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gerfaut

bien-être animal : détention de rapaces en captivité en Belg

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Une nouvelle loi sur le bien-être animal concernant la détention de
rapaces par des particuliers est en préparation en Belgique.

Le comité sur le bien-être animal a donné un avis. La Ministre Onkelinx a
bien reçu l’avis et ce dernier peut donc être considéré comme public.

Détention de rapaces par des particuliers

Ces dernières années, la détention de rapaces a gagné en popularité.
À côté de cela, le Service Bien-être animal du Service public fédéral Santé
publique reçoit un nombre croissant de plaintes en rapport avec les
conditions de logement des oiseaux de proie. L’objet de ces plaintes varie,
allant de rapaces attachés en permanence dans des environnements fort
fréquentés à des oiseaux séjournant dans de vieilles cages à lapins. Le
présent rapport examine si, du point de vue du bien-être animal, la
détention de rapaces en captivité se justifie. Il ressort de la littérature
disponible qu’il n’existe aucune indication scientifique solide indiquant que
le bien-être des rapaces détenus en captivité est en danger. On constate
néanmoins parfois des problèmes comportementaux, qui peuvent être
résolus dans certains cas au moyen de mesures appropriées.

Il est exigé que le bien-être des rapaces détenus en captivité soit garanti.
La question de la nécessité pour ces oiseaux de pouvoir voler dépend de
la définition donnée au comportement naturel. Bien qu’il n’existe aucune
étude scientifique sur la détention d’oiseaux de proie attachés en
permanence (à un bloc ou perchoir), il est communément admis que ce
type de logement va à l’encontre de la loi sur le bien-être animal. Une
des conditions minimales fixées est la possibilité pour l’oiseau de voler
régulièrement. Plusieurs auteurs se sont basés sur leur expérience pour
émettre des recommandations en matière de dimensions minimales pour
volières.

Il ressort des entrevues avec les différentes parties concernées en
Belgique, que ces dernières sont majoritairement favorables à la prise de
mesures complémentaires pour la détention de rapaces.


https://portal.health.fgov.be/portal/page?_pageid=56,16364560&_dad=portal&_schema=PORTAL#rapaces

https://portal.health.fgov.be/pls/portal/docs/PAGE/INTERNET_PG/HOMEPAGE_MENU/DIERENENPLANTEN1_MENU/DIERENWELZIJN1_MENU/CONSEILDUBIENETREDESANIMAUX1_MENU/PUBLICAIONSETAVIS1_MENU/PUBLICAIONSETAVIS1_DOCS/AVIS%20RAPACES.PDF

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Bonsoir,

Suite à la lecture que tu nous as fournie, je me demandai s’il n’y avait pas déjà eu la même loi.

Je trouve cela globalement très intéressent comme lois, pour la détention d'un ou des rapaces chez des particuliers.

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Deux choses intéressantes à souligner:

1. l'absence d'éleveurs professionnel dans le groupe de travail!
2. il faut plus de place pour détenir un tiercelet de pèlerin (600gr) qu'un cheval.


J'ai eu ce jour la visite des Eaux et Forêts (DNF belge) qui auraient du me
donner des cartes vertes. Ils n'en avaient pas (oubli, perte...?)mais en
ont profiter pour remplir un questionnaire sur la détention de faucons.

Ils ont constaté la perfection des installations et ont rempli 3 pages de questionnaire.

Ca sent vraiment le changement!

Comme je déménage au printemps et que les volières sont à condtruire,
autant ne pas se tromper dans les mesures!

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Mouais....

Il est délicat de légiférer sur ce genre de sujet, surtout lorsque l'on l'aborde par le biais du "bien-être" animal,
sujet des plus subjectifs si il en est...

Le bonheur est-il lié à nos conditions de vie, de logement, de transports, de moyens ? J'en doute.
Dès lors, comment le définir pour un animal ?
On ne peut être que très circonspect vis à vis d'une approche "scientifique" qui permettrait de le définir.

