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Votre chien est-il « dominant » avec les autres chiens ?
MARMARA1 a posté un sujet dans Fiches conseils
Votre chien est-il « dominant » avec les autres chiens ? Les maîtres qui ont un chien agressif vis-à-vis des congénères ont tendance à qualifier ce comportement de « dominant », ce qui est tout à fait inexact. Le vrai dominant n’a pas besoin d’attaquer pour s’imposer. Il faut différencier l’agression entre mâles, entre femelles, entre les sexes, d’un mâle adulte sur un chiot ou sur une femelle. Elle peut être compétitive, territoriale, de distancement, hiérarchique. L’intervention du propriétaire a un rôle important pour la mise en place de l’agressivité (en général protecteur). La prévention passe par l’apprentissage de la communication chez l’éleveur (dès 4 semaines) et par l’Ecole du Chiot : inhibition de la morsure. Le chien mal socialisé peut défendre la personne qu’il considère comme un partenaire sexuel ou social contre le conjoint et les autres membres de la famille, contre les autres chiens. Pour le mâle, il suffit que sa maîtresse ait ses règles pour qu’il agresse. Une séquence d’agression se fait en trois phases pour des chiens normaux : 1) Phase d’intimidation (on montre sa puissance pour ne pas avoir à s’en servir) 2) Phase d’attaque (faire tomber et maintenir jusqu’à ce que l’autre se soumette) 3) Phase d’apaisement (affirmer sa victoire en mordillant ou en chevauchant) Chez le chien normal, le dominant cesse de mordre dès que l’autre se soumet, en général, c’est à l’occasion de « jeux de combat » que ce problème de hiérarchie se règle. Des mouvements exagérés (sauter, pousser, monter dessus, charger) qui sont accompagnés de signes d’amitié (léchage, se rouler, invitation). Il existe des agressions idiopathiques par lésions neurologiques (bilan vétérinaire). Dans les agressions par peur (chien attaqué lorsqu’il était jeune), comme il craint d’avoir mal, il mord plus fort, plus vite et sans menaces préalables. Son but, c’est de provoquer le retrait de l’autre. Dans toutes les formes d’agression : peur, dominance, prédation, protection, possession, douleur, punition, le risque c’est l’instrumentalisation. Attention aux poils devant les yeux (puberté : Briard). A) SIGNAUX DU DOMINANT (chorégraphie) 1) Phase d’intimidation • Grognements, la lèvre supérieure retroussée pour exhiber les dents (incisives supérieures) • Oreilles dressées en direction de l’autre • Poil hérissé • Les membres raidis, le corps tendu, c’est la posture «haute» • La queue est portée haute • Le regard est fixé dans les yeux de l’autre (quelquefois sur le dos) 2) Phase d’attaque (si les postures dominantes sont insuffisantes) La principale arme, c’est les dents, claquer des dents (mouvements à vide) • Se mettre au dessus : cou, garrot, dos • Peut faire une tentative de monte • Pousser et tenter de renverser, coups de pattes • Saisir le museau ou le cou • Orientation des morsures vers le cou ou les épaules en tirant (avec le dominant, la morsure est contrôlée) • Grognements 3) Phase d’apaisement • Renifler l’autre • Uriner dessus ou à côté • Chevaucher • Mordiller, lécher la tête de l’autre • Gratter le sol, grincer les dents • Parade avec posture haute B) SIGNAUX DU DOMINÉ 1) Phase d’intimidation • Regard fuyant, détourné, pour éviter celui du dominant • Oreilles couchées • La pupille est dilatée (change de couleur) • Commissures de lèvres étirées (exhibe les molaires) • Corps plié en arrière ou basculé sur le côté • Tête et queue basses (quelquefois sous le ventre) • Grognement sourd 2) Phase d’attaque (si les postures dominantes sont insuffisantes) • Couché sur le dos ou sur le côté avec un postérieur levé • Présenter le cou, la gorge, le ventre, la région génitale (chiot) • Peut uriner • Possibilité de morsures répétées par les incisives en essayant de faire face en position recroquevillée 3) Phase d’apaisement • Immobilité absolue • Peut fuir en couinant, la queue entre les jambes et agresser par peur L’âge critique : La puberté • La pré-puberté et la puberté (dans les cas difficiles, la castration peut être envisagée) • La prédisposition génétique • L’influence de l’éducation sociale (maître et Ecole du Chiot) – Revoir certains standards de race • La puberté, période de désocialisation, de hiérarchisation, de territorialisation • Les signes vont s’aggraver avec l’âge • Importance de l’âge d’acquisition du chiot (hyper-attachement – HS – HA) Le maître peut créer ou augmenter l’agressivité • Il isole son chien des congénères (peur des maladies, de l’attaque) • Il repousse le chien qui s’approche • Il est inquiet • Il prend son chien dans les bras • Il tire sur la laisse • Il réprimande son chien d’une voix monocorde ou donne des petites tapes (effet contraire) • Il crie et gesticule