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RAF-nacannonce

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  1. Quelques définitions utiles: -COLORATION/LIVREE APOSEMATIQUE : Couleurs vives d'un animal signalant à d'éventuels prédateurs que l'animal en question est toxique ou qu'il est capable d'inoculer du venin,exemple:le Zygène (papillon de France),les dendrobatidés ,le serpent-corail (Micrurus sp.)... -MIMETISME BATESIEN : Une espèce prend les couleurs d'une espèce dangereuse tout en étant inoffensive :le genre de colubridé Lampropeltis sp. par rapport aux élapidés (famille du cobra) du genre Micrurus,qui sont originaires des mêmes lieux géographiques.C'est le cas aussi d'espèces qui ont des taches en forme d'oeil ,pour paraître plus grosses qu'elles ne sont (Phelsuma quadriocellata). -MIMETISME MULLERIEN: Au cours de l'évolution,des espèces non apparentées prennent des motifs / couleurs semblables pour signaler leur toxicité:le jaune et le noir des guêpes (Vespula sp. )et des salamandres communes (Salamandra salamandra) -COLORATION DISRUPTIVE: Motifs qui permettent un meilleur camouflage de la silhouette générale (les bandes noires chez Scincus scincus) -MIMETISME CRYPTIQUE OU ENVIRONNEMENTAL : Motifs et couleurs imitant ceux du biotope et permettant de passer inaperçu:la forme,les couleurs et motifs d'écorce de Phyllurus platurus,Uroplatus sikorae,Rhacodactylus Chaoua;le vert de la Rainette verte (Hyla arborea) -PHYTOMIMETISME : Faculté d'un animal de passer pour un élément végétal:une brindille,une branche,une feuille morte ou vivante :Uroplatus phantasticus (voir photo d'accueil du forum) qui va jusqu'à imiter les nervures des feuilles,les vaisseaux de sève,voire les bords dentés d'une feuille rongés par une chenille et les taches dûes à la décomposition),cette espèce est en outre capable de prendre une pose qui ,une fois immobile,fait passer ses membres pour des brindilles.Les phasmes et les phyllies sont également phytomimétiques.
  2. Les changements de couleur des caméléons Contrairement à l’idée populaire, ces changements de couleur n’ont pas un but de camouflage et ne visent pas à reproduire fidèlement le milieu environnant. Les incroyables facultés de camouflage qu’on lui attribue ne sont que des affabulations… Les changements de couleur sont le résultat d’impulsions nerveuses, liées à l'état psychique et physiologique de l’animal (repos, exploration, stress, peur, agressivité, excitation sexuelle, gravidité, présence d’autres caméléons, pathologies…mais aussi intensité lumineuse, température…) et interviennent fortement dans la communication de ces sauriens, une communication essentiellement visuelle. De même pour l’anolis qui lui aussi possède cette faculté, de moindre ampleur certes, mais surtout des céphalopodes qui peuvent arborer des couleurs bariolées mouvantes se changeant en un quart de seconde en coloration cryptique, et même transmettre deux informations distinctes en colorant différemment la parie droite et la partie gauche de son corps…. La peau des caméléons est constituée de nombreuses couches cellulaires : - L’épiderme : La couche la plus externe, transparente, kératinisée, elle contient des guanocytes (cellules riches en pigment : la guanine), qui prend une couleur jaune si l’animal s’expose sous une lumière intense, et bleu si l’animal se trouve dans un endroit peu éclairé. - Couche des iridocytes : Ces cellules contiennent un pigment, la purine, contrôlant l’intensité de lumière traversant ces cellules ainsi que les couches sous-jacentes, et pouvant en modifier la direction. - Derme : C’est la couche des chromatophores constituée des érythrophores (rouges) et des xanthophores (jaunes). Ce sont ces cellules principalement qui, en changeant de forme, exposent des quantités différentes de pigments, ce qui modifie la couleur et l'apparence de l'animal. - Strate de mélanophores : La couche la plus interne, constituée de mélanophores, contenant un pigment noir, la mélanine, et des extensions projetées vers les couches supérieures permettant de refléter vers le haut la lumière bleu. Ils sont responsables chez l’homme du bronzage, des tâches de rousseur. Coupe longitudinale de peau de lézard : http://www.cicrp.jussieu.fr/nivet/Teguments/Lezard/rep1.jpeg L’action du système nerveux autonome permet de contrôler l’expansion et l’épaisseur des prolongements des mélanophores vers les cellules érythrophores et xanthophores et les iridocytes, en interaction avec la quantité et la qualité de lumière provoquent les changements de couleur du caméléon. Ces changements de couleur sont donc un phénomène à la fois physique et chimique. Chaque cellule pigmentaire est un petit sac élastique rempli d’une substance colorée et auquel sont attachés sur toute sa circonférence de fines fibres musculaires. Quand ces fibres sont relâchées, les parois élastiques du sac le réduisent à un point, quand les fibres se contractent fortement, les parois sont repoussées, et le point est remplacé par une forme étoilée de couleur. C'est pourquoi la coloration cadavérique est claire, car les