Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

MARMARA1

Membres
  • Compteur de contenus

    499
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par MARMARA1

  1. Est ce que tu sais ce qu'ils ont fait comme bêtise et en quelle circonstance ?
  2. C'est la 1° fois qu'ils sont allés chez eux ? Temps court ? Temps long ? Bisous A+ !
  3. L'association "La Comp'Ani" à Sanary sur mer (83) avec des professionnels est à votre disposition si vous cherchez à adopter un petit compagnon (chien / chat). Relais entre l'ancien propriétaire et vous. Meilleur choix pour l'animal. Suivi de l'animal. N'hésitez pas à faire appel à nous, vous rendre un animal heureux et par là même, vous aussi. Contact : Isabelle COSTA 06 03 40 66 18 isa-husse@hotmail.fr http://lacompani.forumparfait.com/
  4. PLACEMENT ANIMALIER Il concerne les animaux de compagnie en conformité avec la législation française (vaccins, tatouage, …) dont vous êtes obligé de vous séparer (l’association ne se permet pas de juger les motifs de cette séparation) et pour lesquels vous souhaitez éviter le refuge, voire l’euthanasie, en leur fournissant un accueil de qualité dans un nouveau foyer. Bénéficiant d’un important réseau de contacts dans le milieu animalier (vétérinaires, comportementalistes animaliers, éducateurs d’animaux domestiques, toiletteurs, etc…), la Comp’Ani vous vient en aide en : • Trouvant un foyer digne de confiance pour votre animal et en réalisant la transition entre le nouveau et l’ancien foyer, • Assurant un suivi par un comportementaliste animalier durant le premier mois d’adaptation pour veiller à la bonne intégration de l’animal dans son nouveau foyer. TARIFS de la Prestation : Sanary (prestation de base) : 50 € couvrant les frais de téléphone, essence, papiers, mise en ligne Internet, etc… Hors-Sanary : majoration en fonction de l’éloignement (frais de déplacement accrus). Contact : Isabelle COSTA 06 03 40 66 18 isa-husse@hotmail.fr
  5. Au 1° septembre 2008, l'association "La Comp'Ani" ouvrira ses portes à nos amis à 4 pattes dans le Var (83) à Sanary sur mer (déclaration en cours) ! Dans un cadre professionnel et adapté, par un spécialiste animalier : Isabelle COSTA (Comportementaliste – Educateur) Avec de l’attention et de l’amour, « La Comp’Ani », une association animalière à Sanary sur mer (Var) est à votre disposition ! Objectifs de l'association : - Cours et conférences sur la relation humaine et animale, sur l’éducation et la socialisation, thérapie individuelle à domicile (Comportementaliste - Educateur pour animaux domestiques et sauvages) - Placement d’animaux perdus, abandonnés, à adopter (Enquêtrice SPA Var) - Expositions et ventes d’articles autour de l’animal domestique et sauvage Contact : Isabelle COSTA 06 03 40 66 18 isa-husse@hotmail.fr http://lacompani.forumparfait.com/index.php Vous pouvez d'ores et déjà faire passer l'information ! Vous inscrire sur le forum, venir poster, aider les animaux, etc... Ils comptent sur nous tous !
