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Naissance lystrophis pulcher Heterodon tricolore
askook a répondu à un(e) sujet de sam3411 dans Vos P'tits Virus
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Lampropeltis alterna NOUVELLES PHOTOS
askook a répondu à un(e) sujet de theblackdream dans Vos P'tits Virus
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Le titre de ce reportage "l'île aux cobras" m'agaçant un peu, vu que les serpents présents sur l'île de Queimada Grande ne sont pas des cobras mais des fers-de-lance, j'ai posé la question sur le forum de l'émission Thalassa et voici la réponse "Bonjour askook, Vous avez parfaitement raison : les serpents peuplant l'île de Queimada Grande sont effectivement des Jararaca-ilhoa, de la famille des Viperidae. Cela dit, nous parlons de cobras, mais ce n'est pas au sens scientifique du terme. "Cobra jaune" est le terme utilisé par les Brésiliens non scientifiques pour parler de la menace venimeuse de l'île. Comme vous l'entendrez demain, le reportage explique bien la provenance de ces serpents."
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Encore un article pour ce reportage. Celui-ci vient du site de france3 Un reportage de Véronique Veber - Jérôme Teigné et François Cardona (durée 14') Une production France 3 - Thalassa Les pêcheurs ne veulent pas y mettre les pieds. Le gardien du phare n’a pas survécu aux morsures. L’île de Queimada Grande, en français l’île de la grande brûlure dans l’Etat de Sao Paulo au Brésil a une réputation sulfureuse. La faute aux 2500 cobras qui vivent sur cet îlot d’à peine 23 hectares. C’est la densité de serpents la plus importante au monde ! Ces cobras font partie des espèces les plus venimeuses de la planète. Seuls les herpétologues de l’institut Butantan de Sao Paulo ont le droit d’accoster sur cette île. Espérance de vie si l’un de ces serpents vous mord : deux heures à peine. Mais ce cobra n’est pas qu’un redoutable tueur, les protéines contenues dans son venin servent à la fabrication de plusieurs médicaments, notamment un qui combat l’hypertension. Les laboratoires pharmaceutiques s’arrachent ce trésor de la nature et envoient leurs scientifiques jouer les Indiana Jones pour récolter les serpents, à leurs risques et périls…. Source: http://thalassa.france3.fr/index-fr.php?page=prochainement&id=328&rep=2800&play=yes
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un crocodile (Crocodylus porosus) capturé aux philippines
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Tortues - Crocodiles
Crocodylus porosus est avec le crocodile du Nil la plus grande espèce de crocodile actuel et le plus lourd reptile vivant. Un adulte moyen mesure généralement entre 4,3 et 5,6 mètres de long, pour une masse d’environ 780 kg. Néanmoins, la taille maximale atteint parfois les 7 mètres de long et la masse peut dépasser une tonne. Le plus grand crocodile marin vivant, observé à Orissa en Inde, mesure 7 mètres. Le plus grand crocodile d’estuaire reconnu, d’une taille de 8,6 mètres (source non vérifiée), a été abattu en Australie et d’autres records n’ont pas été confirmés. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Crocodile_marin Lien en anglais: http://crocodilian.com/cnhc/csp_cpor.htm -
un crocodile (Crocodylus porosus) capturé aux philippines
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Tortues - Crocodiles
Un crocodile d’une tonne capturé vivant aux Philippines Samedi 3 septembre, des professionnels de la traque des animaux aidés par la population locale ont capturé un crocodile marin de plus d’une tonne, soupçonné d’attaque sur l’homme, près d’un village du sud des Philippines. Avec ses 6,40 mètres et ses 1.075 kilogrammes, ce crocodile marin est sans aucun doute le plus imposant capturé aux Philippines ces dernières années, et peut-être le plus gros spécimen jamais attrapé vivant, selon Josefina de Leon, chef du service des zones protégées et de la faune sauvage du ministère de l’Environnement philippin. "D’après les données existantes, le plus grand capturé jusqu’à présent mesurait 5,48 mètres. Mais celui-ci est le plus gros animal que j'ai manipulé en 20 ans de piégeage", dit-elle. Le spécimen a été pris vivant au terme d’une chasse ayant mobilisé des dizaines d’autochtones et commencée à la mi-août dans la région