Mat05

monographie très intéressante et gratuite sur les varans d'Asie http://www.herpconbio.org/Volume_8/monographs/Koch_etal_2013.pdf

Super photo!

Très belles photos! En tant qu'amateur de tortues, j'aime bien celle de la tortue-boîte de Floride et celle de la tortue des bois! Mathieu

Bravo Marc, tes photos sont très réussies et les sujets bien diversifiés! Mathieu

Bravo les gars! C'est tout un exploit d'avoir une telle couverture des espèces québécoises!

Excellent article Marc! J'ajouterais simplement qu'un bon outil à avoir sur le terrain est un GPS et un carnet de notes, surtout si l'on veut conserver ses propres observations ou les transmettre à l'Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec.

Je me suis informé auprès de Sébastien Rouleau, le coordinateur de l'Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec. Il m'a indiqué que c'est la Santé publique de la Montérégie qui aurait émis un communiqué suite à une observation réalisée par un vétérinaire. Ce dernier reste toutefois injoignable pour l'instant donc aucun détail n'est disponible pour l'instant sur cette observation. À suivre...

Je ne veux pas faire le trouble fête, mais il me semblait avoir déjà vu certaines de ces images et effectivement une petite recherche dans Google Images m'a permis d'en retrouver certaines sur la première page des résultats de recherche. Ex: http://www.deepseaimages.com/dsilibrary/showfull.php?photo=6986 http://animalworld.tumblr.com/post/5967667839/banded-sea-krait-laticauda-colubrina-c-alandelmas

Pour ceux qui sont intéressés par la présence du crotale des bois au Québec, voici deux textes issus de d'autres forum (Québec Sauvage et ancien herpetofaune.ca). Le premier est un petit résumé de mes lectures et le second est de Jean-François Desroches. Je sais que Patrice (Diadophis) a aussi fait beaucoup de recherches à ce sujet alors j'imagine qu'il va nous en parler! --- Il existe des ouvrages de vulgarisation qui mentionnent l'espèce au Québec, notamment l'Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec de Bider et Matte (1994) et Inconnus et Méconnus de Claude Mélançon (1950) (basé sur le livre ci-bas). Il existe aussi un vieux livre sur les serpents, Snakes and Their Ways de Curran et Kauffeld (1937) qui mentionnent dans la distribution du Crotale des bois "extreme south-western Quebec". Il y a aussi quelques autres articles de périodiques ou de jouranaux, dont un notamment que mentionne l'espèce à Mystic (j'ai déjà vu ce lieu qui n'est pas en montagne) avec une description de la sonnette si je me souviens bien (je n'ai pas cet article mais JF Desroches l'a si je me souviens bien). Un livre qui semble intéressant pour ceux qui s'intéressent à l'espèce dans les régions transfrontalières est celui-ci: Timber Rattlesnakes in Vermont & New York: Biology, History, and the Fate of an Endangered Species de Jon Furman (2007). Il y a notamment le passage suivant: "During a period about six to eight thousand years ago, the species probably maximized its range into southeastern Ontario, southwestern Quebec, north-central Vermont and New Hampshire, and southwestern Maine". On y voit aussi que l'espèce est encore présente dans le compté de Essex (NY), relativement proche du Québec. --- Qu'en est-t-il du Crotale des bois (Crotalus horridus) au Québec ? mentions, situation, etc. Par Jean-François Desroches Plusieurs mentions du Crotale des bois (Crotalus horridus) ont été rapportées au Québec, mais aucune n’est considérée officielle à cause de l’absence de preuve formelle telle une photographie ou un spécimen (Mélançon 1961; Bider et Matte 1994; Desroches et Rodrigue 2004). La mention la plus crédible a été faite en 1928 à Mystic (près du lac Champlain), dans le sud du Québec (Savile 2001). L’observateur, un États-Unien ayant émigré au Canada, y rapporte l’observation d’un serpent à sonnettes qu’il a rencontré et tué à l’aide d’un bâton; il mentionne notamment la présence d’une sonnette avec segments distincts. Un article publié dans un journal du Vermont en 1965 rapporte que l’espèce fréquente une petite crête rocheuse isolée en bordure du lac Memphrémagog, du côté canadien (Corey 1965). Aucune observation subséquente n’y a été rapportée. À l’époque des explorateurs canadiens, les Jésuites ont rapporté la présence du Crotale des bois dans la région du lac Champlain au Québec (Froom 1972). Finalement, l’espèce aurait été vue quelques fois dans la région de Covey Hill (à l’ouest du lac Champlain) avant les années 1920, mais aucune de ces mentions n’est confirmée (Bider et matte 1994). Récemment, le Crotale des bois a été signalé à quelques reprises dans le sud du Québec, mais ces soi-disant crotales se sont avérés être des Couleuvres tachetées (Desroches et Rodrigue 2004). L’espèce se retrouve à proximité du Québec, dans les états de New York et du Vermont (voir cartes dans : Andrews 1995; Conant et Collins 1998; New York State Amphibian and Reptile Atlas Project 2003; Ernst et Ernst 2003). Dans le nord-est des États-Unis, le crotale habite les terrains montagneux forestiers, souvent rocheux et de seconde génération (Conant et Collins 1998; Ernst et Ernst 2003). Ces habitats sont présents dans le sud du Québec. Les hibernacles sont situés dans ou près de forêts, et font face au sud (Conant et Collins 1998). Des hibernacles de Crotales des bois ont déjà été rapportés juste au sud du Québec, dans le nord de l’état de New York, selon un chasseur de primes de serpents (F. R. Cook, communication personnelle). Il est possible que les crotales vus au Québec hibernaient aux Etats-Unis, mais ces hibernacles ont apparemment été détruits il y a longtemps. Ce crotale a été décimé de plusieurs régions où il était autrefois commun (Conant et Collins 1998).

