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gregory061

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Tout ce qui a été posté par gregory061

  1. gregory061

    Identification Corail

    je dit pareil que lionel
  2. Merci tous le monde , merci mon Serge c'est vrai que sa ma pris pratiquement 8 h de préparation pour faire cette video , c'est le montage et prise de vue la plus dur que j'ai faite depuis maintenant quand vous avait la foule qui vous bouscule ou les flash a gogo , vous obliger de refaire les prises de vue je vous le dit il faut de la patience Plus le montage video qui ma pris environ 5 h , il faut avoir la fois lol Non mon Yves toi tu dompte les phoques tu est un chef
  3. Chers membres, J'ai le plaisir de vous présenter ma neuvième vidéo de recifal-ocean.com. Nous sommes partis, moi , yves06 , cube-d'eau , à la découverte de l'aquarium de Gêne en Italie à environs 200 km de Nice, 2ème plus grand aquarium d'Europe. J'espère que cette vidéo vous procurera autant de plaisir que j'ai eu à la filmer. Bon visionnage. Greg
  4. enfin il et vrai que 30 l chiryu , y'a pas besoin , enfin comme tu veut
  5. de rien enfin c'est quand meme dingue cette histoire
  6. et sa en et ou ton pico pour 2040
  7. Oui dommage que sa ninteresse pas beaucoup de monde du fofo merci encore dino Voila se que j'ai trouver de mon coter Logiquement, le Pterois volitans, également connu sous le nom de poisson-lion ou rascasse volante, aurait dû rester chez lui. C'est-à-dire dans les océans Indien et Pacifique. Mais en 1992, un cyclone a dévasté un aquarium de Floride et quelques exemplaires de cette rascasse un peu particulière ont recouvré leur liberté avant de... proliférer plus que de raison! « S'il n'a pas fait parler de lui les premières années, nous nous sommes aperçus qu'il a commencé à remonter, dès 2001, la côte Est des États-Unis. Puis, à cause d'une eau trop froide, il a entamé sa re-descente jusqu'à la mer des Caraïbes » , détaille aujourd'hui la Diren (direction régionale de l'environnement). L'année dernière, ce poisson avait déjà touché le Venezuela, le Mexique et la quasi-totalité des îles caribéennes. Seules les petites Antilles semblaient relativement épargnées. Cette situation ne devrait pas perdurer bien longtemps! « Il vient d'être aperçu par un plongeur, voici 18 jours, dans le secteur de Pointe Noire. Il mesurait une vingtaine de centimètres, ce qui signifie qu'il était là depuis plus d'un an. » Coup dur pour la biodiversité Il n'en a pas fallu plus pour inquiéter les spécialistes de la mer. Car voilà : ce poisson exotique, pourtant non dénué d'un certain charme, représenterait une triple menace! « Il induit un risque sanitaire, un risque pour la biodiversité et un risque économique » , assure sans ambages la Diren. Il faut dire que cette rascasse capable de pondre plusieurs milliers d'oeufs tous les 4 jours et sans grands prédateurs dans notre milieu, possède un féroce appétit. « Il mange tout et est susceptible de s'attaquer à une soixantaine d'espèces présentes sur nos récifs coralliens! » Autant dire qu'à lui seul, il est en mesure de mettre à mal l'écosystème local, mais aussi de pénaliser le monde de la pêche, en réduisant les ressources. Pour ne rien arranger, le poisson-lion se classe parmi les espèces venimeuses. « Ses piqûres, provoquées par ses épines, ne sont pas mortelles. Toutefois, elles se montrent très douloureuses et peuvent conduire à un état de choc. Pour un plongeur ou un nageur, cette situation est potentiellement en mesure d'entraîner un accident. » Un combat perdu d'avance Dans un tel contexte, la Diren, les pêcheurs, les clubs de plongées ainsi que la plupart des services de l'État en lien avec la mer ont décidé de prendre les