fibres sont relachées. Les chromatophores sont des cellules fonctionnant indépendamment et sont le plus souvent commandés par voie hormonale. Bien qu’elles soient indépendantes, elles se contractent ou s’étirent généralement en groupe. La fermeture et l’ouverture alternée des chromatophores engendrent la plupart des couleurs de la peau, avec des combinaisons différentes de foncé et de clair produisant pour l’œil humain de vraies nuances et des dessins variés. Les colorations les plus spectaculaires sont observées lors de la période de reproduction, il ne faut pas oublier que ce phénomène n’est pas une pure coquetterie et a pour but de communiquer, soit pour attirer les femelles, soit pour éloigner un concurrent. En général un caméléon stressé ou apeuré adopte une coloration noire ( ici, Chamaeleo chamaeleon, suite la manipulation, espéce strictement protégée) Les mécanismes étant assez complexes et les publications anglophones, je ne maîtrise pas tous les éléments de contrôle nerveux et hormonal sur les changements de coloration. Cependant je fournis un lien pour les personnes intéressés comprenant un protocole complet et un schéma détaillant le processus de réaction à un stress sur les mélanophores. Ce mécanisme met en jeu une série de réactions du système nerveux autonome (neuro-hormonal), par l’intermédiaire de nombreuses hormones et neurotransmetteurs, de récepteurs et des mélanophores. (Remarque : les expériences ont étés réalisées avec des anolis) https://notes.utk.edu/bio/greenberg.nsf/93c3cdb85c9d4c7d85256876001faff2/16b5f418b10b413f85256a2c0059baf7?OpenDocument https://notes.utk.edu/bio/greenberg.nsf/854ba168246c6472852563ee006f31ee/8e5b0872f9fe5e90852565370082f835?OpenDocument Sources : -La communication animale – Dossier pour la science – Hors série janvier/avril 2002 -Les caméléons de montagne, de plaine et les caméléons nains – Editions de Vechhi – - L.Brunetti, L.Giandomenico et M.Millenfanti. - Chameleons! Online E-Zine: une excellente photo d’une femelle avant/apès stimulation visuelle d’un mâle, http://www.chameleonnews.com/colormechanism.html -Wikipedia: http://en.wikipedia.org/wiki/Chameleon#Change_of_colour - Batraciens et reptiles du monde, contenu intéressant sur les caméléons accompagné de photographies de qualité, http://www.batraciens-reptiles.com/cameleons.htm - Tégument des sauriens : Coupe longitudinale de peau de lézard, http://www.cicrp.jussieu.fr/nivet/Teguments/Lezard/teg4.html
  3. Pour mieux comprendre: http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/ecailles/ecailles.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Mue_(squamate) http://www.tropicjungle.net/html/body_la_mue.html http://www.animauxexotiques.com/serpents/mue.htm
  4. Anatomie d'une tortue La carapace: La carapace est la spécificité la plus connue des tortues aquatiques et terrestres. La carapace est directement soudée à la colonne vertébrale et aux côtes, elle protège les organes internes. Elle est composée de plaques osseuses soudées par les sutures (chez les bébés les plaques osseuses ne sont pas soudées et la carapace est légèrement molle), elles-même recouvertes par les écailles ou écussons, couche cornée superificielle, fine et sensible. Les écailles sont pigmentées ce qui crée des motifs spécifiques aux espèces. Elles sont aussi marquées par des sillons de croissance. Ces sillons ne sont pas indicatifs de l'âge de la tortue cela dit, mais des périodes de croissance. Les écailles se renouvellent régulièrement. La carapace est composée de deux parties reliées par le pont osseux. La partie supérieure se nomme la dossière. Sa forme bombée augmente la surface d'exposition au soleil pour d'une part accumuler la chaleur, d'autre part pour recevoir le rayonnement solaire. La seconde partie se nomme le plastron. La tête: Voici une planche de la tête de ma Trachemys scripta scripta. -Le crâne des chéloniens est anapside (absence de fosse et d’orifice temporaux), ce qui les distingue des autres reptiles. -Le cerveau a la particularité de mieux supporter les carences en oxygène par rapport aux mammifères. -Les tortues n’ont pas d’oreille à proprement parler mais une membrane tympanique sur la zone temporale arrière de la tête. -La tortue possède un bec corné. -Les mâchoires édentées broient la nourriture. -La langue est épaisse et peu mobile. -Les narines sont directement reliée à la cavité buccale. -La paupière inférieure est mobile et légèrement translucide. Extraits du site : www.tortueland.be
  5. Les crochets à venin Les serpents du type du boomslang, ont des crochets postérieurs fixes, ce qui oblige l'animal a mâcher pour injecter son venin. ------------------- Chez les vipères ,les crochets a venin sont situés a l'avant de la tête. Ils se replient quand ils ne servent pas. ------------------- Les crochets des cobras sont similaires a ceux des vipères, mais sont fixes. Ils sont creusés d'un petit tuyau qui amène le venin a la pointe. --------------------- Mordre pour survivre Dès qu'il a saisi sa proie dans la geule, le serpent l'avale tout entière. Le serpent a la mâchoire inférieure reliée à la boîte crânienne par une charnière osseuse qui lui permet d'ouvrir largement la geule . Le ligament reliant les deux parties de la mâchoire inférieure est également très élastique. le serpent a parfois besoin d'une heure pour avaler un gros animal. Source : geocities
