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remake

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Tout ce qui a été posté par remake

  1. Yep ouai je veux bien effectivement sa peux être pas mal. Il y a t'il d'autre magasin spécialiser dans les reptile sur Toulouse ? Il y a t'il des expo dédiée au reptile sur Toulouse ? Si oui, ou et quand ?
  2. a ok cool sa est lequel est le mieux entre touts ?
  3. confire ou infirme moi cette information : Il est dit que les gecko juvénile ou besoin d'uv pour leur photo synthèse est que également cela leur apporte un apport en vitamine . Vrai ou faux ?
  4. A oui effectivement ont ces juste mal compris je m'excuse si je vous est paru un peux agressifs dans mes réponse. Il est vrai que les nom utiliser pour définir les produit utiliser sont assez complexe.
  5. Ce ne sont que des conseils selon mon avis comme on vous la dis il n'y as pas qu'une seule manière de maintenir un gecko, je pense que vous devriez vous pencher sur ce que vous, vous désirez pour votre lézard et pour votre budget... Je suis absolument d'accord avec vous ces pourquoi nous essayons de récolter un max d'avis sur les divers sujet de controverse afin de nous faire notre propre opinion est l'adapter a se que nous désirons faire pour notre gecko. Excuser nous si effectivement et je le comprend tout a fait que nos question peuvent vous sembler complétement puéril.
  6. Oui vous vous renseignez mais surement pas beaucoup car pour savoir ce que c'est dans le pack on surligne on met sur google et ça nous donne toutes les infos ... Voila je sais pas trop si tu vois ce que je veux dire... Oui je vois je vois tout a fait se que tu veux dire est étant donner du fait que tu a l'aire très calé sur les recherche google tu doit donc très bien savoir que l'ont y trouve tout et rien. Mon avis personnel a se niveau et que les meilleurs conseil en générale vienne des personnes avisé est connaissent bien leur sujet. N'oubliez pas que nous sommes novice dans se monde de reptile et qu'un minimum de compréhension face a notre ignorance serait fort appréciable de votre par. Ps : Liser ma signature, elle parle d'elle même
  7. Est-ce que tu te fait un plan d'une deco que tu aimerais ? Non nous n'avons pas fait de plan, mais nous savons dans quel ( thème ) sera la déco : Désertique Est ce que tu prévois de prendre un néon pour une ampoule pour les uvb ? Je pence que tu voulais dire "prendre un néon ou une ampoule". Je ne ces pas tu nous conseil quoi ? Si tu prend un néon à quoi vas te servir le duo douilles ? L'offre "pack complet" que ma copine a poster avait l'aire intéressante du faite qu'il y est tout compris a l'intérieur. Juger vous que cette offre n'est pas intéressante ? Tu prévois un terrarium par croissance (juv sub adulte adulte) ou un grand avec plein de déco dés le début ? Nous comptons investir directement dans un terrarium pour adulte afin de ne pas devoir plus de matériel.
  8. Alors pour commencer oui ont a fait pas mal de recherche sur le net ainsi que dans des magasin spécialiser comme Amazonie. Ensuite et comme nous la préciser certaine membre de forum ainsi que le vendeur de Amazonie tout le monde na pas le même avis sur beaucoup de sujet. ex : Certain sont pour un substrat type sable ( Excavator ), d'autre pour des copeaux de coco ou encore du sopalin Et se n'est qu'un exemple parmi d'autre.
  9. Je peux tout a fait crée le terrarium. Personne ne vend ou donne sur le forum de gecko léopard ?
  10. oui ces sur que a 700€ ont va vite oublier ^^
  11. phases ? Sa veux dire quoi ? Ces quoi le mieux pour acheter un gecko en terme de prix ? sur le net, dans un magasin spécialiser, dans une expo ou chez Amazonie ?
  12. ouai donc a peux prés 200 €. Mais il y a un truck que je ne comprend pas, pourquoi une tel différence de prix entre les geckos ? Pourquoi est sous qu'elles critère un gecko et plus chère qu'un autre ?
  13. Moi j'ai une question : Combien sa coute tout sa ? En gros 1 gecko léopard + Terrarium + accessoire sa revient a combien ?
