askook

Dinodon septentrionalis Photo pour illustration. Source:Google Généralité Répartition géographique: Asie: Cambodge, Chine, Inde, Laos, Myanmar, Thaïlande, Viêt Nam. Taille: De 80 à 125 cm. Biotope: Régions montagneuses. Vit dans les collines à proximité de rivières. Biologie: Terrestre. Nocturne. Nourriture: Reptiles (lézards), amphibiens. Reproduction: Ovipare.

Dinodon semicarinatum Photo pour illustration. Source:Google Généralité Répartition géographique: Asie: Japon (Iles d'Okinawa et d'Amami). Taille: De 70 à 170 cm, avec un maximum connu de 208 cm. Biotope: Plaines côtières, zones cultivées, forêts humides de basse terre, forêts de montagne. Biologie: Terrestre. Nocturne. Nourriture: Reptiles (serpents, lézards); amphibiens, poissons, rongeurs. Reproduction: Ovipare.

Voici un article pour commencer feeding ecology, reproduction and sexual dimorphism in the colubrid sanke Crotaphopeltis hotamboeia in southern Africa http://www.anu.edu.au/BoZo/Scott/PDF%20Files/2000.KeoghetalCROT.pdf

Filip Longhitano http://www.heterodon.com/ Photo pour illustration extraite du site

Ma référence: Dumerilia Les serpent venimeux du monde : Systématique et répartition. Le présent ouvrage fournit une liste à jour commentée des serpents venimeux du monde, avec leur répartition par pays, établie d'après la littérature récente. Les principales références taxinomiques sont données pour tous les genres et espèces valides, ainsi que leurs noms communs en Français et en Anglais. Les sous-espèces valides sont mentionnées. La répartition de chaque espèce est donnée par l'énumération de tous les pays habités par le taxon, accompagnée de références bibliographique taxinomiques et biologiques. Enfin, une liste des espèces venimeuses est présentée pour chaque pays du globe. Publications de l'Association des Amis du Laboratoire des Reptiles et Amphibiens du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris Volume 3 - Février 1999 - 500 pages

Déroulement chronologique d'une morsure de Vipera ammodytes Photo pour illustration. Source: google The Vipera ammodytes was present and Franz was bitten by a juvenile specimen. The snake bit Franz in his right thumb which swelled within twenty minutes to double its size. After two hours his forearm was swollen and the next day his entire arm was seriously swollen and turned blue. About three days later we decided to go to the hospital and after some injections the situation turned for the better. Slowly the swelling became better and after about seven days the arm reduced back to its normal size. Source: http://www.herpetofauna.at/berichte/peloponnes/Peloponnes_part01_argolis_peninsula.php

Vipera ammodytes: Albanie, Arménie, Autriche, Azerbaïdjan Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Géorgie, Grèce, Hongrie (Ouest), Italie (Nord), Macédoine Monténégro, Roumanie, Russie, Serbie, Slovénie, Turquie. Vipera latastei: Algérie (Nord), Espagne, Maroc (Nord), Portugal, Tunisie (Nord).

Toxicologie: Les morsures de vipères http://docmed.free.fr/ref/vipere.pdf

Est tu sur de cela ? tu as certainement raison mais ... j'aurai penser que la vipéra Bérus posséder le venin le plus puissant Trouvé sur wikipedia: Les morsures sont rares mais son venin est très actif et dangereux pour l’homme car il est injecté en grande quantité, mais il l'est moins que celui de la Vipère berus. Symptômes : vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, hypotension. Il nécessite l'injection d'un sérum antivenimeux. Sûr, absolument pas. Qui peut-être sûr de tout Pour être sûr, il faudrait que je me fasse envenimer par une vipère péliade et une vipère ammodyte pour pouvoir comparer Pour être un peu sérieux. Ma réponse est ce qui revient le plus souvent dans les articles scientifiques. En ce qui concerne la quantité de venins dans les glandes à venin, voilà ce que cela donne De 25 à 30 mg pour Vipera berus De 30 à 40 mg pour Vipera aspis Environ 65 mg pour Vipera ammodytes Les crochets de Vipera ammodytes mesurent de 8 à 12 mm. Photo pour illustration. Source: google

Vipera ammodytes possède le venin le plus puissant des espèces européennes du genre Vipera.

