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Tu dois faire erreur Voici en date du 13 septembre 2007, la liste des sepents en Annexe I de la CITES Boidae Acrantophis ssp. Boa constrictor occidentalis Epicrates inornatus Epicrates monensis Epicrates subflavus Sanzinia madagascariensis Bolyeridae Bolyeria multocarinata Casarea dussumieri Pythonidae Python molurus molurus Viperidae Vipera ursinii (Seulement la population de l'Europe mais pas celles de l'ancienne Union des Républiques socialistes soviétiques, qui ne sont pas inscrites aux annexes) Aucun colubridae n'apparait dans l'Annexe I. En Annexe II, se trouvent en colubridae: Clelia clelia, Cyclagras gigas, Elachistodon westermanni, Ptyas mucosus et en Annexe III: Atretium schistosum (Inde), Cerberus rynchops (Inde), Xenochrophis piscator (Inde).
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Bibiographie de Nicole Viloteau - Dragons (2007) - Brousses lointaines (2005) - Beautés du diable (2003) - Madagascar (2001) - Jungle mystère (2000) - Bivouacs (1999) - Les Dragons de Komodo (1992) - Les Sorciers de la pleine lune (1990) - Australie, démons et merveilles (1987) - La Femme aux serpents (1985)
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QUOI, COMMENT !!!!!! TU AS PERDU ORAAH ATTENTION A LA REACTION DU PERE FOUETTARD Et bien, pour qui tu me fais passer. Tous les nouveaux membres vont me prendre pour le tyran de service Ce n'est pas l'envie d'Oraah d'aller faire un peu de herping, qui va faire de toi un mauvais terrariophile. Cela arrive à beaucoup de monde. Simplement, peu ose le dire de peur de se faire "rembarrer". Le dire, démontre bien ta force et ton courage. Déjà là, je dis "chapeau" El Mino... En ce concerne Oraah, tu vas la retrouver. On ne peut pas imaginer, les endroits où ils se cachent, lorsqu'ils sont en vadrouille, nos petits "virus". J'ai retrouvé un bébé "gutt" neuf mois après son évasion. Il était plus gros que ses frères et soeurs que j'avais élevé et nourri. Alors garde espoir....
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Les savanes Les Savanes constitue un biome des zones semi-arides de la planète. Ces écorégions sont plus précisément nommées savanes, et les forêts claires tropicales et subtropicales. Sous ces climats tropicaux à saison sèche marquée, de vastes territoires sont occupés par la savane. La savane proprement dite est une formation végétale composée principalement de plantes herbacées vivaces de la famille des Poacées (Graminées). Elle est plus ou moins parsemée d'arbres ou d'arbustes. Selon la densité (croissante) des espèces ligneuses, on parle de savane arbustive, de savane arborée, puis de forêt claire, la transition se faisant en général de manière progressive. Les cours d'eau traversant la savane sont bordés de forêts-galeries dépassant rarement quelques centaines de mètres de large. Savane herbeuse. Photo pour illustration. Source: google La savane couvre d'immenses régions tropicales et subtropicales du centre de l'Amérique du Sud, du centre et du sud de l'Afrique, de l'Asie et de l'Australie. Il y a généralement trois saisons distinctes dans ces régions: une saison fraîche et sèche, une saison chaude et sèche et une saison chaude et pluvieuse, dans l'ordre. Le sol est parfois fertile mais, dans la plupart des cas, il est rendu poreux par le drainage rapide de l'eau. Les sols poreux comprennent seulement une mince couche d'humus, la riche matière organique partiellement décomposée. Le terme savane désigne également les régions de chevauchement entre la forêt et la prairie. On trouve par exemple une savane en Amérique du Nord, dans la zone d'interpénétration entre la forêt et la prairie tempérée, dans une bande qui s'étend grosso modo du Minnesota à l'est du Texas. Là, les conditions climatiques et les caractéristiques des communautés sont à mi-chemin entre celles de la forêt et celles de la prairie. Savane arborée. Photo pour illustration. Source: google Malgré son apparente simplicité, la savane s'avère riche en espèces. La richesse taxonomique est élevée, s'accroissant des savanes sèches aux savanes humides et aux forêts-galeries. On trouve d'une part des espèces aux formes lourdes aux colorations cryptiques, telles que - Bitis arietans, plus sombre dans la savane humide que