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Scotten

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Tout ce qui a été posté par Scotten

  1. Pas mal pour un moniteur vice-président d'un club cyno Alors Jinger, le Boxer ferait-il partie de la 1ère ou 2 ° catégorie ?...
  2. Tu vois, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui ont un pistolet chargé , et ceux qui creusent. Toi... tu creuses..." Connaissez pas cette réplique dans"Le bon, la brute et le truand"? Pour dire... Y'en a qui bossent, y'en qui trichent... Et ça depuis que le monde est monde, alors...
  3. C'est bête. Ca valait le coup
  4. Je vous fais partager un autre MP de Jinger.... Si je viens sur un forum de discussions, je ne cache rien, moi... pas de copier / coller de mp sur le forum svp merci Rakan Alors, je fouts la merde ou pas ????
  5. Merci Gaby.. Un peu de douceur et de calme dans ce monde de brutes...
  6. Pour répondre à votre MP Jinger: pas de copier / coller de mp sur le forum svp merci Rakan Je vous poserais une autre question: Qu'avez vous fait pour le BCF, Pour Boxutil, et maintenant pour l'AFB ?
  7. Laurent... Je ne comprend pas. Je pensais que vous comprendriez ce texte ! Pourquoi une telle réaction ? J'éspère que nous pourront un jour nous rencontrer dans un concours en France afin que vous puissiez juger des qualités (et des défaults) de mes chiens... Même s'ils ont passé des concours à l'étranger.
  8. Vicky!!! Tu n'as pas lu juqu'à la fin ??? Vous n'êtes pas tous trop cons... Bien heureusement !
  9. Je vous mets ci-dessous un article écrit par mon ami Carlo (avec son accord bien sur). Article qui, je trouve, à sa place dans ce sujet... En éspèrant que les personnes pour qui je met cet article aient le courage et assez de neurones pour le lire jusqu'au bout... SUR LES POLEMIQUES QUI ONT SURGI EN ITALIE AUTOUR DU ROLE DU DRESSEUR PROFESSIONNEL Carlo Fagioli J’ai écrit l’article qui va suivre pour la revue du Boxer Club d’Italie. Il concerne donc le monde canin italien. Ne vous étonnez donc pas d’y trouver des références aux institutions canines de ce pays. Je pense qu’il peut toutefois intéresser le monde cynophile français qui s’occupe du travail d’utilité et de défense, et j’ai donc essayé de le traduire pour vous le proposer. J’aimerais ici vous parler d’un argument et d’une profession qui, dans le cadre de la cynophilie officielle, dans les dernières quinze années, a suscité, malgré soi, des débats très vifs et des discussions très acharnées, c’est à dire la profession de dresseur pour les chiens d’utilité et de défense ; et j’insiste sur l’utilité et la défense parce que, à ma connaissance, le rôle de dresseur professionnel pour les chiens de chasse, n’a jamais donné lieu à des débats aussi passionnés. Pour vous faire un exemple, à ces dresseurs la on permet de présenter plus de deux chiens à la fois dans le même concours, chose qui n’est pas consentie à leurs confrères de l’utilité et défense. A mon avis tout ça en dit beaucoup sur la considération que l’ENCI (Ente Nazionale della Cinofilia Italiana, l’équivalent en Italie de notre SCC) a du secteur de la chasse, qui est toujours considérée comme la « noble art » par rapport à l’U. D. qui reste le parent pauvre. Le dresseur professionnel est considéré par la plupart des gens comme le principal bénéficiaire de ces qu’on appelle les Brevets de qualification, mais à mon avis il n’est que le dernier maillon de la chaîne des bénéficiaires. Le premier maillon, qui a aussi créé la profession de dresseur, et qui est à l’origine des jugements de ces brevets, est en réalité l’éleveur de chiens de race. Et c’est justement la mise en place de cette chaîne qui a fait progresser tout l’élevage canin. Je vais essayer de vous expliquer pourquoi. En Italie entre la moitié et la fin des années soixante, dans le milieu de l’élevage des Bergers Allemands, il y avait deux ou trois noms de proue, tels que le comte Gatto (élevage Casa Gatto), le docteur Gorrieri (élevage di Val del Tiepido) et monsieur et madame Gobbi (élevage dell’Alta Quercia), qui pour améliorer leur cheptel ont importé de l’Allemagne des sujets de grande valeur qui avaient déjà les brevets de travail ainsi que la Korung, vu que déjà à l’époque ils étaient obligatoires dans ce pays, où les titres de travail et les test de caractère font partie