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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Lien proposant quelques photos des animaux découverts au Suriname. http://extra.volkskrant.nl/animatie/fotospecial/specials/index.php?id=227
  2. Les scientifiques découvrent de nouvelles espèces dans la forêt de Surinam Par Ivan le Caire (version traduite) PARAMARIBO, Suriname : Les chercheurs ont découvert 24 nouvelles espèces dans Suriname tandis qu'une pensée d'espèces de poissons à être éteinte a été redécouverte, une organisation de conservation rapportée ici lundi à la présentation du résultat d'une expédition de 2005 et de 2006. Grenouille fluorescente pourpre (espèces d'Atelopus). Photo par Conservation International À une présentation à l'hôtel Krasnapolsky à Paramaribo, représentants des fonctionnaires de gouvernement de conservation basée aux EU (ci), des journalistes et d'autres dits internationaux qui parmi les 24 nouvelles espèces il y a une grenouille fluorescente pourpre (espèces d'Atelopus). Ci a également publié un rapport rendant compte de la découverte extraordinaire de tant d'espèces en dehors du royaume d'insecte. Les scientifiques ont averti cependant que les nouvelles créatures trouvées sont menacées par extraction de l'or de petite taille illégale, chasse et d'autres activités de sylviculture. Le gouvernement de Suriname a été invité pour prendre une mesure rapide en déclarant le secteur une zone protégée afin les nouvelles espèces et la biodiversité dans la région survivre. Bien que les endroits aient été les découvertes ont été faites - environ 130 kilomètres de sud du capital Paramaribo - sont loin de civilisation qu'elles sont totalement non protégées et menacées par l'extraction de l'or de petite taille illégale prospérant dans l'intérieur de Suriname. Selon vice-président Leanne Alonso de ci, « c'est une occasion maintenant pour tous joueurs, les compagnies d'exploitation qui ont toujours des concessions minières là, les communautés locales, le gouvernement, les O.N.G.s (les organisations nonnes gouvernemental), d'essayer de faire un plan régional pour le secteur. » « Suriname a une partie de l'Amazone la forêt tropicale la plus primitive et la plus intacte, qui offre le potentiel énorme pour la recherche scientifique et l'investissement économique dans la séquestration de carbone, comme la sustentation qu'elle a toujours fourni les communautés locales, » a dit Alonso, qui dirigent le programme de RAP. « Notre étude sera un composant essentiel en déterminant comment favoriser le développement économique dans Suriname tout en protégeant capitaux normaux de la nation les plus valables. » La recherche a été cofinancée par les producteurs BHP-Billiton Maatschappij Suriname, une filiale de bauxite de BHP Billiton, et LLC de Suriname Aluminum Company, une filiale d'Alcoa Inc. qui sont des activités d'extraction de l'or de planification dans la région. Les fonctionnaires de compagnie ont indiqué que les résultats de la recherche seront inclus dans leur étude d'effets sur l'environnement de leurs futurs plans. Les deux compagnies d'exploitation internationales ont récemment exploré la région pour la bauxite et l'or, alors que ces multinationales par leur entreprise en participation Surgold nanovolt préparent pour négocier l'établissement d'une mine d'or dans les Nassau-montagnes. Selon la conservation internationale la grenouille de deux-tonalité -- à qui peau est couverte de boucles fluorescentes irrégulières de lavande sur un fond d'aubergine -- a été découvert en 2006 en tant qu'élément d'un aperçu des Nassau-montagnes de Suriname. Les résultats de l'expédition 2005 ont mené par le programme rapide d'évaluation de Conservation International's (RAP) et une enquête de suivi dans 2006 démontrent la valeur des régions inconnues les explorant telles que la forêt tropicale de Suriname pour évaluer la nécessité de les conserver, l'organisation dite dans un rapport. Pendant le RAP sur le plateau et les Lely-montagnes de Nassau de côté la grenouille pourpre quatre autres nouvelles espèces de grenouille (espèces d'Eleutherodactylus), six pêchent des espèces, 12 espèces de coléoptère de fumier et de nouvelles espèces