dans la savane sèche du Sahel (Afrique) - Daboia russelli, Naja kaouthia (Asie) - Acanthophis antarcticus (Australie) On y rencontre aussi des espèces aux formes minces et très rapides - Psammophis sibilans (Afrque) - Ptyas mucosa (Asie) - Liophis miliaris, Mastigodryas boddaerti (Amérique du Sud). Les espèces fouisseuses sont souvent de couleur sombre, ainsi que les espèces terrestres et trapus - Lamprophis lineatus ou camouflés - Causus rhombeatus Bitis arietans. Photo pour illustration de Pierre-Yves Vaucher La végétation herbacée et les buissons des savanes plus ou moins arbustives d'Afrique sont fréquentés par - Dendroaspis polylepis, Dasypelytis scabra Les espèces arboricoles sont généralement minces - Thelotormis capensis ou bien assez robustes mais rapides comme - Dendroaspis angusticeps. La savane d'eucalyptus d'Australie héberge - Ramphotyphlops australis au mode se vie fouisseuse - Demansia atra au moeurs terrestre - Morelia amethystina qui est semi-arboricole. En Amérique Centrale et du Sud - Crotalus durissus est présent dans les milieux très ouverts (les campos); Des espèces plus ou moins aquatiques fréquentent les marais et rivières des savanes humides d'Afrique - Afronatrix anoscopus, Boulengerina annulata - Rhabdophis subminiatus, quant à lui fréquentes rizières et marais d'Asie. Rhabdophis subminiatus.Photo pour illustration. Source:google De nombreux Ophidiens occupent les savanes plus sèches, à épineux, limitrophes des zones semi-arides et intermédiaires avec les déserts. La température maximale moyenne annuelle y est supérieure à 30° C et la saison des pluies courte et nette. La végétation, brousse discontinue d'arbres tortueux ombelliformes et de graminées éparses, abrite - Psammophis sibilans, Naja haje, Echis leucogaster (Afrique) - Pseudonaja modesta (Australie) - Bothrops erythromelas (Amérique du Sud) Dans ces formations végétales semi-arides d'Amérique du Nord, on trouve de nombreuses espèces terrestres du genre - Crotalus ssp. ainsi un des colubridés paticulièrement rapides et héliophiles telles que - Masticophis lateralis Dans ces milieux variés et plus ou moins ouverts, la diversité des espèces est due aux conditions climatiques favorables et au grand nombre de proies disponibles.
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Les forêts tropicales humides de montagnes La forêt tropicale humide de montagne est la forêt qui pousse sur les montagnes, à partir d'une altitude de 1 000/1 500 mètres. Au-dessus, et jusqu'à 2 500/3 500 mètres d'altitude, La forêt tropicale humide de haute montagne, est appellée " forêts de brouillard ou forêts de nuage". C'est une forêt qui reçoit la majorité de ses précipitations de la brume ou du brouillard qui monte des basses-terres humides. Les arbres des forêts tropicales humides de montagne sont typiquement moins grands que ceux des forêts tropicales des basses-terres, ce qui a pour résultat une canopée moins développée. Néanmoins, les arbres des forêts tropicales humides de montagne sont lourdement chargés d'épiphytes qui prospèrent dans l'abondante humidité du brouillard de passage. Les arbres poussant sur les basses hauteurs des Andes en Equateur, Pérou, Colombie, et Venezuela; Amérique Centrale (Monteverde et Costa Rica en particulier); Bornéo (Mont Kinabalu); et Afrique (Ethiopie, Kenya, Rwanda, Zaïre, Ouganda), sont souvent verts avec de la mousse dense et de magnifiques orchidées. Forêt tropicales humides de montagne. Photo pour illustration. Source:google Les parcelles des forêts tropicales humides de montagne ont tendance à abriter de nombreuses espèces endémiques, parce qu'elles sont souvent isolées d'autres sections de forêt tropicale humide de montagne par des vallées et des arêtes sur les côtés, par des forêts tropicales des basses-terres en dessous, et par des falaises escarpées au-dessus. Les espèces arboricoles prédominent: Atheris nitschei (Afrique) Morelia viridis (Australasie) Bothriechis schlegelii, Bothriechis nigroviridis (Amérique Centale) Bothriechis schlegelii. Photo pour illustration. Source:google on y rencontre aussi des espèces terrestres, ainsi que des espèces plus ou moins fouisseuses Deinagkistrodon acutus, Ovophis monticola (Asie) Atractus crassicaudatus (Amérique du Sud) Deinagkistrodon acutus. Photo pour illustration. Source: google