  14. Juste magnifique, mes très sa coute beaucoup d'argent. 750 € ces pas un peux trop ?
  15. moi je serait d'avis de dire qu'il vaut commencer petit même si ces vrai que ces plus sympa pour l'observation d'avoir une grande colonie.
  16. Normale sa viens de se forum, si tu regarde bien je les mis sur mon profil aussi
  17. Formica sanguinea Résumé : Formica sanguinea est une très belle fourmi de taille moyenne et présente dans toute la France sauf les régions méditerranéennes. D'après Francis Bernard, elle ne semble pas aller à une altitude de plus de 1800m. Essaiment généralement de juin à août, il est facile de récupérer alors quelques gynes à proximité d'un nid de cette espèce. Espèce polygyne, les colonies peuvent comporter plusieurs milliers d'individus. C'est une espèce assez facile à élever une fois la fondation réussie, elle est débordante d'énergie, très prolifique et très active. Besoins de l'espèce pour l'élevage en captivité Fondation : Formica sanguinea est dite à fondation dépendante, c'est à dire que le reine ne peut s'occuper de la première génération d'ouvrières toute seule. Dans la nature les gynes retournent généralement au nid mère, mais pour démarrer une nouvelle colonie elles devront en parasiter une de Serviformica (généralement Formica fusca). Il faut donc, lorsque l'on désire démarrer une colonie de cette espèce, disposer de couvain (cocons) de Serviformica, une trentaine de cocons suffiront. Dès la capture de la gyne, mettre le couvain avec elle dans un tube. Il est préférable de nourrir la reine le temps que les cocons arrivent à terme, ce qui avec les Serviformica est très rapide. Que faire ensuite ? Des l'ouverture des cocons "esclaves", connectez le tube à une aire de chasse qui sera pourvue d'un dispositif anti-évasions. Le talc sera très efficace avec cette espèce assez lourde, ne pas hésiter à renouveler régulièrement la barrière. Il convient alors de nourrir les ouvrières avec un liquide protéiné, comme du lait sucré ou du miellat artificiel. Dès l'apparition de la ponte, commencez à nourrir la colonie avec des insectes, d'abord en petite quantité, puis de façon régulière dès l'apparition des larves. Comme chez beaucoup d'autres Formica, ce stade est très rapide, un apport très régulier en nourriture riche en protéines et alors très important. La température d'élevage doit être d'au moins 20°C et au plus 28°C. Que faire ensuite ? Dès que la population générale de la colonie atteint la cinquantaine d'ouvrières, il convient de leur proposer un habitat plus grand qu'un tube à essais, à savoir un nid. Un nid en béton cellulaire d'une surface habitable de 10cm sur 10cm fera parfaitement l'affaire durant les deux première années, cette espèce s'attaque rarement à ce matériaux, il n'est donc pas strictement nécessaire de le blinder. La hauteur des chambres sera idéalement de 5 à 6 mm et la surface humide d'environs 30%, une zone bien sèche pour les cocons est nécessaire. Afin de profiter au maximum des activité de fourragement de cette espèce, une aire de chasse proposant une grande surface est à privilégier, afin d'en réduire l'encombrement, la solution de la 3D est à envisager. Cependant si la configuration du nid le permet, préférez une aire de chasse de taille réduite au début. La nourriture : Les Formica sanguinea adorent les insectes. N'hésitez pas a en donner très régulièrement (N'oubliez pas de les passer au congélateur a peu près 24h avant de les donner pour tuer les acariens), surtout lorsque le couvain atteint le stade larvaire. En complément, des liquides protéinés riches en sucre sont intéressants, comme du lait sucré ou du pseudo miella. Hivernage : Cette espèce doit obligatoirement passer par une période de froid pour respecter son horloge interne. Généralement la ponte s'arrête dès la fin de l'été. Une fois les derniers cocons éclos et les larves entrées en diapause (généralement fin septembre) continuez à nourrir la colonie avec des liquides protéinés riches en sucre jusqu'à début novembre. Placez alors la colonie dans un local où la température vas osciller entre 6°C et 15°C et ce jusqu'à fin février début mars. Précisions concernant le comportement : Dans la nature, lorsque le nombre