devants avant que la situation ne devienne des plus critiques! Les axes retenus : beaucoup d'informations ciblées et relayées à travers des fiches pratiques en direction des pêcheurs, nageurs, plongeurs, secouristes et médecins, « parce que cette espèce de poisson n'est pas encore connue de la population » , mais également des campagnes de destructions programmées contre cette menace aquatique. « Malheureusement, son éradication sera impossible. Notre objectif sera donc de tenter d'enrayer sa prolifération afin d'éviter toute surpopulation » , glisse la Diren. Une trentaine de chasseurs spécialisés auraient déjà été recrutés pour mener à bien cette mission. Des arrêtés préfectoraux ont également été signés pour encadrer cette traque. Quant aux plongeurs et pêcheurs, leur contribution est des plus attendus, afin de repérer les poissons-lions et d'en indiquer la présence, via des flotteurs adhoc en cours de distribution. - Des plaquettes d'information Informer le plus largement possible sans créer de psychose! Voilà l'un des défis poursuivis par la Diren. Pour mener à bien cette mission, cette administration à commencer à diffuser une série de plaquettes spécifiques et des plus ciblées. « Certaines seront destinées au grand public, d'autres aux pêcheurs ou aux clubs de plongée. Il y en aura aussi pour les secours. » Apparemment, ces affichettes sont appelées à être « plastifiées et affichées » dans des lieux clés. Pour se les procurer, rien de plus simple : il suffit de contacter la Diren, cité Guillard à Basse-Terre. - Que faire en cas de piqûre ? Le poisson-lion a beau être cousin germain avec nos rascasses locales, tel que le « 24 heures » , ses piqûres restent plus dangereuses et plus douloureuses. D'après certains spécialistes, les symptômes généraux évoqueraient la morsure d'un cobra. Le venin de ce poisson n'est pas mortel, mais il nécessite obligatoirement une prise en charge médicale. « Les tissus au niveau de la piqûre peuvent se nécroser, voire se gangrener si la blessure n'est pas traitée. Un état de choc plus ou moins important selon la quantité de venin injecté, s'installe généralement et se manifeste par divers symptômes, comme un état de grande faiblesse, des vertiges, nausées, évanouissement, hypothermie ou chute de la pression artérielle » , décrit Claude Bouchon, chercheur à l'UAG. Dans ce contexte, un nageur ou plongeur piqué doit sortir de l'eau au plus vite. Dans l'attente d'une prise en charge médicale, il est possible de chauffer la zone touchée (en utilisant de l'eau chaude, en approchant la zone incandescente d'une cigarette ou en utilisant un allume-cigare), en prenant garde à ne pas se brûler. Le venin du poisson-lion étant thermolabile. Cette rascasse volante privilégie les récifs coralliens et sort plutôt la nuit mais peut être observée à toute heure de la journée. Que ce soit en bordure de plage, à proximité de rochers, dans les herbiers et les mangroves. Voici neuf jours, un individu aurait peut-être été piqué par ce poisson alors qu'il se trouvait sur la plage de Malendure. - IL A DIT... Nicolas Diaz, secrétaire général du comité de pêche en Guadeloupe « Si ce poisson présente un intérêt commercial et peut être valorisé, nous essaierons de le vendre. Pour cela, nous attendons de pouvoir le goûter. En fonction du résultat, il faudra mettre en place des outils de promotion, afin que les gens apprennent à le manger http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/faitsdivers/le-poisson-lion-la-nouvelle-menace-en-guadeloupe-09-10-2010-96934.php
  8. super article , par contre c'est dingue que se poisson envahit les eau je ne savais pas et dire que chez nous dans le sud il le vendent cher les importateur nous prennent pour des cons
  9. gregory061