  6. Apprendre la propreté à un chiot en un mot ! Contrairement à ce qui est couramment affirmé la propreté ne s'apprend pas en punissant le chien qui fait ses besoins dans la maison. Le principe est au contraire de récompenser quand le chiot fait ses besoins à l'endroit choisi. Avec un tout jeune chiot la meilleure façon de procéder consiste à pratiquer des sorties régulières, toutes les deux puis trois puis quatre heures et à obtenir que le chiot fasse un pipi et une crotte ou un pipi seulement à chaque sortie. Le propriétaire reste à côté, en laisse éventuellement et il récompense son chien très exactement au moment ou ce dernier à juste fini (le plus souvent le chiot se retourne pour "constater"). Cette récompense doit être chaleureuse et survenir très exactement à ce moment précis. Si vous punissez votre chien alors qu'il fait pipi (au salon, ou sur le tapis) vous lui apprenez qu'il est interdit de faire ses besoins. Comme il ne peut pas s'en empêcher, il va apprendre à ne pas faire devant vous. Bien sûr des accidents vont survenir, ce n'est pas grave. Le chien qui s'oublie à l'intérieur, ne désapprend pas mais perd simplement une occasion. Il ne va pas prendre des mauvaises habitudes. La technique du journal doit être abandonnée. Le plus souvent elle sert à ne pas sortir le chiot ce qui est très mauvais à son âge et à démotiver les propriétaires qui ne doivent plus ramasser. Si vous avez commencé avec ce journal, placez le juste derrière la porte, le chiot demandera pour y accéder et vous pourrez alors l'emmener dehors. Attention il faudra prendre un petit bout de journal pour qu'il s'y retrouve... Patience et amour sont les clés d'une bonne éducation ! :chienn:
  7. Applique cette méthode (pas de rituel de départ) et cela toujours et tu verras que ça marche ! L'animal ne s'en portera que mieux et vous, vous partirez plus zen ! :chienn:
  8. Aucune préparation spéciale n'est nécessaire... Je dirais même AU CONTRAIRE ! Il ne faut rien laisser paraître à l'avance, car le chien sentirait qu'il se prépare quelque chose d'inhabituel et cela pourrait le stresser plus. Le jour J, tu l'amènes chez tes amis, avec son panier, sa gamelle, ses jouets préférés... N'oublies pas son carnet de vaccination et ses papiers ! Tu restes 5 minutes, juste le temps de papoter un peu avec tes amis, et tu t'en vas comme d'habitude. C'est-à-dire qu'il ne faut pas faire de rituel de départ. Si ton chien est un peu triste au départ et semble t'attendre derrière la porte, rassures-toi, si tes amis s'en occupent bien et lui montrent beaucoup d'affection, cela ne durera pas plus d'une journée... et encore !!! Bonnes vacances à vous et bonnes vacances aux 4 pattes ! :flrs:
  9. MARMARA1

    chien gourmand

    Il faut l'aider à se défouler plus souvent, plus de balades, plus de jeux, plus de contacts, et ça devrait aller ! A la rigueur, le temps qu'il perde l'habitude d'aller dans ses massifs préférés, un peu de répulsif naturel aidera ! Recette : Pour empêcher les chats (ou les chiens) de venir faire leurs besoins dans vos plates-bandes il existe un moyen naturel, économique et efficace. Il suffit d’acheter du poivre moulu, ça existe en sachets de 250 à 500gr dans les supermarchés et d’en saupoudrer les endroits que vous désirez protéger, comme les animaux reniflent toujours le sol avant de faire, ils vont sentir le poivre et déguerpir, de plus ils se souviendront que l’endroit n’est pas accueillant ! C’est sans aucun danger pour les insectes, oiseaux etc...
  10. Super ! Prends bien soin de toute cette jolie famille, place-les bien si tu ne les garde pas et fais peut-être stériliser ta chatte à présent ! Des photos !!! :chatttt:
  11. Il n’est pas rare que les chiens soient effrayés par l’orage, les pétards et autres bruits forts. Ces peurs peuvent se développer même si votre chien n’a jamais vécu d’expériences traumatisantes associées avec le bruit en question. La bonne nouvelle, c’est que beaucoup de problèmes liés à la peur peuvent être résolus avec succès. Cependant, si le problème n’est pas traité, le comportement anxieux de votre chien peut aller en s’aggravant. Les problèmes de comportement les plus fréquents associés à la peur des bruits forts sont les destructions et les fugues. Quand votre chien est effrayé, il cherche à atténuer sa peur. Il peut alors essayer de s’échapper vers un endroit où le bruit du tonnerre ou des feux d’artifice sont moins intenses. Si en quittant son jardin ou en allant dans une certaine pièce ou un certain endroit de la maison, il se sent moins effrayé, le comportement de fugue