de la culture canine, de la même façon qu’en fait partie la vie associative dans les clubs canin, des structures bien équipées et adaptées à la tache, où deux à trois fois par semaine chaque propriétaire d’un ou de plusieurs chiens de race peut se rendre pour éduquer et pour dresser ses chiens et les préparer donc pour les brevets et pour la Korung. L’Italie, pour se mettre au pas avec les critères de sélection allemands, a du d’abord se mettre en règle pour ce qui concernait les test de caractère. Mais, étant donné que ni le comte Gatto, ni le docteur Gorrieri ou encore M. et Mme Gobbi, ne pouvaient pas eux mêmes préparer et dresser les sujets sortis de leurs élevages, et aussi qu’à l’époque en Italie n’existait pas une structure de clubs canins efficace, ces messieurs ont été obligés de s’adresser à des professionnels du dressage. Et, puisque à cette époque le nombre de chiens produits par chaque élevage a beaucoup augmenté, vu que ces mêmes éleveurs ont commencé à travailler sur une plus grande quantité de chiots dans l’espoir de voir plus facilement sortir le chien d’exception, le nombre de sujets à mettre en règle et donc à dresser s’est multipliée. Donc si au début on confiait son chien à un ami pour qu’il le prépare, le nombre a fait qu’ils ont été obligés de trouver quelqu’un qui fasse ça à plein temps, ce qui a donné naissance à la profession proprement dite, qui au début avait pour tache de s’occuper presque exclusivement des sujets sortis des grands élevages dont on a parlé. Mais alors, pourquoi donc j’affirme que nous avons tous bénéficié de ce mouvement ? Parce que le très beau sujet qui avait toutes les qualités morphologiques pour améliorer la race, était quand même obligé d’avoir ses tests de caractère et ses brevets de travail. On peut donc affirmer que, sans l’apport de ces professionnels, qui permettaient aux chiens d’être conformes à la réglementation pour la reproduction des chiens de race, le grand bond en avant que l’élevage des races d’utilité et défense a fait en Italie entre la fin des années soixante-dix et les années quatre-vingt, n’aurait pas été possible. Et ici permettez moi d’ouvrir une parenthèse pour rendre hommage à ces véritables pionniers de la profession qui sont partis en Allemagne pour se former et apprendre les techniques, et qui par la suite, non seulement ont dressé et présenté des chiens de grande valeur, mais qui ont aussi formé une entière génération d’hommes assistants, lesquels, à leur tour, grâce aux techniques apprises et au travail précis et très méticuleux auquel ils avaient été formés par ces maîtres exigeants, ont pu officier dans des concours au plus haut niveau international, permettant ainsi à la cynophilie italienne d’utilité et défense de faire, en seulement 10 ans, un bond spectaculaire en avant et de se placer au premier rang dans cette discipline qu’est le IPO (RCI). Je ne ferai pas de noms. Il serait injuste pour ceux que j’aurais éventuellement oublié, mais sachez bien que si l’élevage des BA ou des Doberman ou encore des Boxers, à partir des années quatre-vingt sont devenus une référence mondiale, juste après l’élevage Allemand, on le doit en grande partie au travail acharné de ces professionnels, qui ont permis aux meilleurs chiens tant sur le plan morphologique que sur celui du caractère, d’être conformes au règlement pour la reproduction et donc pour l’amélioration de la race. L’emploi de ces sujets d’exception a profité à tout le monde de l’élevage canin et l’a fait progresser dans son ensemble. Mais, en augmentant le nombre de chiots et donc des chiens à préparer, le nombre des dresseurs professionnels a lui aussi augmenté. Or, nous savons très bien que dans toute profession il y a les bons, les moyens et aussi carrément les mauvais. Si on ajoute à ça que chaque dresseur a vu grandir le nombre de chiens qui lui ont été confiés, par conséquence le temps qu’il pouvait dédier à chaque chien a diminué avec des retombés sur le résultat final. J’ajouterais que soit au niveau des professionnels du dressage que des juges on s’est trouvé en présence d’une certaine dérive, parce que s’il y a les bons, les moyens et les mauvais chez les premiers, il y a aussi les mêmes catégories chez les autres. Mais encore une fois il ne faut pas se tromper de cible : tout ça n’est pas la faute du dresseur