d'une fourmi ont été trouvées, des Ci-fonctionnaires dits. Les animaux ont été découverts par 13 scientifiques qui ont exploré une région environ 130 kilomètres de sud-est de Paramaribo, y compris des secteurs avec assez de sources propres d'eau doux pour soutenir les poissons et les amphibies abondants. « Suriname a une partie de l'Amazone la forêt tropicale la plus primitive et la plus intacte, qui offre le potentiel énorme pour la recherche scientifique et l'investissement économique dans la séquestration de carbone, comme la sustentation qu'elle a toujours fourni les communautés locales, » a dit Leeanne Alonso, un vice-président international de conservation (ci) qui dirigent le programme de RAP. « Notre étude sera un composant essentiel en déterminant comment favoriser le développement économique dans Suriname tout en protégeant capitaux normaux de la nation les plus valables. » Encore d'étude prouvé qu'aussi 27 espèces endémiques seulement Suriname, en Guyane, en Guyane française française et au Brésil nordique ont été trouvées. Un de ces derniers était le poisson-chat blindé rare, le crassicauda de Harttiella, qui les protecteurs de la nature craints étaient éteints parce que les mineurs d'or avaient souillé une crique où on l'a pour la dernière fois vu il y a 50 ans. Pendant l'expédition, les chercheurs ont trouvé « une région pratiquement encore inconnue de forêt de la savane de montagne, haute forêt tropicale sèche de terre et le marais de paume avec des sources d'eau douce assez propres pour soutenir la vie abondante de poissons et d'amphibie », a indiqué la conservation internationale. Les Ci-fonctionnaires encore noté qu'incluant les nouvelles espèces, les scientifiques ont repèré 467 espèces aux deux emplacements, s'étendant de grands chats comme des panthères et des pumas, aux singes, des reptiles, des amphibies, des battes et des insectes. Dans leur rapport final, les scientifiques réclament la gestion améliorée de conservation de la région pour adresser et stopper des menaces de la chasse et de l'exploitation illégale de petite taille. Le rapport suggère que les stratégies devraient se concentrer sur protéger les jets d'eau douce et empêcher la fragmentation de l'habitat normal du développement non réprimé ou mal prévu. Source:http://www.caribbeannetnews.com/news-1892--36-36--.html
  3. J'ai trouvé ceci... Découverte de 24 nouvelles espèces en Suriname dont une grenouille fluorescente : Lundi le 4 juin 2007, des scientifiques ont découvert 24 nouvelles espèces dans les plateaux orientaux de Suriname, à 128 kilomètres sud-est de Paramaribo en Amérique du sud. Cette découverte inclut une grenouille atepolus avec des marques de couleur pourpre fluorescentes ,12 nouveaux genres de coléoptères, six types de poissons et une nouvelle espèce de fourmis. L'expédition a été commanditée par deux compagnies d'exploitation qui recherchaient de la bauxite (la matière première employée pour faire l'aluminium). Les scientifiques réclament une meilleure protection pour cette zone, propriété de l’état, jusqu'à maintenant non protégée et où la chasse et l’exploitation illégale sont communes. Des milliers de Brésiliens et Surinamiens sont censés travailler dans l'exploitation illégale d'or, créant de la pollution notamment avec du mercure ce qui menace cette zone très sensible. Source:http://www.xcess.info/fr/decouverte_de_24_nouvelles_especes_en_suriname_afr.as
  4. D'après le bouquin dont je dispose, Atlas des Amphibiens de Guyane, il n'existerait que deux espèces de Dendrobates en Guyane : La Dendrobates Tinctorius, elle-même représentée par une petite forme ( 39 mm ) et une grande forme (50 mm ), ce qui est très grand pour une dendrobate. Espèce endémique des guyanes. La Dendrobates Ventrimaculatus ou dendrobate à ventre tâcheté que j'ai eu l'occasion de vous montrer en photo. Cette espèce ne se retrouve en Guyane que dans la partie Est de la région. Voila, j'espère que ça convient. Johann. pour ta réponse. Je pensais, qu'il existait plus d'espèce, que cela, de Dendrobates en Guyane Comme quoi, on peut avoir de fausses idées
  5. Magnifique spécimen de "Dendro" Sais-tu combien d'espèces de Dendrobates se trouvent en Guyane
  6. askook