est alors renforcé puisqu’il permet au chien de réussir à atténuer sa peur. Pour certains chiens, le niveau d’activité ou d’effort physique lié aux comportements de fugue ou de destruction, peut déjà être une issue pour décharger leur trop plein d’anxiété. Malheureusement, les fugues et/ou les comportements destructeurs posent des problèmes au maître, et peuvent aussi résulter en des blessures physiques pour le chien. Lorsque le chien entend le bruit alarmant, les choses qui sont présentes dans son environnement peuvent, dans sa perspective, devenir associées avec ce bruit qui l’effraye. Et au bout d’un certain temps, le chien peut se mettre à avoir peur d’autres choses dans l’environnement, qu’il associe avec le bruit effrayant. Par exemple, les chiens qui ont peur du tonnerre peuvent se mettre ensuite à avoir peur du vent, des nuages gris et des éclairs qui précèdent souvent le coup de tonnerre. Les chiens qui ont peur des pétards peuvent se mettre à avoir peur des enfants qui ont les pétards, ou à avoir peur d’aller dans l’arrière-cour par exemple, si c’est en général là qu’ils entendent le bruit effrayant. Commencez en l’exposant à un niveau d’intensité du bruit qui ne l’effrait pas, et associez-le à quelque chose d’agréable, comme une friandise pour chiens ou un jeu amusant. Augmentez progressivement le volume tout en continuant à offrir à votre chien quelque chose d’agréable. Par ce procédé, il va associer de « bonnes choses » avec le bruit qui lui faisait peur auparavant. Autre technique : Exemple : - Enregistrez une cassette audio avec le bruit des pétards sur la bande - Mettez en route la cassette à un volume aussi bas que nécessaire pour ne pas déclencher la peur chez votre chien. Pendant que la cassette tourne à très bas volume, donnez son repas à votre chien, ou donnez-lui une friandise pour chiens, ou encore jouez à son jeu favori. - Au cours de la session suivante, passez la cassette un tout petit peu plus fort, tout en donnant à manger à votre chien ou en jouant avec lui. - Continuez à augmenter le volume très progressivement, au fur et à mesure des sessions, sur une période de plusieurs semaines ou plusieurs mois. Si à un moment donné pendant que la cassette tourne, le chien montre un comportement de peur, ARRETEZ ! Commencez la session suivante à un volume inférieur, qui ne provoque pas d’anxiété chez votre chien, et progressez plus lentement. Si ces techniques ne sont pas utilisées correctement, elles ne seront pas efficaces et peuvent même aggraver le problème.
  12. Déménager avec votre chat S’il y a une chose plus stressante que le déménagement lui-même, c’est de déménager avec votre chat. Avec un peu d’organisation, tout devrait pourtant bien se passer. Les chats développent des liens étroits avec leur environnement, les déménagements peuvent donc être un facteur potentiel d’angoisse. En la planifiant bien à l’avance, votre transition d’un domicile à l’autre se fera plus facilement. Après tout, c’est un moment stressant pour vous aussi et un tracas de moins sera le bienvenu. Le jour du déménagement * Avant l’arrivée du camion de déménagement, il est préférable de mettre votre chat dans une pièce – une chambre à coucher serait l’endroit idéal. * Mettez la caisse de transport, le couchage, les gamelles d’eau et d’alimentation, ainsi que la litière dans cette pièce et assurez-vous que la porte et les fenêtres restent fermées. * Placez une note sur la porte pour prévenir les déménageurs et les membres de votre famille que cette porte doit rester fermée. * Une fois toutes les autres pièces vides, le contenu de cette chambre pourra être chargé dans le camion, en dernier. Avant que les meubles soient emportés, placez votre chat dans sa caisse de transport et mettez-le dans votre voiture pour effectuer le trajet vers votre nouveau domicile. Les meubles de cette chambre doivent être les premiers à être installés dans votre nouveau domicile. * Branchez un diffuseur de phéromones faciales du chat (c’est un appareil Feliway électrique, disponible chez votre vétérinaire) dans une prise proche du sol dans la nouvelle pièce où votre chat sera provisoirement enfermé. Une fois la chambre prête, votre chat pourra y être installé avec son couchage, ses écuelles d’eau et d’aliments et sa litière ; laissez la porte fermée. Si cela est possible, un membre de la famille peut lui tenir compagnie pendant qu’il l'explore. * Donnez de la nourriture à votre chat. * Une fois l’emménagement terminé, laissez votre chat explorer le reste de votre domicile, pièce par pièce. * Il est important que vous