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Martine95630

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Tout ce qui a été posté par Martine95630

  1. Merci Couette ! Pas rancunière qu'on t'ait oubliée en plus ! En revanche, pas beaucoup de femelles. Ca correspond à la réalité ? Et les autres, côté chiens, ils dorment ?
  2. Pauvre Couette ! C'est bien ce que je dis : nous sommes nombreux. Et je suis loin de connaître tout le monde, d'où appel à mémoire collective. Remarquez, personne ne passera à la postérité en donnant son nom (probablement très temporairement) à un nounours bleu. Ca risque même de laisser des traces, connaissant les blague-à-froid du refuge... Il y a une personne qui risque fort de se faire appeler nounours bleu pendant un moment. Et pour les toutous ? Pas de liste ? Qui voulez-vous mettre en priorité ? Il m'en faut 50, si possible fifty/fifty mâles et femelles.
  3. Merci Kirikou et Sandya42 ! Là, pour les chats, je crois qu'on a fait le plein ! Pour les bénévoles, je sens que ça vient (moi aussi, j'avais oublié Evelyne, shame on me ! Mais j'ai dû en oublier bien d'autres car nous sommes beaucoup). Et pour les chiens, qui voulez-vous qui soit mis sur la liste ? Je vais prendre les fiches d'adoption mais allez-y avec vos chouchoux !
  4. Pour les chats, je connais leurs comportements mais pas toujours leurs noms. Je vais regarder. Mais j'arriverai difficilement à 50. Si j'en manque, on mettra des noms de chiens ou de chats qui sont adoptés mais ont été longtemps au refuge, pour compléter.
  5. Pour le nounours bleu, ça va aller, je pense. J'ai besoin du nom des chiens et des chats. Notamment les anciens, en effet. MERCI
  6. Bon anniversaire ! Et merci pour l'excellente nouvelle de l'adoption de Trolley !
  7. J'ai prévu un stand où l'on gagnera des peluches : un chat gris et blanc, un chien brun avec oreilles qui pendouillent et un ourson bleu. Ils font 40/50 cm chacun. Le jeu sera de deviner, parmi 50 noms, pour 1 euro, le nom de la peluche (3 listes, une par bestiole). Je ne serai pas là toute la journée le samedi. Le dimanche, si, mais j'irais bien poupouner les chats aussi et c'est mieux de se relayer. Alors, ça tente qui, le stand "nounours" ? Et j'ai besoin aussi de vos mémoires : - Les noms pour le chat seront ceux des chats du refuge (Tyson, Pierrot, Bonhomme, Didou, Sucrette, Poussin, Petit-Loup, Caprice, etc...) Il m'en manque ! - Les noms pour le chien seront aussi ceux des chiens du refuge (Tyson, Tina, Speed, Freekles,...). A vous ! - Les noms pour l'ourson bleu seront ceux des agents et bénévoles du refuge (Karine, Michèle, Annick, Albane, Lauriane, Céline, Jonathan, Christophe, Eric, Nicolas, Seb, Marina, Del, Claude, Béa, Catherine, Stéphanie, ...) ??? et ??? Ce serait bien, pour chaque liste, d'avoir parité entre prénoms masculins et féminins. Il faut que mes listings (3 fois 50 noms) soient prêts pour samedi. MERCI A TOUS !!!!
  8. Un sur trois. Je croise les doigts pour les deux autres. Quant à celui-là, s'il se trouve bien de rester aux abris dans la propriété, il fera de vieux os. Je ne peux pas faire plus.
  9. et rare ! Dommage que les grandes compagnies ne prennent pas le temps de tels encarts à l'usage de leurs adhérents.
