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RAF-nacannonce

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  1. Le couple de Boa constrictor imperator "albinos" La femelle Le male
  2. Voilà la suite des accouplement c'est chaud !!! Orthriophis Taeniurus Friesei couple #1 Orthriophis Taeniurus Friesei couple #2
  3. http://video.google.fr/videoplay?docid=358043754499585106&q=snake
  4. Voilà les premiers accouplements en avant première Le premier couple d' Orthriophis taeniurus friesei c'est mis en route. Au tours des Orthriophis taeniurus Ridleyi Photo du jours
  5. Les Asiatiques Varanus auffenbergi Varanus beccarii Varanus bengalensis Varanus boehmei Varanus bogerti Varanus caerulivirens Varanus cerambonensis Varanus doreanus Varanus dumerili Varanus finschi Varanus flavescens Varanus indicus Varanus jobiensis Varanus juxtindicus Varanus komodoensis Varanus kordensis Varanus mabitang Varanus macraei Varanus melinus Varanus olivaceus Varanus panoptes Varanus prasinus Varanus rudicollis Varanus salvadorii Varanus salvator Varanus similis Varanus spinulosus Varanus telenesetes Varanus timorensis Varanus yuwonoi
  6. Tout est dans le titre je cherche à acheter de la vermiculite en quantité plus ou moins grosse à un prix raisonnable est-ce que quelqu'un aurait une adresse ? D'avance merci Askook tu m'avait parler d'un endroit mais j'ai tout oublier
  7. Voila pour Zed qui m'en a fait la demande Pantherophis guttatus "albinos motley" Le male La femelle
  8. Salut, Je suis en train de faire un incubateur dans un refrigerateur j'aurait besoin de conseil. En dessous des grilles j'ai fait passé mon cable chauffant. Je cherche a savoir combien et ou mettre mais aerations et pareil pour la ventilation. D'avance merci Raf
  9. Bogetrophis subocularis – La couleuvre du Trans-Pecos Photo lien : http://www.kingsnake.com/ratsnake/trans.htm Par Philippe MOSBACH (président du RTC). Anciennement nommée Elaphe subocularis, on trouve deux sous-espèces de B. subocularis. La sous-espèce nominative : B. subociularis subocularis BROWN 1901 et B. subocularis amplinotus WEBB 1990. La taille moyenne oscille entre 120 et 150 cm avec des records notés à 167 cm. Il existe plusieurs phases différentes en coloration la phase normale étant la plus colorée. Les autres couleurs (phase « blonde ») constitue également de belles colorations, il existe d’autres phases dont l’albinos. Pour le moment j’ai réussi a me procurer quatre phases différentes que j’ai eu énormément de mal à trouver. La coloration typique est gris-bleu assez clair. Le dos est parsemé d’une quarantaine de motifs brun clairs à foncés formants tantôt des carrés qui deviennent au niveau de la queue des taches, tantôt des H dirigés vers l’arrière, tantôt des carrés plus arrondis formant presque des ovales. Les contours des motifs peuvent être nets et géométriques ou plus irréguliers. Au niveau de la nuque les motifs ont tendance à se joindre en deux lignes de part et d’autre de la colonne vertébrale. La tête elle est non marquée de motifs. Les deux sous espèces se distinguent principalement par le comptage de l’écaillure : B. subocularis subocularis : Ventrales : 260 à 279 écailles. Sous-caudales : 65 à 81 écailles. Rangées de dorsales au milieu du corps : 31 à 35. B. subocularis amplinotus : Ventrales : 268 à 282 écailles. Sous-caudales : 73 à 78 écailles. Rangées d’écailles dorsales au milieu du corps : 33 à 36. Originaire du nord du Mexique et du sud des Etats-Unis. Sa répartition nord comprend la région frontalière entre le Texas et le Méxique ainsi que le Nouveau Mexique (USA). On la rencontre dans les régions de Chihuahua et Coahuila, poussant jusqu’à Torreon au sud. La phase blonde est surtout répartie dans le bas Pecos (Monts Franklin) et la région de Lajitas au Texas où les premiers sujets furent récoltés en 1977. B. subocularuis amplinotus est inféodée à la région de Durango, plus au sud que B. s. subocularis. Leur biotope est semi désertique, température de 28° à 31° la journée est de 22° à 25° la nuit. Vous pouvez, en décor, utiliser soit de la sciure dépoussiérée ou bien de la litière végétale : les deux conviennent. Comme cachette prendre un pot de fleur troué, un petit bac à eau et, en plante, un petit cactus (ou autre genre) en plastique de préférence (par mesure d’hygiène). On la nourrit de souris dont la taille dépend de celle du serpent. Elle s’adapte vite au mort. Pour ce qui est de la reproduction il faut les faire hiberner comme toute les « Elaphe » de novembre à fin janvier. Je pense qu’il est préférable de les faire hiberner à une température de 15°C est non 10°C comme la plupart des Elaphe. Le reste du cycle se passe normalement c'est-à-dire 45 à 50 jours pour la ponte est 55 à 65 jours pour l’éclosion. Ne pouvant affirmer les jours exactes puisque à l’heure actuelle je n’ai pas encore réussi à les reproduire puisque la plupart de mes spécimens ne sont pas encore matures sexuellement. Source: reptoterraclub