Le risque dans cette affaire est de voir imposer une maille type
définissant les conditions de "bonheur" des oiseaux détenus.
On n'aborde pas le sujet primordial qui nous concerne, et qui n'est pas
la détention, mais l'utilisation des oiseaux.
L'exemple d'une volière faisant 2 fois la taille de l'envergure de l'oiseau
est une parfaite illustration de l'absurdité du raisonnement.

Même base utilisée que pour définir "le bien être" des poulets élevés en
batterie ( 6 / M² si ma mémoire est bonne )

Un oiseau utilisé en fauconnerie, n'a rien à voir avec un oiseau qui ne vole et ne chasse pas,
visiblement l'amalagame est fait ou l'on s'en approche.

La fin du texte qui distingue cependant les oiseaux de fauconnerie des autres
n'est guère rassurante, puisque les auteurs ne font pas la distinction
entre la "laisse" d'un chien et des attaches ou des jets...
Visiblement les fauconniers n'ont pas participé à l'élaboration de ce texte.

La grande chance que nous avons eu en France est lié au fait que la fauconnerie
a été clairement séparée et identifiée des autres déténtions
que cette réglementation a été élaborée par des fauconniers, pour des fauconniers.

C'est bien la tout l'intérêt des fauconniers que de se fédérer au niveau
national, pour obtenir une législation propre qui corresponde aux besoins
et aux réalités effectives de notre passion. Les luttes intestines ne servent
pas les intérêts des fauconniers, le lobbying doit être la régle, faute
de quoi nous nous voyons représentés par des "scientifiques", des ornithologues
ou des éleveurs.

Il faut impérativement que la législation concernant la fauconnerie
soit élaborée par les fauconniers eux-mêmes, non seulement pour le
bien-être des oiseaux, mais aussi pour que les régles soient en adéquation
avec les modalités pratiques de la détention et surtout de l'utilisation
de ces espèces.

Laisser la place à des scientifiques pour analyser des besoins qui n'ont
à voir, ni avec la science, ni avec une notion subjective du "bonheur"
me semble être le biais le moins rationnel pour assurer la pérennité de
la fauconnerie.

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Tout à fait d'accord avec Etienne. Le seul problème est qu'on ne nous
a pas consulté ou à peine.

Les erreurs dans le texte proviennent de la traduction. Le texte intégral
est en néerlandais et le traducteur ne connaît pas les termes jets, longe,
bloc ou perche.

La grande différence avec la France tient dans le fait que la Belgique a
transposé dans sa législation nationale l'arrêt Vergy, ce que n'a pas fait la
France -quoique Vergy soit un citoyen français.

En d'autres termes, cela signifie qu'en Belgique la détention des rapaces
est libre à condition qu'ils soient nés en captivité.

Ceci a amené une explosion du nombre de détenteurs -surtout en Région
Flamande (à peu près 3000!)- et tous les problèmes connexes dûs à de
mauvaises conditions de détention - d'où ce projet de règlementation sur
le bien-être animal!

L'avis est le résultat d'un compromis - comme souvent en Belgique- entre
les opposants qui voulaient profiter pour faire tout interdire et les
utilisateurs (amateurs d'oiseaux, voleries, reproducteurs - il y avait bien
un représentant des reproducteurs professionnels et fauconniers!

Au moins, les fauconniers ont obtenu que les oiseaux de fauconnerie
puissent être détenus selon les méthodes traditionnelles - ce qui n'était
pas le cas au début de la discussion basée sur les modèles autrichien et
suisse où une nouvelle loi sur le bien-être animal interdit la détention des
rapaces selon les méthodes traditionnelles!!!

L'idée sousjacente des initiateurs du projet (LRPO etc...) était de freiner
cette explosion de détenteurs et de limiter l'accès aux rapaces en
imposant des conditions minimales de détention, de soins et de
connaissances.

C'est mieux que rien mais je ne crois pas que cela freinera la détention des rapaces comme 'nac'.

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Alors, en clair, qu'est ce que ça nous impose à nous qui sommes détenteurs d'oiseaux destinés à la fauconnerie ?

