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Eunectes murinus Eunectes murinusPhoto pour illustration. Source: google Généralité Répartition géographique: Amérique du Sud: Bolivie, Brésil, Colombie, Guyana, Guyane Française, Pérou, Trinidad, Vénézuela. Taille: En moyenne entre 300 à 500 cm. Les records sont de 845 cm (Bellosa, 2003) et de 960 cm (Flindt, 2002). La récompense offerte par La Société Zoologique du Muséum de New York de 5 000 dollars à qui lui présentera un anaconda de plus de 10 m est toujours disponible. Biotope: Zones marécageuses (marais et marécages), rives de cours d'eau et de lacs. Biologie: Terricole et semi-aquatique. Diurne Nourriture: Gros mammifères, reptiles (crocodiles, tortues) Reproduction: Ovovivipare. De 15 à 40 jeunes. Caractéristique: Le deuxième plus long serpent et le premier en poids (maximum connu 230kg).
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Thelotornis kirtlandii Thelotronis kirtlandii Généralité Répartition géographique: Afrique: Angola, Benin, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Guiné Equatoriale, Kenya?, Libéria, Nigeria, Ouganda, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo (excepté le Nord), Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan, Tanzanie, Togo, Zambie. Taille: De 100 à 120 cm avec un maximum de 158, 7 cm. Biotope: Forêts. Biologie: Arboricole. Diurne. Nourriture: Oiseaux, lézards seront sa nourriture de base. Serpents, amphibiens et micro-mammifères pourront compléter son régime alimentaire. Reproduction: Ovipare. De 4 à 10 oeufs, mesurant 30 mm x 15 mm. Caractéristique: Les Thelotornis dilatent verticalement leur cou quand ils sont inquiétés.
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Euprepiophis mandarinus et actif: Les deux ne sont pas compatibles. Pour la beauté, Euprepiophis mandarinus te donnera toute satisfaction. Pour moi, c'est le plus beau serpent Mais en ce qui concerne ses moeurs, tu risques d'être déçue. Je vois mes spécimens qu'une fois par jour et cela se compte en minute. Ils viennent, en pleine saison, se mettre un peu devant la vitre pour se réchauffer avec le soleil levant. Puis c'est tout... Le reste du temps, ils sont enfouis dans leur sphaigne humide. Pour le prix, tu peux trouver des spécimens nouveau-nés NC de bonnes souches à partir de 250€.
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Question entre un python molure & un python des rochers
askook a répondu à un(e) sujet de Constricteur dans Serpents
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Question entre un python molure & un python des rochers
askook a répondu à un(e) sujet de Constricteur dans Serpents
Python sebae: De 300 à 500 cm (en moyenne 350 cm). La taille des spécimens sauvages a tendance à diminuer en raison de la chasse intense dont cette espèce fait l'objet pour la peau et la viande. Le record semble être détenu par un spécimen de 980 cm, abattu en Côte-d'Ivoire, dans les années 30 (Berart, 1932, cité par Roux-Estève, 1969). Pythonn molurus: Femelle: 500 à 600 cm Mâle: 350 à 400 cm Un spécimen détenu au Snake Safari Park à Gurnee dans Illinois (Etats-Unis) mesurait, en 2005, 823 cm pour un poids de 182,76 kg. En ce concerne le plus grand serpent, selon John C. Murphy & Robert W. Henderson, le record date de 1912 et a été dûment homologué. Il est de 32 pieds 9,5 pouces, ce qui fait 9.83 pour un Python reticulatus trouvé sur l'île de Sulawesi (Célèbes). -
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Le sens voméronasal La fonction voméronasale existe chez les lézards et chez les mammifères (à l'exception des cétacés et des primates supérieurs), mais c'est chez les serpents qu'elle atteint le perfectionnement le plus poussé. Longtemps considérée comme un complément de l'olfaction, elle s'en distingue par la nature du stimulus et les centres nerveux qui lui sont associés. Elle est à l'origine de nombreux comportements dont on commence à mesurer la signification et la diversité. Tête de couleuvre. Fosse nasale et organe de Jacobson. La langue, fine et bifide (fourchue), que le serpent sort et rentre à des rythmes variées et sur une plus ou moins grande longueur, recueille, par de brefs contacts avec le substrat, des molécules non volatiles qu'elle transporte au voisinage de l'organe récepteur: l'organe voméronasal ou organe de Jacobson. Situé dans la cavité buccale, l'organe de Jacobson s'ouvre au plafond de la cavité buccale par deux orifices. Les cellules sensorielles de cet organe réagissent au contact de molécules spécifiques par des flux nerveux qui gagnent les bulbes olfactifs accessoires, et de là d'autres centres encéphaliques et plus particulièrement le noyau sphérique. Les serpents, en particulier les couleuvres, ont développé au plus haut point cette fonction. Chez certains colubridés, le bulbe voméronasal est beaucoup plus volumineux que le bulbe olfactif principal. L'observation d'un serpent en conditions expérimentales montre que le comportement initial se compose de "coups de langue" pour explorer le milieu. Il peut ainsi reconnaître une proie, la pister si elle se déplace, l'attaquer puis la retrouver si elle s'échappe après avoir été mordue. La fonction voméronasale n'est pas seule à l'origine d'un tel comportement. Néanmoins, chez la plupart des espèces, elle prédomine sur les autres fonctions (olfaction, vision ou thermosensibilité). La fonction voméronasale favorise également les relations entre individus d'une même espèce. Elle permet de pister des congénères pour former avec eux les fameux "noeuds de serpents", agrégats rencontrés surtout en début d'hivernage, servant à maintenir une certaine cohérence sociale et participant au rapprochement des sexes au début du printemps.
