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3 Lamprophis...ça casse pas des briques mais j'adore
askook a répondu à un(e) sujet de matthieu07 dans Serpents
Le Lamprophis fuliginosus est en train de refaire son apparition dans les élevages français Et, c'est tant mieux :banane: Car par sa facilité d'élevage et de reproduction, et son manque de couleur, le serpent des maisons fut dédaigné des terrariophiles pendant pas mal d'années, trouvant ce serpent trop banal. Et pourtant, c'est une espèce agréable à élever et qui apporte beaucoup de satisfaction Bon élevage Matthieu -
3 Lamprophis...ça casse pas des briques mais j'adore
askook a répondu à un(e) sujet de matthieu07 dans Serpents
Le bon taxon de ce genre est bien Lamprophis et non plus Boaedon . Avec le même lien, voilà ce que l'on peut aussi trouver http://zipcodezoo.com/animals/l/lamprophis_fuliginosus.asp Lamprophis fuliginosus Taxonomy Kingdom: Animalia Linnaeus, 1758 - animals Subkingdom: Bilateria (Hatschek, 1888) Cavalier-Smith, 1983 - bilaterians, triploblastic animals Branch: Deuterostomia Grobben, 1908 - deuterostomes Infrakingdom: Chordonia (Haeckel, 1874) Cavalier-Smith, 1998 Phylum: Chordata Bateson, 1885 - chordates Subphylum: Vertebrata Cuvier, 1812 - vertebrates Infraphylum: Gnathostomata auct. - jawed vertebrates Superclass: Tetrapoda Goodrich, 1930 - tetrapods Class: Reptilia - reptiles Superorder: Lepidosauria Order: Squamata (SKWA-ma-tuh) - amphisbaenians, lizards Suborder: Serpentes (Linnaeus, 1758) - snakes Family: Colubridae Subfamily: Boodontinae Genus: Lamprophis Species: fuliginosus Scientific Name: Lamprophis fuliginosus About the family Colubridae: A cosmopolitan family that includes the majority of the snakes of the world. Most of these snakes are ground-dwelling or tree-dwelling. Contributors: * Brands, S.J. (comp.) 1989-2006. Systema Naturae 2000. The Taxonomicon. Universal Taxonomic Services, Amsterdam, The Netherlands. Accessed November 18, 2006. * Global Biodiversity Information Facility. Accessed June 20, 2006. http://www.gbif.org Provided distribution data, info on synonyms, some common names. Identifiers: * Zipcode Zoo Species Identifier: 617625 Last Revised: November 18, 2006 Revenons à des choses plus sérieuses. La systématique n'est pas une science exacte. Elle ne dépend que de biologistes qui ne veulent que trop souvent laisser leur nom dans les ouvrages, ce qui fait que cette science "bouge" très et trop rapidement. A peine un biologiste donne un taxon à un genre ou à une espèce, qu'un autre scientifique étudie cette même espèce et la renomme avec un nouveau nom. Mais cela ne veut pas dire que ces nouveaux taxons soient valident -
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Message trouvé sur http://forum.aufeminin.com/ Un python ans un immeuble de metz!" Envoyé par caroline2322 le 28 décembre à 20:37 Je viens de voir les infos sur la 6 et une dame disait qu'elle s'est révillée pour aller aux toilettes dans la nuit et là elle voit sur les toilette un énorme piton! Elle appelle son ami qui constate la même chose et le serpent s'est faufilé par en dessous la baignoire dans les murs de l'immeuble. Les pompiers sont arrivés ils ont mis une caméra et ils l'ont vu et aprés plus rien. Le mec qui témoignait disait qu'un serpent peu rester comme ca des années à se nourrir des rats dans les murs... J'ai la phobie des serpents et ce reportage m'a glacé. Ils ont dit aux gens qu'ils pouvaient les reloger en attendant et que les gens de cet immeuble dormaient mal. Une chose est sûre si je suis en loc et qu'un truc comme ca m'arrive je déménage recta sans chercher à comprendre. Le pire c'est que le mec qui témoignait ca l'inquiétait pas plus que ca, faut faire quelque chose quitte à détruire cet immeuble et reloger les gens. J'ai l'impression qu'ils préfèrent prendre le risque que le piton se repointe ce qui arrivera surement et tue quelqu'un plutôt d'agir tout de suite. On devrait interdire les serpents dans les foyers, les serpents sont trop dangereux, ok pour les chiens, les chats mais les reptiles faut pas déconner quand même. Je me demande si certaines personnes ne font pas exprés de ramener des serpents des pays tropicaux et de les lacher pour s'amuser dans la nature ici. Ca me donne froid dans le dos j'ai trés trés peur des serpents. Espérons qu'il n'arrive pas jusque Paris. Voilà le type de réaction des personnes non terrariophiles, dû à un comportement non responsable de certains terrariophiles Je sais, une fuite est toujours possible même chez des terrariophiles responsables -
