Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

diego62

Membres
  • Compteur de contenus

    1 275
  • Inscription

  • Dernière visite

Réputation sur la communauté

0 Neutral

À propos de diego62

  • Date de naissance 26/06/1963
  1. Examen Pour les incisives, le vétérinaire n'aura aucune difficulté à établir un diagnostic de malocclusion. Il examinera les incisives en soulevant les lèvres du cobaye. En revanche, pour les molaires, il devra utiliser un instrument spécial pour ouvrir la bouche du cobaye et voir sur les côtés et au fond de la bouche : il utilisera soit un instrument d'oto-rhinologie (otoscope), soit 2 pinces fines à bouts ronds. Pendant l'examen, le vétérinaire recherchera la formation de pointes dentaires (provoquent des blessures des muqueuses), et/ou une pousse excessive des molaires au-dessus de la langue ("pont"). Il procèdera également à la palpation des mâchoires. Il peut aussi décider de faire une radio de la tête du cobaye pour déceler un éventuel abcès ou un problème de racines. Cet examen se fait sans anesthésie. Il faut automatiquement vérifier toutes les dents, car la malocclusion des incisives peut être consécutive à une malocclusion des molaires (n'être en fait que la partie visible de l'iceberg), et si cette dernière n'est pas soignée le problème persistera. Intervention chirurgicale Pour une malocclusion des molaires, le vétérinaire devra limer les dents sous anesthésie générale. Le cobaye doit être anesthésié au gaz (jamais d'anesthésie fixe). Ne pas le mettre à jeun avant l'opération : un cobaye ne vomit pas, le jeûne est donc parfaitement inutile et le transit doit toujours être maintenu. L'opération consiste en l'abrasion des couronnes dentaires. Elle dure peu de temps : une vingtaine de minutes.
  2. Oui, tu peux lui en donner tout de suite, mais en commençant petit à petit et en petite dose, je te conseille la carotte ou l'endive, en général c'est apprécié.
×
×
  • Créer...