    evolution !!!

    La cantine est bonne, chez Ty
  7. Sympa cette petite famille Même si les "ratus" font des bêtises
  8. askook

    Quelques bebettes

    Très jolies les premières "gutt"
  9. askook

    Mon lampro

    Les Lampropeltis getula nigrita sont très voraces Ils tapent sur tout ce qu'il bouge
  10. askook

    BCC surinam

    Encore un bien beau Boa
  11. Gustave fait du cinema. Son histoire a donné un film... PRIMEVAL Sortie: 15 août 2007 (en France) Genre: Thriller Horrifique Réalisation: Michael Katleman Scénario: John Brancato, Michael Ferris Production: A Pariah production Musique: John Frizzell Durée: 01 H 35 Avec : Dominic Purcell, Orlando Jones, Brooke Langton, Jurgen Prochnow, Gideon Emery & Kevin Otto Synopsis: Au plus profond de la jungle africaine, un monstrueux crocodile mangeur d’hommes menace constamment la vie des tribus locales. En apprenant son existence, une équipe de reporters américains décide d’aller filmer cette terrifiante créature, et de la capturer vivante. Mais le producteur Tim Freeman (Dominic Purcell, « Prison Break »), le caméraman Steven Johnson (Orlando Jones) et leur équipe n’ont aucune idée de ce à quoi ils s’attaquent… Au cœur d’un pays ravagé par la guerre civile, le saurien s’est habitué au goût de la chair humaine, et il est devenu à présent un tueur incroyablement rusé. Traqués à la fois par les hommes et par l’animal, Tim et son équipe s’engagent dans une aventure beaucoup plus dangereuse qu’ils ne le pensaient… Dans ce thriller remarquablement efficace, Dominic Purcell et Orlando Jones se lancent à la poursuite d’un énorme crocodile mangeur d’hommes au plus profond de la jungle africaine. Qui sera réellement la proie de l’autre ? le site: http://video.movies.go.com/primeval/
  12. Burundi: Le célèbre crocodile dénommé Gustave réapparaît dans le lac Tanganyika Burundi Réalités (Bujumbura) 23 Mars 2007 Après plusieurs années d'absence dans le lac Tanganyika de la Région des pays des Grands Lacs, le crocodile historique dénommé Gustave a encore une fois été visionné par des experts environnementaux dont M. Patrice Faye. Ce reptile célèbre par sa virulence d'attaque contre d'autres animaux ou contre les êtres humains a été découvert dans le Lac Tanganyika depuis les années 1996 lorsqu'il faisait trembler tous ceux qui fréquentaient les plages du lac Tanganyika. Certaines familles n'oublieront pas les leurs qui ont perdu leurs vie emportés par cet animal subitement venu des grands océans. L'expert français Patrice Faye, qui a suivi de près la vie de ce crocodile long de 7 m et de rayon allant jusqu'à peu près 2 m affirme qu'il présent dans lieux ne dépassant pas 10 km à partir de la pierre Livingstone et Stanley. Signalons que ce crocodile vient encore une fois d'ôter une vie à une personne. Gars à ceux qui fréquentent les plages du lac Tanganyika surtout les éleveurs des vaches qui risquent d 'y perdre, et leurs vaches et leurs gardiens de vaches. Source:http://fr.allafrica.com/stories/200703230902.htm