en cas de bagarre • Il ne domine pas son chien, donc pas d’inhibition en sa présence • Le chien est plus agressif en présence du maître, souvent exacerbation avec maître de l’autre sexe • Si on possède deux chiens du même sexe, identifier la hiérarchie entre eux et la respecter La Rééducation : I - Evaluer le type d’agression et ses circonstances d’apparition o Interrogatoire du maître o Mise en situation (test) II - Evaluer l’influence du maître o Mise en situation en l’absence du maître III - Dédramatiser o Mâle adulte avec femelles – Femelle avec mâles o Muselière o Jeu de rôle avec le maître sans le chien pour changer le comportement (déculpabiliser) IV - Rééducation o Effet de meute – Des chiens en laisse viennent entourer (d’abord sans le maître) o Dévier l’attention – Balle, friandise (privation) – stimulus fort (pistolet à eau, à amorces, parapluie pliable) o Reprise de l’autorité (protocole à la maison, obéissance directrice) o Punition – Stimuli négatifs au moment de l’agression – D’abord avec un étranger, puis avec le maître (eau, bidon, collier à air) – Système de l’élastique QUE DIT LA LOI ? • Le maître du chien qui attaque est responsable (Responsabilité Civile) – Si décès, dommages et intérêts pour préjudice moral • Si la responsabilité n’est pas établie (témoins), chacun est responsable des blessures de l’autre chien • La bagarre a lieu chez le vétérinaire, à la pension, chez un éducateur, ils sont responsables. Au club, si le maître est présent, il est responsable. :chiottt: -
Texte sur les chiens dangereux adopté en 2° lecture
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Métiers, formations et certificats de capacité
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la propreté chez un chiot
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de ihmotep62 dans Présentations et questions
Si jamais vous apprenez le chien à faire ses besoins devant vous et que vous le prenez sur le fait, vous pouvez le rouspéter et le mettre dehors de suite, en revanche s’il s'est soulagé et que vous ne le voyez que plus tard, cela ne sert à rien de le gronder, il ne comprendra pas. En revanche s’il fait ses besoins dehors, vous pouvez le récompenser par une friandise, une caresse… cela le stimulera à recommencer. Éviter de ramasser ses besoins devant lui il croira que cela vous intéresse. De même éviter de laver à la javel car cela incruste l’odeur au lieu de la dissiper ; laver plutôt avec des produits à notes fleuries. Éviter aussi de rentrer le chien de suite après qu’il est fait ses besoins car il associerait le fait de se soulager à la fin de la promenade et risquerait de se retenir pour la prolonger, au risque de finalement de faire ses besoins une fois rentré à la maison. :chiottt: -
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Texte sur les chiens dangereux adopté en 2° lecture
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Métiers, formations et certificats de capacité
Suite à l'adoption du projet de loi sur les chiens dits dangereux, le 15 mai par l'Assemblée Nationale, la SPA souhaite dénoncer l'attitude irresponsable du Gouvernement et des Parlementaires. « Aujourd'hui, l'Etat français veut faire d'une catégorie de chiens l'ennemi public n°1. La SPA n'a de cesse de répéter, depuis des mois, aux Parlementaires, aux Sénateurs, aux Ministres et au Président de la République, que ces mesures drastiques ne résoudront en rien la prétendue dangerosité de certains chiens. Il faut avoir le courage de s'attaquer aux vrais problèmes : le commerce des animaux de compagnie, la nécessaire moralisation et professionnalisation de cette activité, les importations d'animaux, toutes races confondues, élevés dans des conditions dramatiques, le problème des élevages industriels d'animaux de compagnie, la condition des chiens de travail et de gardiennage ! », déclare Caroline LANTY, Présidente Nationale de la SPA. Alors que tous les professionnels du secteur, par ailleurs réunis dans le cadre du Grenelle des Animaux, les « Rencontres Animal et Société », ont dénoncé un tel projet de loi, il est de la responsabilité du Gouvernement et des Parlementaires d'entendre les voix qui s'opposent à un tel texte. En effet, malgré les légères modifications effectuées suite à la mobilisation de l'ensemble de la profession, le texte est toujours incohérent, inapplicable et il a été oublié, dans la rédaction de celui-ci, de nombreux points importants : information des acquéreurs, contrôles des élevages et des importations, lutte contre les trafics. De nombreuses associations* (Fondation Assistance aux Animaux, Fondation Brigitte Bardot, Société Nationale de Défense des Animaux, Société Protectrice des Animaux...), les professionnels* (vétérinaires, Syndicat des Professionnels du chat et du chien...), les éducateurs et comportementalistes (SECP, GECC,...)