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Les forêts tropicales humides La forêt tropicale humide, aussi dite ombrophile ou pluvieuse, est un biome des zones intertropicales, caractérisé par une formation végétale arborée haute et dense, ainsi qu'un climat chaud et très humide. La forêt tropicale humide est la plus riche en diversité spécifique, tant pour les arbres que pour la flore ou la faune en général (jusqu'à plusieurs centaines d'espèces d'arbres par hectare, contre une dizaine au maximum en milieu tempéré). Elle est caractérisée par des arbres de grandes tailles à croissance lente tant qu'ils n'émergent pas sur la canopée, stade auquel ils se dotent souvent de forts contreforts. Les espèces, genres ou familles endémiques y sont les plus élevés parmi les écosystèmes des terres émergées. Le terme forêt tropicale humide désigne également la forêt primaire qui occupe ce biome (on parle de forêt secondaire sinon). Forêt tropicale de Guyane. Photo pour illustration. Source: google Les forêts tropicales humides occupent un peu moins d'un dixième de la superficie de toutes les forêts, soit 12,3 millions de km², mais elle abrite largement le plus de biodiversité spécifique. Ces forêts dites tropicales humides, ou ombrophiles se situent entre les deux tropiques et sont donc dites intertropicales, elles suivent globalement l'équateur thermique (ou météorologique). En Amérique du Sud, ces forêts très présentes (notamment dans le bassin de l'Amazone et le plateau des Guyanes), elles occupent plus de 5 millions de km² soit près d'un tiers du continent. En Amérique centrale, ce biome est observable dans toute la partie sud de la région. En Asie, il y a près de 3,5 millions de km² de forêt ombrophile, elles sont dans le Sud-Est asiatique, à l'exception d'une partie centrale de l'Indochine occupée par des forêts tropophiles, elles s'étendent de la Chine septentrionale à la Nouvelle-Guiné et laissent parfois la place aux mangroves sur les côtes. Sur la côte Ouest de l'Afrique elles couvrent la zone située sur l'équateur, de la Guinée au Gabon puis elles remontent quelque peu le cours du Congo toujours en suivant le parallèle 0°. Sur le littoral Est, la forêt tropicale se fait plus rare, elle n'est plus représentée que près du littoral kenyan, proche des mangroves ainsi que sur la côte Est de Madagascar et les îles avoisinantes comme l'île de la Réunion. Illustration tirée de google Les ophidiens des forêts pluviales comptent de nombreuses espèces, dont beaucoup sont endémiques, notamment les formes sub-terrestres et arboricoles. Cette abondance s’explique par les conditions particulièrement favorables à la vie qu’offre le climat équatorial. La forêt tropicale humide est située dans les régions de la zone intertropicale soumises à un climat équatorial. Ce climat a pour principales caractéristiques une humidité ambiante et une chaleur permanente ainsi qu'une égalité plus ou moins prononcée de la durée du jour et de la nuit durant toute l'année. Ce climat est de type chaud, la totalité de ses moyennes mensuelles sont supérieures à 18°C. 25-30°C, c'est la température que l'on peut rencontrer toute l'année dans ces régions, avec une amplitude thermique relativement faible : de l'ordre de 5°C. cette monotonie thermique s'exprime également dans les écarts de températures jour/nuit. Les précipitations sont fortes dans les régions équatoriales : supérieures à 1500-2000 mm/an avec toujours plus de 100 mm mensuels (en moyenne 200), mais le caractère marqué du climat est plutôt le fait de précipitations constantes (il pleut pendant les 3/4 de l'année) et donc d'une humidité permanente (80 % au sol en moyenne). Sous un couvert arborescent très haut, la végétation est exubérante, mêlée de lianes ligneuses, d’immense plantes herbacées, d’épiphytes, de branches, de troncs morts et de bambous qui forment des sous-bois inextricables sur des fonds spongieux. En raison de la densité forêt, de l'étagement des strates arborées et de la présence permanente des feuilles la lumière y pénètre difficilement. Photo pour illustration.Source:google La faune ophidienne, présente à tous les étages de cette végétation, offre dans une très grande diversité des formes plus ou moins liées aux différentes niches