Tu n'arrives pas à voir l'article Une photo, sans explication, n'a que peu d'intérêt...

C'est bien le mâle qui est en photo. On a pas voulu trop embêter et manipuler la femelle en raison de ses oeufs... Le couple vient de la ferme tropicale et a été vendu pour du Damon variegatus http://www.lafermetropicale.com/boutique/index.php?rub=ref&id=1073491979 Pour le reste, je laisse Chance te répondre...

A peine arrivé...

Severe envenoming by a Gaboon viper (Bitis gabonica) http://www.smw.ch/docs/pdf200x/2001/03/smw-06142.pdf

Comment différencier Bitis gabonica gabonica et Bitis gabonica rhinoceros - Bitis gabonica rhinoceros possède deux cornes nasales plus développées - Bitis gabonica rhinoceros ne présente qu'un seul triangle de couleur foncée, de l'oeil à la commissure des lèvres. Bitis gabonica rhinoceros. Photo pour illustration. Source: google Bitis gabonica rhinoceros. Photo de Chance et d'Askook - Bitis gabonica gabonica se caractérise par la présence de deux triangles latéraux, l'un vertical de l'oeil aux labiales supérieures et l'autre oblique à l'oeil à la commissure des lèvres. Bitis gabonica gabonica. Photos pour illustration. Source: google L'aire de répartition de ces deux sous-espèces est bien distincte et aucun croisement à l'état naturel entre ces deux sous-espèces n'est possible. Bitis gabonica gabonica: Angola, Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, Kenya, Malawi, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République d'Afrique du Sud, République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Soudan, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe Bitis gabonica rhinoceros: Benin, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Libéria, Sierra Leone, Togo Lors de travaux, LENK et al. 1999 ont fait de Bitis (Macrocerastes) rhinoceros une espèce à part entière. Cette révision n'est que peu utilisée et non reconnue par la plupart des auteurs. http://www.uni-heidelberg.de/institute/fak14/ipmb/phazb/pubwink/1999/7.%201999.pdf

Dix espèces d'amphibiens inconnues de la science ont été découvertes en Colombie, dont une grenouille à la peau hérissée et aux cuisses orange et trois grenouilles venimeuses, a annoncé lundi Conservation International (CI), une organisation américaine de protection de la nature. Cette grenouille du genre Pristimantis fait partie des espèces découvertes. Ces découvertes ont été faites au cours d'une expédition à laquelle a participé Conservation International dans les montagnes de Tacarcuna, dans la région de Darien à la frontière avec le Panama, au nord-ouest du pays. Diversité Il s'agit de neuf nouvelles espèces de grenouilles et d'une espèce de salamandre. Outre les espèces de grenouilles déjà mentionnées, figurent trois types de grenouilles dites "de verre" à la peau quasiment transparente, un type de grenouille arlequin et deux types de grenouilles tropicales. La Colombie possède l'une des communautés d'amphibiens les plus diverses dans le monde avec 754 espèces différentes. Outre ces découvertes, l'équipe de scientifiques a également eu la surprise de trouver pour la première fois des espèces observées seulement jusqu'alors plus au sud du continent sud-américain. Ils ont cité une salamandre (Bolitoglossa taylori), une grenouille tropicale (Pristimantis pirrensis), un petit lézard (Ptychoglossus myersi) et un serpent pas encore identifié. Les scientifiques considèrent que les amphibiens sont d'importants indicateurs de la santé de l'écosystème car leur peau perméable les expose aux éléments extérieurs. Ils peuvent ainsi servir d'alarme quand des dégradations se produisent dans l'environnement, ont expliqué ces chercheurs selon lesquels près d'un tiers des amphibiens de la planète sont menacés d'extinction. Arche de Noé Durant cette expédition de trois semaines, l'équipe d'herpétologues et d'ornithologues a également observé environ 60 espèces d'amphibiens, 20 espèces de reptiles et près de 120 espèces d'oiseaux dont un grand nombre ne se trouvent nulle part ailleurs. Ils ont aussi observé de grands mammifères parmi lesquels un tapir laineux ou andin, quatre espèces de singes dont un singe araignée aux mains noires et un capucin moine, ainsi qu'un pécari à lèvres blanches, une sorte de petit cochon sauvage des bois. "Sans aucun doute, cette région est une véritable Arche de Noé", a souligné Jose Vicente Rodriguez-Mahecha, le directeur scientifique de Conservation International en Colombie. "Le nombre élevé de nouvelles espèces d'amphibiens découvertes est encourageant malgré la menace sérieuse d'extinction à laquelle fait face l'ensemble de ces animaux dans de nombreuses autres régions de la Colombie et du monde", a-t-il ajouté. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/662567/2009/02/03/Decouverte-de-dix-especes-d-amphibiens-inconnues.dhtml