  10. D'aucuns s'en battront l'oeil, d'autres se demanderont de quoi qu'é cause la blonde, d'autres enfin seront ravis d'apprendre qu'un jeune renard a trouvé refuge chez moi, à la campagne. Le voisin qui nourrit mes chevaux le voit le soir à la lisière du pré. "L'est pas ben vieux", a-t-il proféré sentencieusement. J'ai interdit qu'on y touche et acheté un sac de croquettes pour chiens, à mettre le soir sous l'appenti. C'est un air entraînant et tout joyeux, le fox trott', vous ne trouvez pas ?
  11. Pour les fioles, Del, fais simple : la petite bouteille d'eau recyclée, c'est parfait. Il faut seulement enlever l'étiquette et la remplacer, histoire que le propriétaire de chats à puces, exténué depuis le temps, ne s'en lance pas un gorgeon derrière la glotte. Ca doit décaper dans les tuyaux : inoxidable que tu es après ça. Et pas de puces à l'intérieur ! * Je note au passage suite au post de Michel, habitant du Var mais non varois pour autant (j'ai pris note, veuillez excuser ce raccourci), que ces saletés ont également envahi internet. Certes, on parle de puce informatique, mais de là à hanter les forums. Vraiment de la vermine, ces machins-là ! Pour moi, quoique ce ne soit pas conseillé (au moins sur les hérissons de 2 mois, j'ai appris ça par une copine qui en fait grand cas), je pense que je ne vais même pas diluer l'huile essentielle de lavande à hauteur d'1 goutte pour 5 d'huile de colza (que je mets dans le réservoir de la 205 quand elle est recyclée) et m'en mettre une goutte, pure (si, je vais oser), directement sur la peau. Je servirai de cobaye à mes chats. Si je n'ai ni cratère rongé, ni pustule purulente, ni érruption généralisée le lendemain, je tenterai sur le plus costaud de la bande. * Pour la liqueur, GRANDE bouteille d'eau recyclée.
  12. Merci Orianne pour l'insertion des photos (je me complais dans ma nullité informatique). Mâle, Evelyne. Trouvé dans le 94 récemment. L'adresse du tatouage est à St Gratien (95). Ce n'est pas loin de Franconville, la protectrice qui m'a demandé de diffuser pense qu'il pourrait aussi venir de là à l'origine. Le but est soit de retrouver ses propriétaires, soit de lui trouver vite une bonne famille.
  13. 7 à moi et 5 FA, Maîtreloup : ne pas oublier Ebony, environ 5/6 mois maintenant, noir à plastron, bouts de pattes et moustaches blancs, qui fait l'effarouché. Il se laisse toucher (quand il ne voit pas la main venir), même caresser puis me la joue à la "ciel, mon mari" pour fuir à toute allure. Nous progressons toutefois, il joue très près de moi : de l'autre côté d'une baguette chinoise (ça sert à tout, il faut en avoir chez soi). Et ce matin, il a cessé de résisté au fromage fondu au bout du doigt. Il tenait mon doigt avec sa patoune pour mieux lécher. Ca m'émeut, moi, des trucs comme ça : ça fait des mois que je l'enjôle.
  14. Côté couture, comme les aiguilles et épingles sont des dangers mortels, ça me prend un certain temps car je boucle tout à chaque manipulation. D'ailleurs, de préférence, pour éviter ce danger, je couds le dimanche chez ma mère, en papotant. Le coup du fil au derrière, ma boxette Havane avait une variante récurrente : elle avalait mes cheveux, très longs et avait aussi des guirlandes sautillantes au derrière, régulièrement. Ce qui la faisait partir comme un boulet, à ras du sol, complètement folle, poursuivie par sa crotte. Mais elle avait le bon goût (si l'on peut dire) de faire des crottes moulées. Donc, pas de traces prononcées, ce qui était mieux pour moi mais ça restait accroché et lui sautait au derrière au gré de sa course effrenée, ce qui était pire pour elle, jusqu'à ce qu'elle trouve un obstacle, que le cheveu s'y accroche et casse. Inoubliable. Une seule fois, j'ai plu la plaquer façon rugby, et retirer tout doucement le cheveu qui devait lui chatouiller furieusement l'anus, à voir comment elle se tortillait. Un ver de vase gigotant d'une quarantaine de kilos, tenu à bras le corps, ça laisse des souvenirs aussi.