écologique. Fouisseurs et semi-fouisseurs sont très nombreux. Les fouisseurs sont généralement très foncés. C’est le cas des spécimens des genres: Anomalepis (Amérique du Sud) Typhlops et Leptoptyphlops (Afrique, Amérique du Sud, Asie) et Calabaria reinhardti (Afrique) Calabaria reinhardtii Photo pour illustration. Source: google Beaucoup d’espèces, terrestres ou semi-arboricole, peu spécialisées fréquentent la végétation au sol des forêts tropicales humides: Lamprophis olivaceus, Buhoma depressiceps,, Bitis nasiscornis, (Afrique) Anilius scytale, Clelia clelia, Bothrops atrox (Amérique du Sud) Python reticulatus, Xenopeltis unicolor, Calloselasma rhodostoma (Asie) Les espèces terrestres plus mobiles et très rapides (Ptyas carinata) sont peu représentées dans ces forêts tropicales et humides. Bothrops atrox Photo pour illustration. Source: google La canopée de la forêt tropicale humide est un écosystème à elle seule. Elle se compose d’arbres pouvant atteindre des hauteurs de 30 à 50 mètres. Les arbres émergents ne forment pas une strate dense : ils sont exposés à des températures élevées, à des vents parfois violents et à un air peu humide. La canopée supérieure est constamment occupée par différentes espèces d’ophidiens, dont un grand nombre y passe l’essentiel de leur vie. Les espèces arboricoles sont nombreuses, avec des colorations et souvent des formes cryptiques. La canopée de la forêt tropicale humide. Photo pour illustration. Source. Google Quelques espèces caractèristiques à la vie arboricole dans les forêts tropicales humides : Corallus caninus, Oxybelis fulgidus, Bothriopsis bilineata (Amérique du Sud) Hapsidophrys smaragdina (Afrique) Ahaetulla prasina, Chrysopelea paradisi, Parias sumatranus (Asie) Morelia viridis (Australasie) Chrysopelea paradisi Photo pour illustration. Source: google Les marais et les régions forestières inondées sont très riches en espèces d’ophidiens, souvent sombres, aquatiques ou non. Au cœur de forêts pluviales, les zones inondées et les rivières abritent de nombreuses espèces telles que : Natriciteres olivacea, Grayia ornata, Boulengerina annulata (Afrique) Eunectes murinus, Hydrops triangularis (Amérique du Sud) Macropisthodon rhodomelas (Asie) Eunectes murinus. Photo pour illustration. Source: google D’autre part, de nombreux serpents sont inféodés à la mangrove. La mangrove n'appartient pas à la forêt tropicale humide proprement dite, mais elle permet une transition entre cette dernière et les océans, elle subit le même climat mais son biome est différent car semi-aquatique et salé. Elle est caractérisée par la présence des palétuviers aux racines aériennes. Mangrove. Photo pour illustration. Source:google Marigauds, berges de rivières et mangroves sont habités, soit par des espèces semi-aquatiques, soit par des espèces strictement aquatiques ou par des espèces arboricoles vivantes sur les branches à proximité de l’eau. Le plus connu étant: Boiga dendrophila (Asie) Boiga dendrophila. Photo pour illustration. Source: google mais il existe plein d'autres espèces: Python curtus (Asie) Nerodia clarkii (Amérique) Acrochordus arafurae (Australasie)
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Habitats naturels des Ophidiens Les ophidiens occupent la majeure partie des terres émergées - certains sont même marins - et sont adaptés à une très grande variété de biotopes: l'ensemble de leurs habitats constitue un véritable éventail des milieux naturels sous presque toutes les latitudes, incluant des climats parfois extrêmes. Les seules terres dépourvues de serpents sont les régions polaires, quelques grandes îles (Irlande, Nouvelle-Zélande) ainsi que de nombreuses petites îles de l'Atlantique et du Pacifique central). En réalité, la présence d'une espèce n'est pas liée à un milieu végétal particulier ou à la nature d'un sol. Strictement carnivores, les ophidiens sont capables d'occuper une aire de répartition très vaste qui recouvre des associations végétales diverses, l'essentiel pour eux étant de trouver dans le paysage une structure adéquate. Connaître les habitats d'origines, peut servir le terrariophile dans sa quête de récréer au mieux, les conditions naturelles, en captivité. Voici donc un point sur tous ces habitats, ainsi quelqu'un de leurs occupants ophidiens.
