-
Compteur de contenus
13 188 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par askook
-
Manipulations assez hasardeuses ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
-
Les grillons, quel bordel !
askook a répondu à un(e) sujet de Rafilayardi11 dans Insectes et Autres Invertébrés
-
-
-
Ma petite BCI (super hypomélanistique)
askook a répondu à un(e) sujet de réticulé dans Vos P'tits Virus
-
-
Zamenis situla (ex Elaphe situla)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Notes d'élevage Colubridés
Vie en captivité La couleuvre léopard, tout comme la couleuvre d’Esculape (Zamenis longissimus), était vénérée et élevée dans les temples dédiés à Asclépios en Grèce et à Esculape chez les romains, car elle symbolisait la santé et la beauté. Cette espèce a toujours fasciné les "éleveurs de serpents". La première publication sur son élevage date de 1884. Zamenis situla victime de sa beauté, a été très recherché par les collectionneurs dans les années 60/70. Le peu de spécimens disponibles, et toujours d’origine sauvage n’a jamais permis une commercialisation massive et l’on trouvait que très rarement la couleuvre léopard chez les vendeurs de serpents. Depuis, les choses ont évoluées. On trouve des spécimens nés en captivité et l’on verra que les conditions de maintenance sont mieux connues. En respectant certaines conditions, la couleuvre léopard ne pose guère plus de difficultés qu’une autre espèce de colubridé. Cependant, une certaine expérience est préférable avant de se lancer dans l’aventure de son élevage. Terrarium Un terrarium d’une dimension de 80/100 x 50/60 x 50/60 cm pourra accueillir un couple de couleuvre léopard. Le sol pourra être garni de copeaux de bois ou être recouvert de papier journal. Photo pour illustration. Source: google L’aménagement de ce terrarium devra comporter différentes cachettes au sol. Des plates-formes, à différentes hauteurs, des branchages et des écorces de lièges permettront aux spécimens de s’installer en hauteur. On peut aussi compléter le décor avec des plantes artificielles en hauteur et quelques pierres solidement fixées au sol. Un récipient d’eau, assez grand servira à Zamenis situla de s’immerger totalement en cas de grande chaleur et en période de mue. Le taux d’humidité sera aux alentours de 50 %, elle sera augmentée par temps chaud et au moment des mues par des vaporisations, qui déclencheront presque toujours l’activité des animaux. C’est par erreur que la couleuvre léopard a pu être décrite comme appréciant la chaleur et la sécheresse. Elle a besoin d’une chaleur et d’une sécheresse modérées. Les échecs imputables à la méconnaissance de ce facteur ont achevé de ternir la réputation de Zamenis situla. Le chauffage peut être par rayonnement (de préférence) ou par conduction (câble ou plaque placés sous le terrarium). En journée et pendant les saisons du printemps et de l’automne, la température sera comprise entre 22 et 26° C. La nuit, elle sera abaissée aux alentours de 20° C. En été (juillet et août), un point chaud localisé pourra atteindre les 30°C, avec une température au sol de 25°C. L'éclairage est obligatoire, et présent pendant une durée de 10 à 12 heures en période d’activité. Il sera dispensé par un ou deux tubes fluorescents "blanc industrie". Cet éclairage est important, car la couleuvre léopard n’a en aucun cas de mœurs nocturnes comme beaucoup de terrariophiles le pense, ou comme on peut souvent le lire. Certains éleveurs disposent également des tubes U.V auxquels les spécimens s’exposent volontiers. Photo de Chance et d'Askook Nourriture La prise de nourriture ne semble peu poser de problème. La couleuvre léopard accepte volontiers souris et jeunes rats morts. Les proies doivent être de taille adaptée. Si l’on rencontre quelques difficultés lors du nourrissage, on peut réchauffer les proies et leurs couper les vibrisses au ras du museau. Pendant la période estivale, certains spécimens refuseront tout repas. Reproduction Zamenis situla peut atteindre une maturité sexuelle dès l’âge de 18 mois, mais il est préférable d’attendre l’âge de 3 ans et une longueur de 75 cm pour une reproduction, surtout pour les spécimens femelles. Si dans la nature, la période d’hivernage peut durer de 5 à 7 mois, il est possible en captivité de la ramener à 3 mois (novembre/février) à une température de 10 /15°C. Après être sortie d’hibernation et après quelques repas, une première mue déclenche l’activité sexuelle. L’ovulation se produit début mai. Elle peut provoquer une interruption de l’alimentation. Les accouplement sont observés plutôt en fin d’après-midi et durent environ deux heures. Une seconde mue, précède de 10 à 15 jours la ponte. Une ponte qui comportera de 4 à 6 œufs (maximum connu 11), de forme allongée et très particulière, sera déposée dans une boite de ponte. Photo pour illustration. Source: google L’incubation d’une durée de 60 à 65 jours à une température de 28-30°C, verra l’éclosion des nouveau-nés d’une taille d’environ 28-35 cm. Après leur première mue, ils accepteront, généralement tous, la prise d’un souriceau nouveau-né. Législation Zamenis situla est considéré comme une espèce rare et menacée. C’est pour cette raison que la couleuvre léopard est inscrite en Annexe II de la convention de Berne, ce qui oblige les terrariophiles à détenir que des spécimens nés en captivité et dont l’origine est prouvable. Photo de Chance et Askook Références bibliographiques Drucker. B - La couleuvre léopard en captivité Elaphe situla Linné, 1758. Situla Gruber. U (1992) - Guide des serpents d'Europe, d'Afrique du nord et du Moyen Orient. Edts Delachaux et Niestlé Staszko. R & Walls. J.G (1994) - Rat Snake A Hobbyist's Guide to Elaphe and Kin. Edts t.f.h -