  10. bb pogo c'est tout mimi
  11. voici une video montrant un spectacle avec un croco qui a mal tourné attention ces images peuvent choquer ame sensible s'abstenir https://www.dailymotion.com/visited/search/crocodile/video/xbi0p_alli
  12. RAF-nacannonce

    Divers serpent

    http://video.google.fr/videoplay?docid=-5592138462385134900&q=boas http://video.google.fr/videoplay?docid=-8336454053808589806&q=SERPENT http://video.google.fr/videoplay?docid=4604251628676544018&q=SERPENT http://video.google.fr/videoplay?docid=2808471036468762991&q=SERPENT
  13. tortue M.T http://video.google.fr/videoplay?docid=6985789872749434754&q=alligator
  14. RAF-nacannonce

    Repas cameleon

    cameleon http://video.google.fr/videoplay?docid=-2642875447460785600&q=cameleon
  15. caiman http://video.google.fr/videoplay?docid=-1324030477339749652&q=caiman http://video.google.fr/videoplay?docid=1254132578432718079&q=caiman alligator http://video.google.fr/videoplay?docid=-4810200917390923623&q=alligator
  16. RAF-nacannonce

    EUNECTES MURINUS

    EUNECTES MURINUS http://video.google.fr/videoplay?docid=-1064144807826676763&q=eunectes
  17. Le F dans F1 signifie génération filiale. La génération filiale est toujours en rapport avec les parents, pas l’origine sauvage. cela sert à compter les générations reliées. Par exemple j’ai un couple de bcc surinam de souche pures qui me donnent une progéniture : mes F1. Je croise les F1 ensemble, ça me donne des f2, la deuxième génération filiale. si parallelement a cela un autre éleveur fait la meme chose que moi et si je prends mes F1 et les croise avec ses F1, nous auron des F1 : la première génération filiale de cette nouvelle lignée. La génération parentale est appelée Génération P, et ses petits, la génération filiale.
  18. Hydrosaurus weberi Hydrosaurus weberi est originaire d’Indonésie. Nous ne connaissons malheureusement pas la localité exacte d’où proviennent nos reproducteurs. C’est le plus grand représentant de la famille des agamidés, les mâles peuvent atteindre 120 cm. Ce lézard impressionnant par sa taille et son allure, possède, chez les mâles adultes, une crête sur la nuque, une sur le dos et une troisième haute crête soutenue par des vertèbres à la base de la queue. Autre caractéristique liée à ses mœurs aquatiques, les doigts de ses pattes postérieures sont « palmés ». Principalement insectivore quand il est jeune, il devient végétarien à l’âge adulte. Les animaux issus d’importation sont souvent très parasités et farouches, difficiles à acclimater. En revanche, les hydrosaures d’élevage sont très robustes et familiers. AMENAGEMENT DU TERRARIUM Les dimensions minimales pour garder correctement un couple d’Hydrosaurus adultes sont 2 m x 1 m x 2 m ; un vivarium mesurant 2,0 m x 2,0 m x 2,5 m serait toutefois préférable. Pour accueillir un couple d’hydrosaures, par exemple, j’ai fermé un coin de ma salle d’élevage avec des plaques de « placo » de manière à agencer une pièce de 3,0 m x 2,0 m x 2,3 m, dans laquelle on entre par une porte. Le carrelage, une haute plinthe et la peinture lavable sur les murs garantissent hygiène et étanchéité. Un grand bassin d’eau, qui ait au moins les dimensions de l’animal, est indispensable. Etant donné que Hydrosaurus défèque dans l’eau, le nettoyage sera quotidien, pour cela il est préférable d’équiper le bassin d’une bonde d’évacuation. Pour ma part, j’ai installé une baignoire reliée au tout-à-l'égout et qui est remplie par un tuyau raccordé au robinet. Des rondins sont vissés aux murs à une distance de 30 cm environ des tubes néon (type Reptisun) fixés au plafond : l’animal, installé sur ces perchoirs, peut ainsi bénéficier du rayonnement UV. Une lampe à vapeur de mercure mixte (type Powersun) de 150 W est suspendue au-dessus de la baignoire. Quand le lézard se repose sur la grande écorce en chêne–liège qui de la baignoire atteint le plafond, il profite pleinement du rayonnement de la lampe, il se chauffe et absorbe en même temps les UVA et UVB, indispensables à une bonne absorption du calcium. D’autres branches et souches permettent