professionnel ! Il ne fait que travailler avec ce que l’élevage canin lui propose, et, permettez moi d’insister, si le nombre des professionnels a augmenté, c’est que la quantité de chiens produits par les éleveurs a augmenté, afin de chercher à obtenir le « CHAMPION ». Mais enfin, en considérant le coté positif des dresseurs et des juges, je vais essayer de vous expliquer ce qui s’est passé et que sûrement continuera à se passer dans les épreuves de travail, sans pour autant que la valeur de celles ci en soit diminuée. Réfléchissons sur le fait qu’un chien ne peut rester chez le dresseur plus de trois voire quatre mois, et que le règlement de l’IPO est celle en vigueur actuellement. Nous ne pouvons donc pas penser que en seulement quatre mois, un dresseur qui pour survivre et pour payer les frais de sa structure doit travailler au maximum de ses capacités, puisse accepter de préparer plus de cinq ou six chiens à la fois. Ceci dit, considérons aussi que, pour préparer cinq ou six chiens dans un délai si court, le dresseur ne pourra pas peaufiner toute la multitude de détails dans l’exécution des exercices, qui sont ce qui fait justement la différence dans le classement des épreuves, chose que par contre le propriétaire amateur de sport canin, qui a un seul chien peut et doit faire pour bien présenter son chien dans un concours d’IPO. Donc, mon avis est que le critère qui doit guider le dresseur professionnel est celui de montrer pendant le concours que le chien qu’il présente est bien sous contrôle, qu’il a travaillé et qu’il a bien assimilé les exercices basilaires du programme. Mais, bien sur nous ne pourrons pas affirmer que ce chien est bien dressé, parce que en réalité il est simplement très sérieusement conditionné et il aura besoin, le jour du concours, d’une main expérimentée, pour le conduire et pour lui permettre de mettre en valeur les qualités de son caractère : c’est à dire d’être sans doute sous contrôle, avec un bon équilibre, d’être stable nerveusement, de savoir suivre une piste avec le nez bien au sol, de savoir rapporter un objet, de venir au rappel, d’être sociable, et de savoir, bien entendu, défendre et retourner au calme. Tout ça, comme je viens de le dire n’est pas un dressage en profondeur, vu que le temps est limité, mais tout simplement une démonstration des qualités naturelles du chien, qui, le jour du concours, sont exhibées et contrôlées par la conduite savante d’une main expérimentée. De son coté le juge doit avoir la capacité de comprendre qu’il se trouve face à un sujet qui a été préparé en trois ou quatre mois seulement, et il doit donc en saisir les qualités et non le degré de dressage. Il doit juger de l’équilibre, de la non dangerosité, de la sociabilité, du fait qu’il est bien sous contrôle, et en plus, puisque il s’agit d’un chien de défense, de son aptitude à défendre et de sa capacité, ensuite de revenir au calme. Tout ça, bien entendu, dans le plein respect du règlement, vu que c’est le propre d’un juge de respecter le règlement de sa discipline, et pour ce faire il faut que celui qui présente le chien soit très sensible à cet aspect, pour aider le juge à l’aider, vu que dans les règlement il y a des parties qui sont strictement établies et d’autres qui sont plus à la discrétion du juge, qui peut, s’il le veut bien, entrer moins dans les détails tout en restant dans le règlement.Il me semble donc excessif de voir qu’il y a des gens qui crient au scandale quand on voit des professionnels en train de présenter des chiens qui sont un peu aidés, dans le sens que le juge leurs permet quelque rappel de plus qu’aux autres, et que les chiens ne sont pas très brillants dans l’exécution des exercices, mais qui sont quand même toujours sous contrôle et qui exécutent tout le programme. Ce sont les possibilités qu’ils ont en trois ou quatre mois de travail. N’oublions pas que le chien classique qui est bien préparé par son maître doit travailler au moins six, sept mois, et parfois au moins un an avant de se présenter en concours. Rendons nous compte comment ça soit impossible pour un dresseur professionnel qui doit vivre de son travail, et aussi pour un éleveur qui doit s’occuper de la carrière de plusieurs sujets de son élevage.Voilà mon point de vue sur cet argument, je pense que maintenant il soit clair pour tout le monde, et