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La tératologie est l'étude des monstres lato sensu. Les reptiles, comme tous les autres groupes de vertébrés, présentent une grande variété de cas tératologiques. Toutes déviation observée par rapport à la normale est une erreur du développement embryonnaire. Elle provoque soit une anomalie minime qui ne met nullement en danger la survie de l'individu, soit une malformation viable mais entraînant un handicap, soit une monstruosité le plus souvent létale car atteignant des organes vitaux. Ces individus sont souvent trouvés juvéniles, morts peu après l'éclosion ou morts-nés, mais très exceptionnellement un tel individu peut se nourrir et vivre jusqu'à plus de dix ans. Le développement d'un embryon est le résultat de l'expression de son génome. L'albinisme et l'absence d'écailles (scaleless) sont déterminés par des gènes autosomiques récessifs. Mais dans la grande majorité des cas, l'apparition des cas, l'apparition d'anomalies est liée à l'action des facteurs défavorables du milieu durant le dévelopement. La fréquence de cette apparition dans des conditions d'incubation artificielle a permis d'incriminer, comme facteur principal, une température d'incubation inadéquate, trop basse ou surtout trop élevée, ou encore les deux successivement. Une pression exercée sur un oeuf ou un dessèchement partiel de son contenu peuvent également avoir une action tératogène. Source: Gilbert Matz voici quelques cas: Serpents bicéphales Lampropeltis getulus floridana Photo pour illustration Lampropeltis getulus californiae Photo pour illustration Pituophis melanoceusus (Zoo de Los Angeles) Photo pour illustration Serpent cyclope Vipera xanthina (née en captivité mais vécue que quelques jours) Photo pour illustration
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Voici un article trouvé dans le "Guide pratique des Maladie des reptiles en captivité du Docteur Lionel Schilliger paru aux Editions MED'COM" sur la quantité de nourriture à donner pour un serpent. - Chez les serpents, la quantité de rongeurs à distribuer peut être estimée de deux manières. 1) On considère que pour la plupart, les serpents sauvages consomment annuellement deux à quatre fois leur poids en nourriture. Sachant qu'en captivité, les besoins énergétiques sont réduits par le manque d'activité physique, le facteur 2 est retenu. Un serpent de 500 grammes adulte doit donc consommer 1 kg de petits mammifères par an, c'est à dire 18 souris sur huit mois d'activité (si l'on compte 4 mois de repos hivernal), ca qui correspond à une souris toutes les deux semaines. 2) Les besoins énergétiques quotidiens des reptiles peuvent être calculés d'une manière plus mathématique à partir d'une équation obtenue expérimentalement en cage métabolique, sur des animaux non gravides, au repos, à 30°C, dans l'obscurité. Ces besoins caloriques, proportionnels au poids de l'animal à la puissance 0,77, sont, par exemple de 6kcal par 24h pour un serpent de 500 grammes, soit de 90kcal pour 15 jours ce qui correspond exactement à la densité énergétique d'une souris adulte! Qu'en pensez-vous Personnellement, je donne pour un serpent du même poids que l'article, une souris par semaine. Et je pensais ne pas sur-alimenter mes serpents
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Voici quelques photos d'espèces du genre Coelognathus Fitzinger, 1843 Coelognathus erythrurus (ex Elaphe erythrura) Photo pour illustration Photo pour illustration Un juvénile Photo pour illustration Coelognathus helenus (ex Elaphe helena) Photo pour illustration Coelognathus flavolineatus (ex Elaphe flavolineata) Photo pour illustration Photo pour illustration Photo pour illustration Coelognathus radiatus (ex Elaphe radiata) Photo pour illustration Photo pour illustration un juvénile "albinos" Photo pour illustration Photo pour illustration
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L'arrêté de Guyane est en passe d'être modifié La cour Européenne a obligé la France à revoir cet arrêté A présent les oiseaux de Guyane nés en captivité et identifiés conformément à la législation, sont libre de vente en France Des oiseaux aux reptiles, il n'y a qu'un pas qui devrait être franchi dans la logique des choses. Mais là, je m'avance peut-être Voici les textes officiels concernant cette modification :frr: J.O n° 73 du 26 mars 2006 page 4625 texte n° 18 Décrets, arrêtés, circulaires Textes généraux Ministère de l'écologie et du développement durable Arrêté du 24 mars 2006 modifiant les arrêtés du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et du 15 mai 1986 modifié fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane NOR: DEVN0650174A Le ministre de l'agriculture et de la pêche et la ministre de l'écologie et du développement durable, Vu le code de l'environnement, et notamment ses articles L. 411-1 à L. 412-1, L. 424-8 et R. 411-1 à R. 412-7 ; Vu l'arrêté du 17 avril 1981 modifié fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire ; Vu l'arrêté du 15 mai 1986 modifié fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane ; Vu l'arrêté du 10 août 2004 fixant les conditions d'autorisation de détention d'animaux de certaines espèces non domestiques dans les établissements d'élevage, de vente, de location, de transit ou de présentation au public d'animaux d'espèces non domestiques ; Vu