  13. Gustave : le grand retour du prédateur vendredi 8 septembre 2006 Au Burundi, Gustave est considéré comme le plus grand crocodile d’Afrique. Cet immense reptile, qui mesure plus de six mètres de long, pèserait plus d’une tonne. Après plusieurs mois d’absence, Gustave est de retour. Parti il y a des mois des eaux du Lac Tanganyika vers une destination inconnue, le crocodile a été aperçu vers Gatumba, un village situé près du Lac Tanganyika, le plus profond du monde, après le Lac Baïkal. L’énorme Gustave aurait déjà tué plus de trois cents personnes, surtout dans les régions de Minago et Rumonge, dans le sud du pays, entre 1995 et 2005. Le crocodile, deux fois plus grand que le crocodile moyen du Nil, selon les spécialistes, est dangereux. Deo Ngendahayo, directeur du Tourisme au Burundi, indique que “c’est un prédateur qui mange tout ce qui se trouve, des vaches aux êtres humains. Il ne va pas hésiter à les dévorer”. L’année dernière, des biologistes et des herpétologistes - les scientifiques qui étudient les reptiles - ont tenté, en vain, de capturer le crocodile Gustave. Mangeur d’hommes Il n’est pas facile de capturer Gustave, comme le précise Deo Ngendahayo. “Il y a eu des tentatives qui ont échoué parce que c’est un crocodile très malin et très expérimenté, qui ne se laisse pas avoir facilement. Je crois savoir qu’il y a des spécialistes pour capturer ce monstre, puisqu’il est revenu et fait des dégâts.” Des spécialistes qui l’ont suivi pendant des années, comme Patrice Faye, un Français résidant au Burundi, déclarent que Gustave est particulièrement dangereux quand il sort de l’eau pour s’accoupler. “Il peut dévorer dix, quinze, voire vingt personnes.” Cependant, les habitants de la capitale burundaise, Bujumbura, ne tarissent pas d’éloges sur Gustave. Certains pensent que le gouvernement burundais doit essayer de protéger le reptile. Gustave est une célébrité au Burundi “Pourquoi tuer Gustave ?” lance une femme de quarante ans, rencontrée sur la plage du Lac Tanganyika. Une autre femme estime que “Gustave est notre fétiche. J’ai tellement entendu parler de lui que, vraiment, je suis heureuse qu’il soit de retour à la maison. C’est au gouvernement de prendre des mesures à l’intention des personnes qui viennent se baigner ou prendre un café au bord du lac. C’est une pièce de musée, laissons-lui la liberté.” En attendant que le gouvernement prenne, éventuellement, des mesures pour éviter que Gustave ne tue à nouveau, la population doit être prudente. Source:http://www.burundibwacu.org/spip.php?article805
  14. Photos de Gustave Impacts de balles sur Gustave Photo: (France 3) Photos pour illustration. Source: Google
  15. Suite à l'article de valko /Info-du-jour-f37/Un-curieux-collectionneur-de-serpents-p54587.htm#54587 j'ai fait quelques recherches sur Gustave... La légende de Gustave Gustave, le grand crocodile ne mangerait que des humains Par Gabriel Nikundana BUJUMBURA, 13 jan (IPS) - Le nom de Gustave évoque dans la tête des Burundais un crocodile assoiffé de sang humain, notamment dans la région du delta du fleuve Rusizi comme dans la capitale Bujumbura. Ce monstre, de plus d'une tonne et de plus de six mètres de long, est devenu le roitelet de la Rusizi. Il fait trembler les baigneurs des plages du lac Tanganyika. Gustave sème la terreur dans le village de Gatumba et aux alentours du cercle nautique, au bord du lac Tanganyika. ''Gustave fait certainement six à sept mètres et son poids avoisine une tonne'', affirme Saidi Juma, chef du comité des pêcheurs basés à Kajaga, une localité proche des plages. ''La première fois que j'ai vu Gustave tout près de moi, j'ai eu l'impression