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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Malheureusement, tu ne pourras jamais faire respecter les règles d'écriture. Je suis sur que même toi, tu ne respectes pas toutes ces règles Qui écrit le nom du genre avec une majuscule Qui écrit les noms latins en italique Qui s'intéresse à toutes ces règles A part moi... Peu de terrariophiles. C'est bien dommage, mais c'est comme ça. Il faut faire avec. Ps: j'ai du faire un post sur ce sujet. Je vais le remonter pour ceux que cela intéresse.
  2. askook

    Aplopeltura boa

    Il faut bien que les connaissances servent à quelques choses
  3. askook

    attaque anaconda

    telement bete que des fois s'en ai marrant...enfin la no comment, c'etait juste pour montrer qu'il faut pas jouer avec un anaconda C'est bien là le problème. Même si je pas un adepte de ce style de distraction, combien de fois j'ai rigolé en les regardant...
  4. askook

    couleuvre de l'amour

    Une fois, de nouveau, installé, il y aura bien une petite place pour un deuxième terrarium pour y installer une couleuvre de l'Amour. La patience et la persévérance sont des vertues des terrariophiles.
  5. askook

    couleuvre de l'amour

    Il ne faut pas que tu fasses cohabiter des espèces différentes dans le même terrarium, même si le genre (Elaphe) est le même. De plus, les deux espèces (Elaphe schrencki et Pantherophis guttatus) sont issues de deux continents différents (Asie et Amérique du Nord). Les conditions d'élevages ne sont pas, non plus, tout à fait les mêmes.
  6. askook

    Futures acquisitions

    Ils sont très cool et n'ont aucune agressivité Ce n'est pas très actif, il faut peut être leur laisser le temps de s'acclimater. Pour l'nstant, vu qu'il pleut très régulièrement, je vais à la chasse aux petits escargots et limaces. Après, je vais voir. Il existe dans la région un élevage d'escargot, j'irai peut être me fournir chez eux.
  7. askook

    Aplopeltura boa

    Voici mes derniers pensionnaires (Aplopeltura boa)
  8. askook

    la famille s'agrandit...

    pour cette acquisition
  9. askook

    éclosion candy cane

    C'est vraiment le moment que je préfère Regarder toutes ces petites têtes qui sortent des oeufs pour ces éclosions
  10. askook

    attaque anaconda

    C'est du Jackass Inutile, stupide et autres adjectifs du même style
  11. Python molurus bivittatus tout juste sortis de l'oeuf...
  12. askook

    Bizarre

    Le plus important est: - a-t-il rentré ses hémipénis L'eau du bain, n'était-elle pas trop chaude Est-ce bien les hémipénis qui étaient sortis Voici des hémipénis de Python regius Photo pour illustration. Source: Google
  13. askook

    Futures acquisitions

    Ce n'est pas venimeux et vu leur taille, même si tu te fais mordre, cela ne doit pas faire mal
  14. askook

    Futures acquisitions

    Un couple d'Aplopeltura boa est arrivé aujourd'hui Spécial comme serpent Long d'environ 50 cm, pas plus gros d'un crayon de papier et de couleur camouflage (marron/verdâtre). La tête est vraiment particulière. Elle est adapté pour aller chercher au fond de la coquille l'escargot. Photo à suivre... ainsi que leur évolution.
  15. askook