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De les garder au bloc ou à la perche. En cas de non-vol, de les mettre en
volière à dimensions émotionnellement acceptables pour des abrutis qui
confondent cheval et oiseau!

Ce qui est drôle, c'est que les centres de revalidation n'auront jamais
assez de place pour détenir correctement les oiseaux confiés.

Il faudra qu'ils trouvent une exception à la règle qu'ils ont poussée du pied!

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Invité
Citation :
la Belgique a transposé dans sa législation nationale l'arrêt Vergy


Quel était ( en gros ) le contenu de cet arrêt de Vergy, je ne m'en
souviens absolument plus Embarassed ....

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Tout animal né en captivité peut être détenu, même (et surtout ) s'il est protégé. C'est un résumé!

Il ne peut pas y avoir de contrainte. Pas obligé d'être fauconnier reconnu,.....

On parlait d'une sorte d'oie (si je me souviens bien) et cet arrêt est appliquable à tous les animaux.

Le principe est que la détention en captivité est un plus pour les espèces menacées (réserve génétique).
Priver l'espèce de la possibilité d'être détenue en captivité est un frein à sa protection.

Des limites innaceptables de détention seraient, dans ce cas, aussi interdite par cet arrêt.

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gerfaut a écrit:
Le seul problème est qu'on ne nous a pas consulté ou à peine.




C'est dans ce cas que l'on doit regreter d'avoir perdu le presque monopole
suite à des faiblesses de gestion humaine!
La division est la perte de la fauconnerie. Les fossoyeurs ne se
reconnaissent pas entre eux, et c'est dommage!

Ce facteur humain, toujjours ce facteur humain! Rolling Eyes

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Invité
Citation :
Tout animal né en captivité peut être détenu

Citation :
cet arrêt est appliquable à tous les animaux.

Même un lycaon Shocked

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Mais le vrai problème, n'est ce pas l'absence sérieuse de formation?

Si les fauconniers prenaient le temps de former les jeunes, les "passionnés d'un jour" seraient vie écoeurés devant
l'esclavage qu'est la détention d'un oiseau au quotidien.

Il ne serait plus utile, alors, de légiférer sur des tailles de volières ou les températures qu'elles doivent avoir!

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Même un lycaon Shocked[/quote]

je ne connais pas le statut du lycaon, mais s'il est protégé, pourquoi pas!

Attention, l'arrêt Vergy es applicable à toute l'Europe, en théorie!

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sokol a écrit:

Comme je déménage au printemps et que les volières sont à condtruire, autant ne pas se tromper dans les mesures!


C'est le moment de te mettre à l'équitation
Razz

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Pauvres chevaux, je les plaint d'avance! On parle bien de "bien être animal" non? lol!

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gerfaut a écrit:
Tout à fait d'accord avec Etienne. Le seul problème est qu'on ne nous
a pas consulté ou à peine.


La question est pourquoi ?

Que l'arrêt VERGY soit appliqué ou non, n'induit pas nécessairement que
les fauconniers soient assimilés aux collectionneurs ou détenteurs
d'oiseaux.

Pour faire valoir nos différences majeures avec d'autres modes de détention, il faut se faire connaitre et reconnaitre.
Est-ce le cas en Belgique ? Qui représente les fauconniers ?
Sont-ils écoutés ?

En l'occurence, ce qui nous différencie diamétralement, c'est l'utilisation
des oiseaux. Cette utilisation règle également d'une certaine manière, le
problème du "bien-être" des rapaces qui ne sont pas détenus, mais
simplement entretenus par le fauconnier entre chaque vol.

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La différence est qu'en France, seuls les fauconniers peuvent détenir des rapaces (via les certificats d'élevage d'agrément - jusquà 6 oiseaux) ou les professionnels (via le certificat de capacité).

En Belgique, le législateur ne fait pas la distinction entre les utilisateurs (sauf pour les gens de spectacle qui ont un régime un peu plus strict).
Les Fauconniers -avec un grand F- sont minorisés par rapport au reste des autres détenteurs et c'est bien là qu'est le problème.

