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Chysopelea (serpents-volants) Le genre Chrysopelea fait parti de la famille des Colubridae (couleuvres) et de la sous-famille des Colubrinae. Il était placé autrefois dans la sous-famille des Boiginae quand celle-ci était encore valide. Le genre Chrysopelea compte cinq espèces (C.ornata, C.paradisi, C.pelias, C.rhodopleuron, C.taprobanica). Couple de Chrysopelea ornata ornatissima Leur répartition géographique s’étand du sud de la Chine jusqu’aux Philipines en passant par l’inde, le Sri Lanka, la Malaisi et l’Archipel Indonésien. Les représentants du genre Chrysopelea possèdent un corps fin et fuselé, long de 90 à 150 cm, caractéristique des espèces arboricoles. Les écailles dorsales sont lisses ou faiblement carénées, par contre les écailles ventrales sont carénées avec une échancrure de chaque côté. Ce type d’écaille ventrale permet aux "Chryso" de grimper très rapidement le long des troncs lisses des arbres. La queue est longue et préhensile. Leur tête allongée et proéminente et bien distincte du cou. Les yeux sont grands et possèdent des pupilles rondes qui indiquent leurs mœurs diurnes. Les serpents volants se rencontrent durant la journée aussi bien le matin qu’en plein midi ou en fin de soirée. Ils sont beaucoup plus actifs et visibles pendant la saison des pluies. Les "Chrysopelea" vivent dans les hautes cimes des arbres où ils aiment se prélasser au soleil et peuvent également chasser de petits lézards. Photo pour illustration. Source: Google On les rencontre cependant au pied des arbres, notamment les jeunes, au début de la saison des pluies à la recherche de grenouilles. Il est fréquent de trouver des serpents volants dans les arbres des villages ou des villes. Ce qui caractérise le genre Chrysopelea est le fait non pas de voler, mais de planer, dans une certaine mesure, dans le ciel pour se rendre au sol, passer d'arbre en arbre, pour chasser ou fuir un prédateur. Il a développé une technique de déplacement particulière, le "saut plané". Accroché à une branche par le bout de sa queue préhensile, le serpent volant positionne le premier tiers de son corps en forme de "J" ou un "S" comme le ferait un serpent s'apprêtant à mordre et se propulse dans l’air. La détente du départ est très puissante. Photo pour illustration. Source: Google Durant le vol, le serpent courbe ses écailles ventrales. Ce qui lui donne un aspect incurvé et qui a effet d’aplatir son corps pour créer une résistance au vent tout en ondulant latéralement. Sa tête et son corps restent toujours parallèles au sol. Il peut alors atterrir ou se raccrocher à un arbre plus ou moins brutalement. La chute planée prend un angle d'environ 45°, et la réception au sol se fait sans dommage pour l'animal. Ce mode de déplacement aérien est vraisemblablement plus compliqué que le déplacement au sol car le serpent doit simultanément écarter ses côtes de la tête au cloaque, rendre son abdomen concave et onduler! Ces attitudes conjointes réalisées en un temps très bref (env. 2-3 secondes) doivent requérir un contrôle neuromusculaire spécialisé. Photo pour illustration. Source: Google VIDEOS http://homepage.mac.com/j.socha/video/mov_clips/863_cam_2.html http://homepage.mac.com/j.socha/video/mov_clips/25_cam_1.html http://homepage.mac.com/j.socha/video/mov_clips/103_cam_1.html http://homepage.mac.com/j.socha/video/mov_clips/719_cam_2_50pct.html
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Je choisi mes espèces et les spécimens que j'élève sur différents critères. Le premier: j'essaye de mettre en place des groupes d'individus d'espèces peu répandues dans les élevages français, en espérant leur adaptation et ensuite leur reproduction (Philothamnus, Psammophylax, Dipsadoboa, Leioheterodon etc...) Le deuxième: Ayant un petit goût prononcé pour les espèces et des spécimens ayant du caractère. L'agressivité reste un critère de choix pour une acquisition
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Nouvelle systématique du genre Trimeresurus
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Systématique
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Dans la pièce d"élevage, il fait environ 35°C avec un taux d'humidité aux alentours de 40% J'ai mis des bacs d'eau supplémentaires dans les terrariums, ou remplacer certain bac d'eau par des plus grands, pour que chaque spécimen puisse aller se baigner en cas de basoin Quelques espèces comme Pantherophis obsoletus lindheimeiri "leucistic", Pituophis catenifer affinis, Orthriophis taeniura ridley qui ne vont jamais dans l'eau, passe depuis quelques jours une grande majorité de leur temps à faire trempette Pour d'autres espèces (Boiga, Chrysopelea...), j'ai juste multiplié les pulvérisations quotidiennes
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