    moi et ma bande

    Sympa l'ensemble
  16. voici la vidéo https://www.dailymotion.com/yom_/video/x258qk_monstre-loch-ness-nouvelles-images
  17. Des images du monstre du Loch Ness ? Un scientifique amateur a tourné samedi dernier, le 26 mai 2007, des images du fameux monstre du Loch Ness, qui seraient les plus éloquentes jamais obtenues, selon les amateurs de la créature qui habiterait les eaux du plus mystérieux lac d'Ecosse. Nessie est de retour. Un scientifique amateur aurait tourné samedi dernier, le 26 mai, des images du fameux monstre du Loch Ness, qui seraient les plus éloquentes jamais obtenues, selon les amateurs de la créature qui habiterait les eaux du plus mystérieux lac d'Ecosse. Gordon Holmes dit avoir vu un objet noir de jais d'environ une quinzaine de mètres de long se déplaçant très rapidement dans l'eau, et a cru qu'il pourrait s'agir d'une très grosse anguille. "Je ne pouvais croire mes yeux", a déclaré le technicien de laboratoire de 55 ans. Un amateur de Nessie et biologiste marin, Adrian Shine, du Loch Ness 2000 Centre à Drumnadrochit, sur les bords du lac, a visionné la vidéo et espère pouvoir l'analyser au cours des prochains mois. "Je me considère comme étant un observateur sceptique de ce qui se passe dans le loch, mais je garde l'esprit ouvert", a-t-il déclaré. "Il n'y a pas de doute que ces images sont parmi les meilleures que j'aie jamais vues". Images probantes Une image de la vidéo (CNN) Adrian Shine a déclaré que la vidéo était particulièrement utile, puisque Gordon Holmes y effectue un panoramique afin de capter les berges en arrière-plan, ce qui réduit considérablement les risques de vidéo truquée. Les médias écossais sont sceptiques quand surviennent de prétendues observations du monstre, mais les images de Gordon Holmes sont si probantes que même la très sérieuse BBC les a présentées à son principal bulletin d'informations de mardi. Plusieurs mythes et légendes circulent autour du Loch Ness, la plus importante et la plus profonde étendue d'eau de la Grande-Bretagne. Avec ses 230 mètres de profondeur, le loch est plus profond que la Mer du Nord. Plus de 4.000 témoins ont déjà affirmé avoir aperçu la créature depuis qu'elle a été filmée par une caméra pour la première fois par un chirurgien en vacances dans les années 1930. Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/europe/20070601.OBS9768/des_images_du_monstredu_loch_ness_.html
  18. Faune amphibienne et reptilienne de Bulgarie Situation géographique de la Bulgarie Amphibiens Anoures Bombina bombina Bombina variegata Bufo bufo Hyla arborea Pelobates fuscus Pelobates syriacus Pelophylax kl esculenta Pelophylax lessonae Pelophylax ridibundus Pseudepidalea viridis Rana dalmatina Rana graeca Rana temporaria Urodeles Salamandra salamandra Lissotriton vulgaris Mesotrition alpestris Triturus cristatus Triturus dobrogicus Reptiles Cheloniens Emys orbicularis Mauremys caspica Mauremys rivulata Testudo graeca Eurotestudo hermanni Sauriens Ablepharus kitaibelii Anguis fragilis Darevskia praticola Hemidactylus turcicus Lacerta agilis Lacerta trilineata Lacerta viridis Mediodactylus kotschyi Ophisops elegans Podarcis erhardi Podarcis muralis Podarcis taurica Pseudopus apodus Zootoca vivipara Ophidiens Coluber rubriceps Coronella austriaca Dolichopis jugularis Elaphe quatorlineata Eryx jaculus Malpolon monspessulanus Natrix natrix Natrix tessellata Platyceps najadum Telescopus fallax Typhlops vermicularis Vipera ammodytes Vipera ursinii Zamenis longissimus Zamenis situla
  19. Le bostryche typographe (Ips typographus) est un petit coléoptère ravageur ligniforme des forêts d'épicéas. Il a un corps cylindrique allongé avec des élytres et sa couleur est brun rouge. Son nom vient du grec Bostrukhos, « boucle de cheveux ». Il fait partie de la grande famille des scolytes. Plus de cent espèces de scolytes sont présentes en Suisse. La plus répandue et la plus redoutée du point de vue économique est le typographe (lat. Ips typographus). L'adulte, de couleur brun foncé, mesure environ 5 mm de long. Il pond dans l'écorce et ne laisse donc aucune trace de galerie dans le bois. Il appartient aux quelques espèces de scolytes qui tendent à pulluler si les