  6. Ovoviviparité Une espèce est ovovivipare lorsque les œufs incubent et éclosent dans le ventre de la mère, sans relation nutritive avec celle-ci (simples échanges d'eau et de gaz). Cette stratégie de reproduction est appelée l'ovoviviparité. De plus, l'enveloppe externe de l'œuf est extrêmement mince, parfois même un placenta très rudimentaire se développe. Dans le règne animal L'ovoviviparité est utilisée par de nombreux poissons (comme le Torpedo), de requins, de reptiles et d'invertébrés. D'un point de vue phylogénétique, l'ovoviviparité est un caractère convergent se répétant de nombreuses fois durant l'évolution de façon variée. Ce caractère ne permet pas de définir de groupe monophylétique. Avantage sur l'oviparité L'ovoviviparité est un « pas » évolutif vers la viviparité car ce mode de développement confère l’avantage d’une incubation protégée dans les voies génitales de la mère, mais n'est pas aussi « aboutit » que celui des vivipares. Voici une liste non exhaustive d'avantages conférés par l'ovoviviparité : - principalement le maintient constant des facteurs primordiaux au développement de l'œuf (température, humidité et pression partielle des gaz) - pas de prédation des œufs; - pas de nid donc pas d'incident (piétinement, inondation, ...); - possibilité de migration de la femelle avec ces oeufs face à un changement brutal du milieu. Par exemple, le maintien constant de la température permet aux espèces ovovivipares de coloniser les milieux des latitudes froides, non colonisées par les autres espèces ovipares à défaut d'une température suffisante pour le développement de leurs œufs. Toutefois ces avantages sont relatifs aux milieux de vie de ces espèces et l'ovoviviparité n'est pas sans inconvénient. Par exemple, les femelles « gestantes » subissent une grande perte de mobilité à cause des œufs stockés dans leurs voix génitales et les exposent plus facilement à la prédation. Oophagie Chez certaines espèces de requins ovovivipares peut s'effectuer au sein de l'utérus le phénomène de cannibalisme intra-utérin, ou « oophagie » : le premier des petits requins qui éclot dans l'utérus, dévore ses frères et sœurs potentiels ; au final, un seul requin naîtra, mais plus gros et plus fort que si plusieurs jeunes avaient éclos. Cet aspect se retrouve par exemple chez le requin taureau (Eugomphodus taurus).
  7. La circulation sanguine chez trois types de serpents Source : livre Serpent artemis edition .
  8. Anatomie externe Face inférieure Face supérieure Anatomie interne Système respiratoire d'un insecte Blatte femelle Blatte mâle Source http://simulium.bio.uottawa.ca/bio2525/labo/Protocoles/insecta.htm & Insectopia
  9. Plantes pour terra type zone sèche Ces plantes demandent assez peu d'eau ou un substrat légèrement humide. Certaines espèces demandent toutefois une hygrométrie ambiante +/- élevée durant une période de l'année, correspondant à une saison plus humide de leur habitat naturel. La température pour ces espèces varie de 15 à 28°C. - Crypthantus bivittatus -Brésil- substrat très légèrement humide. Pulvérisation tous les jours durant la belle saison avec de l'eau non calcaire (eau osmosée) afin de maintenir une hygrométrie élevée à l'endroit de la plante. Attention, feuilles un peu piquante!! - Sanseveria trifasciata -Ethiopie- Plante très résistante mais n'aimant pas les excès d'eau. - Tradescanthia albiflora -Amérique centrale- Plante résistante n'aimant pas les excès d'eau. Se bouture très facilement (enracinement de la bouture dans un récipient d'eau). - Crassula arborescens - Afrique du sud- Plante assez délicate. N'apprécie pas le froid associé à l'humidité ainsi qu'un manque de soleil. - Nolina recurvata -Mexique, Texas- Plante assez facile. N'apprécie pas les excès d'eau et d'humidité.
  10. Plantes pour terra tropicale Ces plantes poussent dans les forêts tropicales humides. L'hygrométrie s'y trouve supérieur à 70% et la température est comprise entre 15 et 28°C. - Alocasia x amazonica -Philippines- Mettre sur sol drainant. Cette espèce demande une période "marécageuse" pendant la période de croissance. Toutefois afin d'éviter le pourrissement du rizome, il faut maintenir cette variété sur sol légèrement humide pendant les quelques mois de repos. - Ctenanthe oppenheimiana (Cténanthe) -Brésil- plante résistante et facile. Un manque d'hygrométrie ambiante provoque l'enroulement des feuilles ainsi que le séchage de celle-ci. - Hypoestes phyllostachya -Madagascar- Cette belle plante rouge demande une luminosité plus importante sinon elle perdra ses belles couleurs. Se boutures assez facilement. - Pandanus veitchii -Polynésie- Sol humide mais non mouillé. N'apprécie pas les pulvérisations d'eau. - Pellionia repens -Malaisie- maintenir une hygrométrie proche de 80%. Maintenir une période de repos plus fraîche