restiez aussi calme que possible, pour faire comprendre à votre chat qu’il s’agit là d’un environnement hospitalier. Toutes les portes et les fenêtres ouvrant sur l'extérieur doivent rester fermées * Soyez vigilant(e) en cas d’accès non surveillé à la cuisine ou à la buanderie – les chats particulièrement nerveux chercheront souvent à se réfugier dans les recoins entre les appareils électroménagers. * Si votre chat est particulièrement anxieux, il serait peut-être préférable de le confier à une pension le jour précédent le déménagement et de le récupérer le jour suivant, une fois que vous serez installé(e) dans votre nouveau domicile. Le transport de votre chat * Si les déplacements rendent votre chat très anxieux, n’hésitez pas à en parler avant à votre vétérinaire; un calmant léger pourrait être une solution. * Nourrissez votre chat comme d’habitude mais veillez à ce que le repas tombe au moins 3 heures avant le voyage. * Transportez votre chat dans une caisse sûre, comme un panier ou une caisse de transport pour chats. * Une demi-heure avant d’y installer votre chat, pulvérisez l’intérieur de la caisse de transport avec des analogues de phéromones faciales du chat. (Feliway; Ceva – disponibles chez votre vétérinaire). * Placez la caisse de transport sur l’un des sièges et attachez-le avec la ceinture, ou coincez-le dans l’espace derrière un des sièges ou bien entre vos affaires sur le siège arrière, afin que la caisse ne puisse pas bouger. * Ne transportez pas votre chat dans le camion de déménagement ou dans le coffre de votre voiture. * Si vous avez un long voyage à faire, pensez à faire un petit arrêt pour lui offrir de l’eau, ou le laissez utiliser sa litière. La plupart des chats ne seront néanmoins pas intéressés. * S’il fait chaud, assurez-vous que la voiture soit bien ventilée ; ne laissez jamais votre chat à l’intérieur d’une voiture surchauffée si vous faites un arrêt. Comment aider votre chat à s’acclimater * Gardez votre chat à l’intérieur au moins deux semaines, le temps qu'il s'habitue à son nouvel environnement. * Donnez-lui des petits repas mais fréquemment. * Maintenez le rythme de votre ancien domicile afin de maintenir une certaine continuité et une familiarité. * Aidez votre chat à se sentir en sécurité dans son nouveau logis en propageant son odeur dans la maison. Prenez un linge doux en coton (ou bien des gants en coton fin) et frottez doucement les joues et la tête de votre chat afin d’absorber l’odeur émise par les glandes autour de son visage. Frottez ce linge ou ce gant sur les coins des portes, murs et meubles à la hauteur de votre chat pour l’aider à s’accoutumer à son nouveau territoire aussi vite que possible. Répétez ce processus quotidiennement jusqu’à ce que votre chat commence à se frotter contre ces objets. * Continuez à utiliser le diffuseur d’analogues de phéromones faciales du chat et changez-le de pièce régulièrement. * Soyez encore plus attentif(ve) si votre chat est un chat d’intérieur, car un nouvel environnement risque de le perturber davantage. Laisser sortir votre chat * Gardez votre chat à l’intérieur pendant deux semaines, afin qu’il s’habitue à son nouveau domicile. * Veillez à ce que votre chat porte un collier avec nom, adresse et numéro de téléphone. * Sinon (ou en plus), demandez à votre vétérinaire d’équiper votre chat d’une micro-puce afin qu’il puisse vous être identifié s’il se perd. S’il est déjà muni d’une micro-puce, n’oubliez pas d’informer la compagnie d’enregistrement de votre changement d’adresse et de numéro de téléphone. * Veillez à ce que les vaccins de votre chat soient à jour. * Une fois votre chat bien installé, pensez à poser une chatière pour faciliter son accès à l’extérieur lorsque vous êtes absent. Choisissez plutôt une chatière contrôlée par un système de clef électronique ou magnétique pour éviter que d’autres chats ne rentrent chez vous. * Faites fuir tout autre chat que vous croisez dans le jardin. Votre chat aura besoin d’aide pour consolider son territoire en tant que nouveau venu dans le quartier. * Sortez votre chat progressivement, en ouvrant la porte et en l’accompagnant dans le jardin. * S’il est habitué à un harnais, il est conseillé de le promener dans le jardin avec une laisse. * Ne le portez pas lorsque vous êtes à l'extérieur. Laissez le décider s’il a envie d’explorer. * Pour commencer, laissez toujours la porte ouverte pour qu’il puisse rentrer si quelque chose l’effraie. * Les chats d’extérieur avec plus d’expérience de changements s’adaptent en général plus facilement. Les chats timides peuvent