de me retrouver dans la période de la préhistoire et de voir un dinosaure devant mes yeux''. ''Beaucoup de gens connaissent Gustave parce ce que c'est un crocodile qui traîne ici depuis pratiquement pas moins d'une centaine d'années. Tout le monde le voit, le connaît. Moi, je suis un tout petit peu le premier à l'avoir identifié complètement et baptisé Gustave'', affirme Patrice Faye, un Français qui vit au Burundi depuis environ 25 années et amoureux de la nature. Selon Faye, ''les crocodiles ont un métabolisme différent des humains. Ce sont des animaux à sang froid, ils vivent au ralenti et peuvent vivre beaucoup plus longtemps. Ils savent aussi bloquer le processus de vieillissement comme des tortues''. Interrogé par IPS sur l'origine du nom Gustave, Faye a répondu que c'était un nom qu'on avait donné par hasard, indiquant que l'on avait identifié deux crocodiles dont on était sûr de leurs déplacements. ''Au lieu de dire le grand et le petit crocodile, l'un a pris le nom de Gustave et l'autre a été appelé Gatumba parce qu'il ne quittait jamais cette localité'', explique-t-il. D'autres amis du lac Tanganyika comme Célestin Bigirimana, scaphandrier professionnel, donne une autre origine du nom Gustave : ''Le crocodile Gustave a été ainsi baptisé pour avoir dévoré un enfant du nom de Gustave, mais je ne me souviens plus de l'année''. Gustave a vraisemblablement dévoré plusieurs dizaines de personnes, mais le bilan reste difficile à établir comme l'affirme Faye : ''Je pense que c'est beaucoup plus qu'on pourrait l'imaginer car Gustave est un mangeur d'hommes depuis presque 20 ans quand on se souvient des disparitions par-ci par-là.. On peut compter dans tous les cas plus de 100 personnes tuées, en majorité des enfants''. Cependant, Donatien Nzokira, ingénieur agronome et président de l'association Coalition pour l'environnement et le développement intégré (CEDI), croit que des gens exagèrent en mettant sur le compte de Gustave toute disparition de personnes sur le long du lac Tanganyika. ''Il y a des personnes qui disparaissent parce qu'elles ne savent pas nager et des rumeurs circulent que c'est Gustave qui en est l'auteur''. Dieudonné Masumbuko, un autre scaphandrier professionnel qui a 30 ans de métier, explique par contre qu'il n'a jamais vu Gustave : ''Il vit en clandestinité, il est aussi très intelligent. Il profite des erreurs techniques (des nageurs) au début de la plongée car le crocodile ne peut pas supporter le courant d'eau entre 50 et 60 mètres de profondeur''. De son côté, Félix Nicayenzi, qui travaillait dans un projet sur la biodiversité du lac Tanganyika (1998-2002), estime également qu'il existe plusieurs crocodiles dangereux dans le lac : ''En plongeant dans le lac tout près de Minago (42 km au sud de Bujumbura), nous avons rencontré un grand crocodile. Heureusement qu'il était dans le sens contraire de notre plongée, sinon nous allions y laisser notre peau''. Comme Nicayenzi, d'autres personnes affirment que Gustave n'est pas le seul crocodile qui se nourrit de la chair humaine dans le lac Tanganyika. Le scaphandrier Bigirimana a expliqué à IPS : ''Je ne sais pas si c'est le même crocodile appelé Gustave qui fait des ravages et des migrations dans le lac Tanganyika. J'ai personnellement vu une dizaine d'autres crocodiles aussi bien au sud qu'au nord