à l’hydrosaure de monter jusqu’aux poutrelles qui traversent, en haut, son vivarium. La température dans le vivarium varie, au printemps et en été, entre 35 et 25° C ; en automne et en hiver, elle varie entre 28 et 18° C. La photopériode est de 14h en été et de 8h en hiver. Les changements dans la durée du jour sont programmés en ôtant ou en ajoutant une demi heure de lumière par semaine. Je pense que ces changements favorisent la reproduction. De fait, les accouplements en captivité, à ces conditions, ont toujours lieu au printemps et en été. Un autre facteur qui marque la succession des saisons est l’hygrométrie. Au printemps–été je vaporise quotidiennement les animaux et le vivarium, tandis que le restant du temps l’hygrométrie est déterminée uniquement par la présence de la baignoire remplie d’eau. La boite de ponte est constituée par une bassine (45 x 35 x 25 cm) remplie de tourbe humide. Les plantes véritables sont à éviter car pour Hydrosaurus elles ne sont que des garde–manger. Les plantes en plastique ne sont pas une solution non plus, puisque les hydrosaures en mangent les feuilles sans difficulté et ils s’exposent ainsi aux dangers d’une occlusion intestinale. D’après mes observations, les hydrosaures passent le plus clair de leur temps en hauteur, sur les branches et poutrelles. Dès qu’ils se sont accoutumés à leur environnement, ces lézards assez paisibles et calmes ne craignent plus la présence du soigneur, ni d’éventuels "visiteurs". Toutefois, ils acceptent toujours mal les manipulations et, si on essaye de les toucher, ils réagissent souvent par la fuite ou par un coup de queue d’avertissement. Très territoriaux, deux mâles Hydrosaurus adultes ne peuvent cohabiter, l’agression est inévitable. En revanche, un mâle peut partager le vivarium avec plusieurs femelles (tout dépend naturellement des dimensions de la surface occupée), notamment si les animaux ont grandi ensemble ou s’ils ont été introduits au même moment dans leur nouveau territoire. ALIMENTATION Hydrosaurus juvénile, c’est–à–dire jusqu’à l’age d’un an environ, est presque exclusivement insectivore. Sa diète comprend grillons (Acheta domestica, Gryllus assimilis), blattes (Nauphoeta cinerea), criquets (Locusta migratoria, Shistocerca gregaria) de taille adaptée. De temps à autre, je donne aux juvéniles également des souriceaux, pinkies ou blanchons selon la taille du lézard, et des végétaux. Au fur et à mesure que l’animal grandit, il devient de plus en plus végétarien. A l’âge adulte, 95 % du régime alimentaire d’Hydrosaurus est composé de végétaux, à savoir : légumes (haricots verts, carottes, petits pois, tomates…), fruits (figues, pêches, abricots, mangues, raisins…) et feuilles (les salades qui ont un bon rapport calcium/phosphore (2/1), comme la romaine, la frisée, la mâche, le pissenlit…). Le restant 5 % est constitué par des blattes (Blaptica dubia, Nauphoeta cinerea, Blaberus atropos, Gromphadorrhina (blatte souffleuse de Madagascar), grillons (Gryllus bimaculatus), larves de Zoophobas morio, souris, cuisses de grenouilles que je propose aux hydrosaures une ou deux fois par mois. Si je nourris de cette manière mes lézards, c’est en raison d’observations accomplies au cours de 7 années d’élevage. Quand la nourriture animale était abondante, les pontes n’étaient pas viables, les œufs étaient déformés –peut être en raison de la masse trop importante des lobes de graisse dans la cavité abdominale– et ils moisissaient en quelques jours. De plus, certains signes d’obésité, comme la déformation de la crête dorsale, non plus droite mais ondulante, commençaient à se manifester. De ce fait, en connaissant les dangers d’une excessive accumulation de graisse chez les reptiles, j’ai changé le régime alimentaire de ces lézards et, depuis, non seulement ils sont en parfaite santé mais les pontes ont été toutes productives. Les proies, ainsi que les végétaux, sont saupoudrés de carbonate de calcium deux fois par semaine et de vitamines (Petphos croissance pour chiots mélangé avec Ocevital pour oiseaux) tous les 15 jours (une fois par semaine pour les juvéniles). REPRODUCTION Bien qu’on ne puisse pas parler d’hivernage pour cette espèce tropicale, je lui impose cependant un changement saisonnier par une modification dans la durée du jour. A partir de la mi–septembre, quand la photopériode est de 14h, je diminue progressivement d’une demi heure par semaine la photopériode, jusqu’à avoir des journées de 8h au début décembre. Cette condition dure un mois. Début janvier, les journées