et plus sèche. - Philodendron selloum - Brésil- Vaporiser les racines aériennes. N'apprécie pas les manques d'eau et d'hygrométrie. Plante devenant assez imposante. - Pilea cadierei (plante aluminium) -Vietnam- Demande une luminosité plus élevée. Cette plante nécessite un peu de soins: pincer régulièrement et période de repos à 10-12°C. - Strobilantes dyerianus -Birmanie- Maintenir dans un sol bien drainé et pincer régulièrement les têtes afin de maintenir un feuillage dense. Maintenir une bonne hygrométrie ambiante. - Chamaedorea elegans (palmier des montagnes) -Guatemala- Maintenir une bonne hygrométrie afin d'éviter le dessèchement des pointes de feuilles. Cela peut être également dû à un éclairage trop fort ou chaleur trop élevé. - Chrysalidocarpus lutescens (Palmier d'arec) -Madagascar- Sol à maintenir toujours humide. N'apprécie pas la lumière forte. - Clusia rosea -Antilles- Eviter les éclairage forts. Plante très résistante. - Cordyline terminalis (Cordyline) -Inde, Malaisie- Sol toujours humide ainsi que l'air. Nombreux coloris disponible en horticulture. - Dracaena fragans (Totem) -Guinée- - Dracaena marginata -Madagascar- - Dracaena reflexa -Îles maurices- Les Dracaena demandent un hygrométrie de l'air élevée et un sol toujours humide. Plantes résistantes. - Ficus deltoidea -Inde, Java, Malaisie- Substrat légèrement humide. Maintenir une bonne hygrométrie. - Peperomia obtusifolia (pourpier des bois) -Vénézuéla- Substrat humide mais pas trop. N'apprécie pas les baisses de température. - Schefflera actinophylla (arbre pieuvre) -Australie- N'apprécie pas les excès d'eau. Maintenir un sol légèrement humide. Baisser de préférence la température durant la période de repos. - chefflera arboricola (plante ombrelle) -Taïwan- Idem à la précédente. Pincer de temps en temps. - Syngonium podophylum (patte d'oie) -Mexique- Hygrométrie élevée. N'apprécie pas les excès d'eau. - Vriesea splendens -Brésil- Maintenir de l'eau dans la rosette et changer celle-ci toute les 3 semaines environ. N'apprécie pas les température trop basse. - Ficus benjamina -Inde, Malaisie- N'aime pas les excès d'eau et les fortes variations de température. Plante facile à maintenir. Existe en diverses mutations. - Cyperus alternifolius (Papyrus) -Madagascar- Nécessite beaucoup d'eau (zone marécageuse). Supporte des températures basses sans problème (on l'utilise également en bordure de bassin extérieur, craint toutefois le gel).
  11. Plantes pour terra aride et semi aride Ces plantes sont destinés à des terrariums de types désertiques. Elles demandent une atmosphère généralement sèche à très sèche. Seulement une légère pulvérisation d'eau de temps en temps permet d'hydrater la plante. La luminosité doit être forte. La température varie selon les espèces de 5°C à 35°C. Beaucoup de variété devront être enlevé du terrarium afin de subir une période de repos. - Aeonium arboreum -Maroc, îles Canaries- N'apprécie pas les excès d'eau (se ramollie). Après floraison la rosette meure mais la ramification est généreuse. - Astrophytum asterias (cactus oursin) -Mexique, Texas- Pourris en cas d'excès d'eau. Ressemble à un oursin sans épines. Fleuris à partir de 5 ans. - Astrophytum myriostigma (bonnet d'évêque) -Mexique- Pourris en cas d'excès d'eau et d'humidité. Le duvet blanc recouvrant ce cactus permet à la plante d'éviter l'évaporation de sa propre humidité (surtout ne pas enlever ce duvet!!). - Crassula conjuncta -Afrique du sud- Assez résistante mais ne supporte pas le manque de luminosité. - Echeveria derenbergii -Mexique- N'aime pas les excès d'humidité. Ne pas mouiller le "feuillage". Feuilles devenant rougeâtre en fin d'hiver. - Lithops karasmontana (pierre vivante) -Namibie- Assez facile à maintenir. Ne pas arroser durant l'hiver et le printemps!!!! Il est préférable d'effectuer "l'arrosage" par trempage (absorption par capillarité). Ne supporte pas les excès d'eau. - Pachyphytum oviferum (Pierre de lune) -Mexique- demande une lumière forte!!! pose peu de problème si la luminosité est bonne. - Sedum morganianum -Mexique- N'apprécie pas le manque de lumière. Planter en hauteur car retombante. Si la maintenance est parfaite, elle fleurira au printemps.
  12. Quels type de plante pour nos terra ? Bonjour à tous, Vous trouverez ci-dessous une petite liste de plantes naturelles que vous pouvez utiliser en terrarium. Il convient toutefois d'éviter d'utiliser ces plantes dans des terrariums habritant des espèces végétariennes afin d'éviter tout risque d'intoxication. Plantes pour terra equatoriales Les Plantes Basses : Les plantes équatoriales "basses" demandent une température située entre 15 et 26°C et une hygrométrie se situant entre 70 et 90 %. L'arrosage doit être régulier, avoir un sol humide et non trempé. Un éclairage normal suffit, la plupart de ces plantes proviennent de forêts et vivent sous les arbres en luminosité +/- faible. - Adiantum cuneatum(Capillaire)-Brésil-: cette plante nécessite une hygrométrie très élevée. Dans le cas contraire, elle se déssèchera. Ideal pour terrarium avec petits amphibiens ou petit lézards. - Aglaonema