même pour ceux qui ne le partagent pas, je suis convaincu qu’au moins ils connaissent maintenant les raisons de ce qui se passe pendant les concours. Toutefois je tiens à souligner que le chien présenté par le dresseur professionnel doit montrer en concours d’avoir les qualités pour remporter l’épreuve. Et je veux aussi souligner encore que c’est grâce au travail des dresseurs professionnels que le niveau de beauté des chien de race s’est tellement amélioré dans les trente dernières années, parce que c’est grâce à eux que les meilleurs étalons et les meilleures lices ont pu avoir les test qui leurs ont permis de reproduire et d’améliorer ainsi la race. Je pense aussi que tout ce que je viens de dire sur le parcours qui a donné naissance à la figure du dresseur professionnel pour les chiens d’utilité et de défense, et l’apport bénéfique que cette figure a eu pour l’élevage dans son ensemble, soit encore valable aujourd’hui. Pour des raisons différentes, bien entendu, vu qu’il n’y a plus le petit nombre de grands éleveurs qui faisaient beaucoup de portées dans l’année dans l’espoir de voir sortir le chien exceptionnel, mais aujourd’hui, même les petits éleveurs qui ont un nombre réduit de portées par an, mais qui travaillent d’une manière bien plus scientifique et ciblée qu’autrefois, afin d’obtenir le grand chien, souvent n’ont pas la possibilité ou le temps pour travailler de façon correcte ce chien, vu que encore aujourd’hui n’existe pas en Italie cette culture du club, comme en Allemagne. La on voit les familles qui se retrouvent au club pour dresser leurs chiens mais aussi pour passer des bons moments ensemble entre amis, en organisant des fêtes et des dîners, et dans cette ambiance joyeuse ils dressent leurs chiens. Le club n’est pas seulement un lieu de travail canin, mais aussi une occasion sociale importante dans la vie de tous les jours. Et à propos de ça je veux ajouter une mise à point pour les grands puristes pour qui il n’y a que les allemands qui sont sérieux : sachiez que en Allemagne les chiens ont le droit de passer leur premier brevet, et puis le deuxième et puis encore le troisième sur leur terrain d’entraînement, avec leur H.A., et donc toute cette exaltation sur le sérieux des allemands ne répond pas vraiment à la vérité ; essayez seulement d’imaginer que votre chien fasse ses différents niveaux de concours sur son terrain et /ou sur le terrain à coté,car souvent on a des terrain de diffèrent club de races séparés par un simple grillage, et avec son H.A., et tirez vous mêmes les conclusions. Voilà donc pourquoi encore aujourd’hui le rôle du dresseur professionnel est d’une extrême importance pour l’élevage des races d’utilité et défense. Et en plus, n’oubliez pas s’il vous plait, que ce même dresseur professionnel, qui s’occupe des chiens de « beauté », est souvent le même homme qui dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, représentait l’Italie dans les Championnats du monde de travail canin des races d’U.D., et pas seulement en tant que conducteur mais aussi en tant que préparateur de certains chiens que des conducteurs chevronnés, membres des clubs canins, voulaient faire participer. Et c’est encore à lui qu’ils s’adressent tous ceux qui veulent devenir H.A. ou dresseurs, à démonstration de la présence d’une vraie école. Cet autre aspect du travail du dresseur professionnel vient du fait que, justement puisque il exerce une profession libérale dans un marché, il doit toujours garantir un produit de grande qualité, produit qui est constitué par son travail et par son savoir, et il doit donc toujours s’améliorer pour être parmi les plus recherchés du marché. Et c’est donc toujours lui, qui présente le chien de « beauté », mais qui se renseigne sur les nouvelles techniques, qui découvre des nouvelles méthodes, etc., pour pouvoir ainsi répondre aux besoins des gens qui s’adressent à lui, du simple particulier qui veut éduquer son chien, au concourant qui doit se préparer pour un Championnat du monde de dressage. Il s’agit donc d’une figure qui a eu et qui a toujours beaucoup d’importance dans le panorama de la cynophilie, et qui, donc, doit être respectée. Un grand merci à mon ami PIERO SACCHI pour l’aide à la traduction de cet article Voilà... J'espère, Jinger, que vos neurones n'ont pas été mis à trop rude épreuve....