l'arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d'élevage d'agrément d'animaux d'espèces non domestiques ; Vu l'avis du Conseil national de la protection de la nature ; Vu l'avis du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage, Arrêtent : Article 1 A l'article 4 ter de l'arrêté du 17 avril 1981 susvisé fixant les listes des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire, il est ajouté un deuxième alinéa ainsi rédigé : « L'interdiction de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture. » Article 2 A l'article 3 bis de l'arrêté du 15 mai 1986 susvisé fixant sur tout ou partie du territoire national des mesures de protection des oiseaux représentés dans le département de la Guyane, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « L'interdiction de transport, de colportage, d'utilisation, de mise en vente, de vente ou d'achat, prévue aux articles 1er, 2 et 3, ne s'applique pas aux spécimens nés et élevés en captivité et marqués conformément aux dispositions fixées par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature et du ministre chargé de l'agriculture. » Article 3 Le directeur de la nature et des paysages et le directeur général de l'alimentation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 mars 2006. La ministre de l'écologie et du développement durable, Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la nature et des paysages, J.-M. Michel Le ministre de l'agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation : L'adjoint au sous-directeur de la santé et de la protection animales, E. Dumoulin
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Il existe quelques règles fondamentales sur l'écriture des noms scientifiques Voici les principales le premier nom est le genre: Boa Le deuxième est l'espèce : constrictor Le troisième, au cas échéant, est la sous-espèce : constrictor Les trois réunis vous donne Boa constrictor constrictor Si il y a un quatrième nom, c'est obligatoirement une localité ou une phase. Boa constrictor constrictor "albinos" Le genre commence toujours par une majuscule. Les noms scientifiques ne prennent jamais d'accents et s'écrivent toujours en italique. Les localités et les phases s'écrivent normalement et entre guillemets.
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Si tous les membres des famillles des Atractaspididae, Elapidae et Viperidae, possédant simultanément des glandes venimeuses et un système inoculateur développé, doivent être considérés comme venimeux, le problème n'est pas si simple parmi les Colubridae. Il n'est pas possible de se fonder sur le caractère de la denture pour préjuger du caractère potentiellement venimeux d'une couleuvre. En effet, une étude de McKinstry (1983) portant sur 177 genres de la famille des Colubridae (sur 310 genres environ reconnus) a montré que 93 sont opisthoglyphes (dents maxillaires postérieures agrandies et sillonnées), 41 sont opisthodontes (dents postérieures agrandies dépourvues de sillon) et 43 présentes des dents non modifiées mais possèdent une glande séreuse ou mucco-séreuse (glande de Duvernoy). L'élevage grandissant, en captivité, d'espèces dont la biologie n'est pas ou peu connue entraîne une augmentation des cas d'envenimation. Voici une liste des espèces responsables de cas d'envenimation chez l'homme, en séparant les espèces mortelles (au moins un cas confirmé) de celles connues pour n'avoir, actuellement, occasionné que des cas cliniques, quelles que soient leurs gravités. Espèces mortelles Dispholidus typus Philodryas olfersii Rhabdophis tigrinus Tachymenis peruviana Thelotornis capensis Espèces responsables d'envenimations Ahaetulla nasuta Alsophis angulifer Alsophis cantherigerus Alsophis portoricensis Amplorhinus multimaculatus Apostolepis spp Balanophis ceylonensis Boiga barnesi Boiga blandingii Boiga ceylonensis Boiga cyanea Boiga cynodon Boiga dendrophila Boiga forsteni Boiga irregularis Boiga nigriceps Boiga trigonata Cerberus rynchops Clelia sp Coluber ravergieri Coluber rhodorhachis Coluber viridiflavus Coniophanes sp Conophis lineatus Conophis sp Crotaphopeltis hotamboeia Dendrelaphis papuanus Diadophis punctatus Dipsadoboa aulicus Dipasdoboa sp Elaphe obsoleta Elapomorphus trilineatus Elapomorphus sp Enhydris bocourti Enhydris enhydris Erythrolamprus aesculapii Heterodon nasicus Heterodon platirhinos Hydrodynastes gigas Lampropeltis getulus floridana Leptodeiara annulata Leptophis ahaetulla Leptophis diplotropis Macrelaps microlepidotus Madagascarophis colubrinus Madagascarophis meridionalis Malpolon moilensis Malpolon monspessulanus Oxybelis aeneus Oxybelis fulgidus Phalotris lemniscatus trilineatus Philodryas baroni Philodryas chamissonis Philodryas patagoniensis Philodryas viridissimus Pliocercus elapoides Psammophis biseriatus Psammophis phillipsii Psammophis punctulatus Psammophis sibilans Psammophylax rhombeatus Psammophylax tritaeniatus Rhabdophis subminiatus Stenorrhina freminvillei Telescopus semiannulatus Thamnophis elegans Thamnophis sirtalis Thelotornis kirtlandii Trimorphodon biscutatus Xenodon merremi Xenodon severus Un doute, de cas d'envenimation mortelle, persiste pour Boiga forsteni Boiga irregularis(sur de jeunes enfants) Thelotornis kirtlandii Article extrait de Dumerilia: Les serpents venimeux du monde: systèmatique et répartition de P.David et I.Ineich et un merci au Dr Luc De Haro pour sa documentation.