commutatum (Aglaonema)-Malaisie, Philippines- Ne pas pulvériser sur le feuillage sous peine de voir apparaître des tâches brunes - Blechnum gibbum -Nouvelle Calédonie- Nécessite un terrarium avec une très bonne aération. - Caladium bicolor (Caladion) -Amazonie- Utilisation en terrarium très humide ou en aquarium. Cette plante nécessite beaucoup d'eau. - Calathea makoyana (Plante paon) - Brésil- En cas de manque d'humidité, les feuilles se roulent et les pointes noircissent. Plantes devenant imposante. - Calathea roseopicta (plante paon) - Amazonie- Idem à la précédente. - Fittonia verschaffeltii -Pérou- A besoin d'un sol très humide et d'une hygrométrie très élevée. Se bouture facilement dans de bonnes conditions. - Maranta leuconeura (Marante) - Brésil- Humidité élevée. Pulvériser le feuillage fréquemment. Devient imposant. - Pteris cretica - Origine diverses- Sol humide et hygrométrie très élevée. N'apprécie pas trop des température supérieure à 22°C. On trouve de nombreuses variétés de cette espèce. - Selaginella pallescens (Sélaginelle) -Mexique- Humidité très élevée et sol toujours bien humide. Eviter de descendre en dessous de 21°C. - Spathiphyllum wallisii -Colombie- Plante de choix robustes et appréciant de nombreux biotope allant du légèrement humide au "marécage". Cette plante est parfois vendu en aquariophilie où sa résistance en milieu aquatique atteind parfois une année. On trouve de nombreuses variétés hybrides. Peut devenir imposante. Les Plantes Hautes : Les plantes équatoriales hautes demandent les mêmes caractéristiques que les plantes basses vu précédemment à l’exception d’un éclairage un peu plus fort. - Codiaeum variegatum (Croton) - Malaisie- N'aime pas les variations de températures et les variations d'hygrométrie. - Dracaena deremensis -Cameroun- Plante très résistante aimant l'humidité mais attention aux excès d'eau dans le substrat qui ne sont guère apprécié. De nombreuses variétés sont disponible en horticulture. - Ficus lyrata (Figuier lyre) -Afrique tropicale de l'ouest- N'aime pas les excès hydrique. Maintenir une humidé ambiante correcte (70-80%) mais un sol légèrement humide (bien drainer celui-ci). N'aime pas les variations de température. Les Plantes Aériennes Les plantes équatoriales "aériennes" sont des plantes soient retombantes ou poussant sur les arbres, dans les creux des troncs ou directement sur ceux-ci. Elles demandent une température située entre 15 et 26°C et une hygrométrie se situant entre 70 et 90 %. L'arrosage doit être régulier. Un éclairage généralement normal à élevé. - Aeschynanthus lobbianus (Plante rouge à lèvres) -Malaisie, Java- N'apprécie pas les variations de températures et manque d'eau et d'hygrométrie. - Asplenium nidus (Fougère nid d'oiseau) -Inde- Plantes très facile à maintenir si l'hygrométrie est élevée. Substrat humide mais non trempé. - Guzmania lingulata -Equateur, Colombie, Antilles- Maintenir de l'eau dans la rosette. Changer cette eau régulièrement( 1 fois toutes les 3 semaines environ). Sol légèrement humide. - Neoregelia carolinae -Brésil- Idem à la précédente. - Nephrolepis exaltata (fougère de Boston) -Brésil, Antilles, Mexique, Floride- N'apprécie pas les manque d'eau et d'hygrométrie. Pulvériser régulièrement. Préfère les température inférieur à 22°C mais supporte jusque 26°C. - Nidularium innocentii -Brésil- Maintenir de l'eau dans la rosette. Changer cette eau régulièrement( 1 fois toutes les 3 semaines environ). Sol légèrement humide. - Philodendron erubescens (Philodendron rouge) -Venezuela, Colombie- Demande une luminosité assez élevée. Maintenir une bonne hygrométrie au niveau du feuillage. Supporte de légère période où le substrat sera +/- sec si l'atmosphère est humide. N'apprécie pas excès d'eau au sol. - Philodendron scandens (Philodendron grimpant) -Antilles, Panama- Idem à la précédente. Sol humide. - Phlebodium aureum -Antilles, Brésil- N'aime pas la luminosité intense. Maintenir une hygrométrie toujours élevée. - Tillandsia usneoides -Andes- Luminosité moyenne et humidité toujours élevée pour les variétés vertes; les variétés grises demande un biotope aride. Pulvériser régulièrement.
  13. Voila je voulais postez cette petite astuce qui pourrait eventuellement aidé quelqu'un dans le besoin. Alors j'ai actuellement chez moi un heterodon d'un ami en pension qui refuse totalement de s'alimenter et vu qu'il commence a perdre un peu de poids j'ai tenté de le gavage traditionnel mais vu la forme de la bouche et le petit groin retroussé ces chose tres difficil a faire. 1) J'ai pris un souriceau que j'ai haché en bouillit. 2) J'ai battu un oeuf assez longtemps pour qu'il devienne le plus liquide possible. 3) j'ai melangé un peu d'oeuf l'equivalent de 2 petites seringue avec le souriceau haché. 4) Et j'ai administré ça le tout a l'heterodon en l'aidant avec des petit massage a faire descendre le tout dans l'estomac. Cette une technique un peu barbare mais d'une tres bonne efficacité. Si d'autre personne on des astuce n'hesitez pas a nous en faire profité. Copyright (c) 2007 Nac annonce. Tous droits réservés.