* sont unanimes à dénoncer ce projet de texte via un manifeste qui ne cesse de recevoir de nouveaux soutiens. « Nous sommes face à un déni de démocratie. On nous a fait croire qu'on serait entendu, pire, que l'on serait écouté dans une volonté constructive. Or, il n'en est rien. Le Gouvernement, soutenu par la majorité, a décidé de prendre une décision totalement arbitraire qui va à l'opposé du but recherché. Ce n'est pas en créant une psychose que l'on éteint un feu. C'est en prenant le problème à bras le corps avec courage », poursuit la Présidente de la SPA. La SPA a d'ores et déjà lancé une pétition en ligne, sur son site internet*, pour dénoncer un tel texte. Elle ne se rendra en aucun cas complice des milliers d'euthanasies inévitables si un tel texte aboutit. « La SPA ne peut en aucun cas cautionner un tel texte, c'est évident. Si le Gouvernement persiste à vouloir le sacrifice de tous ces animaux, il sera responsable d'une colère énorme des propriétaires d'animaux sans résoudre véritablement le problème posé : quel effroyable gâchis ! La SPA n'est pas là pour faire le sale boulot et cautionner ces euthanasies massives qui répondent à une peur irraisonnée. Ce n'est en aucun cas sa vocation, c'est dramatiquement inutile », conclut Caroline LANTY. * Voir les manifestes sur notre site internet http://www.spa.asso.fr/ Contact Presse : Nicolas BISCAYE Responsable communication Société Protectrice des Animaux Tel : 01 43 80 91 86 Port : 06 84 64 87 51 Fax : 01 43 80 99 2 Télécharger le Manifeste pour éducateurs et comportementalistes http://www.spa.asso.fr/uploads/Document/18..._1210948131.doc Télécharger le Manifeste pour vétérinaires http://www.spa.asso.fr/uploads/Document/18..._1210948331.doc Télécharger le Manifeste pour les Associations de Protection Animale http://www.spa.asso.fr/uploads/Document/f8..._1210948412.doc -
Texte sur les chiens dangereux adopté en 2° lecture
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Métiers, formations et certificats de capacité
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Texte sur les chiens dangereux adopté en 2° lecture
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Métiers, formations et certificats de capacité
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Texte sur les chiens dangereux adopté en deuxième lecture par l'Assemblée ! PARIS (AFP) - L'Assemblée nationale a adopté jeudi, en deuxième lecture, le projet de loi sur les chiens dangereux, dont l'une des dispositions phare est la création d'un "permis de détention" délivré par le maire de la commune de résidence du propriétaire ou du détenteur de l'animal. Les groupes PS et GDR (PCF-Verts) se sont abstenus, tout en soulignant les éléments "positifs" du projet de loi. Plusieurs amendements de la rapporteure Catherine Vautrin (UMP) ayant été adoptés jeudi par les députés, le projet de loi sera soumis à une Commission mixte paritaire (CMP, 7 députés, 7 sénateurs) en vue de parvenir à un texte de compromis entre les deux chambres. A été ainsi adopté un amendement supprimant le critère de poids dans la détermination des chiens dangereux de catégorie 1 (chiens d'attaque) et 2 (chiens de garde ou de défense). Adopté en deuxième lecture le 25 mars par le Sénat, le texte met notamment en place une formation à l'éducation canine sanctionnée par une "attestation d'aptitude", prévoit une "évaluation comportementale" des chiens mordeurs, rend obligatoire la déclaration en mairie de toute morsure et fixe à 10 ans de prison la peine encourue par les propriétaires de chiens responsables d'agressions mortelles. Défendu par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, ce texte, qui vise à renforcer l'arsenal législatif existant, a été promis en septembre par Nicolas Sarkozy après l'émotion suscitée par la recrudescence d'agressions canines, qui ont fait une trentaine de décès en France en 20 ans. Le débat a été marqué par un petit incident de séance: la majorité a soutenu par inadvertance un amendement PS visant à transformer le "permis de détention" en "autorisation de détention", entraînant ainsi une deuxième délibération pour rectifier la bévue. Selon des rapports parlementaires, il y a aujourd'hui en France environ 600.000 chiens "catégorisés": 270.000 chiens d'attaque et 410.000 chiens de garde et de défense. http://fr.news.yahoo.com/afp/20080515/tfr-assemblee-animaux-chiens-violences-4000a2c.html
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EMISSION ANNULEE AU DERNIER MOMENT !!! Nous venons d'avoir l'appel de la chaine LCP qui nous dit que l'émission est annulée pour cause "émission sur les OGM". Cet après midi, Didier était au téléphone avec le journaliste pour préparer l'émission et deux heures après ... annulé (la veille de l'émission)...
