité, chauffage, etc) / loyer du magasin 3/achat des "matières revendues" car non élevé par le revendeur 4/plus value, ou bénéfice, vous vous doutez bien qu'un commerce ne peut vivre sans marge bénéfiçiaire 5/ ha oui, notre chère TVA Française... Voilà pour les plus grandes lignes, après, il y a des coûts indirects d'amortissement, d'imposition, charges sociales et patronales, etc, bref, tout ce qui rentre dans la coefficient de rentabilité liée à chaque société pour le cacul de revente d'un produit Alors, une boîte de grillons acheté 2 € par exemple sera forçément revendu dans les 4.5 € ou plus, logique et inévitable. Ensuite, pour les grillons, petit info, il ne faut jamais, je dit bien jamais donner directement, même avec une éponge, de l'eau !! sinon, échec garantie à moyen et long terme, idem pour les blattes d'ailleurs. L'eau se donne par des plantes, courgettes, salades divers, carottes etc ou par des oranges coupés en lamelles de 1 cm environ, excellent résultat d'ailleurs. N'oubliez pas d'utiliser de bon support, le meilleurs étant les plaques d'oeufs en carton, empilées...VERTICALEMENT, surtout pour les blattes. Enfin, les adultes (grillons) nécéssitent des lampes qui les éclaires et crée un point chaud, donc, nécéssité d'avoir de grand bac (ouvert !!!! aération extrêment important !) Voilà, quelques info venant de personnes très qualifié dans le domaine, pas de moi, et qui élèvent ainsi, adultes et jeunes confondus, pas loin de 15 000 grillons....au quotidien ! Dernier point enfin. Je sais que vous en êtes tous conscient, mais détenir un animal de compagnie, ou une espèce sauvage chez soi implique des frais. Meme une archnide entraînera des coûts de détentions, et donc obligatoirement des sacrifices financier inévitables. Si vous n'êtes pas prêts pour celà, ou si vos moyens actuels ne vous permettent pas de lui apporter le maximum possible pour son térra, sa déco ou sa nourriture, à titre purement perso, mon conseil serait de vous suggérer de vous abstenir d'en détenir pour le moment, jusqu'à des jours meilleurs. Ce sont des êtres vivants très particulier, à nous de nous adapter à leur exigeances biologique, pas l'inverse, vous ne pensez pas ? Voilà, je ne vise absolument personne bien évidement, ce n'étais pas le but de mon intervention, surtout que chacun de nous dispose de moyens fort différent selon son âge, sa situation personnelle et sa vie professionnelle. Steve