du village de Bunawan, dans une île reculée du sud de l’archipel, après l’agression d’au moins une personne et de plusieurs animaux domestiques. Toutefois, l'animal n’est pas à coup sûr l’auteur de ces attaques : "Nous ne sommes pas vraiment sûrs qu’il s’agisse du mangeur d’hommes, car on a observé d’autres crocos dans les parages", explique Rollie Sumiller, le chasseur qui a mené la traque. En attendant, l’animal capturé devrait pouvoir continuer à prospérer tranquillement (les plus grands crocodiles marins peuvent atteindre 7 mètres et vivre centenaires !) dans un parc naturel qu’il est prévu de créer dans la région. C'est probablement le plus gros crocodile marin jamais capturé. Samedi, aux Philippines, des dizaines d'autochtones sont parvenus à capturer un spécimen de 6,40 mètres et pesant près de 1.075 kilogrammes qui hantaient les eaux dans la région du village de Bunawan, dans le sud de l'archipel. Cela faisait plusieurs semaines que les Philippins étaient partis en chasse, après la mort d'un fermier et de nombreux animaux domestiques dans les environs. Toutefois, il n'est pas sûr que ce crocodile soit responsable de ces décès, alors que d'autres de ces animaux vivent également dans la région. Prochainement, le spécimen géant pourrait rejoindre un parc naturel actuellement en projet. Source: http://www.maxisciences.com/crocodile/philippines-un-crocodile-marin-geant-capture-dans-le-sud-de-l-039-archipel_art16826.html -
Un groupe de 4 individus pourraient aisément tenir dans ton terrarium, mais il serait bien qu'ils soient tous de la même espèce, à moins que tu n'es pas de mâle et que tu ne veux pas te lancer dans la reproduction. En ayant deux espèces différentes et des individus de sexe différent dans un même terrarium, tu risques l'hybridation. Chez les Anolis carolinensis et Anolis sagrei, il faut éviter de mettre deux mâles ensemble. Etant très territoriaux, en cas de contacts rapprochés, un combat est inévitable. Il faut éviter, aussi, de mettre dans le même terrarium des individus plus petits que les "sagrei", car le cannibalisme est possible chez cette espèce. Pour la température, cela me parait bon, à condition que tu es un point un peu plus froid et que la température nocturne soit plus base. Pour le taux d'hygrométrie, c'est bon du moment que tu procèdes à des pulvérisations quotidiennes.
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Savoir jouer du piano n'est déjà pas une chose facile, mais si en plus vous jouez sans regarder les notes, l'exercice est des plus difficiles. Pour ce virtuose hyperlaxe, les choses ne semblent pourtant pas si compliquées. Etonnant! Ce tour de main (ou de bras devrait-on dire) n'est pas donné à tout le monde et pour cause: le jeune Evan Petrone souffre du syndrome d'Ehlers-Danlos. Il s'agit d'une maladie génétique qui atteint le collagène et qui provoque notamment de l'hypermobilité articulaire. "J'ai toujours pu tourner mes bras vers l'arrière et je me demandais si je pouvais jouer du piano de cette façon", a déclaré Petrone. Dans sa vidéo, le jeune homme interprète une chanson de Coldplay, qu'il a tout de même répété durant cinq heures avant de la maîtriser dans cette position. Il ajoute tout de même avoir de la chance: "Regardez, pour moi, c'est amusant. Ma maladie me donne certains avantages, mais il ne faut pas oublier que certaines personnes souffrent vraiment à cause de cette même maladie". Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1315371/2011/09/07/Un-virtuose-du-piano-hyperlaxe-video.dhtml
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Petite précision suite à cet article: L'île brésilienne Ilha da Queimada Grande se trouve à plus ou moins 35 kilomètres du littoral de l'État de São Paulo, dans la municipalité d'Itanhaém, non loin de la ville de Santos. Elle est inhabitée et son accès est strictement réservé aux scientifiques de l'Instituto Butantan d'herpétologie. Elle est connue comme étant un lieu abritant la population de serpents la plus dense de la planète. De ce fait, c'est l'un des endroits le plus dangereux au monde pour l'homme, ainsi, personne, à part les scientifiques, n'a le droit d'accoster ici. Ces serpents appartiennent tous à la même espèce, une variété de fers de lance [Bothropoides insularis (ex Bothrops insularis)]. Il y a des serpents sur le sol, il y en a dans les arbres, il y en a au sommet de l'île et sur la plage. Ils ont même élu domicile dans l'ancien phare, déserté depuis longtemps. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_Queimada_Grande Photo pour illustration. Source: http://calphotos.berkeley.edu