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2000 chiens, mouroir sur Istanbul, au secours !!!
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Sensibilisation et débats
Je transmets : Ils étaient 2000. Les volontaires du refuge de Beykoz ont arrété les autorités mais ils en avaient tué 400, 400 chiens morts dans l'indifférence internationale et enterrés dans des fosses communes (certains animaux ont été enterrés vivants). Aujourd'hui il reste entre 1400 et 1600 chiens dans ce chenil. Les portes sont fermées et gardées, les volontaires n'ont plus le droit d'y pénétrer. Les chiens dans le bois derrière la "facade" d'un beau refuge sont en train de crever de faim et de soif. OU ETES-VOUS LES AMIS DES ANIMAUX DU MONDE ENTIER ??? OU ETES-VOUS LES GROSSES ASSOS ??? SVP RELAYEZ CES INFORMATIONS LE PLUS POSSIBLE, FAITES LES PASSER AUX GROSSES ASSOS FRANCAISES. Il ne sera pas dit que nous autres, français protecteurs et défenseurs ou seulement amoureux des animaux nous laisserons se passer de telles abominations sans rien tenter... Faites entendre vos voix, laissez des mots de soutien aux volontaires turcs qui se battent pour nos compagnons canins..... Faites le pour ces chiens.... Pour eux du fond du coeur, un immense merci ! Attention certaines photos peuvent heurter la sensibilité des personnes : http://lescrimesdebeykoz.wordpress.com/ :couik : -
Comment agir quand son animal est malade ?
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de MARMARA1 dans Autres animaux
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Voici quelques Fêtes espagnoles où l'on s'amuse à torturer et à tuer de nombreux animaux... uniquement pour le plaisir ! JANVIER : Manganèses Polvorosa (Castilla/Leon) : une chèvre vivante est jetée du haut du clocher de l'église. FÉVRIER : Villanueva de la Vera (Extramadura) : monté par le villageois le plus fort, l'âne traverse la ville en titubant sous les coups assenés par la foule hystérique, jusqu'à ce qu'il tombe. On lui allume alors des pétards dans les oreilles et on le matraque violemment. Robledo de Chavella (Madrid) : des écureuils, des pigeons, des chiots et des chatons sont enfermés dans des pots d'argile et suspendus à des poteaux. Les jeunes gens lancent contre eux de grosses pierres pour briser et blesser voire tuer les animaux avant qu'ils ne s'écrasent sur le sol. MARS : Salas de los Infantes (Castilla/Leon) : poulets et dindons sont tués à coups de bâtons par des jeunes aux yeux bandés, au milieu des hurlements de la foule surexcitée. AVRIL : Tordesillas (Castilla/Leon) : persécution d'un taureau par une centaine d'hommes à cheval qui le lardent de coups de lance. Un prix (Lanza de Oro) est remis par le maire de la ville à celui qui, sitôt le taureau à terre, lui coupe à vif les testicules. MAI : Benavente (Zamora) : plusieurs taureaux sont lentement étranglés au milieu des huées par une corde attachée à leur cou et tirée par 300 hommes. JUIN : Coria (Caceres) : la foule poursuit des taureaux à travers les rues en leur lançant des fléchettes et en visant les yeux. Lorsque les animaux s'effondrent, blessés, lacérés et aveuglés, ils sont châtrés, mutilés et poignardés à mort. Les participants s'enduisent du sang des taureaux dont ils