prendre plus de temps à s’adapter à leur nouvel environnement et devront être accompagnés dehors jusqu’à ce qu’ils se sentent plus sûrs. Comment éviter que votre chat ne retourne à son ancien domicile Si votre nouveau domicile est proche de l’ancien, il se peut que votre chat repère des traces familières qui le conduisent à son ancienne maison. Il serait judicieux de prévenir les nouveaux habitants que votre chat risque de retourner chez eux pour qu’ils vous appellent s’ils l’aperçoivent. Il est très important qu’ils ne lui donnent rien à manger et qu’ils ne l’encouragent pas à revenir car cela risquerait de l’embrouiller plus qu’autre chose. Si vous avez déménagé dans le même quartier, il serait bon de garder votre chat à l’intérieur le plus longtemps possible. Néanmoins, cela n’est pas toujours très pratique car les chats susceptibles de retourner à leurs anciens territoires de chasse ne sont pas du type à aimer être enfermés très longtemps. Suivez les conseils ci-dessus pour aider votre chat à s’acclimater à son nouveau domicile; à l’aide d’odeurs à la fois synthétiques et naturelles, vous ferez en sorte que son nouvel environnement devienne un lieu familier plus rapidement. Il se peut que votre chat prenne plusieurs mois pour s’habituer à son nouvel environnement. Si cette expérience semble l’angoisser et qu’il retourne obstinément à son ancien domicile ou traverse des routes très fréquentées pour y arriver, il serait peut-être mieux pour son bien-être de demander aux nouveaux occupants ou à un de leurs voisins de l’adopter. Un nouveau mode de vie Il n’est jamais idéal de changer le mode de vie de votre chat et de passer de l’extérieur à l’intérieur, mais c’est parfois nécessaire lorsque le changement de domicile l’y oblige. Si votre chat a l’habitude de passer l’essentiel de son temps à l’extérieur, il serait préférable pour lui de trouver un nouveau foyer d'adoption. Néanmoins, si votre chat passe très peu de temps dehors, faire de lui un chat d’intérieur est possible. Les chats d’intérieur demandent plus d’effort de la part de leurs propriétaires pour les stimuler, les encourager à faire de l’exercice et pour éviter qu’ils ne s’ennuient. Nos suggestions pour rendre l’environnement d’un chat d’intérieur plus stimulant sont les suivantes: * Cachez quelques croquettes dans la maison pour lui donner l’occasion de « chasser » * Prévoyez quelques postes d’observation et des grattoirs auxquels le chat puisse grimper * Proposez-lui des séances de jeux prédateurs au moins une fois par jour Dans certains cas, les propriétaires auront la chance d’emménager dans un nouveau domicile où ils peuvent laisser sortir leur chat pour la première fois. La transition d’un chat d’intérieur à un chat d’extérieur, si elle se fait lentement, peut contribuer au bien-être émotionnel de votre chat et lui permettre d’avoir une vie plus naturelle. Suivez nos conseils concernant les premières sorties de votre chat, mais n’oubliez pas que la transition doit être progressive. Beaucoup de chats dans de telles circonstances préfèrent sortir avec vous à leurs côtés pour les rassurer. Vivre dans un logement plus petit Si vous êtes propriétaire de plusieurs chats, ils se sont accoutumés à se partager l’espace de votre ancien domicile. Le déménagement vers un logement plus petit pourrait générer des tensions entre les individus. Limitez les risques d’antagonisme dans votre nouveau domicile en fournissant des ressources suffisantes, telles que * Des couchages * Des litières * Des griffoirs * Des écuelles pour les aliments * Des écuelles d’eau * Des plateformes de repos en hauteur (armoires, placards, et étagères par exemple) * Des cachettes à l’abri des regards (par exemple sous le lit, en dessous d’une armoire) On dit que le déménagement est l’une des expériences les plus stressantes de la vie. En aidant votre chat à s’acclimater calmement et en évitant les problèmes, vous pourrez retrouver le calme un peu plus rapidement. :chatttt:
  13. Toujours pour les vomissements... Essaye de lui faire faire très rapidement une cure de Félipurgatyl ou de Féligastryl, si pas d'amélioration rapide (deux-trois jours) ou pire si aggravation, véto direct !
  14. Pour les vomissements, parles-en quand même à ton véto, ça n'est pas normal, n'attends pas trop, ça peut être rien comme grave... Opére tes chattes maintenant, conseil d'amie, tu seras plus tranquille, elles s'en porteront que mieux et ça fera des portées en moins dans les refuges surchargés, car ceux qui adoptent souvent un chaton, délaisse le chat qu'il devient par la suite...