  15. Voilà, c'est du basilic, le truc dont le nom m'échappait tout à l'heure et qui a défunté en choeur avec le persil. Peut-être pas assez arrosé parce que, question soleil, c'est plein sud. Des graines de roses trémières et d'oeillets d'inde, j'aurai. Il faut seulement que je fasse un noeud à mon mouchoir et que j'aborde mon jardin avant la nuit, le tout, avant le w-e PO.
  16. Ils ne considèrent pas qu'ils sont gâtés pourris : ils aimeraient que je sois là plus souvent. Quand je suis malade, pendant que je marasme et ronge mon frein, bonne à rien mauvaise à tout, eux, jubilent et me squattent du matin au soir. Alors, le peu que je suis là, je les poupoune.
  17. Ah, Stéphanie, heureusement que tu arrives sur ce post. Dis-moi, toi aussi, tu souffres, dis ? tu compatis, toi, dis ? parce que toutes les autres insensibles qui se marrent quand on se gratte... et qui se disent nos amies... pfffttt !!! Del, ma chère, je trouve déjà assez arrogant que les puces préfèrent envahir chez moi que chez toi. Alors, je te prie, remballe tes déclarations "moi, j'ai rien" qui se moquent ouvertement de nos pustules, à Stéphanie et à moi et sois un peu compatissante, veux-tu ? Sinon, je crains que l'énervement consécutif aux gratouilles, ajouté à celui provoqué par ton insolence ne génèrent un acte répréhensible, certes, mais qui se justifierait : je te barbouillerai de fromage fondu dès samedi prochain à la chatterie. Et tu ne viendras pas t'en plaindre, effrontée ! (Cher Michel, avez-vous remarqué le langage châtié comme il sied ?) Cher Michel, d'ailleurs, ayez la bonté, après votre présentation, de nous expliquer, à nous, banlieusardes rigolardes néanmoins policées tant que dévouées à la cause animale, comment un varois a bien pu s'égarer sur notre forum ? Une erreur informatique ? Cela dit sans que cela doive être interprété comme un reproche, bien au contraire : En effet, pour l'instant, je suis LA quiche informatique du forum. Un peu de renfort, masculin de surcroît, ne serait pas de trop.
  18. Avec PetitCoeur, plus exactement. Petit mais costaud, le coeur. Le matin, arrivée dans la cuisine dans un quasi coma, Gribouille, 17 ans, griffes ayant peine à se rétracter, en pin's sur l'épaule gauche. Ouverture de la cage d'expo dans laquelle dort PetitCoeur, histoire qu'elle ne se navre pas à faire la cascadeuse dans les escaliers et ne se fracture rien pendant la nuit. Nourrissage des fauves : pâtée, boulettes, croquettes, portion à part pour les FA qui dorment dans le comble et que je libère et nourris quand je remonte en direction de la salle de bains. Tentative de petit déj'. En effet, à peine assise, PetitCoeur se lance depuis le haut du coffre de cuisine et atterrit sur mes genoux en général parés d'un pantalon fin de pyjama, toutes griffes dehors car, à l'instar de Gribouille, elle fait le pin's en permanence. D'où quelques bonnes croûtes permanentes depuis maintenant presque 2 mois. Et une balafre de plus, une (prévoir la lessive qui enlève bien les taches de sang). Petit déj' si possible : avec ses grandes pattes d'araignée (elle est tout en longueur), elle m'attrape la main la plus proche pour me mordiller le bout des doigts. Comme l'autre est occupée à soutenir le cucul qui dérape, ça devient difficile de négocier la tartine de pain de mie complet garnie de compote de rhubarbe et de boire mon thé à la façon anglaise. Personne ne regarde, ça tombe bien. Le temps que le thé refroidisse (pourquoi chauffe-t-on à ce point l'eau du thé quand on n'est pas capable de boire bouillant, je vous le demande ?), PetitCoeur toujours en pin's sur l'épaule gauche, j'ouvre l'ordi, fais mes clic animaux-faim-planète et jette un oeil sur les forums que je hante ainsi que sur ma messagerie. Je suis mal installée