conditions leur sont favorables et qui risquent ainsi de mettre en danger les peuplements forestiers. Il colonise actuellement les forêts d'altitude des Alpes et du Jura. Il ne s'en prend pas seulement aux arbres affaiblis mais aussi aux sujets en bonne santé. Le typographe n'attaque que les épicéas, ou presque. Il colonise généralement les arbres malades, stressés ou récemment abattus. On parle alors d'épicéas attractifs ou d'épicéas propices à la ponte (ou simplement arbres de ponte). Les mâles partent en pionniers à la recherche de tels arbres. Il sont attirés par des substances odorantes émanant des tissus corticaux de ces arbres (kairomones) et par les substances attractives sécrétées par leurs congénères (phéromones). Après avoir foré un couloir de pénétration et s'être accouplés, ils forment une nouvelle génération. Un épicéa sain peut empêcher l'intrusion des scolytes en sécrétant de la résine collante. Mais si les populations sont denses, les scolytes peuvent apparemment coloniser des arbres sains ou momentanément affaiblis. Les intenses activités de forage des larves et jeunes insectes se trouvant sous l'écorce interrompt le flux de la sève à l'intérieur de l'écorce, provoquant ainsi la mort de l'arbre infesté. Jamais le bostryche n'avait autant proliféré depuis au moins 2 siècles dans la forêt alpine. Ces dernières années, les conditions ont été propices sur les montagnes : l'ouragan Lothar en 1999 a affaibli les forêts, puis on a connu des conditions climatiques avec des hautes températures qui lui étaient favorables. Dès 16 degrés, l'insecte essaime vers de nouveaux lieux de ponte et colonise d'autres arbres. On peut recenser entre 60 000 et 80 000 bostryches et larves par arbre infecté. Lieux de ponte les plus prisés - les épicéas qui viennent d'être renversés ou cassés par le vent ou une avalanche, - les épicéas physiologiquement affaiblis par la tempête ou la sécheresse, - les épicéas affaiblis par des facteurs biotiques (maladies, autres insectes, activités humaines), - les épicéas entre 70 et 150 ans. Après une année, voire deux ou trois ans au plus tard, l'écorce des arbres renversés par le vent est généralement trop sèche pour être colonisée par le typographe. Il n'existe actuellement aucune parade chimique, les équipes de forestiers doivent abattre, écorcer sur place et évacuer rapidement les bois atteints à plus de 2 kilomètres. Il est possible aussi de poser des pièges à phéromones qui permettent de capturer 2% des insectes de l'arbre. La densité des populations de scolytes est régulée sous l'effet de différents facteurs naturels qui en limitent le développement. Ces facteurs sont principalement les conditions climatiques, l'offre en matériel de ponte, la résistance des arbres-hôtes et les ennemis naturels tels que divers insectes prédateurs ou parasites, ou encore les pics. Dans la réserve naturelle de la forêt de Bohême, en Allemagne, aucune des régulations naturelles ou humaines citées n'a enrayé la propagation de cet insecte. Il a donc été décidé de laisser faire sans combler les destructions, ce qui a entraîné la disparition complète de la forêt d'épicéas plantée par l'homme au XIXe siècle. L'organisme gestionnaire de la forêt compte sur une repousse naturelle de la forêt, avec un peuplement naturel plus hétérogène : hêtres en plus des épicéas, et sous-bois varié (dont sorbier), c'est-à-dire la forêt naturelle de moyenne montagne à ces latitudes, peuplement naturel qui devrait limiter la propagation de l'insecte à l'avenir. À court terme, il aura disparu avec son arbre hôte.
  20. Les coléoptères menacent les forêts du sud de la Suède D'un coup de couteau, Alrik Karlsson, un paysan de 78 ans, entaille le tronc de sapin couché dans sa forêt de Norra Torpa, à quelques kilomètres de Växjö, dans le sud de la Suède. Il a repéré l'endroit où tailler grâce à un petit amoncellement de sciure couleur brique. Découvert, un coléoptère noir d'un demi-centimètre tente de disparaître dans l'étroite galerie qui s'enfonce sous l'écorce. Il peut y avoir jusqu'à 4 000 individus par arbre. Ce coléoptère amateur d'épicéas s'appelle le typographe (Ips typographus). Il doit son nom aux galeries qu'il imprime dans le bois et