  15. La grande comme tu dis, est perturbée par l'attitude de l'autre, qui est stressée et prête à accoucher et la grande marque souvent par son urine le passage de l'autre pour se rassurer... Par contre qu'elle vomisse, je ne comprends pas, pas assez de détails pour analyser, peux-tu en dire plus ? As-tu prévu de placer tes petits chatons ? Les gardes-tu ? Pense que ta chatte qui va accoucher, va chercher un coin calme et à l'abri pour faire ses petits, respecte bien ça... A bientôt aux nouvelles...
  16. Tant mieux pour vous deux ! :flrs:
  17. Le TERRE NEUVE est doux et social, il aime les espaces, les ballades, ses doigts sont palmés alors allez hop, à l'eau ! Il adore ça Bruno ! Puis toujours pareil : Le chiot a besoin d’avoir : 1 - un endroit à lui où dormir, 2 - un coin tranquille où il peut s’isoler s’il se sent envahi par vos amis ou ceux de vos enfants, 3 - une gamelle pleine d’eau propre en permanence, différente de la gamelle où il mange, 4 - un endroit à lui pour manger, socialement neutre et différent de l’endroit où il dort, 5 - des jouets pour jouer. Par ailleurs, le chien a besoin des habitudes de la vie quotidienne : le repas, la promenade, le retour du maître, etc.. Alors essaye de ritualiser tes rapports avec lui en employant toujours les mêmes mots pour une action et en respectant des horaires réguliers. LES PRINCIPALES REGLES : Dès son arrivée dans la famille, la phase éducative doit commencer, de manière ludique et progressive. Les premiers temps, les choses essentielles à lui apprendre sont : 1 - son nom (court si possible), 2 - la propreté, 3 - les interdits, 4 - le rappel simple. Ca sera déjà bien pour commencer Bruno ! Si besoin est pour du plus compliqué, énonce-moi tes questions, je tâcherais d'y répondre... :flrs:
  18. Pour la première fois, la Fondation Brigitte Bardot investit le petit écran; Du 14 au 28 juin 2008, la Fondation Brigitte Bardot perce l’écran avec une vague de spots TV interpelant les français sur leur relation à l’animal. Tantôt cobaye, esclave, produit ou objet, les animaux subissent de multiples traitements dénoncés depuis toujours par la Fondation Brigitte Bardot et sur lesquels les pouvoirs publics commencent tout juste à se pencher avec les rencontres « Animal et Société ». Le spot est visible en ouverture du site de la FBB : http://www.fondationbrigittebardot.fr
  19. Adoption du projet de loi sur les chiens Le Parlement a adopté jeudi définitivement le projet de loi sur les chiens dangereux. Il instaure un "permis de détention" délivré par le maire de la commune de résidence du propriétaire de l'animal. Le Sénat a voté en 3ème lecture le texte dans la même version que celle adoptée par l'Assemblée nationale. L'UMP et les centristes de l'UDF ont voté pour, le PS et les Verts se sont abstenus et le PCF a voté contre. Le texte met en place une formation à l'éducation canine sanctionnée par une "attestation d'aptitude". Il prévoit une "évaluation comportementale" des chiens mordeurs, rend obligatoire la déclaration en mairie de toute morsure et fixe à 10 ans de prison la peine encourue par les propriétaires de chiens responsables d'agressions mortelles. Défendu par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, ce texte avait été promis en septembre 2007 par Nicolas Sarkozy après l'émotion suscitée par la recrudescence d'agressions canines, qui ont fait une trentaine de décès en France en 20 ans.