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Notre grand reporter Véronique Véber est partie sur une île brésilienne aussi fascinante que dangereuse. Queimada Grande, aussi connue comme « l’île aux cobras jaunes », mérite si bien son nom que l’accostage y est interdit pour des raisons de sécurité. Véronique nous raconte les coulisses de son tournage. Quand on vous dit que vous allez sur une île qui a la plus forte densité de serpents au monde… vous ne sautez pas au plafond de joie ! Quand on en rajoute une louche sur l’espérance de vie en cas de morsure de 2 heures, vous n’en menez pas large… et puis ensuite vous discutez avec les scientifiques… leur message est clair : ce n’est la grosse bête (vous) qui allez avoir peur de la petite ! Les serpents comme la plupart des animaux n’ont pas de comportements agressifs vis-à-vis de l’homme… ils en ont plutôt peur… Ces cobras brésiliens ont aussi des capteurs sensoriels qui leur permettent de détecter la taille de leur proie… quand vous passez à côté d’eux ils vous sentent ils vous jaugent… et franchement vous êtes un peu indigeste pour eux… Le seul risque c’est de marcher dessus par inadvertance… mais ils vous sentent avant que vous ne les voyez et préfèrent généralement rester tranquille en attendant que vous passiez votre chemin… le problème avec les serpents de l’île de Queimada Grande c’est qu’ils sont territoriaux c’est-à-dire qu’ils défendent leur territoire. Le plus grand danger sur l’île aux cobras ce sont les arbres… car ils attendent là sur les branches pendant des heures et peuvent se laisser tomber sur leurs proies… mais encore une fois nous sommes bien trop gros pour eux !! Pour les attraper les scientifiques avaient des pinces et des tubes en plastiques… jamais nous n’avons été en contact direct avec l’animal… Pour éviter les mauvaises rencontres au sol nous portions des guêtres en caoutchouc jusqu’aux cuisses… histoire qu’ils ne nous mordent pas directement les mollets ! Et puis surtout un médecin avec du sérum était avec nous 24 heures sur 24 … le premier hôpital étant à 3 heures de bateau, il nous fallait absolument avoir l’anti venin avec nous. Nous nous sommes fait peur qu’une seule fois : il a fallu ouvrir des chemins à la machette car cela faisait un an que les scientifiques n’étaient pas venus sur l’île… et le cameraman Jerome Teigné a voulu casser une branche devant lui avec le pied de la camera… il y en avait un là juste sur le branche… il l’a vu à la dernière seconde et a stoppé net son geste… Là le serpent aurait pu réagir et attaquer puisqu’on le dérangeait « chez lui »… c’est ce qu’on appelle avoir de l’instinct… une qualité essentielle en reportage ! » Véronique nous a donc ramené des images incroyables que vous pourrez voir vendredi dans Thalassa ! Et pourtant ce n’était pas chose acquise : avant même l’arrivée sur la fameuse île, la barque permettant de s’y rendre menaçait de… couler ! Source:http://blog.france3.fr/equipe-thalassa/2011/09/05/lile-aux-cobras-jaune/
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93 tortues interceptées à l’aéroport de Mahajanga 3 spécimens de tortue dont 1 adulte et 92 bébés tortues ont été interceptés à l’aéroport d’Amborovy Mahajanga le samedi 3 septembre 2011. Une dénommée Nivolalao voulait prendre la ligne directe Mahajanga - La Réunion de 13h. Question de routine, les douaniers ont demandé à la passagère s’il y avait quelque chose à déclarer. « Non » a-t-elle répondu. « Lors de la fouille des bagages, les douaniers ont remarqué une valise pleine de couches de bébés », a expliqué le receveur des douanes de Mahajanga, Andriantsilanimanga Barthélémy. « Trop suspectes pour les douaniers, les couches ont été ouvertes une à une et l’on a découvert des bébés tortues emballés dans de petites corbeilles en plastique. La tortue adulte avait été emballée dans du lambahoany ». Selon toujours les explications de ce premier responsable des douanes de Mahajanga, la destination Bangkok figure fréquemment sur le passeport de cette passagère. On