constitue aujourd'hui la principale menace qui pèse sur les forêts du sud du royaume. Des printemps et des étés plus chauds, ajoutés à une fréquence élevée de tempêtes qui ont déraciné d'énormes quantités d'arbres, ont favorisé la prolifération du coléoptère. Ips typographus "On peut y voir un effet du réchauffement climatique, même s'il est trop tôt pour établir un lien formel", note Bo Langström, spécialiste de la protection des forêts à l'université agricole suédoise d'Uppsala. De son côté, l'Office des forêts a déclenché l'alerte depuis plusieurs semaines, tant la situation s'annonce critique pour cet été. Autour d'Alrik Karlsson, la forêt est retournée, dévastée, tapissée de branches brisées. Des souches à moitié déterrées parsèment des clairières qui étaient des forêts il n'y a pas si longtemps. "Les souches les plus sombres, c'est Gudrun. Les plus claires, les plus récentes, c'est Per", explique l'exploitant. Deux prénoms pour deux tempêtes qui ont ravagé le sud du pays, l'une en 2005, l'autre en 2007. En dépit de la mobilisation après le passage de Gudrun, d'énormes quantités de bois sont restées sur le carreau, ce qui a permis aux typographes de coloniser ces arbres sans défense et de se développer. "Ils étaient pourtant encore assez peu nombreux", souligne Nils Mitsell, consultant en santé des forêts. Mais la sécheresse de 2006 a tout fait basculer, avec un premier essaimage dès avril, qui a pris tout le monde de vitesse. "Pour la première fois depuis les années 1930, il y a eu deux générations de coléoptères en un seul été", explique Nils Mitsell. La sécheresse a eu une autre conséquence : le manque d'eau a affaibli les arbres, qui sont devenus des proies faciles. "On estime à 2 millions de m3 la quantité d'arbres détruits par les typographes pendant l'été 2006", constate Lennart Svensson, responsable de la lutte anticoléoptères dans la région du Götaland. A la fin de l'été, la plupart des troncs d'arbres victimes de Gudrun avaient toutefois été enlevés. La situation s'est encore aggravée avec la tempête Per, en janvier. Moins violente que Gudrun, elle s'est révélée plus sournoise car les arbres arrachés se sont trouvés plus dispersés, et donc plus compliqués et coûteux à enlever. Le "garde-manger" a été renouvelé et l'on s'attend à une explosion des typographes cette année. Les premiers essaimages ont démarré dès avril, lorsque la température a atteint 18 oC. Les typographes s'attaquent même à des arbres debout, signe que les troncs morts ne leur suffisent plus. "J'ai déjà perdu la moitié de ma forêt avec les deux tempêtes", s'inquiète Alrik Karlsson. Des pièges ont été installés un peu partout, contenant des phéromones, substances chimiques sécrétées par les animaux eux-mêmes. L'Office des forêts pousse les propriétaires à marquer, abattre et évacuer les arbres attaqués avant le 1er juillet, soit avant que l'animal adulte quitte l'arbre et que la nouvelle génération prenne son envol. Mais comment faire, alors que les machines et les camions manquent pour tronçonner les arbres et les transporter ? "On nous demande ces efforts, mais nous sommes voisins de réserves naturelles où il est soi-disant impossible d'intervenir et où les typographes se reproduisent à leur guise", s'insurge Alrik Karlsson. Mais la malédiction du typographe n'est pas inéluctable. Si le nombre des typographes grandit au point qu'ils s'attaquent aux arbres sains, ils devront se mobiliser en grand nombre pour vaincre la résistance de ceux-ci. Une fois à l'intérieur du tronc, la concurrence pour se nourrir finira par faire décroître la population de coléoptères. De plus, les ennemis naturels du typographe - sangliers et oiseaux notamment - devraient enrayer sa progression d'ici quelques années. La question est de savoir si les forestiers suédois supporteront une calamité de plus. Source: http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-916677@51-853716,0.html
  21. askook

    Futures acquisitions

    Pareas carinatus Photos pour illustration. Source: Google
  22. askook

    Futures acquisitions

    Aplopeltura boa Spécimen mangeant une limace. Photos pour illustration. Source: Google
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