Encore une fois, très belles photos Patrice! Mathieu

Bravo pour la traduction française Simon! Mathieu

Cadies: je suis aussi de ton avis. J'ai souvent trouvé des des tortues avec cette coloration rouge ou orange (qui disparaît avec la mue). C'est de l'oxyde de fer. Mathieu

Belles tortues en passant jizz snake!

Salut reptilX, Je crois que tu confonds la tortue-alligator (Macrochelys temminckii) et les tortues du genre Chelydra, les deux genres faisant partie de la famille des Chelydridae. Les tortues-alligator ont en fait un coup plutôt court pour une tortue! La façon de manipuler les gros adultes pesant est d'ailleurs de les tenir par la carapace derrière le cou avec une des mains (voir 1er exemple plus bas). Ce sont plutôt les tortues du genre Chelydra qui ont un long coup et il faut dans ce cas éviter de se mettre à leur portée (voir 2e exemple plus bas). Bonne soirée, Mathieu Tortue-alligator Source: http://www.onlineathens.com/multimedia/galleries/060307srel/images/SREL02_dm.jpg Moi avec une tortue serpentine(Chelydra serpentina): avec cette espèce on doit effectivement se méfier du long cou, d'où la raison pourquoi par précaution je pause une des mains sur le plastron pour la soutenir.

Super! C'est intéressant aussi de voir un peu comment vous vous installez pour filmer.

Très intéressant, merci Patrice! Je sais que Wells et Wellington ont aussi nommé plusieurs nouvelles espèces de tortues australiennes et le statut de plusieurs d'entre elles a été contesté. Il y a également eu des "conflits" puisqu'ils disent que certaines de leurs espèces ont ensuite été renommées par des chercheurs plus conventionnels.

Je vois que tu habites St-Hubert. Toutes ces espèces sont présentes en Montérégie. Tu n'auras donc pas à aller trop loin! Pour les Ambystoma, il est toujours très intéressant de les observer dans leurs étangs de reproduction. Je te conseille donc d'y aller d'ici quelques jours quand ça va commencer! Bonne chance! Mathieu

Très bien!!

Bravo super observations! Et belle photos en plus...

Salut, Rhinoclemmys est l'un de mes genres préférés de tortues. Mon intérêt est toutefois plus axé sur leur écologie que sur leur garde en captivité. Toutefois, j'ai plusieurs livres et articles qui parlent de ces tortues, dont la sous-espèce que tu possèdes. Si jamais tu as des questions spécifiques sur cette tortue en nature, je serai peut-être en mesure de t'aider. Quant à moi, j'ai eu un trio de R. p. incisa au début des années 2000 mais je m'en suis départi quand j'ai arrêté de garder des tortues. C'est la sous-espèce trouvée juste au nord de la tienne mais pourtant elle a une apparence très différente. Sinon, ma belle famille possède un couple de R. p. manni (pour voir une photo: http://www.repticlic.com/tortues-et-crocodiliens-turtles-and-crocodilians-f28/autres-tortues-interessantes-t9456.htm). Ils ont observé un accouplement récemment. À suivre... Bonne fin de soirée, Mathieu

Patrice tu as tout à fait raison! J'ajouterais deux choses. Un livre c'est non seulement une source d'informations mais également un réel plaisir. C'est beaucoup plus tangible qu'un site web ou PDF. De bons sites pour se procurer des livres sont herplit.com, zoobooksales.com et amazon.com. Mathieu

Salut, Depuis 19h00 à TV5 il y a l'émission Zoom Animal qui joue. Le sujet est la nature à Hong Kong. Ils parlent présentement des serpents et vont plus tard parler de Cuora trifasciata. Avis aux intéressés! Bye Mathieu

Superbes photos! Mathieu

Salut, J'ai commandé ma copie chez Zoo Book Sales (http://www.zoobooksales.com/). Je commande souvent de cette compagnie et j'ai toujours eu un bon service. Bye Mathieu

Salut, Testudo horsfieldii est une espèce d'Asie centrale. Elle vit en milieu sec comme les steppes et les déserts rocheux. Quant à Chelonoidis carbonaria, elle est trouvée en climat tropical et subtropical en Amérique du Sud et en certains endroits d'Amérique centrale (Panama) et des Antilles. Ses habitats incluent surtout en fonction de l'endroit où elle est répartie les savanes humides et certains types de forêts humides, bien qu'à certains endroits elles vivent en forêt épineuse sèche. Comme tu peux le constater, les deux espèces ont donc une provenance géographique et des préférences en matière d'habitats distinctes (sans parler de la différence de taille à l'âge adulte). Il ne serait donc pas approprié de garder les deux espèces dans le même terrarium/enclos. Je n'élève plus de tortues depuis quelques années mais je suis certain que des éleveurs actuels seront aussi de cet avis. Si tu veux en savoir plus sur C. carbonaria, il existe quelques petits livres mais si tu désires vraiment en apprendre beaucoup je te conseille le livre suivant. Il a été écrit non seulement par des éleveurs mais aussi par des auteurs qui ont déménagé en Amérique du Sud et qui étudie l'espèce en milieu naturel. Il contient donc des informations inédites et de premières mains. South American Tortoises : Chelonoidis carbonaria, C. denticulata and C. chilensis par Sabine Vinke, Holger Vetter, Thomas Vinke et Susanne Vetter aux Éditions Chimaira Bonne lecture, Mathieu