rallongent d’une demi heure par semaine jusqu’à avoir 11h30 de lumière à la fin février ; ensuite la photopériode est encore augmentée au début mars (12h), à la mi-mars (12h30), à la fin avril (13h), à la mi–juillet (13h30) et finalement au début août (14h). Pendant cette période hivernale, les températures demeurent relativement hautes : de 18 à 25° C. Pour ce faire, je remplace la lampe Powersun par une lampe à vapeur de mercure mixte de 250 W (type Osram), le rayonnement UV étant toujours assuré par les tubes néon. D’après mes observations, les accouplements commencent fin–janvier/février. La femelle peut pondre 4 à 5 fois par saison. La période de gestation est de 37–38 jours. Les œufs sont déposés dans un trou creusé jusqu’au fond du pondoir. Le nombre d’œufs n’est pas très important, de 4 à 8. Les œufs sont mis en incubation dans une boite, fermée par un couvercle troué, contenant 5 cm de tourbe humide et ils sont recouverts de tourbe. Cette boite est placée soit dans un incubateur à une température stable de 28° C (au début de saison), soit, dès que la température ambiante devient trop élevée (+ de 30° C), sur une étagère dans la pièce d’élevage. De cette manière, les œufs ne sont pas exposés à des valeurs trop hautes trop longtemps, puisque la nuit la température baisse (28° C environ). C’est pour cette raison que la durée d’incubation est plus longue en début de saison (86 à 90 jours) et plus courte en plein été (72–74 jours). Les nouveau–nés, assez craintifs, sont installés au calme, dans un terrarium mesurant 60 x 30 x 12 cm, avec beaucoup de branches, feuilles et cachettes. Un bassin d’eau relativement grand (50 x 20 x 30 cm) sera nettoyé quotidiennement. En grandissant, les juvéniles deviennent de moins en moins farouches, mangent à la main et, certains individus, grimpent sans problème sur l’épaule du soigneur. Cependant, j’évite toujours de les manipuler. En effet, un "stress" trop important peut provoquer un prolapsus ( descente d’organes) cloacal qui peut se solder avec la mort de l’animal. Chez les juvéniles il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Ce n’est qu’à partir de l’âge d’un an, voire deux ans, que la crête dorsale commence à se développer, en permettant ainsi de différencier les mâles et les femelles. Pour en savoir plus : BIBLIOGRAPHIE · BARTLETT R. D., BARTLETT P. P., 1997. Anoles, Basilisks, and Water Dragons. Barron’s Educational Series : 96 p. · BROGARD J., 1992. Les maladies des reptiles. Collection Médecine Vétérinaire : 320 p. · COBORN J., 1996. Water Dragons, Sailfins Lizards and Basilisks. TFH : 12–13. · DE VOSJOLI P., 1997. The lizards keepers handbook. Advanced Vivarium Systems. 176 p. · GERARD P., 1997. L’élevage des lézards. Philippe Gérard Editions. 82 p. · GERARD P., 1998. L’élevage des agames aquatiques et des basilics. Philippe Gérard Editions. 66 p. · GERARD P., HUSSARD N., ROSSELLE S., SAVARIN P., SCHILLIGER L., 2003. Atlas de la terrariophilie. Les lézards. Animalia Editions Vol. 3 : 192 p. · MANTHEY U., SCHUSTER N., 1996. Agamid Lizards. TFH : 95-98. · MATTISON C., 1989. Lizards of the world. Blandford : 192 p. · MATZ G., VANDERHAEGE M., 1978. Guide du Terrarium. Delachaux et Niestle : 350 p. · OBST F. J., RICHTER K., JACOB U. 1988. Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium. TFH : 437. · ROGNER M., 1997. Lizards. Krieger Vol. 1: 160-163. · SCHILLIGER L., GERARD P., 1998. Allo, véto! Philippe Gérard Editions. 82 p. · SCHILLIGER L., 2004. Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Editions MED'COM : 224 p. · SPRACKLAND R. G. 1992. Giant Lizards. TFH : 177-180. · VISSER G., 1984. Husbandry and reproduction of the sail-tailed lizard, Hydrosaurus amboinensis (Schlosser, 1768) (Reptilia: Sauria: Agamidae) at Rotterdam zoo. Acta Zool. Path. Antverp. 78 : 129-148. · WERNING H., 2002. Wasseragamen und Segelechsen. Natur und Tier-Verlag - Münster : 126 p. Source : bebesaurus