exhibent les testicules à travers la ville. JUILLET : Pozuelo (Avila) : à minuit, de jeunes espagnols chassent des taureaux à travers les rues de la ville. Lorsqu'ils atteignent l'arène, ils les battent jusqu'à l'épuisement total. Dénia (Alicante) : des jeunes, munis de bâtons, dirigent les taureaux vers les plages où ils les martyrisent et les battent. Carpio del Tajo (Castilla-La Mancha) : des cavaliers s'efforcent d'arracher au passage, la tête des oies vivantes attachées à une corde tendue à travers la place du marché. AOÛT : Torrelavaga (Cantabria) : un porc enduit de graisse est poursuivi à travers les rues de la ville par une foule qui se jette sur lui. L'animal finit par mourir, écrasé sous le poids des poursuivants. San Sébastian de la Reyes (Madrid) : des nains torturent et mutilent des taurillons pendant des heures pour «divertir les enfants» : Lorsque les animaux lardés de coups de poignards tombent et agonisent, les nains dansent sur leurs flancs pour le plus grand plaisir des enfants spectateurs. SEPTEMBRE : Ciruelas, Cifuentes (Madrid) : de jeunes vaches sont poursuivies en tracteurs jusqu'à l'écrasement délibéré. Peincîa (Vizcaya) : des canards sont jetés à la mer et poursuivis par des nageurs (qui les démembrent vivants). Ces nageurs sont la plupart du temps des enfants. Lequeito (Vizcaya) : des oies sont suspendues par une patte à une corde tendue entre les mâts de deux bateaux.Des barques naviguent entre ces derniers et leurs passagers s'amusent à arracher la tête des oies vivantes. Puebla de Fanais (Valencia) : «El Toro del Puego». Les cornes des taureaux sont enduites de goudron et enveloppées de linges imbibés de pétrole puis enflammées. Tous les habitants les frappent au passage et leur lancent des briques et des bouteilles du haut des balcons. Ils meurent lentement, dans d'atroces souffrances. Algete (Madrid) : à la fin des corridas d'amateurs, on coupe à vif les testicules des taureaux épuisés tombés à terre, mais encore bien vivants. Candas (Asturias) : les taureaux sont martyrisés sur les plages. S'ils ne se noient pas, ils sont achevés à coups de couteaux. Budias (Giiadalajara) : la foule charcute les taureaux à coups de lance ou les bat à l'aide de poteaux. Les animaux, dont les pattes sont cassées, doivent souvent être abattus. OCTOBRE : Fuenlabrade (Madrid) : quatre animaux sont tués chaque jour, aussi bien des taureaux que des vaches. Poignardés, lacérés par la foule tout au long de la journée sous un soleil brûlant, des tiges acérées enfoncées dans tous leurs orifices, les animaux se vident lentement de leur sang. NOVEMBRE : Igea (La Rioja) : on brise les membres à de jeunes veaux puis on les jette dans le vide, du haut d'une plate-forme. Salas de los Infantes (Burgos) : de jeunes coqs sont pendus par les pattes et battus à mort. Cette activité a encore lieu bien qu'elle soit interdite par les autorités. La dernière fois qu'elle fut organisée, la ville fut frappée d'une amende. DÉCEMBRE : . Notilla del Palancar (Cuenca) : au cours d'un des spectacles de cette fête, des poules sont lapidées à mort. CE N'EST MALHEUREUSEMENT QU'UN EXEMPLE, PARTOUT AILLEURS, CELA SE PASSE AUSSI DE MANIERES DIFFERENTES ! IL Y A VRAIMENT UN PROBLEME CHEZ L'HUMAIN !!!