La Belgique est un pays compliqué au niveau législatif car il y a des matières qui relèvent des compétences - fédérale (nationale) : par exemple bien-être animal, CITES, santé, oiseaux non-indigènes etc... et -régionales (chasse, destruction, détention des rapaces indigènes). Les systèmes varient selon les régions et les fauconniers sont bien représentés au niveau régional. Par exemple, pour ce qui est de la chasse, la destruction et la détention des rapaces indigènes en Région Wallonne, les fauconniers sont représentés dans les deux Conseils Supérieurs (Chasse depuis 1995 et Conservation de la Nature depuis peu- ce qui est une première!).

Pour ce qui est du niveau fédéral (national), le législateur ne fait pas, comme je l'ai dit plus haut, de distinction entre les utilisateurs et les fauconniers y sont minorisés. Ils sont cependant consultés et s'y sont fait les avocats d'un système à la française (c'est à dire où seuls les fauconniers peuvent détenir des rapaces) mais c'est un système qui semble anti-constitutionnel! Il faut reconnaître que le moindre recours devant le Conseil d'Etat aboutirait vraisemblablement à donner raison au plaignant!.

Ceci dit, je répète ce que j'ai dit dans un autre post, l'avis est loin de faire l'unanimité mais les fauconniers peuvent au moins détenir leurs oiseaux selon les méthodes traditionnelles comme cela a été le cas pendant des siècles. L'idée des opposants qui étaient à l'initiative de cette proposition de loi, était de faire interdire toute détention au moyen d'entrâves (jets et longe) en suivant les modèles Autrichien et Suisse. C'est le problème de la mondialisation et il est toujours facile d'aller chercher des modèles plus restrictifs.

De toute manière, je suis personnellement peu enthousiaste pour toute nouvelle loi qui va, la plupart du temps, dans un sens plus contraignant.

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Il est 5 clubs de fauconnerie en Belgique. 4 s'associent pour ne parler que d'une voix et le 5eme refuse. Comment être fort sans se fédérer?

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Citation :
Ils sont cependant consultés et s'y sont fait les avocats d'un système à la française (c'est à dire où seuls les fauconniers peuvent détenir des rapaces)


Compte tenu de votre législation, ce combat n'est-il pas totalement d'arrière-garde ? ( bien que je partage cette idée...)

Ne vaudrait-il pas mieux faire valoir des spécificités qui valorisent clairement une forme de détention soucieuse du bien-être animal en seule vue de son utilisation dans un cadre qui assure la santé physique et psychologique de l'oiseau au quotidien, plutôt que se dissocier des autres éleveurs en leur niant un droit qu'ils ont déjà obtenu. ( et sur lequel visiblement personne ne reviendra )

Par ailleurs, n'y a-t-il pas un risque à force, de passer pour des extrmistes et de se mettre à dos les simples détenteurs, qui seraient tentés de sacrifier purement et simplement une activité aussi marginale que la fauconnerie, au profit d'une législation adaptée uniquement à leur mode de détention.

Nous avons également en France une législation nationale, ensuite encadrée par les régions et les départements en fonction des modes et périodes de chasse.

La seule différence qui me semble notoire - et je rejoins le post de Sokol - c'est que les structures dirigeantes des fauconniers - en l'occurence l'anfa - sont adaptées : représentants nationaux et regionaux permettent une représentation unique, une seule voix, un seul interlocuteur.

Si il existe vraiment 4 ou 5 associations en Belgique et que chacune se représente, qui au niveau fédéral, qui au niveau national, qui a son niveau personnel, sur un pays aussi petit qu'une région Française, - sans parler des querelles internes - on peut aisément imaginer la cacophonie général que cela engendre, ainsi que la totale impossibilité d'une représentation collégiale avec une politique transparente et lisible.