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L'effet des températures sur le sex-ratio Les changements climatiques ont des effets moins évidents que l'allongement des saisons de végétation sur les espèces telles que les crocodiles ou les amphibiens. Chez le crocodile du Nil (Crocodylus niloticus), une température du nid de 32-33° C donne uniquement des mâles, alors que des températures inférieures donnent des femelles. Les températures du nid fluctuent généralement avec la profondeur (dans le sable), ce qui permet d'avoir une quasi répartition des mâles et des femelles. Toutefois, une augmentation des températures pourrait fortement perturber cet équilibre et provoquer la disparition du crocodile du Nil de certaines zones. Il faut noter, qu'une reproduction efficace requiert une population équilibré en mâles et en femelles. Une déviation en faveur de l'un ou l'autre sexe affecte la reproduction, et par la suite la survie de la population et de l'espèce. Les changements climatiques actuels sont donc susceptibles de dévier la proportion des sexes de certains reptiles et amphibiens, voire d'invertébrés, ce qui aura une incidence sur de nombreux maillons des écosystèmes et pourrait conduire à la disparition d'espèces. Photo pour illustration. Source: Google Crocodylus niloticus voit le sexe de sa descendance déterminé par la température du nid. Le réchauffement climatique pertubera l'équilibre entre les sexes. L'effet des températures sur le sex-ratio est d'ailleurs l'une des hypothèses avancées pour expliquer la disparition des dinosaures. L'impact d'une météorite et le nuage de poussière soulevé auraient causé des changements climatiques favorisant la naissance des dinosaures mâles, d'où leur extinction. Source: Sciences et Avenir. Hors série N°150 Mars/Avril 2007
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Thelotornis kirtlandii (Hallowell, 1844) Synonymes Leptophis kirtlandii Hallowell, 1844 Oxybelis lecomptei Duméril & Bibron, 1854 Tragophis rufulus Duméril & Bibron, 1854 Dryophis kirtlandii Hallowell, 1854 Oxybelis violacea Fischer, 1856 Oxybelis kirtlandii Hallowell, 1857 Thelotornis kirtlandii Fischer, 1884 Répartition géographique Afrique Angola, Benin, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Guiné Equatoriale, Kenya?, Libéria, Nigeria, Ouganda, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo (excepté le Nord), Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan, Tanzanie, Togo, Zambie. Commentaire Certains auteurs (Spawls (1978), Harding & Welch (1980), Welch (1982) ont cité Thelotornis kirtlandii au Kenya. Il s'agit probablement d'une erreur, elle n'est pas citée par Broadley (1979) ni par dautres auteurs, qui soulignaient la ressemblance de l'espèce avec Thelotornis capensis, dans ce pays. Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Thelotornis Smith,1849 Thelotornis capensis (Smith, 1849) Sous-espèces Thelotornis capensis capensis (Smith, 1849) Thelotornis capensis mossambicanus (Bocage, 1895) Thelotornis capensis oatesi (Günther, 1881) Thelotornis capensis schilsi Derleyn, 1978 Comentaires Golay et al. (1993) ont placé Thelotornis capensis schilsi comme synonyme de Thelotornis capensis mossambicanus. Thelotornis capensis mossambicanus est considéré par certains auteurs (Broadley, 2001; Razzetti & Msuya, 2002) comme une espèce valide. Synonymes Thelotornis kirtlandi capensis Smith, 1849 Thelotornis capensis capensis Smith, 1849 Thelotornis kirtlandii capensis Loveridge, 1957 Répartition géographique Afrique Angola (Sud/Est), Botswana, Burundi, Kenya (Sud/Est), Malawi, Mozambique, Namibie, République d'Afrique du Sud (Nord/Est), République Démocratique du Congo (Sud), Somalie (Sud), Swaziland, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe. Photos pour illustration. Source: google Commentaire Thelotornis capensis est responsable d'envenimations mortelles. Cette espèce possède un venin fortement protéolytique provoquant de graves syndromes hémorragiques mortels chez l'homme en l'absence de traitement. (Chippaux, 1999; David & Ineich, 1999).
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Si notre déménagement ne perturbe pas trop nos reproducteurs. - Coelognathus radiatus - Euprepiophis mandarinus - Heterodon nasicus - Pantherophis gutatus (classique) - Pituophis catenifer annectans applegate - Pituophis catenifer affinis (classique et albinos) - Pituophis catenifer sayi (classique) - Pituophis catenifer vertebralis - Pituophis deppei jani - Pituophis melanoleucus melanoleucus
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Alimentation des tortues terrestres (Testudo )
askook a répondu à un(e) sujet de jay1111 dans Tortues - Crocodiles