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Comment agir quand son animal est malade ? Tout comportement inhabituel chez son animal doit alerter ses maîtres ; c'est en effet un message : quelque chose se passe…. Le chien et le chat sont particulièrement ritualisés dans leurs comportements du quotidien, souvent "réglés comme du papier à musique" pour réagir à nos emplois du temps qui dictent les leurs. C'est d'ailleurs dans la " routine " que nos animaux familiers se sécurisent et qu'ils se sentent le mieux ; l'habituel, le prévisible, les rassurent. Au rythme de nos allées et venues, entièrement dépendant, le chien se fabrique un emploi du temps canin perso, tout organisé autour de nos activités humaines, professionnelles ou autres. Il en est de même pour le chat, même si celui-ci peut sortir parfois et donc être un peu plus libre. . Toute modification singulière des conduites de nos compagnons, de leur aspect physique et leur regard doit donc retenir l'attention du maître. Si l'animal a : - la "mine abattue", ne mange plus, ne joue plus... - un manque d'entrain à sortir en promenade (pour le chien)... - des habitudes d'hygiène qui se sont dégradées (pour le chat)... - s'il cherche à se cacher ou s'isoler... - s'il est agité, halète fortement, change de position constamment... - s'il geint, boîte, s'essouffle, vomit, tousse, crache, a la diarrhée.... Autant de comportements qui signalent l'inconfort, la douleur, le malaise manifeste et qui doivent donc nous alerter. Sans se précipiter chez son vétérinaire au moindre gémissement, il y a lieu de faire preuve de calme et discernement ; répondre promptement s'il y a urgence ou plutôt prendre un peu le temps d'examiner la situation. Les maîtres d'animaux familiers se sentent souvent démunis face à la maladie de leur compagnon, un peu comme ces parents avec leur bébé malade, qui ne peut expliquer ni son mal ni son ressenti. Il est parfois difficile de faire la part des choses devant le changement remarqué : est-ce le signe annonciateur de maladie grave ou "cela va t'il passer rapidement ? " Téléphoner à son vétérinaire et lui décrire les symptômes remarqués sera sage et permettra d'agir rapidement et de moins s'inquiéter. Ces praticiens nous ont appris à avoir le réflexe de prendre la température de notre animal qui semble mal en point. Les normales pour chiens et chats se situent entre 38°5/39°. En dessous de 37°5 ou au-dessus de 39°9, il y a lieu de s'alarmer et faire examiner l'animal au plus vite. Les vétérinaires nous ont appris aussi à repérer certains symptômes qui les guideront vers un diagnostic plus rapide ; ils nous informent par exemple : - Qu'en été, une respiration rapide, des halètements sonores et une démarche chancelante peuvent être les signes d'un coup de chaleur. - Un chien abattu sans appétit, dont les urines deviennent foncées, peut faire penser à une piroplasmose transmise par une tique infectée. - Un chien de grande taille, prostré, faisant de vains efforts pour vomir, peut faire un retournement d'estomac (complication survenant souvent après l'absorption d'une grande quantité d'aliment ou d'eau, suivie d'effort physique intense) Il sera nécessaire d'opérer sur l'heure pour sauver l'animal. - Un chat qui n'arrive plus à déglutir peut faire une angine ou une affection de l'appareil digestif (dents, larynx..) - Un animal qui boit énormément, s'essouffle facilement…une affection des reins ou autre maladie. - Un animal qui boîte s'est peut-être fait une entorse, une fracture (mais avant de s'alarmer, il est bon de regarder s'il n'a pas un caillou, une épine dans la patte, un gland entre les coussinets!) Lorsque le maître a imaginé le pire, la tension retombe un peu chez le vétérinaire avec lequel s'est nouée une relation de confiance. Mais les visites chez ce praticien enchantent rarement nos compagnons. Nous voulons les soigner pour les voir guérir, mais ils n'ont aucune possibilité de comprendre le sens d'interventions médicales parfois douloureuses. Comment un animal pourrait-il comprendre et apprécier que c'est pour son bien qu'on lui fait subir des soins déplaisants ?. Ils sont peu coopératifs pour certains, et on les comprend ! Ils n'aiment pas qu'on les enferme, les attache, les muselle, les immobilise écrasés sur une table, les pique ou leur enfonce instruments ou produits dans les orifices naturels, etc.