Zamenis situla Zamenis situla est considéré comme l’un des plus colorés et des plus jolis serpents européens, pour ne pas dire le plus beau. Son "masque" aux motifs noirs et sa robe bariolée en font une couleuvre féline. Généralités Origine et systématique: Connue sous le nom d’Elaphe situla depuis le 18 ème siècle, cette couleuvre est devenue Zamenis situla en 2002 (Utiger et al.). En même temps, ce serpent est passé d’un genre féminin à un genre masculin. Zamenis, est un nom invariable masculin qui vient du grec "dzamenês", et qui veut dire impétueux. Quand à situla, nom féminin d’origine grecque "site", veut dire: blé Répartition géographique: Si sa présence ne fait aucun doute dans le Sud de l’Italie, en Sicile, à Malte, dans l’ex-Yougoslavie (Croatie, Bosnie et Herzégovine, Monténégro, Macédoine), en Albanie, en Grèce et dans différentes îles de la mer Egée (Syros, Milos, Andros, Kynthos, Paros, Seriphos, Thira, Tinos, Kea, Lesbos, Syphnos, Chios, Corfou, Samos), en Crète, en Bulgarie et en Ukraine (Crimée). Le doute existe par contre sur sa présence à Chypre et dans le Caucase. Illustration tirée de Rat Snake A Hobbyist's Guide to Elaphe and Kin de R. Staszko & J.G Walls. Edt t.f.h Habitats: Zamenis situla se rencontre dans toutes sortes d’habitats, que ce soit en plaine ou dans les collines, situés en moyenne entre 500 et 700 mètres d’altitudes (avec un maximum de 1 000 m). Ces habitats doivent être bien ensoleillés, et pourvus de broussailles, d’herbacées et d’arbustes. Les pierres, les murs de pierres sèches et les éboulis rocheux lui servent aussi d’abris. Il n’est pas rare d’apercevoir Zamenis situla aux bords des champs, sur les rives de cours d’eau, au près des points d’eau (citernes et puits), sur les talus routiers, dans les ruines et dans des jardins en friches. On rencontre parfois cette couleuvre dans les jardins, les vignes, les champs d’oliviers, les cimetières et aux abords des habitations (fermes, granges). Photo pour illustration. Source: google Description: Aspect : Zamenis situla est une espèce mince, élancée, possédant une tête étroite, est nettement distincte du corps par un cou bien marqué. Elle possède de grands yeux, de couleur brun-rouge, à pupilles rondes. Son écaillure est lisse. Zamenis situla possède en moyenne 27 (25-29) rangées d’écailles dorsales au milieu du corps, 220-260 écailles ventrales, 68-69 écailles sous-caudales, 8 (7-9) écailles supralabiales, 1 écaille préoculaire (deux fois plus haute que large) et une écaille anale divisée. Coloration : La couleur de fond de Zamenis situla va du beige au gris clair ou gris jaunâtre, en passant par le brun jaunâtre, ainsi que des nuances de bronze ou d’argent. Ses dessins dorsaux, très importants et régulièrement alternés, donnent à Zamenis situla une robe ressemblant à celle d’un léopard, d’où l’origine de son nom commun : couleuvre léopard ou couleuvre léopardine. Ces taches, ovales ou arrondies, de couleur rouge brique, brun-rouge et bordées de noir sont disposées sur une rangée longitudinale dorsale. Il existe une variante qui possède un dessin ligné longitudinal. Ces spécimens sont issus principalement de l'île de Milos. Zamenis situla originaire de l'île de Milos. Photo pôur illustration. Source: google Les flancs possèdent des taches noires ou de couleur foncée qui alternent avec les taches dorsales. La face ventrale est blanc jaunâtre à l’avant, s’assombrissant vers l’arrière. La tête, de couleur claire, porte des dessins noirs très contrastés qui consiste en : une tache nasale foncée, une bande transversale courbée en arrière devant les yeux, et une bande transversale allant de la commissure de la bouche, jusqu'au dessus de l’œil, sans le toucher. Taches foncées sur de nombreuses écailles sus- et sous-labiales, allant de l'écaille frontale à la suture entre les écailles pariétales et à la nuque. Taille: Zamenis situla dépasse rarement 75-90 cm, bien que certains peuvent spécimens peuvent atteindre les 100/115 cm (maximum connu 125 cm pour un spécimen mâle originaire de l’île de Milos). Généralement, les femelles sont plus grandes que les mâles. Biologie: Mœurs : Zamenis situla est terricole, se déplaçant lentement au sol. En journée, il est courant de voir des spécimens grimpés