  19. Corucia zebrata Corucia zebrata est originaire d’une aire très restreinte, les Iles Salomon, y compris Bougainville. Ce scinque arboricole géant peut atteindre la taille de 80 cm. C’est un lézard nocturne et végétarien dont les mœurs sont assez inusuelles. En effet, il est ovovivipare, les femelles gardent dans le corps leurs oeufs fécondés (un seul, en général, rarement deux) jusqu'à l’éclosion des jeunes. Les adultes et les juvéniles vivent "en famille" soudé. AMENAGEMENT DU TERRARIUM En raison du caractère arboricole de ces lézards, un terrarium adapté aura une hauteur importante : par exemple, pour maintenir un couple, il mesurera 150 x 80 x 200 cm minimum. Il sera aménagé avec beaucoup de branches et des écorces entières de chêne–liège, dans lesquelles le lézard peut se cacher tout en demeurant en hauteur. Le sol des mes terrariums est revêtu de linoléum, plus facile à nettoyer étant donné que Corucia défèque, en général, à même le sol. Une lampe à vapeur de mercure mixte de 100W (type Powersun) fournit aux Corucia zebrata les UVA et UVB dont ils ont besoin, ainsi que luminosité et chaleur. Les branches et écorces seront placés de manière à permettre aux animaux de se rapprocher de la source lumineuse sans pouvoir l’atteindre, pour éviter les brûlures. En effet, même s’il s’agit d’un lézard crépusculaire et nocturne, Corucia zebrata sort de temps en temps la journée et s’installe sous la lampe, pour se chauffer et absorber les rayons ultraviolets. Ce sont surtout les femelles "gestantes" qui ont ce comportement. La température varie entre 32° C au point chaud et 25–28° C au point frais. En hiver, elle peut descendre jusqu’à 20° C. Pour éviter des températures inférieures, je fais tourner un chauffage de salle de bain de 2000W, avec thermostat. En effet, le terrarium dans lequel je maintiens mes Corucia zebrata est assez grand, 350 x 60 x 200 cm, et il est séparé en 3 parties par 2 cadres grillagés amovibles. La cohabitation de plusieurs individus étant souvent problématique, cet aménagement permet de garder séparés les individus incompatibles, tout en leur permettant de se voir. On peut ainsi étudier l'évolution de leur comportement et, éventuellement, réunifier les groupes ou en former de nouveaux. Grâce à cette méthode, j'ai pu former 2 couples qui s'entendent bien, et qui se sont reproduits. Au jour d’aujourd’hui, un couple partage son territoire avec trois de ses jeunes (âgés de trois ans, deux ans et un an), tandis que l’autre couple cohabite avec un jeune de deux ans. Le troisième groupe est composé d'un adulte non sexé, et d'un juvénile (4 ans environ) non sexé. Naturellement, chaque groupe possède une lampe à vapeur de mercure mixte, alors que le chauffage est unique, étant donné que les trois terrariums sont séparés par un grillage. Une bassine d’eau de 50 x 30 x 20 cm est placée à terre, les animaux s’y baignent parfois, notamment quand ils muent. Etant donné la zone de répartition du scinque à queue préhensile des Iles Salomon (écosystème tropical), des vaporisations régulières sont nécessaires afin de maintenir un taux d’humidité élevé, entre 60 et 80%. Je vaporise donc les terrariums quotidiennement en hiver et au printemps, tandis que le reste de l’année les vaporisations seront plus espacées. Ceci me permet d’établir aussi un certain rythme saisonnier, la photopériode étant constante tout au long de l’année, 12 heures de lumière par jour. La coupelle de nourriture est installée en hauteur, dans un plateau fixé sur les branches. D’après mes observations, les accouplements se passent à terre ; toutefois, les naissances ont lieu en hauteur, dans ou sur les écorces. ALIMENTATION Corucia zebrata est un lézard exclusivement végétarien. Son régime alimentaire sera constitué de salades ayant un bon rapport phospho–calcique (romaine, frisée, endives, chicorée, scarole, mâche, cresson, pissenlit, trèfle, luzerne, fanes de carottes, de navets et de radis etc.), de feuilles (mûrier–platane, pothos, faux acacia (robinier), lierre terrestre (Glechoma hederacea), grand plantain (Plantago major), Malva silvestris etc.), mélangés avec des légumes (haricots verts, courgettes, carottes, tomates etc.) et des fruits (pêches, abricots, cerises, fraises, oranges, clémentines, bananes etc.). Les aliments proposés varient selon les disponibilités saisonnières. La prise de nourriture s’effectue un jour sur deux, pour les adultes et les juvéniles. Deux fois par semaine (trois fois quand la femelle est gravide) j’ajoute aux aliments du carbonate de calcium. Une fois tous les quinze jours j’ajoute aussi des vitamines (un mélange de "Petphos croissance" (complément vitaminique pour chiots) et de vitamines pour oiseaux (Ocevital). REPRODUCTION La reproduction de Corucia zebrata est particulière en raison de sa spécificité de lézard ovovivipare. Chez les couples que je maintiens, aux conditions susmentionnées –notamment en ce qui concerne les vaporisations et la baisse hivernale de température–, les accouplements ont toujours eu lieu au printemps, de fin février à début mai. Après 6 à 8 mois de gestation, le jeune sort, formé, directement du