d'esclave ne suffit à satisfaire le couvain, les ouvrières isolées explorent les alentours à la recherche d'un nid de Serviformica. Lorsqu'elles en débusquent un, les ouvrières se rassemblent en une demi dizaine de groupes d'une centaine d'individus. Vers midi, chaque groupe part vers le nid adverse en évitant méticuleusement leurs pistes odorantes et de se faire repérer par une ouvrière qui donnerait l'alerte. Une fois arrivé, une partie entre dans le nid et part vers les chambres à couvain. Les Serviformica réagissent en défendant le nid, d'autre prennent la fuite avec le couvain. C'est la que l'autre partie des sanguinea intervient en interceptant les cocons et larves en surface. En captivité, une fois la fondation réussit, il n'est pas strictement obligatoire d'approvisionner la colonie en couvain Serviformica, cependant, lorsque l'on avance dans l'été, et que les ouvrières "esclaves" commencent à se faire rare, il n'est pas négatif d'aller de temps à autre prélever un tout petit peu de couvain dans des colonies de Serviformica fusca et de l'offrir à la colonie. Quelques chiffres et informations complémentaires Tailles des ouvrières: Entre 0.5cm et 1cm Taille de la reine: Entre 1cm et 1.2cm La 1ère génération d'ouvrières est assez petites (0.5cm) mais on arrive vite à des ouvrières très robustes qui atteignent les 1cm.
  18. Messor barbarus Géographie: Messor barbarus est la moissonneuse par excellence (d'où son nom latin) que l'on retrouve principalement chez les myrmécophiles amateurs, en raison de sa grande taille et de ses grands major (taille équivalente à celle de la gyne) à tête colorée. Bien que présentes principalement sur le pourtour méditerranéen, certaines espèces du genre se trouvent à des latitudes plus nordiques (Centre de la France, Allemagne). Caractéristiques: Cette fourmi d'un noir luisant et à la pilosité plus ou moins développée (barbarus est plutôt glabre alors que structor est très velue surtout sur la tête) possède un long pétiole. C'est une espèce monogyne . Le genre Messor présente plus ou moins les mêmes caractéristiques, quelque soit l'espèce, avec une seule gyne par colonie sauf en ce qui concerne Messor structor. Les ouvrières comportent trois castes (dont la taille varie de façon aléatoire) minor, media et major. Les major, sont aussi improprement appelés "soldats" car, par le biais de leur puissantes mandibules, il peuvent avoir un effet dissuasif ou meurtrier sur tout ennemi éventuel, mais leur rôle consiste aussi, et peut-être avant tout, à casser les coques des graines dont les Messor se nourrissent. Si chez la plupart des fourmis la gyne se contente rapidement de ne faire que pondre dès que le nombre d'ouvrières est suffisant (une dizaine d'individus parfois), chez les reines Messor l'activité est continue et importante. D'où leur intérêt à l'observation: il est à gager que l'absence de trophalaxie chez les Messor pousse la gyne à fabriquer elle aussi le pain nourricier. Pour ce qui est des températures, un peu de chaleur lors de la fondation peut stimuler la gyne (25° C) mais il est inutile de chauffer le nid ensuite et elles vivent très bien entre 20° et 22° C. A l'état sauvage, bien que plutôt méditerranéenne, Messor cherchera de la fraicheur et de l'humidité très profondément dans le sol. En milieu très aride le nid peut atteindre jusqu'à 5 m de profondeur. Le succès des Messor en élevage tient à des conditions de maintien assez simple (c'est un genre robuste): une humidité faible et un régime alimentaire peu exigent constitué de graines (les mélanges pour canaris ou perruche que l'on trouve dans le commerce conviennent parfaitement mais ne sont pas forcément les plus faciles à utiliser). La timidité est aussi une de leur caractéristique: les gynes sont très sensibles au moindre changement brutal (vibrations, amplitude thermique, lumière vive). Le stress peut provoquer une absence de ponte chez la gyne en cours de fondation, voir à terme sa mort. Les grandes colonies sont moins sensibles à ce genre de stress. Point d'alpinistes, elles sont d'assez mauvaises grimpeuses (les vitres d'une ADC peuvent être un obstacle insurmontable si elles sont propres), mais leurs fortes mandibules peuvent creuser