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_Banzaii.1

Virus impliqué dans une affection pulmonaire sévère

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Suite aux symptômes pré-mortem de Bew (amaigrissement soudain) apparus environ trois jours avant le décès, j'ai demandé une autopsie à ma clinique vétérinaire, laquelle ayant révélé la présence d'un virus...
Voici un copier/coller du message envoyé par mon vétérinaire, afin que vous puissiez en savoir un peu plus sur le (grave) problème que je rencontre actuellement.

Concernant les résultats d'autopsie, il s'agit sans l'ombre d'un doute d'une atteinte pulmonaire sévère. Cela peut paraître étrange étant donné l'absence de symptômes évocateurs. Cependant, certains virus peuvent être responsables de dégradation du tissu respiratoire sans que cela n'ait de manifestation extérieure..

A ce stade, même si une radiographie aurait pu accessoirement orienté la localisation de l'atteinte, un traitement adapté à une pathologie respiratoire n'aurait pas fait plus d'effet. En effet, dans ce genre de cas, lorsque l'atteinte ne s'exprime pas clairement, le peu de symptômes observés (ici, amaigrissement) correspondent à une phase terminale de la maladie.

Il est impossible de préciser d'où un tel agent pathogène peut provenir. Par contre, il ne faut pas oublier que les portages sains de tels agents infectieux sont très fréquents chez les myomorphes, et ceci dès les plus jeune âge.

Concernant les autres souris, surveillez bien leur poids et n'hésitez pas à venir les faire contrôler au moindre doute. N'oubliez pas de bien désinfecter l'intégralité des zones auxquelles a eu accès Bew.

Plus de précisions suite à mes questions en réponse à ce message :
- une étude du parenchyme pulmonaire n'aurait pas pu forcément faire avancer les choses dans l'identification du virus. L'histologie ne peut que présenter des suspicions. Pour identifier de tels virus, des analyses par PCR sont nécessaires. Le problème, c'est qu'il n'existe pas beaucoup (voire trop peu) de ce type d'analyse concernant les souris en pratique clinique. Enfin, en cas de résultat positif, cela ne change rien concernant la prise en charge préventive.

- Il est toujours possible de réaliser des radiographies pour avoir une image à un instant T des poumons d'une souris à fragilité respiratoire et constater ou non l'avancée d'une telle pathologie. Sachant que des souris présentant une atteinte respiratoire peuvent ne pas être porteuses de tels virus. Et, vice versa, des souris porteuses peuvent ne pas présenter de symptômes (même à la radio). Cependant, en cas de doute, un soutien symptomatique respiratoire peut être mis en place (anti-inflammatoire respiratoire, couverture antibiotique pour lutter contre surinfections potentielles, immunostimulant...).

- L'origine du virus restera difficile à déterminer. Cela peut venir d'un portage sein dès le plus jeune âge d'une de vos souris, comme de l'atteinte respiratoire de Falynn. Malheureusement, de telles atteintes virales peuvent prendre beaucoup de forme différentes, et autant d'origines sont possible.

- Même si cela peut paraître limité, la seule réelle façon de lutter en prévention contre de tels phénomènes infectieux est de désinfecter les surfaces et d'isoler les individus suspectés être cliniquement suspects.

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Cela me rappelle le cas de Auryn...
Et je pense que mes défuntes Casthiel, Lasya, Uchiki et Labelas sont dans ce meme cas...

Quel sont les immunostimulants que ton véto t'a conseillé?
Car j'ai demandé à mes 2 véto vendredi et hier (avant de lire ce post) s'il existait de tels produits véto pour renforcer les défenses immunitaires contre les virus et ils m'avaient dit que non. Meme l'interféron n'a pas fait ses preuves chez les animaux ("traitement" considéré comme expérimental).

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Les radiographies effectuées sur mes quatre souris restantes montrent clairement qu'aucune d'entre elles ne souffrent de lésions pulmonaires actuellement.
En effet, rien n'indique que les souris sont porteuses saines ou pas, tout comme si elles sont vouées à être infectées dans quelques mois...

Un "traitement" préventif composé d'un immuno-stimulant (Booster) a pour rôle d'éperonner le système immunitaire dans le but de combattre un virus éventuellement déjà présent dans l'organisme afin de repousser la date d'échéance.
En effet, sans véritable traitement, le virus ne pourra être éradiqué par seules les défenses immunitaires de la souris, sauf cas exceptionnel.

L'Interféron (antibiotique utilisé pour lutter contre le SIDA du chat) pourrait être testé pour combattre le virus, mais le coût des fioles (150€/u) est excessif vis-à-vis du peu de garanties que nous avons au sujet de son fonctionnement.
En quelque sorte, il aurait pu s'agir d'une expérience qui n'aurait jamais obtenu aucun résultat de son efficacité.

De nouvelles radiographies sont programmées dans trois mois, de façon à voir les évolutions de l'état des poumons à supposé qu'aucune de mes souris n'ait montré de signe de contamination au virus.

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J'ai eu une série de "gros rhume" dernièrement sur une cage de femelles(qui a causé un très fort affaiblissement de Hestia qui a été euthanasié car elle suffoqué).
On a pensé à la piste virale avec la véto, elle m'a prescrit un nouveaux médicament censé booster les défenses immunitaires pour les principaux virus. C'est un médicament à la base pour les lapins homéopathique. Je peux vous donner ses références si besoin, il ne coute pas très cher et ce met dans l'eau.

Par contre, le temps que le médicament soit commandé le B*ytril a fait effet ce qui me fait pensé qu'il s'agissait en fait d'une infection bactérienne qui n'était pas sensible à la doxycycline (les puces avait été 10 jours sous doxy sans amélioration, 5 jours de B*ytril est c'est presque guérie).

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