pour mon ordi : posé sur table basse, je m'assois sur un tabouret et ai le clavier sur les genoux. C'est compter sans Petit-Coeur qui se laisse dégouliner de l'épaule aux genoux. Il vaut mieux que je sois réveillée pour retenir le cucul à temps, sinon, il atterrit mollement sur le clavier et éteint l'ordi. Je rattrape aussi les grandes pattes qui tentent de taper sur les touches à ma place, me subtilisent un doigt pour le mordiller, sautent en direction de l'écran pour attraper les petites bêtes qui y bougent, etc... Après quoi, on s'endort, la tête nichée au creux de mon coude. Re transport de PetitCoeur, les pattes en l'air et les yeux mi-clos, pour aller avaler mon thé légèrement refroidi. Je pose la poussinette dans le fauteuil où elle se niche en me faisant les petits yeux qui clignotent. Retour au premier avec Gribouille sur l'épaule, re griffures. Nourrissage des FA, soins de l'oeil de Blue opéré d'un entropion, nettoyage de sa collerette (le tout, après pistage dudit car il n'apprécie pas, bien qu'il ronronne et se fasse câliner dès que j'ai fini). Salle de bains. Se laver les dents avec Gold qui monte sur le meuble d'évier, tente de subtiliser ma brosse à dents (la mordille s'il l'attrape : il doit aimer l'odeur de la menthe. Je n'ai plus qu'à en prendre une autre. D'où stocks conséquents de brosses à dents), me mordille les avant-bras. Douche (après en avoir retiré Gold au moins trois fois : il se faufile pendant que je ferme les portes coulissantes). Séchage. Légèrement longuet en raison de chats divers et variés qui attrapent la serviette pour se sauver avec et se rouler dedans, isolément ou à plusieurs. Brossage des cheveux avec au moins deux chats qui guettent s'ils peuvent attraper la brosse, tentent de partir en courant avec une mèche de cheveux dans la bouche, etc... Ca ne s'arrête que lorsque, chignon fait avec le premier chouchou venu, plus rien de tentant ne pend ou s'agite. Miaulements appuyés de Gribouille que toute cette jeunesse insolente énerve. A tue-tête : son père était un siamois et elle est légèrement sourde. Une radio serait superflue. Caresses à tout le monde, vérification des croquettes et de l'eau, retour au rez-de-chaussée, fermeture de la porte intermédiaire de l'escalier. Avec barricade : sacs de litière, baril d'eau pour le fer à repasser, etc... En effet, mes deux groupes de houdinis ouvrent toutes les portes. Tentative de départ (la première) : soit l'un a fait un popo inopiné qu'il faut que je nettoie. Ou renversé le bac d'eau. Répandu une boîte de médicaments à travers la pièce. Eparpillé mon courrier non classé. Déchiré le rouleau de papier absorbant extrait du placard de cuisine. Vomi ses croquettes. Les idées ne manquent pas. Pas un matin où j'arrive à partir du premier coup. Caresses à tous ceux qui restent au rez-de-chaussée. Et moi ? Et moi ? Et moi ? Encore ? Ca dure. En général, je pars avec un tee-shirt et/ou la veste garnis de poils de chats. Retour dans la pièce principale car Piyou, ou Dana, ou PetitCoeur, s'est glissé derrière moi dans l'entrée, direction évasion. Départ.... Journée de travail d'un calme étonnant côté chats. Soirées trappages en tous genres. Retour. Déchaussage dans l'entrée (si ce n'est pas maintenant, ça va devenir difficile) Accueil délirant des 7 chats du rez-de-chaussée. Re et moi ? Et moi ? Et moi ? PetitCoeur oscille sur ses pattes et son derrière va de droite à gauche, dans mes pieds (le nombre des chats écrasés en accident domestique n'est pas proportionnel aux occasions qu'ils créent à longueur de temps). Si je tarde d'une seconde de trop à poser mon sac, escalade par la cuisse gauche (ou la droite, ce n'est pas moins douloureux), en deux temps : saut qui permet d'accrocher les crampons juste au-dessus de mes