des matériaux comme le béton cellulaire, et a fortiori le plâtre des nids artificiels. Il convient donc d'être prudent sur le logis qu'on leur fournit, surtout quand la colonie devient imposante en nombre et cherche à accroitre la taille de son nid. Comme tous les membres des Myrmicinae, la nymphose (transformation de la larve en nymphe) des Messor se fait sans cocon. Nourriture: Les Messor entretiennent des stocks de graines (dont parfois elles enlèvent le germe) dans leur nid (de véritables greniers), ce qui peut attirer des acariens auxquelles elles sont sensibles en captivité et peuvent également provoquer des désagréments; les graines des mélanges exotiques pour oiseaux germent avec l'humidité du nid. Pour éviter les levées de graines, il peut être utile de donner des graines indigènes à nos contrées (leur dormance est bonne et leur levée nécessite une longue exposition au froid): pissenlit ou violette par exemple, dont d'ailleurs elles raffolent. La liste pourrait être longue... Elles apprécient un insecte de temps à autre mais la base de leur alimentation demeure les graines avec lesquelles elles fabriquent du "pain". En effet, sous l'effet de leur mastication et de leur salive, l'amidon des graines se transforme en sucre (sucre lent) dont elles se nourrissent à stricto senso. Si un abreuvoir d'eau peut être mis à leur disposition (attention aux noyades - la présence d'un coton ou de sable stérilisé préalablement peut éviter ce genre d'inconvénient), il est déconseillé de leur donner des liquides sucrés (sucres rapides) qu'elles ne savent pas assimiler. Essaimage: septembre/octobre. Pour conclure, quelques noms d'espèces du genre Messor présents en France, hormis barbarus: Messor bouvieri, Messor structor, Messor minor, Messor capitatus, Messor wasmani (en Corse seulement). Messor minor Introduction : Cette espèce est une espèce monogyne (une seule reine par colonie). Les Messor minor sont présentes en France très localement, surtout en Corse (même s'il existe une souche dans les Alpes de Haute Provence très rare) mais ces fourmis sont originaires des Îles Canaries, où elles sont protégées et défendues d'export. De taille moyenne pour une Messor, 3-9 mm pour les ouvrières, 8-11 mm pour la gyne, taille intermédiaire pour les mâles, elle est de taille assez petite par rapport à la moyenne des fourmis. Les major ont un rôle dans le cycle de nourriture par rapport aux graines, et non par rapport à la défense du nid comme on le croit souvent. Les ouvrières les plus belliqueuses et les plus efficaces sont les submedia. C'est une espèce bicolore : la tête et le thorax rouge, le pétiole et le gastre noir. Si les conditions optimales sont trouvées, il y a un développement très rapide pour une Messor (700 ouvrières en 1 an pour un éleveur du forum). Des conditions moins favorables rapprocheront l'expansion de cette espèce de celle des autres Messor. Essaimage: Essaimage en octobre/novembre. Fondation : Messor minor est dite à fondation indépendante, la reine élève seule sa première génération d'ouvrières. La reine fonde seule et sans aide de manière claustrale : elle n'a pas besoin de nourriture et doit rester dans un tube à essai fermé. Comme pour toutes les Messor, 2 cas de figure, soit la gyne attend la diapause pour pondre (auquel cas 2 semaines après la capture il faudra la mettre en dormance) soit elle pond rapidement. Dans ce dernier cas vous pouvez sauter la première diapause, mais il faudra impérativement compenser par une l'année suivante. Nourriture : Les Messor minor sont principalement granivores (elles mangent des graines) et ne peuvent se nourrir que de ceci. Elles apprécieront particulièrement certains compléments alimentaires comme de la viande (rouge ou blanche, insectes) et des laitages, de préférence en petits volumes (pour éviter les noyades) et de façon ponctuelle et non régulière, contrairement aux graines. Le nid : Le nid doit être blindé, car les Messor minor creusent les matériaux friables (ex: Le BC, le plâtre....) assez facilement. Un nid plexi convient parfaitement. La profondeur des salles doit être comprise entre 6 et 10mm, ce qui est impératif pour que les ouvrières puissent passer une phase de salivation