ventre de la mère. Il est assez grand, 14 cm de longueur museau–cloaque et 31 cm de longueur totale, pour une masse corporelle de 60 g. Presque aussitôt, le nouveau–né avale son vitellus. Le premier jour, la mère l’ignore mais, à partir du deuxième jour, elle le défend farouchement contre tout danger potentiel, en premier lieu contre le soigneur. Souvent, je me suis rendu compte que la naissance avait eu lieu en observant le changement radical dans l’attitude de la femelle qui m’agressait la bouche grande ouverte dès que j’ouvrais le terrarium, ou même au–delà des vitres. Ce comportement dure environ six mois. Pendant cette période, la femelle suit presque toujours son petit, parfois elle le pousse à l’intérieur de l’écorce ou, par des légères morsures, l’incite à ne pas s’éloigner. Si le cas le plus fréquent est celui d’un seul bébé par femelle, il arrive que celle–ci donne naissance à des jumeaux. Les naissances peuvent avoir lieu tous les ans –comme c’est le cas d’une des femelles Corucia zebrata que je maintiens– ou se manifester avec moins de régularité –comme c’est le cas de l’autre femelle. Je pense que l’âge de l’animal, son état de santé et l’alimentation sont les facteurs qui ont une incidence dans la fréquence des naissances. En effet, la femelle nécessite d’une grande quantité d’énergie pour porter à terme la gestation. Corucia zebrata est un lézard très territorial. Son agressivité contre les congénères qui pénètrent dans son territoire est souvent meurtrière. D’une manière générale, deux mâles adultes ne peuvent cohabiter, mais il se peut qu’une femelle nouvellement introduite dans le terrarium soit agressée et blessée par les autres Corucia. Les morsures qu’ils s’infligent sont très dangereuses, un doigt, un bout de queue peuvent être sectionnés nets, une morsure au ventre peut s'avérer fatale. Cependant, cette territorialité se manifeste contre ceux qui sont externes au groupe. Par exemple, fait assez inusuel chez les reptiles, les jeunes sont reconnus et acceptés par les parents. La meilleure manière de constituer un groupe est donc, à mon avis, de commencer par installer un couple et ensuite garder, avec les parents, les jeunes nés de ce couple. Toutefois, il est nécessaire de tenir compte de la taille du terrarium, qui doit pouvoir "grandir" avec l'élargissement du groupe. Dans un terrarium 150 x 80 x 200 on ne devrait pas garder plus de trois, quatre individus maximum. A chaque nouvelle naissance, le plus âgé parmi les juvéniles doit être séparé. Corucia zebrata est un lézard gravement menacé d’extinction à cause de la disparition de son biotope (déforestation). Il est désormais interdit d’importation et il est devenu très rare en captivité. Pour ces raisons, sa détention doit être réservée aux éleveurs expérimentés qui visent sa reproduction en captivité. Pour en savoir plus : BIBLIOGRAPHIE · BROGARD J., 1992. Les maladies des reptiles. Collection Médecine Vétérinaire : 320 p. · COBORN J., 1996. Prehensile–tailed skinks. TFH : 63 p. · DEVARE A. J. W., 1998. Some observations on behaviour, breeding and care of captive prehensile–tailed skinks, Corucia zebrata (part I). Reptilia 4 : 61–68. · DEVARE A. J. W., 1998. History and behaviour, breeding of captive prehensile–tailed skinks, Corucia zebrata (part II). Reptilia 5 : 58-65. · DEVARE A. J. W., 1999. History and behaviour, breeding of captive prehensile–tailed skinks, Corucia zebrata (part III). Reptilia 6 : 60–63. · DEVARE A. J. W., 1999. History and behaviour, breeding of captive prehensile–tailed skinks, Corucia zebrata (part IV). Reptilia 7 : 62–65. · DEVARE A. J. W., 1999. History and behaviour, breeding of captive prehensile–tailed skinks, Corucia zebrata (part V). Reptilia 8 : 53-57. · DE VOSJOLI P., 1993. The general care and maintenance of prehensile–tailed skinks. Advanced Vivarium Systems. 56 p. · DE VOSJOLI P., 1997. The lizards keepers handbook. Advanced Vivarium Systems. 176 p. · GERARD P., 1997. L’élevage des lézards. Philippe Gérard Editions. 82 p. · GERARD P., HUSSARD N., ROSSELLE S., SAVARIN P., SCHILLIGER L., 2003. Atlas de la terrariophilie. Les lézards. Animalia Editions Vol. 3 : 192 p. · MATTISON C., 1989. Lizards of the world. Blandford : 192 p. · MATZ G., VANDERHAEGE M., 1978. Guide du Terrarium. Delachaux et Niestle : 350 p. · OBST F. J., RICHTER K., JACOB U. 1988. Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium. TFH : 232–233. · ROGNER M., 1997. Lizards. Krieger Vol. 2: 170–171. · SCHILLIGER L., GERARD P., 1998. Allo, véto! Philippe Gérard Editions. 82 p. · SCHILLIGER L., 2004. Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Editions MED’COM : 224 p. · SPRACKLAND R. G. 1992. Giant Lizards. TFH : 195–197. Source : bebesaurus
