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Crotaphopeltis tornieri (Werner, 1908) Synonymes Leptodira tornieri Werner, 1908 Leptodeira tornieri Barbour & Amaral, 1927 Crotaphopeltis hotamboeia tornieri Barbour & Loveridge, 1928 Crotaphopeltis hotamboeia hotamboeia Bogert, 1940 Crotaphopeltis tornieri Broadley, 1968 Répartition géographique Afrique Malawi (Nord), Tanzanie (Monts Rungwe, Uluguru, Usambara).
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Crotaphopeltis hotamboeia (Laurenti, 1768) Synonymes Coronella hotamboeia Laurenti, 1768 Leptodira rufescens Gmelin, 1789 Coronella rufescens Schlegel, 1837 Dipsas inornatus Smith, 1849 Heterurus rufescens Duméril & Bibron, 1854 Crotaphopeltis rufescens Bocage, 1866 Leptodira hotamboeia Peracca, 1897 Leptodira hitamboeia Boulenger, 1897 (erreur) Leptodeira hotamboeia Schmidt, 1923 Crotaphopeltis hotamboeia hotamboeia Loveridge, 1937 Tarbophis barnum-browni Bogert, 1940 Crotaphopeltis hotamboeia ruziziensis Laurent, 1956 Crotaphopeltis hotamboeia Broadley, 1968 Répartition géographique Afrique Angola, Botswana, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Erythrée, Ethiophie, Gabon, Gambie, Ghana, Kenya, Lesotho, Malawi, Mali, Mozambique, Ouganda, République Centrafrique, République d'Afrique du Sud (Sud-Est), République Démocratique du Congo (sauf le Centre), Rwanda, Sénégal, Somalie (Sud), Soudan, Swaziland, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe. Photo pour illustration. Source: google
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Crotaphopeltis hippocrepis (Reinhardt, 1843) Synonymes Dipsas hippocreppis Reinhardt, 1843 Heterurus hippocrepis Duméril & Bibron, 1854 Leptodeira hippocrepis Gray, 1858 Leptodira hotamboeia Boulenger, 1896 (not Laurenti) Crotaphopeltis hotamboeia Chabanaud, 1921 (not Laurenti) Crotaphopeltis acarina Roman, 1974 Crotaphopeltis hippocrepis Rasmussen, 1985 Répartition géographique Afrique Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Nigeria, République Centrafrique, Sierra Léone, Togo. Jeune spécimen en mue. Photo pour illustration. Source: google
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Des fourmis trompées par des chenilles se faisant passer pour leur reine Oxford, Grande-Bretagne - Les scientifiques ont découvert que les fourmis communiquent régulièrement entre elles en frottant une partie de leur corps, semblable à un médiator, à leur abdomen. Un mode de communication parfois détourné par d'autres insectes, à leur avantage. En insérant des microphones et des enceintes miniatures dans les nids, les chercheurs ont découvert que la reine pouvait donner des instructions à ses ouvrières. Ils ont enregistré ses "discours", et ont également découvert que d’autres insectes imitent ces messages, pour faire des fourmis leurs esclaves. Ainsi, les chenilles d'une espèce de papillon détournent les fourmis de leur tâche pour se faire nourrir. L'enregistrement a révélé que les sons émis par la reine différaient subtilement de ceux des fourmis ouvrières. En temps de pénurie alimentaire, il est arrivé que les ouvrières "esclaves" tuent les larves de leur propre nid pour nourrir des chenilles qui se faisaient passer pour leur reine. Dans la nature, reine des fourmis et chenille ne se rencontrent pas, restant dans des parties différentes de la fourmilière. Mais lors d’une expérience, une chenille feignant d’être une reine, a été placée avec des fourmis ouvrières et quatre vraies reines. Ces dernières ont attaqué la chenille, mais les ouvrières sont intervenues pour la défendre, mordant leurs propres reines. La chenille resterait environ 11 à 23 mois dans une fourmilière, avant de se métamorphoser en adulte et de s’envoler au loin. Le professeur Thomas, de l’université d’Oxford, explique que cette étude "représente une découverte importante dans la conception d’une stratégie de conservation fructueuse pour cette espèce de papillon". Source: http://www.maxisciences.com/fourmi/des-fourmis-trompees-par-des-chenilles-se-faisant-passer-pour-leur-reine_art846.html
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Ce sont des spécimens NC ou d'origine sauvage? Bonne chance, en tout cas, pour l'élevage de cette espèce. Tiens nous au courant et donne nous des informations sur élevage de cette espèce. J'ai d'abord fait des recherches sur cette espèce, car elle m'intéresse aussi.. Je ferais les recherches sur les autres espèces petit à petit
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J'ai peu d'informations sur le maintien en captivité à te fournir: Le substrat pour être simplement des copeaux ou de la litière supportant un taux d'hygrométrie allant de 70à 80% ainsi que des pulvérisations quatidiennes La température diurne est comprise entre 29-32° C. Pour la nuit, 25-26°C. Un grand point d'eau, quelques branchages (car si même cette espèce est terrestre, elle n'existe pas à grimper) et des cachettes aux sols sont indispensables. Des souris, non poilées, imprégnaient de l'odeur de grenouilles sont acceptées. Voici quelques photos: Photos pour illustration. Source: google
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En ce qui concerne Crotaphopeltis hotamboeia Répartition géographique: Afrique du Sud, Angola, Botswana, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Kenya, Lesotho, Mali, Malawi, Mozambique, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Soudan, Swaziland, Tanzanie, Ouganda, Zambie, Zimbabwe. Taille: De 45 à 80 cm (maximum connu 102 cm). Habitat: Savanes, forêts ouvertes, près des marais, des marécages et des tourbières. Très présent à proximité des habitations et dans les zones cultivées. Se rencontre jusqu'à 2 500 m d'altitude. Biologie: Terrestre (se rencontre surtout après la pluies). Crépusculaire et Nocturne. Nourriture: Essentiellement des amphibiens, parfois des lézards et plus exceptionnellement des rongeurs. Reproduction: Ovipare. De 5 à 12 oeufs mesurant environ 30 x 12 mm pondus au début de la saison des pluies. Les nouveaux-nés mesurent de 13 à 15 cm. Venin: Il n'existe aucun rapport fiable sur les symptômes suite à une morsure. Son venin n'a pas été encore étudié. Seules les glandes à venin ont été examiné par IRM. J.P Chipaux (1999) rapporte "Crotaphopeltis hotamboeia est responsable de nombreux cas de morsure sans signe clinique ou avec un discret oedème au point de morsure et une légère inflammation locale".
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