normale, indispensable à la création du pain de fourmis. Température et hygrométrie de maintenance : La température doit être comprise entre 25°C et 31°C, l'humidité de leur environnement entre environ 20 et 40% du nid. Les Messor minor ne peuvent pas se passer d'hygrométrie sans mourir. Diapause : Messor minor a besoin d'une diapause courte et douce, comme dans tous les milieux où elle vit. Si on veut faire hiverner cette espèce, les températures de maintenance doivent être comprise entre 14°C et 18°C pendant 1 à 2 mois, de préférence de début décembre à début février. Il semble qu'elle peut se passer de cette pause en captivité sur le court terme, personne n'a encore jamais étudié les effets d'un sautage d'hiver sur le long terme. Comportements : Les Messor minor ont un comportement maladroit et ont des difficultés à escalader des surfaces planes. Malgré cela, elles peuvent faire preuve de vitesse lorsqu'elles sont menacées ou dans un environnement inhospitalier. Leur comportement est semblable à celui des autres Messor, si ce n'est que comme Messor arenarius elle produit un stridulement (semblable à celui d'un peigne si on le gratte, désolé pour la comparaison mais ça ne ressemble à rien d'autre ) lorsqu'elle est particulièrement en danger. La nymphose se fait hors cocon, comme pour toutes les fourmis de la sous famille des Myrmicinées. Espèce peu agressive sinon pacifique. Cette fiche se conclut par le descriptif de la réaction chimique durant la préparation des graines. En effet, ce n'est pas la graine que mangent les fourmis mais le produit de sa dégradation lors de l'apport de salive, c'est à dire du sucre à l'état pur. Pour ceux qui veulent s'en inspirer pour les TPE : La réaction de transformation des contenus de la graine en amidon s’appelle hydrolyse de l’amidon. L’amidon, polymère du glucose, doit être « découpé » par des enzymes pour donner plusieurs molécules simples de glucose. Ainsi, l’amylase (enzyme provenant des glandes pré-pharyngiennes, composée de formes dites Alpha ou Bêta) réagit avec l’amidon (C6H10O5)1050 pour donner du maltose (2 molécules de glucose unies par une liaison glycosidique formée de 2 groupes hydroxyles –OH par suppression de la molécule d’H2O [entre 2 monosaccharides, le maltose est donc un disaccharide], de formule C12H22O11) qui est lui même hydrolysé par la maltase (C12H22O11) afin de donner du glucose simple : C6H12O6. Ce qui donne cette équation finale : (C6H10O5)1050 +H2O => (C6H12O6)(1050).
  19. Moi j'ai : Pheidole pallidula Crematogaster Scutellaris Messor Barbarus Formica Sanguinea et j'ai un élevage de Platyarthrus hoffmannseggi et Heteromurus nitidus
  20. Pheidole pallidula Résumé: Petite fourmi des régions du sud de la France, présente sur tout le pourtour méditerranéen, elle a la particularité d'être la seule espèce en France à posséder une caste de Major dits "soldats"; grâce a leur énorme tête cachant de puissants muscles liés à leurs mandibules, ces soldats ont pour tâche principale la découpe des proies, mais reste un atout majeur lors des conflits. Ils servent aussi de garde-manger vivant car ils peuvent emmagasinés une grande quantité de nourriture. Fondation: Essaimant généralement vers juin/juillet, Pheidole pallidula est une espèce dite à fondation indépendante et monogyne, la reine élèvera seule sa première génération d'ouvrières. Il suffit pour cela de la placer dans un tube à essai muni d'une réserve d'eau et d'attendre une trentaine de jours avant de voir naitre les premières ouvrières. Après la fondation: Une fois la première génération d'ouvrières arrivée, connecter le tube à essai à une aire de chasse pourvue d'un système anti-évasion performant. En effet, ces "reines de l'évasion" passent une barrière de talc mal faite, le mieux étant d'en faire une très fine couche. Étant essentiellement carnivores, elles apprécieront une mouche bien grasse passée préalablement au congélateur pendant 48h pour en débarrasser les acariens. Une fois l'insecte vidé de l'intérieur, n'hésitez pas à en redonner un autre et ainsi de suite. Les major apparaitront vite (après environ 30 ouvrières). Le mieux est de placer les Pheidole pallidula en nid lorsqu'elles sont au nombre de 300. Le