sur des rochers, des murs ou des buissons pour échapper à un sol trop chaud. De mœurs diurne et crépusculaire, La couleuvre léopard possède un rythme nycthéméral bien défini. Une sieste au soleil le matin, repos à l’ombre à midi et en début d’après-midi, activité principale en fin d’après-midi et au crépuscule. Dans les régions chaudes, la couleuvre léopard passe le mois de juillet et d’août à l’abri de la chaleur. Photo pour illustration. Source: google Nourriture: Zamenis situla est un grand chasseur méditerranéen. Son régime alimentaire se compose principalement de petits mammifères, de lézards et d’oiseaux du style guêpiers, qu’il capture en s’introduisant dans les tunnels que ces oiseaux creusent pour y faire leurs nids. Des nids, comprenant oisillons ou oeufs, qu’il pille. Selon certains auteurs, l’alimentation de la couleuvre léopard comprendrait aussi des insectes, des escargots et de jeunes serpents. Les spécimens juvéniles ont une préférence pour les lézards. Pour chasser, la couleuvre léopard s’approche lentement de sa proie, replie l’avant de son corps latéralement en "S", se projette d’un coup en avant pour se saisir de la proie. Une fois attraper, il enserre celle-ci, jusqu’à elle n’ait plus un souffle de vie. Lorsque les proies sont de petite taille, elles sont plaquées, puis pressées contre le sol avant d’être avalées sans préliminaires. Comportement: Peu rapide, Zamenis situla reste longtemps immobile avant de fuir un danger. Puis recroquevillée sur elle-même, repliant latéralement l’avant de son corps en "S", tout en faisant vibrer sa queue pour prévenir et menacer, la couleuvre léopard attend que l’agresseur la saisisse pour le mordre cruellement si elle est saisie. Photo pour illustration. Source: google Reproduction: Son hibernation est longue, de fin septembre ou début octobre à avril. Les accouplements se font en mai et juin. Le mâle maintient, généralement la femelle en la mordant à la nuque. Celle-ci tente souvent de se débarrasser du mâle. Commence alors une longue "parade amoureuse" pouvant durer plusieurs heures et qui peut attirer d’autres prétendants. Les femelles pondent, durant la deuxième moitié de juillet, entre 2 et 5 (maximum œufs cylindriques d’une dimension de 35-70 mm x 10-22 mm, déposés sur un sol humide, sous des pierres ou dans des galeries, qui éclosent fin août/début septembre. Les nouveau-nés mesurent entre 25 et 30 cm. Photo pour illustration. Source: google
-
Pituophis catenifer sayi albinos nain
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
Il y a Pituophis catenifer pumilis, endémique à l'île de Santa Cruz, qui est un "descendant" Pituophis catenifer catenifer et, qui ne dépasse pas les 90/100 cm alors que P.c catenifer mesure en moyenne 135 et 150 cm avec des longueurs maximales de 210 cm. En ce qui concerne Pituophis catenifer sayi, je n'ai jamais rien trouvé sur une localité "naine". -
Pituophis catenifer sayi albinos nain
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
Je ne suis pas certain de cela ! Je m'explique, comme dans de nombreuses espèces, il existe deux formes de nanisme. Le nanisme résultant d'une anomalie osseuse ou nanisme disproportionné (ce qui semble être le cas du spécimen) et un nanisme proportionné (comme les animaux insulaires). Marc J'attends qu'il arrive pour faire le point sur ce spécimen. Un ami biologiste intéressé par ce cas de nanisme ophidien, va lui faire quelques examens, histoire de connaître, si c'est possible, l'origine de son handicap. Je vous en dirais plus par la suite... -
Pituophis catenifer sayi albinos nain
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
-
Pituophis catenifer sayi albinos nain
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
-
-
Pituophis catenifer sayi albinos nain
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
-
-
-
-
-
-
-
-
Débuter dans le vénimeux...Que choisir ?
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Serpents Venimeux
Je crois que tout a été dit. Pense quand même Valko, qu'un jour où l'autre, tu risques d'être obligé à manipuler ton "venimeux" (soins, parasites, etc.). T-en sens-tu prêt? Pour débuter, une espèce, de chez les crotalinae, aux moeurs terrestres me semble plus facile (Sistrurus, Agkistrodon) qu'une espèce arboricole. Pas toujours facile d'aller chercher une "trimé" accroché à un branchage. Pas toujours non plus, d'avoir le bon réflexe, pour une première expérience, lorsque celle-ci se met à remonter, le long du crochet, vers la main. -
-
Il me semble pourtant qu'il existe un point bien différent entre Zamenis hohenackeri et Zamenis situla, qui est la ligne temporale. Chez Zamenis hohenackeri, cette ligne temporale va de la commissure buccale jusqu'à rentrer en contact avec l'oeil alors que chez Zamenis situla cette ligne temporale part de la commisure buccale pour finir au dessus de l'oeil, sans le toucher. Zamenis hohenackeri. Photo pour illustration. Source: google Zamenis situla. Photo pour illustration. Source: google