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un python a été capturé dans les toilettes d'un appartement du centre de Metz. Ce serpent non venimeux à la peau tachetée mesurant entre 60 et 80 centimètres s'abreuvait paisiblement au goutte-à-goutte de la chasse d'eau quand la locataire de l'appartement l'a aperçu mercredi, selon le quotidien régional le Républicain lorrain. Les pompiers, rapidement sur les lieux, l'ont très vite attrapé, puis mis dans un sac, dont il devait être sorti jeudi pour être inspecté par un vétérinaire, ont-ils indiqué. Le serpent avait déjà été aperçu par la même locataire la veille de Noël. Localisé grâce à une micro-caméra, il n'avait toutefois pu être capturé. La propriétaire d'un python royal, qui avait déclaré sa disparition à Metz, n'a pas reconnu l'animal retrouvé. "Le problème, c'est qu'on sait maintenant qu'il y a un autre serpent dans la nature", a constaté un pompier. Source: http://www.orange.fr/bin/frame.cgi?u=http%3A//actu.orange.fr/articles/insolite/Un-python-dans-des-toilettes-a-Metz.ht -
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"autre article" Il est né le divin varan CHESTER, Angleterre - jeudi 21 decembre 2006 à 13h55 Ça ressemble à un joli conte de Noël chez les reptiles. En cette période de célébration de la Nativité, Flora, varan de Komodo femelle, attend avec impatience l'éclosion imminente de ses sept petits. Simple coïncidence ou clin d'oeil de l'évolution, Flora a conçu sa descendance seule. "Nous avons été soufflés lorsque nous nous sommes rendus compte de ce qu'elle avait fait", explique Kevin Buley, spécialiste des reptiles au zoo de Chester (nord de l'Angleterre), où vit Flora. "Mais il certain que nous n'allons nommer aucun des petits Jésus". Natifs d'Indonésie, les varans de Komodo sont les plus gros lézards du monde. Si plusieurs espèces reptiles se reproduisent de manière asexuée, selon un processus baptisé parthogénèse, la grossesse virginale de Flora et celle cette année d'une de ses congénères du zoo de Londres, Sungai, sont les premiers exemples de ce type chez les varans de Komodo. Ces deux cas sont recensés dans l'édition du magazine britannique "Nature" publiée jeudi. La parthogénèse est un processus selon lequel un ovule évolue en embryon sans fécondation mâle. Avec l'exemple de Flora, les scientifiques cherchent désormais à savoir si les femelles varans ont toujours eu, de manière latente, cette capacité de reproduction ou s'il s'agit d'une nouvelle étape de l'évolution de l'espèce. Agée de huit ans, Flora est sexuellement mûre mais, ayant toujours vécu en captivité, n'a jamais été en contact avec un varan de Komodo mâle. Elle vit avec sa soeur Nessie. Ses gardiens ont commencé à avoir des doutes en mai, lorsqu'elle a pondu 25 oeufs. Il n'est pas inhabituel pour les varans femelles de pondre sans accouplement, ces oeufs ne sont pas fécondés. Par précaution, les gardiens du zoo de Chester les ont pourtant placés dans un incubateur. Lorsque trois d'entre eux ont éclos, les scientifiques y ont regardé de plus près. "Nous avons vu des vaisseaux sanguins et un petit embryon", explique Kevin Buley. "Nous avons immédiatement su que Flora avait fécondé elle-même les oeufs". Les gardiens ont alors envoyé les oeufs éclos, ainsi que des échantillons de peaux de Flora, Nessie et d'un varan mâle, à un laboratoire de Liverpool pour y déterminer leur parenté génétique. Les résultats ont montré que, même si les embryons ne sont pas des clones exacts de Flora, leur ADN ne provient d'aucun autre varan. Au zoo de Londres, Sungai avait elle aussi donné naissance à quatre petits par auto-fécondation. Après leur naissance, Sungai s'est accouplée normalement avec un mâle de son espèce, donnant naissance à un nouveau petit. "Les varans de Komodo semblent capables de pouvoir changer leur mode de conception en cas de pénurie de compagnons adéquats" et ainsi s'adapter à leur environnement, observe le Dr Rick Shine, professeur de biologie évolutive à l'université de Sydney (Australie). Ce particularisme pourrait être très utile à la préservation des varans de Komodo -espèce dont il ne reste plus qu'environ 4.000 représentants sauvages, dont 1.000 femelles- ainsi que d'autres espèces. Il pourrait également aider à mieux comprendre le phénomène de parthogénèse et notamment accélérer les recherches sur les cellules souches. AP Source: http://web.ifrance.com/actu/monde/60255#