genoux couturés de cicatrices, puis défiguration de la cuisse. Avant l'aine, en général, j'ai abrégé mes souffrances et l'ai rattrapée avant la chute car tout son poids repose sur ses pattes avant. Pins' à poil et ronrons sur l'épaule pendant que ma cuisse défigurée du jour hurle faiblement. Nourrissage des fauves. Montée à l'étage pour pipi-room et nourrisage des FA + Gribouille. La môme va regarder les grands sous le nez et en général, obtient un coup de patte griffes rentrées de Drew (un bébé, jaloux de l'autre) et des léchouilles de Gold : il lèche tout le monde, moi inclus. C'est un pot de coeur qui déborde d'amour et le donne de toutes les façons. Retour au rez-de-chaussée Questionnement existentiel sur ce que je vais bien avaler car mon estomac gargouille, questionnement d'autant plus métaphysique que l'heure est tardive quand je rentre. D'autant plus que s'il y a toujours le plein de croquettes et de boîtes, il n'y a pas toujours le plein pour moi. Vu l'heure, souvent pas envie. Donc, pas croquettes mais presque : saletés qui se grignotent et attaquent sournoisement mes contours corporels. Dépouillement du courrier, pin's en appui pour ouvrir les enveloppes et jouer avec mes doigts. Dans le meilleur des cas (quand l'heure est potable), film. Quand je suis en forme, carrés patchwork au crochet en même temps que le film pour faire des dessus de lits pour ma maison de Mayenne. Avec participation des 7 chats en présence : Tunis dans le sac de laine, mélangeant tout avec soin avec des yeux de chat allumé, PetitCoeur machouillant la laine, Piyou tentant de me faucher le crochet, Dana partant avec une pelote suivie par sa soeur DeeDee. Ebony fait le timide et fait donc des bonds pour venir patauger dans la laine et fuir aussitôt, si possible avec un trophée. Il n'y a que Ma Gaufrette, calme et fatiguée, qui comprend que le crochet est une activité individuelle et ne s'en mêle pas : elle se pose sur l'accoudoir, ronronne, me regarde de son air doux et reste stoïque devant tant de débordements. Quelques coups de fils parfois (des gens qui pensent encore que je rentre chez moi le soir), avec chats dans les pieds, laine embrouillée à éviter pour ne pas tomber avant d'atteindre le récepteur, bagarre forcenée pour la meilleure pelote de laine sur le fauteuil, miaulements, coups de voix de ma part, etc... Une maison de fous. Outre l'heure tardive, ça décourage beaucoup de gens de me rappeler chez moi. Entre 23 et 24 h, selon les jours, montée pour dodo. J'installe PetitCoeur dans la cage d'expo, je lui mets de l'eau, des croquettes bébé, lui fais un bisou sur le nez, elle me fait les yeux qui clignent (parfois, elle lutte depuis un bon moment pour ne pas dormir). Montée des escaliers, câlins aux FA qui passaient le temps à se poursuivre dans les deux travées d'escalier : dom dom dom dom en montée, dom-dom dom-dom dom-dom en descente, multipliés par quatre. Fermeture de la porte de la chambre du comble avec barricade par planche en travers de la poignée (c'est assez chic. Valérie Damido n'y a pas pensé dans ses idées déco). Retour au rez-de-chaussée (2 étages ; j'ai du gras sur les contours mais les mollets et les cuisses, opérationnels. Je suis cavalière, certes mais le fait de monter et descendre mes 2 étages à longueur de temps n'y est pas pour rien non plus). Libération de mes fauves à moi (sauf PetitCoeur qui, en général, dort déjà avec ses attitudes de bébé chat), qui montent au premier en se poursuivant. Le temps de me laver les dents et de faire un câlin à Gribou qui dort dans la salle de bains et je suis couchée. On ne dort pas tout de suite : pas de sommeil mais aussi câlins de chacun, l'un après l'autre, avec chacun ses manies, son moment, son endroit du lit. Dana joue avec mes pieds à