  20. Les présentations doivent se faire progressivement. Installez d'abord le nouvel arrivant dans une pièce et fermez la porte. Il est primordial que les deux chats aient un endroit qui leur est propre. En effet, chacun doit avoir sa litière et son écuelle. Les premiers jours, les deux félins sentiront leurs odeurs à travers la porte close. Après quelque temps, vous pourrez ouvrir la porte pour un premier contact. Soyez présent à la rencontre et surveillez leurs réactions. Il est fort probable qu'il y ait d'abord de petits affrontements. Toutefois, ces affrontements sont généralement de courtes durées. Peu à peu, ils s'habitueront à la présence de l'autre. Il se peut que votre animal n'accepte pas son nouveau compagnon et ne fraternise pas avec ce dernier. Il partagera son territoire avec lui, sans plus. Toutefois, si vous constatez que votre minet cesse de manger, urine un peu partout et devient dépressif, c'est qu'il ne tolère pas du tout le nouvel animal. Peut-être sera-t-il alors préférable de trouver un autre domicile à l'arrivant... Heureusement, il est peu fréquent que l'arrivée d'un nouveau chat perturbe le domicile très longtemps. En effet, la cohabitation se fait souvent sans heurts. Si les présentations sont faites selon les règles, il y a fort à parier qu'une belle amitié naîtra entre les deux félins ! PS: FELIFRIEND vous aidera aussi ! :chatttt:
  21. Les coups de gueule de François CAVANNA ! Écoutez. Le tuer, j'ai pas le cœur. Alors, je vous l'amène. Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c'est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C'est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j'irai le perdre dans les bois. Je l'attacherai à un arbre, pour ne pas qu'il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu'il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mie ux l'attacher et puis se sauver, pas l'entendre crier, c'est trop triste, on n'est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j'ai pas que ça à faire, on n'a pas encore fini les bagages. Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d'autre ? Le bon salaud le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c'est qu'on a le cœur tendre, qu'on ne peut absolument pas supporter l'idée qu'une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque "ces gentils compagnons" se mettent à être malades et coûtent "les yeux de la tête" en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n'ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents. Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s'empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d'argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l'idée), mais c'est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu'une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l'indifférence générale devant l'omniprésence de la misère animale. C'est le fait d'âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s'agit de gens à faibles ressources qui s'épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles. Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d'aliments ont stimulé une frénésie d'achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La "rentabilité" exige qu'une femelle d'une race "vendeuse" ponde et ponde jusqu'à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n'est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c'est le chantage cynique de tout à l'heure : "Vous le prenez ou je vais le perdre". C'est exactement le coup de l'otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : "Vous me la donnez la caisse ou je l'égorge." On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l'animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n'aime pas dire "amis des bêtes"), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d'un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d'inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s'occuper d'animaux alors qu'il y a tant de détresses humaines... Et quand l'apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l'euthanasie en masse par les services de l'hygiène publique, pas fâchés d'être débarrassés. Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait "refuge" et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S .V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d'usage concernant les règles d'hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie "normale" était l'euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé. Il faut que l'animal cesse d'être considéré comme un objet, un bien "meuble" qu'on achète, qu'on vend, qu'on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les "mauvais traitements", d'ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d'un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d'un enfant. C'est le formidable et trop prévu nombre d'abandons liés aux départs en vacances qui m'a mordu au cul. Savez-vous qu'ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d'aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? "Avec la planche à voile sur le toit de la voiture" m'a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-merdes, volent haut dans l'air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados ! PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage François CAVANNA "[...] En occident, on versera un pleur de connivence sur la perte sèche, mais, n'est-ce pas, faut ce qu'il faut. Là non plus, pas sur les canards. Qui pleure sur un canard ? Je vais vous épater : moi, je pleure sur un canard. Ces multitudes de vies tolérées à