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Un Métier en rapport avec la Terrariophilie
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Divers
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VOTEZ POUR LA PHOTO CONCOURS !!!!!!!!!!!
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Vos P'tits Virus
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Voici quelques liens conernant Popeia buniana http://www.mapress.com/zootaxa/2006f/z01305p019f.pdf http://biology.bangor.ac.uk/~bss166/Updates/Crotalinae2006.htm et pour le genre Popeia http://biology.bangor.ac.uk/~bss024/pdfs/2004/Sanders%20RJH%202004.pdf http://www.mapress.com/zootaxa/2004f/z00727f.pdf http://biology.bangor.ac.uk/~bss024/pdfs/2006/Creer%20Sysbiol%202006.pdf
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Pour ceux qui ont regardé le reportage "A la recherche de la reine des vipères" sur Planète choc. L'espèce recherchée et décrite depuis par Grismer & al. (2006) est Popeia buniana Popeia bubiana. Photo pour illustration. Source: Google Cette espèce fait partie de l'ancien groupe Trimeresurus popeiorum, qui est devenu un genre valide Popeia (Malhotra & Thorpe, 2004) Ce genre, encore très complexe, se compose maintenant de diffèrentes espèces selon les auteurs: Popeia barati Popeia fucatus Popeia inornata Popeia nebularis popeia popeiorum Popeia sabahi Popeia buniana est localisé sur l'ile de Pulau Tioman à l'est de la Malaisie Cette nouvelle espèce diffère, par son plus grand nombre d'écailles ventrales, les proportions de son corps et son pattern, des autres espèces du genre Popeia. Seuls cinq spécimens ont été trouvés dont trois par Grismer et al.
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Des nouvelles des ptits (en direct des terras (encore!!!))
askook a répondu à un(e) sujet de Arwen02 dans Vos P'tits Virus
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quelle tortue terrestre choisir?
askook a répondu à un(e) sujet de sbastien44001 dans Tortues - Crocodiles
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Paraphimosis Les mâles squamates (lézards, serpents) possèdent tous deux hémipénis, érectiles qui sont logés, au repos, dans des culs de sacs situés caudalement par rapport au cloque et appelés poches hémipéniennes. Les mâles chéloniens et crocodiliens ne sont dotés, quant à eux, que d’un seul pénis (très peu érectile chez les crocodiliens) situé, au repos, sur le plancher du proctodeum du cloaque. Les paraphimosis sont assez fréquents chez les lézards et les tortues pendant la saison des amours. Ils sont rarissimes chez les serpents et les crocodiliens. Comme chez les mammifères, le paraphimosis correspond chez les reptiles à l’incapacité, définitive ou transitoire, pour un mâle de faire réintégrer son (ou ses) organe(s) copulateur(s) à l’intérieur de son (ou ses) logement(s). Etiologie. Un paraphimosis est généralement lié au rut et secondaire à une hyperexcitation sexuelle. Il peut aussi être favorisé par une inflammation de l’organe copulateur (cloacite, morsure, infection bactérienne ou mycosique des poches hémipéniennes, bouchons hémipéniens de sperme solidifié, dont la présence est souvent lié à une hypocalcémie, par une traction excessive exercée sur l’organe pendant la copulation ou par des troubles neurologiques (atonie des muscles rétracteurs ou du sphincter cloacal). Symptomatologie. Chez les chéloniens, cette anomalie se caractérise par la présence d’une masse volumineuse et luisante de couleur noire au niveau du cloaque. Chez les sauriens, elle se manifeste par une (ou deux) masse(s) oblongue(s) de couleur violacée dirigées caudo-crânialement. Fréquemment, l’organe prolabé est victime de traumatismes (frottements sur le sol du terrarium ou sur de la terre, morsures de congénères), puis de nécrose. Diagnostic. Clinique. Le diagnostic clinique du paraphimosis ne pose pas de problème particulier. Différentiel. C’est en mobilisant le pénis ou l’hémipénis prolabé que l’on distingue un paraphimosis d’un prolapsus du côlon terminal ou de tout autre organe de la cavité coelomique. Le paraphimosis se différencie du prolapsus du côlon terminal par le fait que les tissus prolabés ne proviennent pas de l’intérieur du cloaque, mais de la région ventro-latérale de la base de la queue chez les sauriens ou de la portion ventrale de l’orifice cloacal chez les chéloniens. Thérapeutique. Dans le cas les plus précoces, l’application de compresses d’eau glacée et d’un gel lubrifiant sur le pénis protrus suffit à faire réintégrer l’organe copulateur à l’intérieur de son logement. Une suture en bourse partielle du cloaque pendant une à deux semaines prévient alors les récidives. Généralement, le pénis est ischémié, endommagé par la striction liée à son hyperhémié ou mordu, et seule une amputation est envisageable. Cette amputation se pratique très simplement par une suture transfixiante (le pénis ou les hémipénis sont très richement vascularisés et une très bonne hémostase doit être effectuée). Dans la mesure où les voies urinaires et spermatiques sont distinctes chez les reptiles, cette amputation n’empêche absolument pas, par la suite, l’émission d’urine. De même, chez les squamates, l’amputation d’un hémipénis ne compromet pas les capacités de reproduction de l’animal par la suite. Prophylaxie. Le paraphimosis est difficile à éviter. Les mâles victimes de surexcitation sexuelle (les tortues mâles notamment) peuvent être isolés des femelles et même maintenus à une température assez basse pour freiner leurs "ardeurs". La prévention des morsures du pénis ou des hémipénis consiste à éviter les conflits pendant les parades nuptiales en séparant les mâles. Article extrait de" Guide Pratique des Maladies des reptiles en captivité" du Docteur Lionel Schilliger. 2004 - Edt MED'COM
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Il ne faut pas prendre ce problème (paraphimosis) à légère Surtout que ce n'est pas la première fois, si mes souvenirs sont exacts Après avoir essayé moi même de réintégrer les hémipénis, chez l'un de mes individus Epicrates mâle, chose que j'arrivai à faire facilement. Cela c'est fini, quand même, par une amputation des hémipénis pleure Donc si possible, va plutôt chez un vétérinaire
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