  14. Introduction Si vous désirez faire de la reproduction avec vos serpents vous devez, pour commencer, avoir un mâle et une femelle. Consultez la page sur le sexage pour savoir différencier les sexes. Avant de commencer la reproduction, pensez à ce que vous ferez des bébés. Les serpents donnent naissance à un nombre assez important de serpenteaux en une seule fois. Les couleuvres ont facilement entre 20 et 30 bébés. Alors pensez bien à cela avant de commencer. De plus, vous ne pouvez pas garder les bébés pour les faire reproduire entre eux, car comme chez les autres espèces, la consanguinité ne donne jamais de beaux résultats. L'installation des serpents reproducteurs et de leurs petits La reproduction peut être une chose assez complexe tout dépendant de l'espèce qu'on veut reproduire. Avant de se lancer dans l'élevage, il est important de connaître tous les besoins spécifiques (température, humidité, etc.) de votre espèce en période de reproduction. Pour se faire, je vous conseille fortement l'achat d'un livre spécialisé, qui taite seulement des soins et de la reproduction de l'espèce que vous voulez. Souvent ces livres sont en anglais, car la documentation en français est assez minime. Achetez-vous plusieurs livres pour avoir plusieurs opinions et plusieurs idées. Pour les amateurs de boas arboricoles, le livre The Guide to Owning Tree Boas and Tree Pythons est excellent. Allez sur des sites internets spécialisés en une seule espèce ou genre de serpent. Souvent sur ces sites, il y a des forums de discussion. Vous y trouverez pleins de passionnés comme vous et vous pourrez échanger des trucs, des idées, etc sur la reproduction, les soins en captivité, etc. Certaines personnes qui fréquentent ces forums font de l'élevage et peuvent souvent vous aider. Pour les amateurs de couleuvres, le livre Vous et votre serpent, écrit par M. Guy Deland, herpétologiste est très bien fait, tous les détails pour l'accouplement des couleuvres vous sont donnés. Vous apprendrez également comment monter un module de croissance qui ne sera pas trop coûteux. Donc, le plus important est de bien se renseigner pour offrir à vos serpents reproducteurs et à leurs petits de bonnes conditions comme la nature leur en offre. Le choix des reproducteurs Où allez-vous vous procurer vos serpents reproducteurs ? On peut les prendre bébé de chez des éleveurs. Cependant, si vous voulez reproduire, il est conseillé de prendre des serpents qui n'ont pas de lien de parenté entre eux. L'idéal est de vous les procurer bébés et de les voir grandir. De cette façon, vous pouvez être certain de la qualité du serpent. Cependant, certaines personnes préfèrent les acheter adultes déjà prêts pour la reproduction. Les animaleries qui ont un département de reptiles de belle qualité peut être une très bonne option également. Bien que souvent les adultes en animalerie proviennent d'importateurs et donc, par le fait même, directement de la nature. Ceci est une bonne chose et une mauvaise chose. Cela est positif pour l'éleveur car le serpent a une lignée génétique tout à fait différente de celles déjà présentes chez les éleveurs du coin, mais c'est négatif, car le serpent est souvent parasité et généralement, s'il est importé adulte, il peut avoir un tempérament assez agressif. Il y a aussi les annonces classées qui sont un excellent choix. Il est possible de trouver des spécimens adultes, souvent en santé et le prix est généralement très bon. L'âge de maturité pour la reproduction Tout dépend de l'espèce et de l'individu, mais en général vers l'âge de 2 ans pour les couleuvres et 3-4 ans pour les boas et pythons. À cet âge, le serpent sera à maturité sexuelle et sera vraiment apte à la reproduction. Cependant, certains serpents peuvent se reproduire avant. La majorité du temps, les reproducteurs ne doivent pas être élevés dans le même terrarium. On doit les mettre ensemble que lorsque la période de reproduction est arrivée. Cependant, certaines espèces de serpent peuvent vivre ensemble toute leur vie et se reproduire aisément. Les étapes menant à la réussite Les premières étapes visent à amener vos serpents en hibernation. Cette partie n'est pas nécessaire pour tous les serpents, mais pour un bon nombre d'entre eux, elle est indispensable. Donc, même si c'est assez complexe, il vaut mieux ne pas prendre de risque et procéder à ces étapes. La durée de ces étapes, la période dans l'année, le taux d'humidité, la température, ainsi que plusieurs détails varient selon l'espèce et faire le tour de la reproduction de chaque espèce serait beaucoup trop long. Je me contenterai donc de décrire brièvement les étapes. Pour toutes questions plus précises, l'achat d'un livre traitant de la reproduction de l'espèce désiré est fortement conseillé. Engraissage La première étape consiste à augmenter la ration habituelle de nourriture. On peut la tripler pour la femelle, car celle-ci a besoin de plus d'énergie, et la doubler pour le mâle. Jeûne Ensuite, il faut faire jeûner les reproducteurs pendant environ 1 mois, tout dépendant de l'espèce. Cette étape sert à évacuer toute nourriture du système digestif, car sinon la formation de gaz entraînera vos serpents vers une mort certaine. Hibernation Il suffit d'abaisser la température corporelle graduellement en plaçant les serpents dans un endroit où la température est facilement contrôlable. L'humidité est maintenue à l'aide d'un plat d'eau qui doit être retiré après trois semaines d'hibernation, car les serpents pourraient attraper une pneumonie