suppose alors qu’elle voulait rejoindre cette ville en partance de l’île de la Réunion. La passagère a été tout de suite été emmenée au bureau des douanes de Mahajanga pour enquête. Celle-ci ne voulait rien dire sans la présence de son avocat. La DREF (Direction régionale de l’environnement et des forêts) a effectué la saisie des tortues et fera appel à des spécialistes afin de déterminer la nature et l’espèce exacte de chacune des tortues. « Ce sont toutes apparemment des tortues à éperon Angonoky » a déclaré le directeur régional de l’Environnement et des Forêts du Boeny, Virginie Razafindravola. « Mais attendons les explications des spécialistes pour être plus précis » a-t-elle souligné. Car si ce sont des tortues à éperon, elles ne peuvent provenir que du Parc de la baie de Baly de Soalala. Récemment d’ailleurs, des chiffres ont été avancés par le MNP, responsable de ce parc, selon lesquels seuls quelques 400 individus y vivent. Ces espèces endémiques ne sont plus à l’abri des trafics en tout genre. Source:http://www.madagascar-tribune.com/93-tortues-interceptees-a-l,16357.html
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Depuis que la femelle "viridis" est arrivée chez nous en décembre 2010, elle nous a fait 4 mues. La première, 5 jours après son arrivée fût une vraie catastrophe. Les deux autres étaient déjà plus belles, mais toujours en morceaux. Celle de cette nuit est en un seul morceau. C'est génial... Comme quoi, pas besoin d'élever un "viridis" avec un taux d'hygrométrie important pour avoir une belle mue... Juste quelques pulvérisations le soir pendant la période de mue, et c'est tout... Pas de photo de la mue, pour l'instant. APN cassé depuis hier...
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Maïs OGM Monsanto : premiers signes d’une résistance de la chrysomèle Quinze ans après la création du maïs OGM « Cry3Bb1 » protégé des attaques de la chrysomèle, l’insecte cible commence à développer une résistance. La responsabilité des agriculteurs est en partie en cause, mais c’est surtout la preuve que la course aux armements entre industriels du génie génétique et insectes ravageurs est bel et bien lancée. Les biologistes de l'université de l'Iowa l’ont confirmé. La chrysomèle (Diabrotica virgifera virgifera), insecte dont les larves dévorent les racines du maïs, devient résistante à la toxine Bt produite par la céréale modifiée génétiquement. Sans entrer dans le débat « pour ou contre les OGM », l’alerte fait apparaître certaines limites de cette biotechnologie. Le maïs Bt est un des premiers organismes génétiquement modifiés (OGM) créés et commercialisés par le semencier américain Monsanto. Les biologistes du groupe ont inséré le gène d’une bactérie (Bacillus thuringiensis) dans le génome de la plante. Elle peut ainsi produire une toxine censée neutraliser les insectes qui l’attaquent. Mais la chrysomèle est une dure à cuire. - la rotation de différentes cultures sur une même parcelle, mais l’insecte a réussi à survivre sur le soja en attendant le retour de son cher maïs ; - les traitements par insecticides, coûteux, contre lesquels des phénomènes de résistance ont émergés ; - la création récente d’OGM. La chrysomèle, dont la larve fait tant de dégâts dans les champs de maïs. © Patrick Dockens, Flickr, CC by-nc-nd 2.0 La responsabilité des agriculteurs À leur arrivée sur le marché, ces variétés ont connu un franc succès chez les agriculteurs américains. En 2009, le maïs Bt représentait 45 % des cultures de cette céréale aux États-Unis. Pour ralentir l’apparition d’une résistance malgré un tel développement, il aurait été nécessaire de suivre les recommandations de l’Agence américaine pour la protection de l’environnement : conserver 20 % de la surface cultivée en maïs traditionnel. La présence de cultures normales, refuges, permet de maintenir une population d’insectes sensibles à la toxine où viennent se diluer les quelques individus résistants sélectionnés dans les zones OGM. Cela évite une transmission trop rapide des gènes de résistance aux générations suivantes, où les individus adaptés restent alors une exception. La majorité des agriculteurs ont appliqué les consignes, mais la proportion de réfractaires, qui ne laissent pas ou ou très peu de maïs traditionnel, est passée de 10 % à 25 % entre 2005 et 2008. À