  20. Chlamydosaurus kingii Chlamydosaurus kingii est originaire du Sud d’Irian Jaya et de la Nouvelle–Guinée. Il se maintient différemment des Chlamydosaurus provenant des régions plus sèches d’Australie. Le « lézard à collerette » est un grand agamidé qui atteint la taille respectable de 80–90 cm pour les mâles et 60 cm environ pour les femelles. En captivité –quand il est dans son terrarium– Chlamydosaurus kingii est un lézard calme, qui reste paisiblement perché sur les branches. D’une manière générale, il peut devenir assez familier, notamment s’il est né en captivité, il accepte facilement la nourriture à la main mais il n’apprécie pas trop les manipulations. AMENAGEMENT DU TERRARIUM Deux mâles Chlamydosaurus kingii ne peuvent cohabiter. En revanche, un mâle peut partager le territoire avec une ou plusieurs femelles, selon les dimensions du terrarium. A ma connaissance, les femelles ne sont pas agressives entre elles. Pour maintenir le lézard à collerette, il est nécessaire de prévoir un assez grand terrarium, ou un vivarium, dont la taille minimale devrait être, à mon avis, 1 x 1 x 2 m. Les dimensions du vivarium dans lequel je garde un mâle et trois femelles, sont : 2,0 x 1,0 x 2,3 m. En tout état de cause, la hauteur doit être privilégiée, puisqu’il s’agit d’un lézard essentiellement arboricole. Pour la même raison, le terrarium sera aménagé avec des branches et/ou des rondins, placés horizontalement en hauteur et verticalement, comme des troncs d’arbre. La plupart du temps, le lézard à collerette reste ainsi accroché sur les branches verticales. Une lampe à vapeur de mercure mixte (type Powersun) suspendue au plafond apporte aux animaux la chaleur, les UVA et UVB. J’aménage ainsi un gradient thermique entre le haut et le bas du terrarium. En dehors de la période hivernale, la température varie entre 35° C au point le plus chaud et 28° C au point le plus frais ; la nuit elle descend autour de 22–25° C environ. Deux tubes néon qui émettent des UVA et UVB (type Zoomed Reptisun 5.0 ) sont également fixés au plafond. Ils produisent une luminosité supplémentaire, ainsi que le rayonnement ultraviolet dont profitent les lézards qui s’arrêtent sur les branches (couvertes d’écorces de chêne–liège) placées 30 cm en dessous des néons. Sur le fond du terrarium le substrat est constitué d’un tapis de linoléum, plus facile à nettoyer, donc plus hygiénique. Un bac d’eau de volume suffisant pour que les lézards puissent s’y baigner entièrement (45 x 35 x 15 cm) est le seul objet présent sur le sol. Les lézards peuvent ainsi évoluer aisément, s’adonner aux parades nuptiales et aux accouplements. L’eau doit être changée quotidiennement, étant donné que Chlamydosaurus kingii a l’habitude de déféquer dans l’eau. Eventuellement, l’installation d’une bonde d’évacuation facilite cette opération. Quand la saison des accouplements commence, j’ajoute une boite de ponte constituée d’une simple bassine (45 x 35 x 25 cm) remplie de tourbe humide et partiellement cachée par des plantes en plastique. ALIMENTATION Chlamydosaurus kingii est exclusivement insectivore. En captivité, les adultes seront nourris en premier lieu avec des insectes comme : grillons (Acheta domestica, Gryllus bimaculatus, Gryllus assimilis), blattes (Blaptica dubia, Blaberus atropos, Gromphadorrhina (blatte souffleuse de Madagascar), Nauphoeta cinerea), criquets (Locusta migratoria, Shistocerca gregaria), larves de Zoophobas morio, vers de farine (en quantité limitée). Alternativement, je leur propose également : souriceaux (pinkies ou blanchons) et cuisses de grenouilles. Aux juvéniles jusqu’à 40 cm je donne uniquement des insectes, grillons et blattes, de taille adaptée ; en revanche, les larves de Zoophobas morio et les vers de farine sont à proscrire, car la grande quantité de chitine contenue dans ces larves peut provoquer une occlusion intestinale ou un prolapsus (descente d’organes) cloacal qui peut se solder avec la mort du jeune animal. Aux juvéniles de taille supérieure à 40 cm je propose également des souriceaux, pinkies ou blanchons. Les proies sont saupoudrées avec du carbonate de calcium à chaque fois qu’elles sont distribuées. Une fois tous les 15 jours pour les adultes, une fois par semaine pour les juvéniles, j’ajoute également des vitamines (Petphos croissance pour chiots mélangé avec