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chez les dragons de Komodo Andrew Yates (AFP - Flora, dragon de Komodo femelle, au zoo de Chester au Royaume-Uni, le 20 décembre 2006) 20 décembre 18:25 - PARIS (AFP) - Huit bébés dragons de Komodo devraient éclore prochainement au zoo de Chester (Royaume-Uni) d'oeufs pondus par une femelle vierge, Flora: ces reptiles sont capables de se reproduire par autofécondation, révèlent des biologistes dans la revue Nature de jeudi. Originaires de la petite île indonésienne dont ils portent le nom et de quelques autres terres volcaniques voisines, menacés d'extinction, les dragons (ou varans) de Komodo sont les plus gros lézards du monde, pouvant dépasser les trois mètres. En captivité, ils font l'objet d'un programme international d'élevage, lancé en 1998 au parc animalier français de Thoiry (Yvelines). Dans le cadre de cette coopération, quatre premiers varans ont vu le jour en mars 2006 au zoo de Londres, sortis d'oeufs pondus par Sungaï, ancienne pensionnaire de Thoiry mais envoyée outre-Manche afin d'éviter une union consanguine avec son compagnon et cousin Kinaam, lequel s'est retrouvé à Chester. Ainsi, pendant deux ans et demi, Sungaï et Kinaam ont dû faire chambre à part. Mais dès son arrivée au zoo du Regent's Park et avant de rencontrer son nouveau partenaire, Raja, la femelle a pondu des oeufs fécondés, dont allaient éclore (malheureusement après la mort de leur mère), dans un incubateur, les quatre premiers bébés "européens". Ian Stephen (AFP/Zoological Society of London/Archives - Naissance d'un dragon de Komodo au zoo de Londres, en mars 2006) Comment cela a-t-il pu se produire alors que l'incubation, après fécondation, dure normalement huit mois environ? Le mystère était total, mais Phillip Watts, de l'université de Liverpool, et ses collègues, viennent de l'élucider selon leur article publié par la revue scientifique britannique. Les "dragonnes" de Komodo, ont-ils découvert en analysant l'ADN extrait de trois oeufs couvis (pourris) parmi les onze oeufs fécondés d'une ponte de 25 faite par Flora, pratiquent parfois ce qu'on appelle la parthénogénèse: elles s'autofécondent et produisent, en quelque sorte, des clones d'elles-mêmes. L'éclosion de huit bébés issus de cette immaculée conception est attendue en janvier 2007. Quant à Sungaï, les scientifiques ont constaté que ses quatre premiers bébés sont dus eux aussi à la parthénogénèse, tandis qu'un autre, sorti de l'unique oeuf viable de six qu'elle a pondus deux mois après avoir copulé avec Raja, est le fruit de ce rapport sexuel. "La parthénogénèse constitue donc un phénomène non reconnu jusqu'ici pour la gestion génétique des populations menacées", notent les chercheurs. Ils se demandent toutefois si cette reproduction monoparentale ne peut conduire à la naissance d'individus de forme physique réduite et à un plus grand risque d'extinction, bien que les quatre rejetons de Sungaï soient sains et qu'ils croissent et se comportent normalement. Chez les dragons de Komodo sauvages, la parthénogèse pourrait constituer une bouée de sauvetage, permettant à une seule femelle, non fertilisée, de fonder une colonie au sein de laquelle la reproduction sexuelle peut reprendre par la suite mais, il est vrai, entre individus apparentés. A peine 4.000 dragons de Komodo survivent dans la nature dont peut-être moins de 1.000 femelles adultes. Source: http://actualite.aol.fr/sciences/l-immaculee-conception-existe-chez-les-dragons-de-komodo/100998/p-article_cat/article
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