Avec tout le whisky que tu bois en ce moment, la cirrhose s'est d'abord pour toi boire un verre

Que voudrais-tu que je te lègue grand pharaon

Il y a un article d'Aurelien Bour sur l'élevage de Peruphasma schltei dans le Reptil-Mag N°35 de janvier-février-mars 2009

Comme ce fut le cas lors de la découverte du python réticulé nain, un grand nombre de terrariophiles étaient septiques quand à l'existence d'un tel animal. Les premiers spécimens ont été importés aux USA et en Europe en 2002. Seulement un petit nombre d'individus adultes fut introduit en captivité et vendus aux plus offrants. La provenance exacte de ces animaux fut longtemps gardée secrète, mais on sait aujourd'hui que l'on trouve le python molure nain sur plusieurs petites îles au sud du Sulawesi dans la mer de Flores, apparemment les mêmes que celles où habitent les pythons réticulés nains. La taille adulte du pyhton molure nain n'excède pas les deux mètres. Des femelles sauvages importées gravides ne mesuraient que 160 cm. Les mâles sont capables de se reproduire à seulement 120 cm! La morphologie et le patron du molure nain sont très différents du Pyhton molurus molurus et du Pyhton molurus bivittatus. Ceci indique clairement qu'il s'agit d'une nouvelle sous-espèce mais pour l'instant aucune étude ou description scientifique n'ont été réalisées. Beaucoup d'éleveurs ont choisi d'utiliser Python molurus ssp. comme nom scientifique. Actuellement le python molure nain est importé comme Python molurus bivittatus et donc en Annexe II de la Convention de Washington. Il y a eu pour l'instant assez peu de reproduction en captivité et les jeunes d'élevage restent assez rares pour l'instant. A la naissance, un jeune ne pèse que 40 g contre 190 g pour un jeune python molure "classique". Quand ils sont nés en captivité, les pythons molures nains ont de bonnes dispositions et un caractère facile, les adultes sauvages en revanche sont très nerveux et irritables. Comme pour le python réticulé nain, on peut prévoir un grand succès auprès des amateurs pour le python molure nain. Beaucoup d'entre nous rêvent d'avoir un python molure mais ne disposent pas de beaucoup de place ou n'ont pas forcément envie de manipuler un géant de 4 m, le python molure nain permet d'avoir tous les avantages sans les inconvénients. Plusieurs projets d'élevage sont en cours pour produire des pythons molures nains en mutations. Ceci est possible grâce au croisement avec des pythons molures de taille normale,porteurs d'une mutation. Il sera donc possible dans un futur proche de trouver des pythons molures nains albinos, granite, labyrinth, etc. Article de Nicolas Hussard tiré de Reptil-Mag N°35 de Janvier-Février-Mars 2009 Liens: http://240plan.ovh.net/~herptek/nhreptiles/?page=reptiles_pythons_fiche&id_fiche=47&id_categories=19&PHPSESSID=e9fffb113d5654010d4da1cbcefc9549 http://www.lafermetropicale.com/boutique/index.php?rub=ref&id=1136541371.

Source: Terrarium Pratique N°4 Avril/Mai 2001