s'ils restaient trop longtemps dans l'eau. Pendant l'hibernation, les serpents continuent de bouger et de muer, mais ils sont beaucoup moins actifs. Il est important de vérifier chaque semaine comment ils vont. À la fin de l'hibernation, il suffit de faire le processus inverse et de ramener graduellement la température à la normale. L'accouplement Certaines espèces s'accouplent pendant l'hibernation, tandis que d'autres s'accouplent après que la température soit redevenue normale et qu'ils aient avalé un repas. On doit mettre la femelle dans le bac du mâle et non l'inverse. Si la femelle ne veut rien savoir, on attend quelques jours et on les représente l'un à l'autre à nouveau. Cependant, ne regardez pas vos serpents, car certaines espèces timides ne voudront rien faire en votre présence. Laissez-les ensemble assez longtemps, cela varie d'une espèce à l'autre. Le mâle possède deux hémipénis, mais n'en utilise qu'un lors de chaque reproduction. Le mâle peut s'accoupler avec plusieurs femelles dans une même période. La fécondation Chez nos serpents de terrarium, la fécondation a souvent lieu tout de suite après l'accouplement, mais certaines espèces dans la nature, qui trouvent les conditions non propices, peuvent s'accoupler une année et donner naissance à des serpenteaux que l'année suivante. Ovipare ou ovovivipare La distinction est facile à comprendre. Les serpents ovipares (ex.python, couleuvres, etc.) pondent des oeufs. L'incubation et le développement des embryons se font à l'extérieur du corps du reptile. Tandis que les serpents ovovivipares (ex.boas, vipère) donnent naissance directement à des petits. Cependant, l'incubation et le développement des embryons se font dans des oeufs à l'intérieur du corps du serpent. Ce mode de reproduction a vu le jour, car les conditions extérieures étaient trop mauvaises pour y laisser des oeufs. Pour ce qui est de la viviparité, comme pour les mammifères, où l'embryon se développe à l'intérieur d'un utérus, elle n'existe pas chez les reptiles. L'endroit approprié pour la femelle Il faut installer la femelle dans une boîte dont les conditions sont bonnes pour que les petits se développent correctement à l'intérieur de la mère. La femelle ovovivipare doit être placée sous une lampe chauffante pour permettre le bon développement des bébés. La femelle gestante (selon l'espèce) doit manger à sa faim. Les ovipares ont tendances à manger beaucoup, tandis que les ovovivipares ne mangeront plus vers la fin de la gestation (tant mieux, car cela pourrait endommager les embryons). Les serpents ovipares arrêtent de manger habituellement trois semaines avant de pondre. Parfois, un serpent en gestation peut ne pas manger quelques semaines, pour ensuite manger quelques fois et redevenir anorexique par la suite. Il faut que la femelle ait un endroit douillet et à l'abris des regards indiscrets pour y mettre ses petits ou ses œufs. Enlever les plats d'eau un peu avant la ponte, car la femelle pourrait choisir cet endroit. Pour les serpents ovovivipares, la femelle donnera naissance à de magnifiques petits, qu'on devra lui enlever bien rapidement. Effectivement, on sépare les petits de leur mère après 1 jour ou 2. L'incubation des œufs (Serpent ovipare) Une fois que la femelle a pondu, il suffit de prendre les œufs et de les placer dans une boite de ponte. Il est très important de ne pas déplacer le sens dont les œufs ont été pondus, on risque ainsi de tuer l'embryon où d'empêcher sa croissance, et ne plus les déplacer. S'ils sont collés entre eux ne prenez pas le risque de les séparer. Ne mettez que les œufs d'une même portée dans la même boîte pour permettre de bien identifier les géniteurs de vos serpenteaux. Pour incuber les œufs, on doit les mettre dans une boite d'incubation. Celle-ci doit être chaude (coussin chauffant ou chauffe eau selon la méthode employée pour construire votre incubateur) et l'humidité doit être nettement supérieure à celle d'un terrarium normal. On doit mettre un fond mou mouillé. Certains éleveurs utilisent de la vermiculite avec de l'eau ou de la mousse de sphaignes avec de l'eau, mais l'important c'est de prendre un fond mou, facilement mouillable qui ne sèchera pas et ne formera pas de moisissures. Pour éviter cela on peut mettre le fond au micro-onde (sans les œufs, bien sûr!) pour tuer les micro-organismes. On place donc les œufs dans la boîte dans la semi-obscurité. Pour savoir si le taux d'humidité est suffisant, il s'agit de regarder s'il y a présence de gouttelettes tout le tour du bac, si non, on doit vaporiser l'incubateur avec de l'eau. Il existe des incubateurs déjà tout prêt si vous n'avez pas le goût de vous en monter un. Une fois que la première tête est sortie d'un œuf, on attend 1 jour ou 2 et, à ce moment, tous les serpenteaux devraient être nés et prêts à être identifiés et séparés. Les soins à porter aux serpenteaux Identifiez clairement les bébés : parents, date de naissance, poids, espèce, couleur, etc. On les place chacun dans un petit terrarium. Certains éleveurs conseillent d'attendre une journée après la séparation des bébés avant de les nourrir, pour leur laisser la chance de s'habituer à leur nouvel environnement. Tandis que d'autres suggèrent d'attendre la première mue qui s'effectue vers les 7 jours suivant la naissance ou l'éclosion. On leur donne généralement un rongeur (dépendant de la grosseur de l'espèce de serpent). Pour plus de détails sur la nourriture, consultez cette section. source : http://www.animauxexotiques.com/serpents/reproduction.htm