travers la faible épaisseur estivale qui les couvre, ouille. Mes bouillottes se mettent en place et tout le monde finit par dormir. Nuit agitée : je dors mal, j'ai mal partout et à chaque fois que je remue (toutes les dix minutes en moyenne), toutes mes bouilllotes râlent, changent de côté pour se recaler derrière les genoux, le dos, contre moi, sur mon bras, ou en profitent pour avoir un soudain besoin de câlins. Dans ces cas-là, Piyou bave et pousse sa tête contre moi avec force. Période d'insomnie derechef. Et arrive le matin. Dès le réveil en fonction, re-câlins, chacun son tour, chacun à sa façon. Lever pénible : je me réveille plus fatiguée qu'avant d'aller dormir, en pleine crise d'hypertension et moulue de partout. ET...... c'est reparti ! Quand je pense qu'il y a des gens qui persistent à dire que les chats sont ennuyeux...
  19. Del et moi allons monter une entreprise libérale de coaching : bien-être et forme physique, tendance abdos rigolos. C'est la facture qui va faire mal... Tedehem, deux précisions d'importance : -1, Del est une femelle, pas un mâle -2, non, elle ne se ferme aucune porte. Elle sait se tenir lorsqu'il le faut. Là, c'était une recrudescence passagère d'adolescence dûe à mes âneries épistolaires. Don't worry. Nous, on ne la changera pas contre deux autres barils de lessive.
  20. C'est bien possible. Il faut bien être nulle en quelque chose. Catherine m'a fait saliver en disant qu'elle en avait récolté des kilos, aussi, qu'elle ne savait plus quoi en faire et m'en aurait volontiers donné si elle avait su (à temps) que j'aimais ça. L'année prochaine, je sens que je vais la guetter racheter ses pieds de tomates cerises et que j'irai saliver sur son tee-shirt dès les premiers beaux jours, par précaution.
  21. Waouh ! Des paquets de chats, des alignements de chats et de la salade de chat ! Cool ! On se croirait chez moi... Je vois qu'il n'y a pas que chez moi qu'il y a des chats qui se lancent dans l'artisanat tapissier : il y a au moins une chaise qui se sent un peu dégarnie... C'est mignon, ces petites bêtes !
  22. Et pour autant, capable de vendre n'importe quoi en produisant des éloges tant romantiques que virtuels sur des plantes qui ne s'en doutent pas plus que leurs acheteurs. Terrible, je vous dis ! Là, en revanche, Evelyne, tu m'inquiètes : une belle paire de quoi ? Précise ta pensée. Je note, en plus, que tu ne compatis pas. Moi qui croyais pouvoir compter sur une compréhension amicale franche et massive. Je suis amèrement déçue. Si j'osais, je dirais "ça me gratte, quelque part"...
  23. C'est pas moi ! C'est seulement MAINTENANT que je propose des orties. Pour les précédentes PO, j'avais amené de vraies plantes. Cela dit, Del vendrait de la m...., comme on dit populairement. Elle est terrible. Et elle invente des trucs tellement délirants qu'en fait, même si on doute, on craque quand même. En ce qui concerne mon expérience, les plantes potagères et aromatiques que j'avais achetées : persil, je ne sais plus quoi dont le nom m'échappe et avec lequel on préparer le pistou, et tomates cerises, les plantes aromatiques ont végété puis sont mortes. Les 3 pieds de tomates cerises n'ont poussé qu'à environ 40 cm de hauteur, ont fait des fleurs tardivement (j'aurais dû leur acheter un calendrier spécialement pour mettre à côté), fait 4 cerises sur 2 plants, que j'ai donné cérémonieusement à mes petits-enfants (qui ne sont que 2, par chance), en leur recommandant de les déguster avec attention. Je rajoute qu'elles n'atteignaient pas la taille de celles qu'on achète. Actuellement, il y en a 2 autres, presque rouges mais ridiculement petites, sur un pied. Et quelques fleurs. Le reste a plus ou moins fonctionné. Je vais peut-être en rester aux orties, à vrai dire.
