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askook

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  1. A reevaluation of the status of the fox snakes Pantherophis gloydi Conant anr P.vulpinus Baird and Girard (lepidosauria) ISRN Zoology Volume 2011 (2011) Brian I. Crother, Mary E. White, Jay M. Savage, Mallory E. Eckstut, Matthew R. Graham and David W. Gardner tp://www.cnah.org/pdf_files/1753.pdf
  2. Encore des modifications pour le genre Pantherophis dans A Reevaluation of the status of the Fox snakes Pantherophis gloydi Conant and P. vulpinus Baird and Girard (Lepidosauria) de Crother, White, Savage, Eckstut, Graham & Gardner Pantherophis gloydi devient un synonyme de Pantherophis vulpinus et apparait Pantherophis ramspotti
  3. Le Pseudophilotes sinaicus ou Sinaï Baton Blue est l'un des plus petit papillons au monde. Cet insecte est aujourd'hui menacé d'extinction. Ce papillon prospère auprès d'une espèce sauvage de thym qui pousse dans le désert du Sinaï. Mais le surpâturage pratiqué par les Bédouins ainsi que le réchauffement climatique pourrait provoquer la disparition de l'espèce.... Vidéo:
  4. askook

    Vipera ursinii

    Life vipère d'Orsini Synthèse du colloque de clôture 27 et 28 janvier 2011 http://www.arpe-paca.org/files/20110610_EXE.ARPE.pdf
  5. askook

    Gongylomorphus sp

    Des scientifiques du Durrell Wildlife Conservation Trust, un centre de conservation des animaux sauvages, ont ramené en Grande-Bretagne 22 scinques à queue orange, une espéce de lézard en voie de disparition présente sur l’île Maurice, a annoncé vendredi, Andrew Terry, le responsable du programme, rapporte BBC. "Nous avons pour objectif final de réintroduire l’espèce dans l’île", a déclaré Andrew Terry. Le scinque à queue orange a été découvert uniquement sur l’île plate, la plus grande des îles de Maurice, en 1995. Sa survie est en danger en raison de la forte présence dans l’île des musaraignes, petits rongeurs carnivores. Source:http://www.afrik.com/breve31796.html Lien: http://www.durrell.org/Latest/News/Durrell-instrumental-in-saving-the-orangetailed-skink-from-extinction/ http://www.wildlifeextra.com/go/news/orange-tailed-skink.html#cr
  6. Les alligators mangent leurs jeunes pour contrôler leur population Les jeunes alligators de moins 3 ans doivent faire attention aux adultes : ils pourraient bien se faire dévorer. Une étude montre que le cannibalisme juvénile est répandu chez les alligators, et peut-être même utilisé pour réguler la population. 6 à 7 % des jeunes alligators sont dévorés par leurs congénères chaque année. Ce cannibalisme a été mis en évidence dans le lac Orange, en Floride, et publié dans la revue Herpetology. Comment sait-on qui mange qui dans une population alligator ? Difficile, car un alligator ne laisse vraiment rien après avoir dévoré quelque chose, et mange trop pour qu’on puisse faire le tri dans son estomac. La technique des chercheurs est de marquer la patte arrière-droite des alligators à l’aide d’une balise, que l’on peut détecter ensuite aux rayons X. Si l’individu est dévoré, la balise se retrouve dans le ventre du cannibale. Qui les accumule s’il récidive. Ces données ont été prélevées entre 1981 et 1987 sur des alligators abattus par des chasseurs. Mais pour les exploiter, il fallait comprendre un peu mieux leur ingestion. C’est ce que l’équipe de Michael Delany a fait : après 588 jours, sur un groupe-test de 10 alligators qui avaient dévorés 5 balises chacun, ils ont constaté que 76% des balises étaient encore présentes dans leur estomac. Cette perte très faible permet de repenser les résultats des années 80. Dans le lac Orange, 56 balises ont été retrouvées dans l’estomac de 33 alligators sauvages. L’un avait 14 balises à lui tout seul ! 28 autres des alligators n’en avaient qu’une, et n’avaient donc mangé qu’un seul de ses camarades. L’identification des balises a permis de remonter à leur précédent propriétaire… qui s’avère dans 91% des cas avoir moins de 3 ans. De très jeunes enfants, pour cette espèce qui vit en moyenne une cinquantaine d’années. Le cannibalisme est du coup une source importante de mortalité chez les jeunes alligators. Il est possible que ce soit un mécanisme de régulation de la population. L’intensité du cannibalisme dépendrait alors de la démographie et des conditions environnementales locales. Un paramètre à prendre en compte lorsque le lac est pollué, où au contraire que l’on veut repeupler un espace. Le cannibalisme est un terme issu d’une déformation linguistique, par Christophe Colomb, de la terminologie Arawak (Amérindiens des Antilles) « caribal » qui signifie « courageux ». Chez les animaux c’est est une pratique commune. Le cannibalisme se développe dans divers contextes incluant l’infanticide, l’accouplement et les parades nuptiales, l’oophagie (consommation d’œufs), les interactions compétitives, la conquête d’un nouvel environnement et, chez les humains, dans le cadre de rituels. Source: http://www.sciencesetavenir.fr/magazine/actualite/20110608.OBS4724/les-alligators-mangent-leurs-enfants-pour-controler-leur-population.html Article: http://www.bioone.org/doi/pdf/10.1655/HERPETOLOGICA-D-10-00040.1
  7. Certains coléoptères tuent et mangent des amphibiens Publiée dans la revue scientifique ZooKeys, une étude menée par des chercheurs israéliens décrit la façon dont certains coléoptères, inversant les rôles, attaquent et dévorent grenouilles ou crapauds bien plus grands qu’eux. Dans une étude récente, des chercheurs de l'Université de Tel Aviv ont constaté qu’un genre de carabes (coléoptères carnivore), Epomis pouvait paralyser et tuer des amphibiens de plusieurs fois sa taille. Partageant son habitat avec les amphibiens durant la journée, l’insecte leur lance, la nuit tombée, une attaque furtive. Selon l'étude, Epomis commence par mordre sa proie dans le dos, la jetant dans des spasmes violents - dernière tentative pour désarçonner l’insecte. L'incision paralyse la proie en quelques minutes, permettant ensuite au coléoptère de passer plusieurs heures à dévorer lentement son repas. Les chercheurs ont ainsi observé le carabe ingurgiter des grenouilles, des crapauds, des tritons et des salamandres… qu’ils avaient obligeamment fournis au prédateur. "Les amphibiens sont des prédateurs d'insectes typiques et leur régime alimentaire peut comprendre des coléoptères adultes, des carabes, en particulier. Ces attaques récemment filmées de coléoptères sur des crapauds et des grenouilles apportent de nouveaux éclairages sur les interactions des amphibiens et des insectes, documentant ce phénomène rare : des invertébrés s'attaquent aux vertébrés", explique Gil fané, directeur de l’étude. Source: http://www.maxisciences.com/col%E9opt%E8re/certains-coleopteres-tuent-et-mangent-des-amphibiens_art15165.html Article: http://www.pensoft.net/journals/zookeys/article/1526/abstract/predation-of-amphibians-by-carabid-beetles-of-the-genus-epomis-found-in-the-central-coastal-plain-of-israel
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