cela s’ajoute l’arrêt de la rotation des cultures, qui pérennise les populations d'insectes. La résistance actuelle est en effet constatée sur des parcelles où les semences OGM ont été utilisées au moins trois années de suite. À la décharge des agriculteurs, des analyses en laboratoire ont montré que la résistance apparue chez la chrysomèle semble portée par un gène dominant : une seule copie, du père ou de la mère, (et non les deux) suffit pour qu’elle s’exprime, rendant sa propagation plus difficile à ralentir. Course aux armements Pour Denis Bourguet, de l’Inra, « il aurait été sage d’associer dès le départ plusieurs toxines », comme une trithérapie peut le faire face à un virus difficile à traiter. Mais dans tous les cas, il est irréaliste de vouloir vaincre définitivement ces ravageurs. Pour Mickael Gray, spécialiste de la question à l’université de l’Illinois, « le développement de résistance est inévitable en quinze à vingt-cinq ans ». Or le maïs Bt est commercialisé depuis 1996. Même pour leurs partisans, les OGM ne sont pas une solution définitive, mais une technologie qui doit régulièrement être adaptée. Alors, si Monsanto prend l’alerte au sérieux, le producteur de semences ne s’affole pas et ne remet pas en cause son modèle. Il ne préconise même pas de changer de type semence. Pour l’instant. Car en réserve, de nouveaux produits sont prêts, assurant l’avenir du groupe si le maïs Bt devient réellement obsolète. Le SmartStax, par exemple, qui cumule un gène luttant contre les vers des racines, un contre les lépidoptères ravageurs et un dernier assurant à la plante une résistance accrue aux herbicides. Le tout intégrant dès le départ un pourcentage de semences traditionnelles qui constitueront les refuges recommandés. C’est bien là le départ d’une « Course de la Reine Rouge » chère à Lewis Caroll, où les efforts de recherche des biotechnologies se confrontent à l'évolution d’insectes sélectionnés par le nouvel environnement créé. Reste à savoir comment vont réagir les organismes classiques, coincés entre les futurs « super-ravageurs » et les futures « supersemences » que promet cette guerre… Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/botanique-1/d/mais-ogm-monsanto-premiers-signes-dune-resistance-de-la-chrysomele_33179/
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Incarcéré pour avoir mordu un python ACRAMENTO, Californie – Un Californien est derrière les barreaux pour avoir mordu un python sans raison. David Senk, âgé de 54 ans, soupçonné d’avoir mutilé un reptile, a été arrêté jeudi soir, a rapporté le sergent Andrew Pettit, de la police de Sacramento. Le serpent, gravement blessé, a dû être opéré. Dans une entrevue réalisée depuis sa cellule, Senk a indiqué qu’il n’avait aucun souvenir de l’incident, car il avait trop bu, mais qu’il se sentait «très mal». Interrogé sur ses motivations, Senk a répondu : «Quand je bois, je perds la tête. Je ne sais pas.» Senk a été arrêté lorsque la police, qui se rendait sur les lieux pour une agression, l’a découvert étendu sur le sol, avec du sang sur le visage. Un homme et une femme ont indiqué aux policiers que Senk avait arraché deux morceaux de leur python quand ils l’avaient laissé le prendre. «Rien ne laisse croire que le serpent l’avait provoqué. Il a juste mordu l’animal», a expliqué le porte-parole de la police. Le serpent beige et brun, qui mesure environ un mètre, se remet de son agression, après avoir été soigné par un vétérinaire. Senk a également dit lors de l’entrevue qu’il n’est «pas très amateur de serpents. Mais j’essaie généralement de ne pas les mordre.» Source:http://fr.canoe.ca/infos/insolite/archives/2011/09/20110903-141138.html -