…idem pour les êtres humains d'ailleurs, bien qu'ils aient la capacité de s'expliquer ces nécessités ! Les animaux eux, vivent toute cette sollicitude comme une atteinte à leur bien-être, à leur intégrité physique. Dès leur plus jeune âge, quelques apprentissages appropriés peuvent les aider à mieux vivre ces passages parfois obligés dans ce lieu aux odeurs fortes et non familières. On peut commencer par : Habituer tôt le jeune animal à être manipulé par différentes personnes, doucement, debout, couché, avec des caresses ; d'une voix enjouée obtenir gentiment son calme et prendre garde à ne pas lui faire vivre négativement tout contrôle régulier des yeux, oreilles, pattes…obtenir progressivement sa docilité par terre pour ces soins, puis ensuite sur une table, et gratifier la docilité d'une petite friandise. · Habituer également de manière ludique, le chiot ou le chaton à entrer, occuper et ressortir de sa boîte de transport, en y jouant avec lui par exemple. Ou bien la laisser ouverte près de son lieu de couchage pour qu'il la découvre par lui-même : cette boîte n'est ainsi plus associée d'avance à un fatal mauvais traitement. · Familiariser très tôt le chiot à la muselière, en la banalisant et gratifiant l'animal en mettant une gourmandise au fond. On peut s'y prendre de même avec un adulte, en la lui faisant porter de courts instants, sans raison ou en jouant avec lui, en le caressant. Le transport en voiture doit être associé aux sorties agréables comme la promenade par exemple, et pas juste réservé aux visites chez le vétérinaire (c'est souvent le cas pour le chat qui reconnaît déjà la boîte comme signe annonciateur de misères) Grâce à ces quelques apprentissages, les soins chez le vétérinaire seront déjà vécus un peu moins durement. La détresse émotive ne naîtra pas d'avance dans la boîte de transport ; monter sur la table d'examen, être manipulé, inspecté, porter sa muselière (si elle est nécessaire)…tout cela ne sera pas forcément promesse de tourments mais gestes de bienveillance. Lors de ces visites, un animal perçoit très bien l'attention renforcée, l'inquiétude, les émotions négatives du maître, et il est évident que notre anxiété ne l'aide pas, bien au contraire. Son bien être commande davantage une certaine neutralité de notre part ; inutile de vouloir le rassurer par exemple quand il tremble, ce qui aboutit à l'effet inverse, c'est-à-dire le conforter dans le fait qu'il a raison d'être effrayé ! Dans ces circonstances ou d'autres, nous aidons l'animal qui a peur si nous banalisons ce moment et s'il ne rencontre rien d'autre que notre calme. Une fois le diagnostic établi, le maître suivra scrupuleusement les prescriptions du vétérinaire. Les soins doivent être effectués sans excès, avec douceur sans forcer l'attention que l'on porte à l'animal malade. Plutôt qu'employer la manière forte pour administrer un médicament ou réaliser un soin, veillez à aborder l'animal d'une voix incitatrice et gaie. Pas non plus question de l'attirer à vous avec une friandise par exemple, pour le capturer traîtreusement et lui faire ensuite subir vos manipulations. Vous n'instaurez pas la confiance et risquez de retarder la guérison de votre compagnon. Au contraire, prenez le temps de le faire venir vers vous gentiment, et vous aurez plus de chance d'obtenir sa coopération, par la promesse de vos attentions et caresses. Les interactions basées sur la confiance ont toujours une fonction tranquillisante, à l'inverse celles basées sur la tromperie sont toxiques et angoissantes. Si l'animal souffre, certains soins sont parfois douloureux. Comprenez alors qu'il peut se retourner sur la main qui l'agresse ; anticipez dans ce cas, et prévoyez alors de vous protéger. Par contre, ne négligez jamais de caresser de la voix et de la main, l'animal qui a été patient et docile quand vous avez vérifié, par exemple, points de sutures, écoulements ou infections possibles après une opération. Il a surmonté sa peur en vous faisant confiance, les soins suivants en seront facilités. Après avoir bien récupéré d'un acte chirurgical, certains animaux sont heureux de pouvoir jouer et sauter de nouveau ! c'est aux maîtres de juguler ces fougues pour éviter les complications (même chose pour un cardiaque !) Et s'il est capital que nos compagnons aient à la maison "une place à eux" pour se reposer, quand ils sont malades ils ont encore davantage droit à la quiétude. Sans forcément le changer de place, veillez plutôt à réduire bruit et agitation autour de l'animal et faites respecter son repos, aux enfants en particulier. Le plus souvent le traitement permet d'enrayer l'affection. Malgré tous ces soins, il arrive parfois que la maladie ou la boiterie récidive. Qui n'a pas connu une chienne à la "claudication diplomatique" ? Bien que guéri, l'animal utilise ce stratagème pour attirer l'attention et ce comportement lui apporte la sollicitude affectueuse obtenue lors des soins post-opératoires, ou pour se rendre pitoyable lorsqu'il est grondé. D'autres fois, ce sont les mêmes gastrites, diarrhées ou dermatoses qui reviennent. Chiens et chats qui vivent avec les humains, se laissent imprégner telle une "éponge affective" [1] par leur environnement dont font partie les maîtres et leurs