seule fin de grossir le plus vite possible pour être transformées en zut par nous, 6 milliards de tristes connards, et balancé aux ordures toutes palpitantes parce que les traîtres connards ont peur pour leur petite gueule si importante. Oui, vaut mieux que j'arrête, je perds les pédales. Notre petit confort, nos petits bonheurs de gourmandise ont les pieds dans un marécage de sang, de zut, de souffrance et de superbe indifférence. Savez-vous quoi ? Je ne puis plus voir des vaches dans les champs, des moutons, des poules picorant sans, tout de suite après le premier attendrissement, sentir une main qui me broie les tripes en même temps qu'une voix me hurle dans la tête: "des condamnés à mort ! Ce sont tous des condamnés à mort !". J'essaie de me dire "ils ne savent pas." Je n'en suis pas très sûr. Et les oiseaux sauvages ? Ah ceux-là hein ? Eh bien ce sont des salauds. Méprisant les frontières et les embargos, ils transportent dans les migrations les sales virus et les sèment par le monde. Sus aux migrateurs ! Chasseurs, à vos fusils ! Tuez tout, on a pas le temps de leur regarder le blanc de l'oeil ni de leur prendre le pouls." François Cavanna Avoir davantage pitié des bêtes que des hommes, c'est pas très bien vu chez les hommes. C'est considéré comme une sorte de désertion, de trahison, voire de perversion ou d'infirmité mentale. Mais bon dieu, nous sommes hommes par hasard. Tant mieux, j'aime bien comprendre le monde. Et c'est justement parce que je suis homme que je puis transcender cet instinct grégaire, irréfléchi, purement animal qui fait se serrer les coudes aux hommes, les incite à diviniser l'homme par-dessus toute créature. Réflexe spontané, réflexe normal. Normal chez une oie, chez un phoque, chez un hareng. Un homme devrait aller plus loin. C'est parce que j'essaie d'être vraiment, pleinement homme, c'est-à-dire une bête avec un petit quelque chose en plus, que je mets sur un pied d'égalité ce qui est homme et ce qui ne l'est pas. M'emmerdez pas avec votre St François d'Assise, j'ai pas de paradis à gagner. Mon amour des bêtes est bien autre chose qu'un attendrissement devant le mignon minet, bien autre chose qu'une lamentation devant les espèces, j'm'en fous, je ne suis pas collectionneur d'espèces, des millions d'espèces ont disparu depuis que la première lave s'est figée. Seuls m'intéressent les individus. Mon horreur du meurtre, de la souffrance, du saccage, de la peur infligée fait de ma tranche de vie une descente aux enfers. Nous tous, les vivants, ne sommes-nous donc pas des passagers de la même planète ? L'homme n'a pas besoin de ma pitié : il a largement assez de la sienne propre. S'aime-t-il le bougre ! la littérature, la religion, la philosophie, la politique, l'art, la publicité, la science même n'intéressent les hommes que lorsqu'ils les mettent au premier plan, tous ne sont qu'exaltation de l'homme, incitations à aimer l'homme, déification de l'homme. Les bêtes n'ont pas, si j'ose dire, la parole. Elles n'ont pas d'avocat chez les hommes. Elles ne sont que tolérées. Tolérées dans la mesure où elles sont utiles, ou jolies, ou attendrissantes. Ou comestibles. Les hommes les ont ingénieusement classées en animaux « utiles » et animaux « nuisibles ». Utiles ou nuisibles pour les hommes, ça va de soi. Les chinois ont patiemment détruit les oiseaux parce qu'ils mangeaient une partie du riz destiné aux chinois. De quel droit les chinois sont-ils si nombreux qu'il n'y a plus de place pour les oiseaux ? Du droit du plus fort, hé oui ! Voilà qui est net ! Ne venez plus m'emmerder avec votre supériorité morale. Ni avec vos bons dieux, faits à l'image des hommes, par les hommes, pour les hommes. Si les petits cochons atomiques ne mangent pas l'humanité en route, il n'existera bientôt plus la moindre bête ni la moindre plante « nuisible » ou « inutile ». Le travail est déjà bien avancé et le mouvement s'accélère. La mécanisation libèrera -peut-être - l'homme du travail « servile ». Elle a déjà libéré le cheval : il a disparu. On n'a plus besoin de lui pour tirer la charrue, il n'existe quasiment plus à l'état sauvage, adieu le cheval. Oui, on en gardera quelques-uns, pour jouer au dada, pour le tiercé, pour le ciné, pour la nostalgie. L'insémination artificielle a déjà réduit l'espèce « boeuf » à ses seules femelles. Un taureau féconde -par la poste- des millions de vaches. Oui, on s'en garde quelques-uns pour les corridas, spectacle d'une « bouleversante grandeur » où l'homme, intelligence « sublime », affronte la bête, les yeux dans les yeux ... oui, on se garde quelques faisans, quelques lapins, quelques cerfs ... pour la chasse. On se garde quelques éléphants pour que les petits merdeux aillent les voir dans les zoos, et quelques autres dans des bouts de savane pour que les papas des merdeux aillent y faire des safaris-photos après le déjeuner d'affaires. Pourquoi je m'énerve comme ça ? Parce que je les voudrais semblables à ce qu'ils se vantent d'être, ces tas : un peu plus, un peu mieux que les autres bêtes. Mais non, ils le sont, certes, mais pas assez. Pas autant qu'ils croient. A mi-chemin. Et à mi-chemin entre ce qu'est la bête et ce que devrait être l'homme, il y a le con. Et le con s'octroie sans problème la propriété absolue de la Terre et de tout ce qui vit dessus, et même l'univers entier, tant qu'une espèce plus forte ou plus avancée techniquement mais tout aussi con ne l'aura traité lui-même comme il traite ce qui lui est « inférieur » « inférieur ». Rien que ce mot ! Il y a même toute une hiérarchie .... François Cavanna
×
×
  • Créer...