  24. Chez moi aussi, dans le Val d'Oise, c'est invasion ininterrompue de puces depuis le début de l'été. Jusque-là, elles bouffaient mes chats (dont mes FA), tout le monde se gratte, certains croûtent. Mainenant, elles s'attaquent à moi. Peau de blonde, peau à piqûres de toutes les saloperies qui piquent (sur le mode de la sentence de Kirikou). Bref, je suis allée sur un post dédié sur Rescue et après un échange édifiant avec d'autres infestés et certains dorés à la feuille que ces avanies épargnent inexplicablement, j'étais au bord du suicide. C'était il y a plus d'un mois. Depuis, les gratouilles m'occupent assez pour m'éviter de charger le colt. Mais ça perdure. J'ai tenté LA mixture. Elles se marrent, les puces du coin. J'en ai aspergé les sols, les recoins, les plinthes, le seul bout de moquette qui a survécu dans une maison d'ashmatique, les rideaux coussins, tissus, mon lit (intérieur, extérieur ; il faisait chaud mais j'avais tellement tout noyé qu'il a quand même fallu que j'attende que ça sèche un peu pour dormir. Le tout aux environs de minuit, sinon, où serait le plaisir ?...), les chats (quand ils ne mettent pas une distance certaine entre eux et moi au moindre mouvement de la main se rapprochant du vapo. Ils sont 12, ils ont une stratégie de jeu qui m'empêche d'en attraper la moitié d'un, certains jours). Bref, ça continue. J'irais même jusqu'à évaluer que ça croît et "embellit". J'ai essayé le front...e, l'advoc..e, le truc dont je ne me souviens plus du nom mais qui se présente en bombe et tue d'abord l'ashmatique qui manie la bombe avant de tétaniser les puces (parce que là, elles morflent, les aliens, mais ça ne dure pas. Leurs oeufs éclos viennent réclamer vengeance quelques jours plus tard), LA mixture, l'eau de lavande pulvérisée partout (au prix du litre... ; résultat, les puces ne sentent pas sous les bras mais elles restent. Elles attendent peut-être une nouvelle couche, pour rester fraîches ?). Je passerais bien tout au lance-flammes et les grillerais bien au chalumeau mais les chats émettent des réserves. Or, je suis une propriétaire de chats démocrate, j'entends les souhaits de mes troupes. A priori, même croûtés, ils tiennent à leurs poils. Reste à noyer la baraque sous le glenn fidish ? J'aurai les seuls chats alcoolos all over the world. Quant à moi, boire ou conduire... je resterai couchée. L'hiver et les froidures arrivent mais je les imagine bien, les sournoises saletés infimes autant qu'infâmes, se terrer au creux de tout ce qui est douillet dans une maison. Et Dieu sait qu'il y a moult choses douillettes dans une maison. Déménager dans un bunker, peut-être... Si vous me voyez arriver le crâne rasé un de ces jours, vous saurez que j'aurai atteint le fond du désespoir quoique ratisser mon mètre de cheveux ne chassera pas les envahisseuses. Mais on a le droit de se désespérer, nom d'une pustule ! Ca, vous ne les verrez pas : ces saletés (des mâles, à n'en pas douter) piquent dans les pantalons et sous les tee-shirts. Je les hais, je les méprise. Le drame est qu'elles s'en battent l'oeil.
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