problèmes. Émotionellement en première ligne, ils partagent leurs tracas, contrariétés et conflits. Ils subissent leur anthropomorphisme, leur méconnaissance des spécificités de leur espèce canine ou féline. Le chien, animal social auquel un statut hiérarchique clair doit être offert pour son confort relationnel, se voit souvent attribuer maladroitement les privilèges de la dominance par ses maîtres, qui prétendent ensuite exiger son obéissance. A cette place intenable, le chien déploie des comportements désordonnés en proie à des émotions contradictoires. Or des émotions non gouvernées finissent toujours par provoquer des troubles métaboliques [2], et pour peu que ces émotions soient durables, ces troubles métaboliques finissent par provoquer des maladies organiques. La peau semble le récepteur le plus sensible à ces modifications bio émotionnelles. Le tube digestif est lui aussi un excellent récepteur d'émotions…l'appareil urinaire…le cœur [3] ..Résultat, l'animal se gratte ou se lèche nerveusement, tousse, boîte, aboie, miaule, demande la porte, tourne après sa queue, urine ou défèque dans la maison… Le chat plus indépendant que le chien arrive à prendre plus de distance face aux problèmes des humains, sauf s'il vit une relation symbiotique avec son maître. Tzarine, une chatte de la race "Sacré de Birmanie" vit seule avec Brigitte très angoissée qui la caresse ou la cajole de manière excessive. Elle se lèche certaines parties du corps et de la queue et ces léchages stéréotypés vont jusqu'à l'automutilation, laissant apparaître des plaques d'alopécie. Malgré plusieurs traitements dermatologiques ordonnés par le vétérinaire, elle n'est pas guérie. Dès son retour du travail, plus Brigitte "chouchoute" et inspecte le pelage de la chatte, et plus la Birmane se mutile. Le toilettage a normalement chez le félin une fonction anxiolytique. Dans le cas d'angoisse vécue par l'animal, ce toilettage outrancier devient une activité de substitution pour se calmer. Les caresses excessives de Brigitte, ainsi que les attentions et les contrôles anxieux du poil de la chatte, perpétuent son comportement de léchage. Nombre d'affections sont donc les symptômes de dysfonctionnements de la relation homme/animal ou de problèmes personnels de membres de la famille (instance de divorce ou conflit momentané..) Face à toute maladie de l'animal familier le maître devrait re-situer cette "plainte" dans le système relationnel et se poser les questions suivantes : - Qu'est-ce qui a changé dans l'environnement de l'animal ? - N'y a-t-il pas actuellement un problème personnel ou familial qui me fait réagir différemment face à lui ? - Quelle est mon attitude envers mon animal ? Ne suis-je pas trop anxieux pour lui ? Mon attachement pour lui n'est-il pas excessif, est-ce que je ne le cajole pas trop ? Ne me suis-je pas appuyé sur l'entretien et le maintien de cet attachement qui ne laisse pas devenir mon animal plus autonome et équilibré ? - Est-ce que je ne projette pas sur lui des désirs inconscients, des fantasmes que l'animal ne peut ni réaliser ni assumer ? (Ceux-ci influencent la manière d'être avec le chien ou le chat et interfèrent sur les affects et la santé de ces derniers). Boris CYRULNIK l'explique dans "le cas Pupuce" [3] et dans "le chien de remplacement" [4] qui se réfugie dans la maladie parce que son maître le vit à travers son premier chien décédé et idéalisé. Tout comportement en situation d'interaction a valeur de message, la maladie aussi pourrait bien en être un... Liens abordant ce sujet : 1] B. CYRULNIK "Les animaux de compagnie peuvent être des symptômes de troubles psychiatriques" Le Monde 26/09/99 [2] R. DANTZER " L'illusion psychosomatique" O. Jacob [3] B. CYRULNIK " Sous le signe du lien, une histoire naturelle de l'attachement " Paris, Hachette/Pluriel 1992 [4] B. CYRULNIK "L'ensorcellement du monde" O. Jacob 1997 [/b]
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problème de repro de chats
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de virginie1211 dans Présentations et questions
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premiere chaleur un peu d aide
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de duchossoy dans Présentations et questions
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Le Président de l'Association CICPD http://chiensinterdits.annuaire-forums.com/index.htm sera présent sur le plateau de l'Assemblée Nationale afin de défendre la cause des chiens de 1° et 2°catégorie. Le débat se fera entre l'association, la SPA et 4 députés. A ne pas rater !!! Chaine Parlementaire Le 14 Mai 2008 De 18h45 à 20h00 En direct
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premiere chaleur un peu d aide
MARMARA1 a répondu à un(e) sujet de duchossoy dans Présentations et questions