  10. une simple question ??? Perso, je crois tout simplement que vous cherchez à dévaloriser un IPO passé à l'étranger... Cette question dans le sens " Pourquoi un IPO en Italie, pourquoi ne venez vous pas vous mesurer aux chiens Français, pour voir ce que vaut vraiment votre chien ?" Me trompe-je ??? Merci de me confirmer ce que tout le monde sait . Un forum de discussion sur le net ne sert il pas à dire ce que l'on pense ??? Certaines personnes diront encore que je donne des leçons "à la planète Boxer Française"... Mais ou ira-t'on avec de telles mentalités au sein de notre club de race??? Vivement la réunion de la C.U...
  11. Mais... Ne faites vous pas encore une fois, partie de la C.U de notre club ? Alors soumettez donc encore une fois cette idée...
  12. Il y a un règlement de la FCI pour l'accès a la classe travail dans les expos de beauté pour les chiens d'utilité. Visiblement, le fait qu'un chien "de beauté" puisse accéder à la classe "travail" vous reste en travers de la gorge... Ou alors me trompe-je encore... A ce moment là, pourquoi ne pas faire un courrier, voire une pétition et l'envoyer à la FCI pour faire changer le règlement ??? ou modifier l'appellation de cette classe par "classe divertissement"... Pour justifier d'une classe travail, pourquoi ne pas proposer qu'un chien ai passé un certain nombre de concours dans l'année avec un certain pointage moyen... Ou demander l'obtention d'un RCI / IPO / SCH 3 etc... Ne plus demander un titre de travail pour homologuer un titre de Ch.IB... Ou tout simplement interdire les expositons de beauté aux chiens d'utilité...
  13. Le sujet ayant bien débordé et moulte précisions ayant été apportées, entre autres sur ces épreuves pour l'accès à la classe travail, j'espère que maintenant les choses sont claires pour tous ceux qui se posaient des questions.... Quant à ceux que cela dérange...
  14. Je suis content de voir que de + en + de personnes comprennent qu'on passe des IPO à l'étranger (et pas forcemment en Italie) pour acceder à la classe travail pour des chiens "de beauté"qui ne reverront pas forcement un terrain de travail. (Ce qui ne veux pas dire que ce sont des RCI "ras des paquerettes"...) nous sommes bien d'accord. Alors par pitié, arretons de nous embourber dans des discussions stériles ! Chacun voit midi à sa porte et tant pis pour ceux qui sont trop cons pour comprendre cette démarche...
  15. Et puis tant qu'a être hors sujet... Alors moi j'aurais une autre question hors sujet pour Jinger: Pourquoi un championnat de travail à Beauvais alors qu'il était prévu à Thionville si je ne m'abuse ??? Pas de terrains de piste pour le 26/10, c'est ça ??? Mais des terrains de piste pour pour le CACIT des 8 et 9/11 ...
  16. Merci Laurent. Enfin quelqu'un d'intelligent qui comprend le discours de l'accès à la classe travail pour les chiens de beauté... Ce n'est pas le cas de tout le monde, car encore une fois cette question est revenue sur le tapis...
  17. I.P.O 1 Le 07/12/08 à Candiolo (TO) Italie: A: 91 B: 86 C: 86 I.P.O 2 Le 03/10/09 à Chiaravalle (AN) Italie: A: 80 B: 74: C: 88 I.P.O 3 Le 12/04/10 à Breganze (Vi) Italie: A: 91 B: 83 C: 89
  18. I.P.O 1 aujourd'hui pour Barracuda à Candiolo (TO) Italie. A: 91 B: 86 C: 86 Quelques "fantaisies" du chien en obé et défense mon couté cher... 2° sur 7 Et des malinois derrière... Mais tous de bons chiens
  19. Allons, nous ne sommes pas là pour polémiquer... Ni pour un autre d'ailleurs... Blague à part, nous sommes en train de voir les modalités et le tarif de ce stage, et tout vous sera communiqué en temps et en heure avec la feuiile d'engagement...
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