Ocevital pour oiseaux). Le lézard à collerette est un animal plutôt indolent, en dehors de la période d’accouplement il ne bouge pas beaucoup et passe ses journées accroché ou perché sur les branches. Pour cela il risque facilement l’obésité, avec toutes les pathologies qui y sont liées. Ainsi, je distribue les repas aux adultes trois, voire deux, fois par semaine environ, selon la saison : plus souvent au printemps, moins en été et en automne, pas du tout en hiver. En revanche, les juvéniles mangent tous les jours. REPRODUCTION EN CAPTIVITE En captivité, la femelle Chlamydosaurus kingii peut être sexuellement mature à l’âge de 18 mois. Pour déclencher les accouplements et les pontes, une alternance saisonnière est nécessaire. Dans cette intention, je baisse la photopériode d’une demi–heure par semaine à partir du mois de septembre, afin de descendre de 14 heures jusqu’à 8 heures de lumière à la fin novembre. A partir de janvier, la photopériode est de nouveau augmentée. En même temps, à la sortie de l’hiver je vaporise le vivarium deux fois par jour ; en été les vaporisations seront plus espacées, une fois par jour, voire tous les deux jours. En effet, le climat de Nouvelle–Guinée est moins sec que celui d’Australie. D’après mes observations, les pontes sont constituées de 5 à 8 œufs. Les œufs sont pondus dans un trou creusé par la femelle dans la boite de ponte, et aussitôt recouvert. Ils sont placés en incubation dans une boite profonde de dix centimètres, remplie à moitié de tourbe humide et fermée avec un couvercle troué. Cette boite est ensuite installée dans l’incubateur où la température est maintenue entre 26 et 28° C, l’hygrométrie étant de 100% environ. D’après mon expérience, et également celle d’autres éleveurs, il est indispensable que la température d’incubation ne dépasse pas les 28° C : en cas contraire, les jeunes Chlamydosaurus meurent avant l’éclosion. Quand la température ambiante est supérieure à cette valeur pendant la journée –par exemple en été–, je place la boite de ponte en dehors de l’incubateur, sur une étagère, de façon que du moins la nuit les œufs soient exposés à une température maximale de 28° C. La durée d’incubation est d’environ 90 jours. Les nouveau–nés ne sont pas très farouches, dans la mesure où leur moyen de défense est plutôt l’immobilité. Pour leur éviter au maximum le stress, je les installe dans un terrarium de 60 x 30 x 50 cm avec beaucoup de branches et plantes en plastique. Dans ce terrarium, un néon UV (type Reptisun) assure l’apport d’UVA et UVB et la luminosité nécessaire, tandis qu’un spot de 40W ou 60W, selon la saison, permet de maintenir la température sur les mêmes valeurs que celle des adultes. Dans le terrarium, un bac d’eau 10 x 10 x 5 cm permet aux nouveau–nés de se baigner, l’eau étant changée dès qu’elle est souillée. Des vaporisations journalières gardent une hygrométrie assez importante. Les jeunes Chlamydosaurus kingii peuvent être élevés ensemble. Pour en savoir plus : BIBLIOGRAPHIE · BROGARD J., 1992. Les maladies des reptiles. Collection Médecine Vétérinaire : 320 p. · COGGER H. G., 2000. Reptiles and Amphibians of Australia. New Holland Publishers. · DE VOSJOLI P., 1997. The lizards keepers handbook. Advanced Vivarium Systems. 176 p. · GERARD P., 1997. L’élevage des lézards. Philippe Gérard Editions. 82 p. · GERARD P., HUSSARD N., ROSSELLE S., SAVARIN P., SCHILLIGER L., 2003. Atlas de la terrariophilie. Les lézards. Animalia Editions Vol. 3 : 192 p. · GREER A. E., 1989. The Biology and Evolution of Australian Lizards. Surrey Beatty & Sons Pty Limited. · HAUSCHILD A., BOSCH H., 2000. Agames barbus et lézard à collerette. Matthias Schmidt Publications : 95 p. · HOSER R. T., 1989. Australian Reptiles & Frogs. Pierson & Co. · HUSSARD N., 2001. Le lézard à collerette. Reptil Mag 5 : 16-20. · MANTHEY U., SCHUSTER N., 1996. Agamid Lizards. TFH : 64–65. · MATTISON C., 1989. Lizards of the world. Blandford : 192 p. · MATZ G., VANDERHAEGE M., 1978. Guide du Terrarium. Delachaux et Niestle 350 p. · OBST F. J., RICHTER K., JACOB U., 1988. Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium. TFH : 190–191. · SCHILLIGER L., GERARD P., 1998. Allo, véto! Philippe Gérard Editions. 82 p. · SCHILLIGER L., 2004. Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Editions MED’COM : 224 p. · SPRACKLAND R. G. 1992. Giant Lizards. TFH : 174–175. · WEIGEL J. 1989. Care of australian Reptiles in captivity. Reptile Keepers Assoc. Source: bebesaurus
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