  15. Les bons aliments pour les végétariens Voici votre liste de course pour vos reptiles végétariens, omnivores mais aussi pour les proies des insectivores (grillons, blattes…). Aliments les plus appropriés constituant 80% de la ration alimentaire, ce sont les principaux aliments à acheter. Chaque repas est constitué d’au moins 3 de ces ingrédient, un des ingrédient doit être changé à chaque repas. (les chiffrres entre parenthèse indique le rapport calcium/phosphore): Feuillages : composent le principal support alimentaire. Frisée. Scarole. Feuilles de radis, feuille de chêne, pissenlit, bettes, luzerne, endives, trèfle. De l’herbe !!! Si si, l’herbe est une source de protéine très importante (16% contre 1 à 3% dans les salades) et de minéraux. Utilisez de l’herbe à chat par exemple. Légumes : courges et potirons comme les courges spaghettis, courge hubbard, les potirons, le courgeron (ou courge poivrée)… Ce sont parmi les seuls légumes réellement intéressants comme repas principal. Fruits : Papaye (5/1). Mangue (1/1 mais beaucoup de vitamine A). fruits rouges (surtout framboises et groseilles) agrumes (vitamines C). figues (2.5/1, de plus très riche en vitamines et en fibre, un des meilleurs fruits !). Aliments occasionnels qui peuvent être ajoutés deux fois par semaine car possédant des bienfaits spécifiques, ils ne doivent pas représenter plus du tiers de la ration. Ils doivent être saupoudrés de Ca. Feuillages et légumes : Mâche : très attractive pour les mauvais mangeurs. Persil, Basilic, menthe : Très riches en fibre et en minéraux, rapport Ca/P intéressant. Certains animaux raffolent de leur odeur forte, pour d’autres c’est un répulsif. Poivrons (pas toujours acceptés). Choux de tous types : riches en vitamines et minéraux si crus. En général le choux chinois et les brocolis sont les plus acceptés car ne sentent pas trop fort. Les choux fleurs et choux de Bruxelles sont les plus pauvres. Germes de soja ou haricots mungo pour leurs minéraux et leur attractivité. Céléri : Bonne source de minéraux. carottes : vitamines A et C. Fèves cuites : Riches en protéines et en minéraux. Utilisez des fèves en boite de conserves, même elles auront perdue une grande partie de leur vitamines. Fruits :sources de vitamines en général, mais surtout leur odeur et leur goût sucré est attractif : Kiwi : vitamine C. banane : attractive, idéale pour faire une purée pour les récalcitrants, mais à saupoudrer de calcium systématiquement. Les olives pour leur qualités énergétiques, idéales pour faire engraisser un animal qui a perdu du poids. Ne prenez que des olives fraîches non macérées qu’il faut réduire en purée et mélanger à des aliments sucrés. Autres fruits juteux : pêches, brugnons, pommes, poires, raisins (source de fibres), melon… Fleurs : Pétales de roses, fleurs d’hibiscus, fleurs de pissenlit, pâquerettes, trèfle. Autres : Riz ou semoule cuite. Pour certains animaux comme les Uromastyx, il faut disposer d’un bol rempli d’un mélange d’avoine, de riz et de semoule tous crus. Ils y puisent queues bouchées de temps en temps. Pour les autres : ce sont des aliments utiles sous forme cuite puis refroidie surtout pour des animaux en sortie d’hibernation (faciles à assimiler) ou les femelles gestantes. Ne pas en abuser car très riche en phosphore. Aliments à bannir : Légumes et feuillages: Laitue, battavia, romaine (salades à feuilles « larges », trop riche en phosphore, provoque parfois des diarhées). épinards (très pauvres contrairement aux idées reçues !), haricots et petits pois : Aucun intérêt nutritionnel. Pommes de terre. Courgette : trop riche en phosphore. Aubergine. (certains la classe dans les toxiques). Concombre : Dur à digérer, aucun intérêt nutritionnel. Autres : Pâtes alimentaires cuites, champignons à part certaines espèces comme les tortues du genre Terrapene qui raffolent des champignons de Paris ! A télécharger d'urgence: Tableau complet (en anglais) sur les qualité des aliments végétaux comme animaux. Document word à avoir dans son disque dur: Cliquez ici. http://gladstone.uoregon.edu/~hhumphre/BTSfoodrankings.doc Source: http://www.bluetongueskinks.net :
  16. A qui le dit tu les boa arc en ciel et les acranthophis font partie de mes favoris
  17. C'est un magnifique boa je te l'accord mais on a une legislation un peu spécial nous
  18. RAF-nacannonce

    mes bci!

    J'espere qu'elle te plairont
  19. Pff on a pas le droit chez nous d'en possédé
  20. RAF-nacannonce

    mes bci!

    Je ferait un post à l'occasion pour y mettre mes boas
  21. Salut, Une section fiche médical à etait mise en place. N'hésitez pas à la consulté et/ou l'argumenter de vos fiches Amicalement
  22. Bon alors moi j'ai reproduit : Des pantherophis Guttatus Snow, Miami et d'autre mais souci d'incub sa n'a pas marcher. Des Orthriophis Taeniurus Ridleyi, Friesei, Taeniura taeniura et j'ai foiré mes ancienne Ssp bleu forte chaleur. Des pituophis catenifr affinis albinos J'ai reproduit des Boa 50% hétéro Albi en juillet dernier( Naissance) Je crois que j'oublie rien Mes projet de repro pour cette année : Boa Male 100% hétéro x femelle albi Boa Male Albi x femelle classique ( Déjà fait ) Boa Male albi x femelle pastel ( c'est en cours ) Une femelle regius classique x Male regius high contrast Et pour les année à venir quelques surprise A l'occasion j'argumenterai de photo Aller au suivant
  23. RAF-nacannonce

    mes bci!

    Suis un grand fan de boa et tu possede de superbe spécimen
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