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Cette rubrique concerne nos amis les reptiles ou autres N.A.C que nous aimons et que nous voulons garder en bonne santé. Avant de contacter un vétérinaire, il est judicieux de bien préciser: - Le genre et l'espèce précise de l'animal malade. - Son âge. - Son sexe. - Les symptômes que vous avez observé et depuis combien de temps ils sont apparus. On ne peux pas toujours vous aider pour soigner un reptile ou autre. En tant que passionnés, nous ne pouvons que vous conseiller. Certaines pathologies nécessitent l'avis d'un professionnel ainsi que les soins appropriés. En cas de problèmes avec vos animaux, n'hésitez pas à nous demander en mp des numéros de téléphone ou adresse d'un vétérinaire. Nous sommes là pour vous aider. Cordialement
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UN SERPENT-CAMELEON DECOUVERT A BORNEO Une nouvelle espèce de serpent aurait été découvert à Bornéo. Il se nomerait le "kapuas mud snake" ou le "kapuas". Communément appelé " Serpent de boue de Kapuas" Voici les articles le concernant trouvés dans google: Selon le WWF Un serpent capable de changer de couleur découvert à Bornéo Associated Press (AP) 27/06/2006 07h08 AP Photo/World Wide Fund for Nature, Mark Aulya Des scientifiques ont découvert une nouvelle espèce de serpent capable de changer de couleur de peau au cours de leurs recherches dans des marais de l'île de Bornéo, en Indonésie, a annoncé mardi le World Wild Life (WWF). Cette capacité à changer de couleur est connue chez certains reptiles, comme les caméléons, mais les scientifiques ne l'ont observé que très rarement chez les serpents et n'ont pas encore compris le phénomène, a annoncé le WWF dans un communiqué. «J'ai mis le serpent brun-roux dans un seau sombre», a déclaré le docteur Mark Auliya, spécialiste des reptiles et consultant pour le WWF. «Quand je l'en ai sorti quelques minutes plus tard, il était presque complètement blanc.» ------------------------------------------------------------------------------------ Autre article: 26-06-2006 Un serpent « caméléon » découvert à Bornéo Une nouvelle espèce de serpent vient d’être découverte à Bornéo, dans une région montagneuse de 220 000 km2 recouverte de forêts tropicales. Si la découverte d’une nouvelle espèce n’est pas étonnante sur cette île, durant les 10 dernières années 361 espèces d’animaux et de plantes y ont été découverts, celle d’un serpent 'caméléon' est exceptionnelle. Cette capacité connue chez certains reptiles, comme le caméléon, n’est en effet que très rarement observée chez les serpents. En fait la découverte a été un peu le fruit du hasard, le Dr Mark Auliya, expert en reptiles en Allemagne et consultant au WWF, déclarant : 'J’ai placé le serpent de couleur rouge-brun dans un récipient sombre. Quelques minutes plus tard, lorsque j’ai rouvert le récipient, j’ai constaté que le serpent était alors presque entièrement blanc !' Deux spécimens de ce serpent venimeux long d’un demi-mètre, et prélevés dans le parc national de Betung Kerihun, ont été ramenés. Baptisée 'Kapuas-Mud-Snake' (serpent de boue de Kapuas) par les scientifiques, cette nouvelle espèce appartient au genre Enhydris qui comporte 22 espèces dont 2, seulement, sont très répandues. Aussitôt découvert, aussitôt menacé pourrait-on dire, puisque ce serpent ne se trouverait que dans les régions humides qui entourent la rivière Kapuas. Or, aujourd’hui, il ne subsiste plus que la moitié des forêts originelles de Bornéo, alors que les coupes illégales perdurent. Néanmoins, la situation pourrait se stabiliser avec l’engagement pris récemment par l’Indonésie, la Malaisie et le Sultanant de Brunei Darussalam pour préserver plus de 200 000 km2 de forêts équatoriales et, par conséquent, les nombreuses espèces qu’elles abritent. Alex Belvoit photo WWF-Germany/Mark Auliya ------------------------------------------------------------------------------------ En avez-vous entendu parlé? Si oui, auriez-vous d'autres infos ? Cela pourrait être très intéressant. A bientôt
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Hello, Ce sont des photos prises au Vietnam par un ami internaute avec qui je correspond régulièrement et que j'ai connu sur un forum de reptiles. En ce qui concerne ces crocodiles, rassurez-vous, ils ne sont pas tués. Cet ami, David, est vacataire pour "handicap internationnal". Il va capturer des crocos là où il y a danger pour la population et ensuite ils sont relâchés dans des parcs nationaux. Cette personne est parti vivre au Vietnam il y a 3 ans pour ouvrir une école de boxe thaï mais aussi parcequ'il n'avait pas le droit d'exercer sa profession et sa passion pour les combats en France. Il pratique profesionnellement de la boxe thaï, du kick boxing et du MMA ("Free Fight", combats interdits en France). Voilà pour la petite histoire. Vous pouvez le retrouver sur le lien suivant , son nom de combat est "Serial stricker". www.teamminetti.com Bonne rencontre avec lui Voilou,