«Pastoria», l'espoir vacillant des victimes de serpents Le centre Pasteur de Kindia, en Guinée, tente de soigner les personnes mordues par des serpents malgré des moyens dérisoires et déclinants. A 30 mètres d’une route de terre, des enfants à moitié nus crient et s’agitent dans les rizières verdoyantes inondées par les pluies d’été. L’un d’eux frappe quelque chose à terre avec sa bêche. Il s’arrête et soulève avec précaution son outil au bout duquel pend un cobra, l’un des nombreux serpents mortels de Guinée. S’ils avaient été mordus, ces enfants auraient peut-être pu être sauvés. Leur champ borde en effet l’Institut Pasteur de Kindia, où se trouve l’unique centre de traitement des envenimations du pays, à quatre heures de route au nord de Conakry. C’est ici que s’installèrent dès la première moitié du XXe siècle des chercheurs français, pour ravitailler les laboratoires parisiens en singes et en venin. Des cages rouillées en témoignent, de même qu’une tombe cachée dans les herbes hautes où est enterré Tarzan, le premier chimpanzé immunisé contre la tuberculose via le vaccin BCG. Le centre se résume à la première petite maison que l’on rencontre en entrant dans le vaste parc qu’est l’Institut, où une dizaine de bâtiments sont dispersés en pleine savane humide. Sur le pas de la porte, un cobra peint orne le mur, le cou gonflé, prêt à attaquer. Allongée sur un lit de l’une des deux chambres, Mariam sanglote. Le venin a gonflé toute la main droite et l’avant-bras de sa fille. Dans la salle d’accueil, un vieil homme veille sa femme également mordue à la main —comme la plupart des victimes, attaquées en repiquant le riz ou en désherbant un champ. Ils ont fait des heures de route à trois sur une moto, de laquelle ils sont tombés, avant d’arriver à «Pastoria», «chez Pasteur» en langue soussou. Un problème qui «n'existe pas» «C’est très difficile de connaître le temps écoulé entre la morsure et la consultation, car les gens le cachent pour ne pas qu’on leur fasse de reproches», explique Cellou Baldé, arrivé à l’Institut en 1981 en tant que directeur du laboratoire d’entomologie. Souvent, les victimes aggravent leur cas en perdant un temps précieux chez d’impuissants guérisseurs ou en se faisant poser de dangereux garrots. Sur la porte du bureau du médecin, affichée à côté d’une photo de moustique en gros plan, une autocitation: «Les plus vieilles pathologies du monde rural qui, aujourd’hui comme hier continuent de faire ravage, sont bien le paludisme et les envenimations.» Jusqu’à 1,5 million de personnes sont envenimées chaque année par des serpents en Afrique subsaharienne, selon les estimations d’une récente étude de l’Institut de recherche pour le développement. Au moins 7.000 personnes en mourraient et jusqu’au double seraient amputées. «Un problème de santé publique négligé», selon l’Organisation mondiale de la santé, qui a mis en ligne en 2010 une base de données sur les serpents venimeux pour aider à la mise au point de sérums adaptés. Cellou Baldé et ses trois aides ont vu passer 193 patients entre le 1er janvier et le 31 juillet 2011. Un seul est décédé. Les cartons de l’Institut sont actuellement pleins d’un efficace cocktail à base de venins de serpents africains offerts pour tests par un laboratoire mexicain. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Entre 1997 et 1999, 20% des patients de Cellou Baldé sont décédés. La production du sérum de référence avait été arrêtée. Difficile pour un laboratoire de vendre un produit onéreux aux principales victimes que sont les paysans, les plus pauvres des pays les plus pauvres. D’autant plus que faute d’études statistiques menées à grande échelle, ce problème n’a pas d’existence officielle. Qui s’occuperait d’un problème qui n’existe pas? Débrouillardise Dans une Guinée rêvée, l’Institut Pasteur de Kindia produirait du sérum sur place et le distribuerait partout dans le pays —voire partout en Afrique. Dans la Guinée réelle, il est impensable de compter sur des investissements en équipements et en personnes. Le soir, quand le tour d’électricité de l’Institut est passé, les générateurs ronronnent dans la nuit étoilée. «Nous n’avons qu’un simple budget de fonctionnement, puisqu’il n’y a pas de budget pour la recherche», explique le directeur général de l’Institut, Mamadou Yéro Boiro. Depuis son arrivée en 2007, il réclame en vain le bitumage des quelques kilomètres de route qui mènent à Kindia. «Il est extrêmement difficile de travailler dans nos conditions», déplore Cellou Baldé, qui gagne 100 euros par mois après huit ans d’études, dont une thèse obtenue à Moscou. «Si on a pu obtenir des résultats, c’est grâce à l’appui de chercheurs internationaux, en contournant l’administration.» L’Institut se «débrouille», selon l’expression locale. Dans le serpentarium, des dizaines de bocaux de formol classés par espèces sont alignés sur des étagères. Certains sont de simples pots de mayonnaise «made in