nid: Le nid sera obligatoirement blindé, car malgré leur petite taille, leurs mandibules et surtout celles des Major sont certainement les plus efficaces des espèces françaises et un nid en plâtre ou en BC ne durera que quelques semaines cela même si elles ont encore énormément de place. Hauteur des galeries: 0,50 cm. Étant très petites, la moindre faille de votre nid sera une porte de sortie pour cette espèce, vérifier que la vitre de votre nid est bien en place, n'hésitez pas à mettre du silicone (sans solvant) si un doute persiste. La surface humide du nid sera de l'ordre de 50 a 60% (il semblerait que Pheidole pallidula apprécierait plus que ce que l'on croit l'humidité). Nourriture: Cette espèce est essentiellement carnivore, elles apprécieront toute forme d'insectes (mouche, grillon, pince oreille...) mais quand la colonie devient très populeuse, il est possible de les nourrir avec des liquides nourriciers (lait+miel+œuf entier cru marche bien) Température: Période de croissance: 25°C à 27°C le jour pour 24°C la nuit (ne pas descendre en dessous de 20°C). Période de diapause : fin octobre mi-novembre jusqu'à fin février début mars : entre 12°C et 15°C. Après quelques recherches et expérimentations, il semblerait que Pheidole pallidula puisse se passer de diapause. Cependant, si vous ne pouvez pas les chauffer à 27°C durant tout l'hiver, il est conseillé de les faire hiverner. après quelques bonnes/mauvaises expérience (viewtopic.php?f=23&t=1523&st=0&sk=t&sd=a), il est conseiller de faire diminuer la température petit a petit (quelques C° par semaine) et de relancer la colonie vivement avec une forte température (pas trop rapide non plus, éviter les chocs thermiques), ceci avec un bon nombre d'insectes pour relancer la ponte. Essaimage: juin/juillet. Tailles des différentes castes: reine: 6 à 7mm ouvrière minor: 3mm ouvrière major: 5 à 6 mm N'oubliez jamais que les Pheidole pallidula sont surnommées "reines de l'évasions", si elles veulent sortir, elles y parviendront.
  21. Tetramorium caespitum: Généralités: Tetramorium caespitum est monogyne et à fondation indépendante (la gyne seule fonde sa colonie). La différence de taille entre la gyne et les ouvrières est importante: jusqu'à 1cm pour la reine à quelques millimètres pour les ouvrières (entre 2 et 3 mm). Le développement est rapide (un mois de l'œuf à l'imago selon la température), voir impressionnant et les colonies deviennent vite très populeuse. Elle préfère une hygrométrie élevée, mais s'adapte assez facilement à une humidité plus faible. Appartenant à la famille des Myrmicinae, la nymphose est dite nue, donc sans cocon. Elle est appelée la fourmi des trottoirs par nombre de myrmécologues tant elle a colonisé nos villes. Nourriture: Espèce réellement omnivore: elle consommera aussi bien des insectes, des morceaux de jambon, que des liquides sucrés (attention aux noyades) ou des graines de petite taille (sésame, pissenlit...), bref, tout type de nourriture peut lui convenir. Surement l'une des fourmis les plus facile à nourrir avec le genre Messor dont d'ailleurs il lui arrive de piller les greniers en organisant des raids: sa petite taille et la loi du nombre faisant vite la différence. Températures: Se développe facilement dès 20°C, même si une température plus élevée accélèrera son développement (jusqu'à 25°C, voir plus). A l'image de Pheidole pallidula, la diapause serait facultative, tout en restant une option possible. Nid: Le nid aura une profondeur d'environ 5mm. Comportement: La petite taille des ouvrières confère à cette espèce une aptitude certaine aux escapades hors ADF, il convient donc de régulièrement vérifier son système anti-évasion. Pouvant parfaitement creuser le BC, il est indispensable de soit blinder le nid, soit d'en utiliser un en plexi. La dernière option étant de loin la plus appropriée à cette espèce. Elles essaiment de juin à juillet. Au final, si ce n'était sa petite taille (qui rend parfois l'observation difficile) et sa faculté d'évasion, cette espèce conviendrait parfaitement aux débutants tant sa perfectibilité (faculté d'adaptation) thermique, hygrométrique et alimentaire est importante.
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