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Quizz du 24.01
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Aplopeltura boa Aplopeltura boa Généralité Répartition géographique: Asie: Sultanat de Brunei, Indonésie, Malaysia, Myanmar, Iles Philippines, Thaïlande Taille: De 50 à 75 cm avec un maximum connu de 83,5 cm. Biotope: Forêts subtropicales et tropicales humides et denses, plaines humides et forêts montagneuses jusqu'à 1 300 m d'altitude. Biologie: Arboricole. Nocturne. Nourriture: Escargots, limaces, vers de terre et à l'occasion des petits lézards. Reproduction: Ovipare. De 4 à 8 oeufs. Caractéristique: Les serpents mangeurs d'escargots possèdent une technique bien à eux pour se nourrir. Le serpent s'approche de l'escargot par derrière, saisit les parties molles près de la coquille de celui-ci. En se rétractant, l'escargot entraîne la mâchoire inférieure du serpent dans sa coquille. Les os, garnis de dents, de la mâchoire supérieure du serpent s'incurvent simultanément vers l'intérieur pour glisser sur la coquille sans la briser. Le serpent exerce alors des tractions sur la mandibule pour étirer de plus en plus le corps de l'escargot, jusqu'à faire céder la coquille, libérant ainsi les parties molles qui seront avalées. Vie en captivité Terrarium: 50/60 x 30/40 x 50/60 cm. Température: Diurne: (25-28° C. Point chaud: 30°C). Nocturne: (18/20° C). Humidité: Élevée (70 à 80%). Luminosité: Intensité moyenne par tube fluorescent. UV indispensable. Nourriture: Escargots, limaces. Reproduction: De 4 à 8 oeufs. Naissance d'Aplopeltura boa
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Aplopeltura Duméril, 1853 Aplopeltura boa (Boie, 1828) Synonymes Amblycephalus boa Boie, 1828 Dipsas boa Schlegel, 1837 Aplopeltura boa Duméril, Bibron & Duméril, 1854 Haplopeltura boa Boettger, 1892 Répartition géographique Asie Indonésie [îles de Bangka, Bornéo, Java, Natuna, Nias, Sumatra], Malaysia, Myanmar, Iles Philippines [Balabac, Basilan, Mindanao, Palawan], Sultana du Brunei, Thaïlande Portrait
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Technique de nourrissage pour les serpents
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents
Accesoires de gavage La pince droite Conçue en acier inoxydable, cette pince est idéale pour les gavages. Les extrémités arondies sont striées ou recouvertes de caoutchouc pour une meilleure accroche selon les fabricants. La taille idéale pour ces pinces servant au gavave est comprise entre 115 à 200 mm. La Pinky pump La Pinky Pump a été inventée par les éleveurs américains pour pouvoir gaver efficacement les bébés serpents sans leur faire de mal. C’est un outil efficace pour démarrer certains bébés serpents. Mode d’emploi : - On remplie la pompe avec de 1 à 5 souriceaux de 2 grammes (fœtus) préalablement décongelé(s). Il est important que les souriceaux n’aient pas de poils. - On insère l’embout de la seringue dans la bouche du bébé serpent. - On presse, et on s’arrête en fonction des graduations et du nombre de bébé serpent à gaver. Précaution : lors des premiers gavages, donnez une faible quantité au bébé serpent. Ne cherchez pas à lui faire rattraper le retard en une seule fois. Laissez à son estomac le temps de se remettre en place. Pinky pump fabrication artisanale