Dubaï». Dans la salle voisine, les serpents vivants n’occupent qu’une petite partie des cages. Un employé a pour tâche d’en capturer à l’occasion. Cela lui a déjà coûté un doigt. Tout ici renvoie au passé, des laboratoires vétustes aux bâtiments en ruine du ministère de l’Elevage envahis par la végétation qui donnent au paysage un air d’Angkor africain. Cellou Baldé travaille depuis longtemps dans cet environnement immuable, mais n’exclut pas de s’arracher à ses racines: «Si notre stock de sérums n’est pas renouvelé, je partirai. Rester pour voir les gens venir mourir ici sans que je puisse les aider, ça ne m’intéresse pas.» Source: http://www.slateafrique.com/26871/guinee-pastoria-espoir-vacillant-des-victimes-de-serpents
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Un homme transporte 36 serpents dans ses bagages Un Autralien de 22 ans transportait un véritable vivarium dans ses bagages à main avant d'être arrêté par les douaniers à l'aéroport de Munich, a-t-on appris vendredi auprès des douanes. Le jeune homme, un professeur de sport dont le nom n'a pas été divulgué, rentrait lundi de Sydney et avait emprunté la sortie "verte" des voyageurs n'ayant rien à déclarer lorsqu'il a été arrêté par les fonctionnaires. A l'ouverture de ses bagages, les douaniers ont découvert un sac en toile qui cachait 36 jeunes pythons, longs de 30 cm en moyenne, dont un specimen rare très coté de python blanc. "C'est la plus importante saisie de serpents vivants à l'aéroport de ces dix dernières années", a expliqué Thomas Meister, un porte-parole des autorités à l'AFP. Interpellé, le jeune trafiquant a été placé en garde à vue. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1313346/2011/09/02/Un-homme-transporte-36-serpents-dans-ses-bagages.dhtml
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Le génome d'un premier reptile, le lézard vert américain, a été séquencé Le génome d'un premier reptile, le lézard vert nord-américain, a été séquencé, ce qui peut permettre de mieux comprendre l'évolution des mammifères et autres vertébrés dont les oeufs se sont adaptés à une reproduction hors du milieu marin, selon une étude publiée mercredi. L'apparition de "l'oeuf amniotique" c'est-à-dire contenant le liquide nécessaire au développement de l'embryon, a été "une des grandes innovations de l'histoire de la vie" qui a permis la conquête des environnements terrestres, soulignent les chercheurs. Avec des oeufs pourvus de leur propre micro-milieu aquatique, les vertébrés n'avaient plus besoin de retrouver une étendue d'eau pour se reproduire. Voici quelque 320 millions d'années, les vertébrés "amniotes" se sont séparés en deux lignées: les mammifères et les reptiles, oiseaux inclus. "Parfois, il faut prendre une certaine distance pour apprendre comment le génome humain a évolué", relève Jessica Alföldi (Broad Institute associant Harvard et le MIT, Etats-Unis), premier auteur de l'étude paraissant dans la revue scientifique Nature. Le génome du lézard vert américain (Anolis carolinensis) contient 18 paires de chromosomes, dont 12 de très petite taille (microchromosomes), comme le chromosome sexuel X qui a été identifié. Les chercheurs ont aussi découvert de nombreux gènes associés à la vision des couleurs par les lézards, qui peuvent percevoir les ultraviolets contrairement à l'homme. L'analyse de l'ADN du lézard donne aussi un nouvel éclairage sur l'origine des nombreux éléments du génome humain ne servant pas à coder la synthèse de protéines. Les scientifiques supposaient que ces éléments inchangés depuis des millénaires pouvaient provenir d'anciens "transposons", des bouts d'ADN qui ont pu autrefois se copier en maints exemplaires au sein du génome humain. "Les Anoles sont une librairie vivante d'éléments transposables", relève Jessica Alföldi, précisant que, chez le lézard, "ils continuent de sauter de part en part" au sein du génome. En comparant les éléments mobiles du génome du lézard avec l'ADN humain, l'équipe de chercheurs a découvert qu'une centaine des éléments non-codants du génome humain dérivent de ces "gènes sauteurs". Source: http://www.20minutes.fr/article/778756/genome-premier-reptile-lezard-vert-americain-sequence Article: http://www.nature.com/news/2011/110831/full/news.2011.512.html
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