    Bryopsis plumosa

    l'article de se site et vraiment tres bien , le site aussi
  10. je rigole mes de toute façon il ne sera jamais a vendre
  11. Non non mon Lolo tu serait capable encore de me le tuer il et bien dans mon bac Oui tu vue Fred elle et trop forte la tete Je l'adore , sa fait 1 an et demi et c'est vraiment genial
  12. elle mange de tous meme les algues , tout y passe , c'est le top , a l'age adulte je ne c'est pas du tout lucette
  13. je suis même étonné que sa n'interesse très peu de monde du fofo , je suis un peu déçu , merci encore serge , c'est super intéréssant de savoir comment il s'occupe de la culture de coraux
  14. voila petite video de mon détritivore , le meilleur que j'ai , je l'adore , mes il devient de plus en plus gros , quelqu'un en at'il un ?????
  15. c'est clair , j'espere que pour une fois il va faire les chose bien ,pour l'instant sa commence bien j'espere que sa va suivre
  16. franchement je préfere y'a pas photo , bravo
  17. oui bien sur ,je suis d'accord avec toi si sa marche pourquoi changer , mais tu peut pas dire que c'est un produit comme les autres quand tu n'a pas essayer alain
  18. non non , celui marche tres bien il et pas comme les autres
  19. n'oublier pas pour se qui veulent nous partons samedi a gene
  20. Il n'y a pas de produits miracle Une bonne maintenance c'est le principal oui mais il y à des produit qui marche tres bien alain comme justement se produit
  21. a la poubelle c'est étoile de mer Près de 300 étoiles de mer mangeuses de corail de la variété "Taramea "(Acantasther plancii) ont été pêchées, ce week-end, à Faa'a (côte Ouest de Tahiti), par plusieurs associations de chasse sous-marine, en partenariat avec la municipalité. Plusieurs communes des côtes Ouest et Sud de Tahiti étant touchées par cette invasion d'étoiles de mer, ces associations lancent un appel à la mobilisation des pêcheurs et des riverains. L'association Tefana Chasse sous-marine, sous l'égide de la Fédération Tahitienne de Sports Subaquatiques de Compétition et en partenariat avec la mairie de Faa'a et le Syndicat Taaretu, a organisé une pêche de "Taramea" ce dimanche, lors de la "Tefana Water Day", dans le lagon de Faa'a et la passe de Papeete. Pas moins de 300 étoiles de mer mangeuses de corail adultes ont été pêchées. "Les femelles portaient des oeufs et c'est une chance de les avoir pêchées aujourd'hui car une ponte massive était à craindre pour la prochaine pleine lune", observe Rahiti Buchin, vice-président de l'AS Tefana chasse sous-marine. Le Bathys Diving Tahiti (BDT), club de plongée basé à l'Intercontinental Resort Hotel, a quant à lui prospecté la zone des 10 à 20 mètres sur la pente externe de la passe de Papeete. Les côtes Ouest et Sud de Tahiti touchées D'autres communes des côtes Sud et Ouest de Tahiti, Punaauia, Papara, Vairao ou encore Teahupoo, sont également touchées par cette invasion importante, confirme la DIREN (Direction de l'Environnement). C'est pourquoi les associations qui ont fait ce constat à Faa'a, ce week-end, appellent les pêcheurs sous-marins de Tahiti mais également les autres utilisateurs du littoral marin et les communes à se mobiliser pour engager des opérations de ramassage. La prolifération de ce prédateur du corail est cyclique dans le Pacifique et n'est pas spécifique à Tahiti. Les scientifiques ne s'accordent pas sur l'utilité de leur destruction massive, celle-ci pouvant engendrer une réaction de ponte massive. Toutefois, des campagnes ponctuelles de ramassage peuvent être organisées dans les lieux où elles peuvent représenter une gêne pour les activités humaines. Il est néanmoins conseillé de prendre des précaution de manutention, la piqûre de cette étoile de mer pouvant être très douloureuse. Le ramassage doit être également respectueux de l'environnement marin, rappelle Vincent Coué, gérant de Bathys Diving Tahiti: "il est primordial de préserver les prédateurs naturels de la "Taramea", à savoir le Pu (un coquillage) et le Mara (un poisson de lagon), mais également les bivalves filtreurs qui se nourrissent des oeufs de Taramea tels que le bénitier et les moules géantes". http://tahitipresse.pf/2008/07/ramassage-de-taramea-faaa/
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