du lac Tanganyika''. Contrairement aux petits crocodiles qui causent de dégâts à l'environnement en se nourrissant de petits escargots et en s'attaquant souvent aux poissons, Gustave en favorise la multiplication parce qu'il est trop vieux pour faire de grands déplacements ou pour chasser des poissons, explique Faye. Les autorités sont partagées sur des mesures à prendre au sujet de Gustave. Certaines personnes pensent qu'il faut le capturer pour le protéger, d'autres préfèrent l'éliminer parce qu'il se nourrit essentiellement de la chair humaine. De nombreuses personnes ont tenté de poursuivre Gustave pour le capturer. Des pièges lui ont été tendus, mais chaque fois, il passait à côté et narguait ses ennemis qui, quelquefois, subissaient souvent les conséquences de ses dégâts. Le crocodile Gustave a également échappé à toute une série de braconnages, d'où il est devenu un animal phénoménal, selon Faye. Faye indique que ''Gustave a été blessé plusieurs fois, il a des blessures partout comme le dévoile le film 'Monstre du lac' montré au public au Centre culturel français de Bujumbura le 4 janvier 2004''. Beaucoup de gens se déplacent pour voir le film consacré au crocodile. Paul Ragot, qui venait de regarder le film, a affirmé que ''l'histoire de Gustave n'est pas une légende, c'est un vrai crocodile et quand il ouvre sa bouche, il peut facilement avaler une autre bête de la taille d'une vache''. (FIN/2004) Capture ratée le 16 novembre 2004 Gustave, crocodile aux mensurations exceptionnelles, est une véritable bête tueuse qui aurait déjà fait plus de 300 victimes au Burundi. Mardi 16 novembre, une équipe télévisée de National Geographic a suivi deux spécialistes à la capture du saurien. Ils désiraient l’attraper vivant afin de pouvoir l’étudier scientifiquement. Echec. Le monstre court toujours. par Barbara Vacher Le plus grand et le plus meurtrier crocodile d’Afrique se balade tranquillement dans la rivière Ruzisi au Burundi. Nommé Gustave, ce monstre tout droit sorti d’un conte de Grimm est bel et bien réel. Il serait long de six mètres, pèserait jusqu’à une tonne... et aurait déjà tué plus de 300 personnes dans les régions de Rumonge et Minago. A la mi-novembre, un herpétologiste français et une biologiste sud-africaine ont tenté de capturer Gustave vivant devant les caméras de la chaîne National Geographic. Sans succès. Le mangeur d’hommes, deux fois plus grand qu’un crocodile moyen du Nil, hante toujours le delta de Ruz. Les disparitions causées par le saurien avaient d’abord été attribuées au conflit Hutus/Tutsis qui sévit dans la région. Mais les spécialistes qui s’intéressent de près au crocodile ont écarté cette hypothèse. Patrick Faye est l’un d’entre eux. Cet herpétologiste français installé au Burundi suit l’animal depuis maintenant plusieurs années et a déjà plusieurs fois tenté de le capturer. Dans un entretien récemment accordé à la BBC, le scientifique qualifie l’animal de « particulièrement dangereux » lorsqu’il sort de la rivière pour aller s’accoupler avec des femelles. Mieux encore, Faye précise que l’animal en liberté « se déplace sur toute la région de Rumonge, comme de Minago, et mange les pêcheurs et baigneurs en route ». Gustave « peut dévorer 10, 15, voire 20 personnes le long de la rive ! ». Afin de mettre rapidement un terme à cette tuerie, sa