Dès lors, sans leadership, avec des détracteurs et une législation commune entre fauconniers et détenteurs, ne vous parait-il pas un peu suicidaire que de risquer de vous couper de l'appui de ces derniers en préconisant que seuls les fauconniers soient autorisés à détenir des rapaces ? ( qui plus est sans illusion sur la finalité de cette démarche ? )

N'êtes-vous désormais pas contraints, compte tenu du cadre législatif et des usages de votre pays, à trouver une solution commune avec les détenteurs, sans amalgame aucun, mais en tentant de faire valoir des spécificités liées à l'utilisation des oiseaux pour la chasse au vol ?

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sokol a écrit:
Il est 5 clubs de fauconnerie en Belgique. 4 s'associent pour ne parler que d'une voix et le 5eme refuse. Comment être fort sans se fédérer?

Il y a une raison à cela: une seule association a une représentation 'nationale' c'est à dire dans toutes les régions. Cette association représente à elle seule, plus de membres que tous les autres clubs réunis (qui, par ailleurs, ne comptent de membres que dans une seule région). S'ajoute à cela, comme souvent en Belgique, une pincée de communautaire et on y est.

La grande différence est que le club national représente des fauconniers actifs tandis que les autres sont (sauf quelques exceptions) des 'passifs'.

Récemment, la Fédération qui regroupe les 4 clubs flamands a voulu organiser une journée de chasse pour inviter le personnel du Ministère de la Culture qui avait travaillé sur le dossier de la reconnaissance de la fauconnerie comme patrimoine immatériel. Ils ont dû annuler la jounrée parce qu'aucun membre n'était capable de montrer un oiseau en action au 1er décembre. Eloquent ... non?

L'approche de cette fédfération est tout à fait différente de l'association nationale - elle est une copie du Hawk Board anglais et défend surtout la détention à n'importe qui et aussi ... les commerciaux et professionnels.

Deux exemples d'action soutenues par la Fédération:
Il existe en Flandre un championat de Belgique d'indoor flying!!! Savez-vous ce que c'est: il s'agit de faire des réclams de buses de Harris dans un complexe sportif couvert. On calcule la vitesse du réclam et on proclame un champion de Belgique - fêté à force bière comme il se doit!

Et on parlera ensuite d' histoires belges!!

Un autre exemple: depuis deux années est organisée une compétition de fauconnerie 'le Golden Glove' qui consacre un champion de Belgique dans toutes sortes de disciplines. Cete compétition a lieu sur un terrain de football.

Désolé, ce n'est pas ma tasse de thé. Vous comprendrez que tous n'ont pas la même approche du mot 'Fauconnerie'.

d'Arcussia écrivait: Tous ne sont pas nés pour se plaire à voler avecque nous, aussi n'est ce pas à tous le pouvoir et savoir faire!

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Peu importe! Il faut se fédérer!

L'on pourrait aussi souligner que les fauconniers actifs avec terrains de chasse ne sont dans aucun club (j'en veux pour preuve qu'ils sont solicités pour mettre les terrains à disposition pour des réunions Very Happy ou que ces mêmes association solicitent la bonté des chasseurs à tir inconnus et éloignés!).

Les arguments de "national" ne comptent plus si l'on sait le nombre de membres en wallonnie! L'embauche à-tout-va de jeunes sans expérience aucune en est un signe. La toute grande majorité de fauconniers compétents refusant d'être encartée Triste évolution!

Donc, en résumer, au lieu de se penser meilleur que les autres (ce qui est le cas de plusieurs clubs), il serait encore et toujours utile de mettre son orgueil en poche pour se fédérer.

Diriger n'est pas simple et celà demande plus d'expérience que d'être chomeur ou bonne-d'enfant pour être président. Very Happy

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Belgique / France : il me semble que "l'histoire" du bien être animal est une "préoccupation" Européenne donc internationale . Dés lors, il me semble qu'il serait meilleur pour représenter la fauconnerie d'avoir une seule voix devant ces messieurs Européens . Peut être l'IAF ?

Il est clair que si les diverses associations de fauconnerie se présentent en ordre dispersées, c'est perdu d'avance. Il me semble que seule la chasse au vol devrait réunir les fauconniers et les associations .

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