captivité est devenue urgente. Malgré la mise en place d’un piège de 10 mètres de long, de 1,50 mètres de large et d’une profondeur de 2 mètres, Patrick Faye et la biologiste sud-africaine, le Dr Leslie, n’ont pas réussi à capturer le monstre devant les caméras de National Geographic. Une capture qui semble relever de l’exploit, puisque les mêmes spécialistes avaient déjà tenté le coup au début de l’année pour l’émission « Découverte » de Radio Canada. Gustave est devenu le serial killer le plus populaire du delta de la Ruzisi. Il est au centre de toutes les histoires et contes des villageois de la région. A tel point que Gustave est devenu un terme générique pour nommer quelqu’un de particulièrement gourmand... de nourriture ou d’argent Un reportage TV sur Gustave Le monstre du lac Tanganyika Au cœur de l'Afrique, dans la région des grands lacs, vit une créature exceptionnelle, sans doute le plus grand crocodile du Nil jamais observé en liberté. En 10 ans, 300 personnes seraient mortes, happées par ses mâchoires gigantesques. Pour mettre fin au carnage, deux hommes et une femme vont tenter l'impossible : capturer vivant un animal qui semble invincible, un mangeur d'hommes nommé Gustave. Réalisateur : Jean-Michel Corillon Producteur : Gédéon Programmes Réalisatrice à l'adaptation : Jeannita Richard En raison des droits d'auteur, ce reportage ne sera pas disponible sur Internet. Patrice Faye, qui vit au Burundi depuis 20 ans, est à l'origine du projet de capture. En compagnie de la docteure Leslie, une zoologue sud-africaine spécialiste mondiale des crocodiles, et de Marc Gansuana, un jeune biologiste français, il se lance dans une extraordinaire aventure : défier, sur son propre terrain, un monstre déjà légendaire. L'équipe de Patrice Faye dispose de 60 jours pour réussir, une véritable course contre la montre. Cette mission se déroule au Burundi, un minuscule État d'Afrique de l'Est, situé entre la Tanzanie et la République démocratique du Congo. À l'ouest du pays, s'étend une plaine de 8000 hectares, la plaine de la Rusizi, classée parc national depuis 1990. La rivière Rusizi prend sa source dans les montagnes du Congo, 150 kilomètres plus au sud. Ses eaux boueuses et tourmentées refusent de se mêler aux eaux bleues du lac Tanganyika. Elles ont donné naissance à un vaste delta de 1000 hectares, territoire du crocodile géant. Certaines images permettent d'estimer que Gustave mesure entre 6 et 7 mètres et pèse plus de 1 tonne, des chiffres stupéfiants quand on sait que les crocodiles du Nil atteignent rarement 5 mètres et 500 kilos. Plusieurs semaines de travail vont opposer ces scientifiques à l'immense crocodile, qui leur donnera bien du fil à retordre. Malgré l'installation d'une cage et de trois pièges, les scientifiques ne réussiront pas à mettre la main sur le monstre du lac Tanganyika. Depuis que Dre Leslie et Marc Gansuana ont quitté le Burundi, Gustave est resté invisible dans le delta de la Rusizi. S'est-il blessé en entrant dans la cage installée par l'équipe? A-t-il été tué par des braconniers ou abattu par les forces armées? Nul ne le sait. Depuis six mois, aucune attaque n'a été signalée. Mais pour combien de temps? Source: http://membres.lycos.fr/supercroco/
  16. J'ai vu un spécimen scalper un de ses congénère Pas très cool comme espèce de tortue
  17. askook

    prochain lézard ce week end...

    Magnifique spécimen Quelle taille à l'âge adulte
  18. askook

    antaresia maculosa

    J'ai élevé deux spécimens d'Antaresia maculosa. Juvéniles, ils étaient de vrais petites teignes. Ils bondissaient, gueule ouverte sur tout ce qui se présentait dans la boite d'élevage et, n'hésitaient pas à mordre. Avec le temps, ils se sont calmés et n'ont plus cherché à mordre.
  19. askook

    Pour Askook...Terrario en 1984.

    Les bourses françaises sont entrain de faire leur apparition. Elles sont pour l'instant petites. Laissons leur, le temps de faire leur chemin. Toutes ces bourses sont souvent crées par des associations, club et autres cercles de passionnés. Il faut les soutenir en allant y faire un tour, dès qu'il y en a une dans notre région. Le problème de ces bourses, c'est la comparaison qui leur est faite avec les bourses étrangères. Et la forcement, c'est perdu d'avance. Je pense aussi qu'il y a en ce moment un peu de "snobisme" à dire que l'on a été à Haam ou à Houten, plutôt qu'à Béthune ou Montauban. Les terrariophiles français souffrent d'un énorme complexe d'infériorité vis-à-vis de nos confrères étrangers...
  20. Ne pas se prendre la tête, pour de l'orthographe ou autre raison, je suis d'accord avec toi, Nat... Cela ne sert à rien. Mais je suis, quand même, en parfait accord avec Crowley. Il est dommage que toutes les valeurs se perdent. Plus aucun effort est fourni de la part des terrariophiles. Encore un fait de société... Il est tellement plus facile de mettre des initiales, plutôt que d'écrire un nom scientifique en entier. Ce manque de rigueur ou d'intérêt, ne démontre pas t-il un manque d'intérêt de la terrariophilie avec tout ce qui l'entoure, par ceux qui la pratique
  21. askook

    Pour Askook...Terrario en 1984.

    Je suis bien d'accord avec toi. Avoir ou pratiquer une passion, c'est d'abord pour soi... Mais je pense pas que ce soit la majorité des cas maintenant. La terrariophilie sert, actuellement pour certains, de vitrine et de moyen de reconnaissance.
  22. askook

    Pour Askook...Terrario en 1984.

    23 ans déjà... Cela ne me rajeuni pas pleure Ce qui me rassure, c'est que lorsque tu es vraiment passionné, tu ne vois pas le temps passer. Les différences entre hier et aujourd'hui Il y en a beaucoup Ce qui me vient d'abord à l'esprit, c'est la différence d'état d'esprit des terrariophiles d'antan et ceux de maintenant. J'ai commencé la terrario pendant l'âge d'or de celle-ci. Tout était à faire, peu de livres, pas de magasin spécialisé, pas d'association, pas d'internet. Il fallait vraiment se donner à fond pour arriver à maintenir ses animaux. Pas question d'aller poser sa question sur le forum du coin, pour avoir une réponse. Il fallait vraiment se creuser les méninges pour trouver un solution. Rien n'était du tout cuit. Il fallait construire ces terrariums et sa couveuse, trouver les bonnes conditions d'élevages, découvrir la reproduction des espèces. Un gros, il fallait vraiment être d'abord un vrai passionné pour être un terrariophile. Tu passais plus de temps en recherche qu'à t'occuper de tes animaux. Lorsque tu avais la chance de rencontrer un autre terrariophile, tu étais tout content d'échanger avec lui, quelques astuces. Et tu devais même amis. Mes vrais amis terrariophiles datent principalement de cette époque. Aujourd'hui, tu deviens copains en quelques heures, mais cela ne dure que le temps d'une autre rencontre. Puis la terrariophilie c'est ouverte à tout le monde, et là c'est devenu le grand n'importe quoi. La terrrariophilie est devenu plus un moyen d'exister, pour certains, qu'une réelle passion. Il suffit de voir, le nombre de forum. Chacun veut être admin, même s'il ne pratique la terrariophilie depuis une semaine. Que cela peut-il apporter? Rien... Les informations sont dispersées. Je trouve même, plus il y a de moyen de communications, moins les informations passent. Les informations sont toutes les mêmes. Personne se donne du mal à diffuser ses propres observations, de toute façon cela ne sert à rien, car tous les terrariophiles possèdent les mêmes espèces (les classiques, les modes...). Je ne vais pas revenir sur le peu d'espèces élevées en France, que j'ai déjà évoqué dans un autre post. Pour finir ce chapitre, je dirais que l'on est arrivé à une terrariophilie de consommateur. On veut tout, tout de suite sans se donner la peine. Cela doit être dans l'air du temps. Je me souvient qu'une fois, un terrariophile voulait m'acheter des animaux que si je lui certifiais que la femelle était gravide... Il était sûr de ne pas rater la reproduction, comme cela... Débat à suivre...
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