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La maladie des ampoules, mieux connue dans le milieu de la terrariophilie sous son appellation anglo-saxonne de "blister disease", est une maladie dermatologique des ophidiens qui se caractérise par la présence de multiples vésicules d'abord stériles, puis surinfectées, au niveau des écailles ventrales. On l'appelle aussi en France la "variole des serpent" ou la "dermite de mauvais entretien". Etiologie Cette dermite, particulièrement fréquente chez les colubridés aquatiques (Thamnophis, Natrix, Nerodia) et chez les boïdés, apparaît généralement chez les serpents maintenus dans un environnement souillé, insuffisamment ventilé et trop humide. Le contact de la peau avec le substrat détrempé aboutit alors à la formation de ces vésicules. Une "blister disease" peut apparaître par exemple lorsqu'un serpent renverse sa gamelle d'eau et stagne pendant plusieurs jours sur un sol humide, ou au contact de selles diarrhétiques qui "brûlent" ses écailles ventrales. Tous les serpents, même aquatiques, doivent pouvoir se positionner quand ils le désirent dans une zone sèche dans leur terrarium. Symptomatologie Les serpents atteints de "blister disease" présentent, dans un premier temps, des lésions vésiculaires parfois très étendues sur leur surface ventrale, très semblables cliniquement à des phlyctènes provoquées par des brûlures. Ce sont des structures bulleuses à paroi très fines contenant un liquide stérile. Très rapidement, ces cloques éclatent et se déchirent du fait des frottements sur le sol pendant la reptation. Elles sont alors secondairement contaminées par des bactéries aérobies et anaréobies (Areomonas, Proteus, Pseudomonas, Salmonella...). La maladie revêt alors un aspect de dermite suintante. Diagnostic Clinique Il s'effectue lors de l'inspection du tégument et se fonde sur la constatation d'une dermite ventrale vésiculeuse surinfectée; Différentiel La maladie des ampoules est toujours très difficiles à distinguer de lésions ventrales secondaires à des brûlures thermiques. Ce sont généralement les circonstances d'apparition de la maladie (excès d'humidité dans le terrarium, diarrhée, régurgitation liquidienne,...) qui permettent d'effectuer le diagnostic différentiel. Microbiologique Il ne présente aucun intérêt: la mise en culture de l'exsudat présent au niveau des lésions fait toujours apparaître une flore abondante polymorphe constituée de bacille Gram négatifs qui ne sont que des contaminants. Thérapeutique Le protocole de traitement de cette dermite vésiculeuse est en tous points comparable à celui de brûlures ventrales du second degré. Il consiste à: -protéger et assécher les plaies par un spray poudre antibiotique (ex:OROSPRAY N.D) -préserver au mieux les vésicules encore intactes (éviter les manipulations et les sols abrasifs) -il est possible d'aspirer le liquide que contiennent les vésicules avec une seringue et de le remplacer par de la BETADINE -baigner le serpent quelques minutes par jour dans une solution antiseptique (BETADINE) -instaurer une antibiothérapie par voie générale (ex:BAYTRIL N.D) -à réhydrater l'animal en fonction de l'ancienneté et de l'étendue des lésions cutanées Prophylaxie L'hygiène du terrarium est la clé de la prophylaxie sanitaire de cette affection dermatologique typiquement liée à l'environnement. Le terrarium doit être correctement ventilé et facile à maintenir propre (si possible, pas de substrat (juste du papier essuie-tout doux), tout excès d'eau au sol doit être rapidement épongé, et les déjections doivent être systématiquement nettoyées. Références bibliographiques: Brogard. J (1992) - Les maladies des reptiles - Edt du point vétérinaire Schilliger. L (2004) - Guide Pratique des Maladies des reptiles en captivité- Edt MED'COM
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Description d'une nouvelle espèce du genre Théraphosa
askook a répondu à un(e) sujet de Terence11 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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Scorpion servant de repas à un fennec (vidéo)
askook a posté un sujet dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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Le scorpionisme en Afrique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
497 personne victimes d'envenimation scorpionnique en 2010 dans la wilaya de Illizi (Algérie) Quatre cent quatre vingt dix-sept (497) personnes ont été victimes d'envenimation scorpionnique en 2010 dans la wilaya de Illizi contre 561 cas en 2009. Quatre cent quatre vingt dix-sept (497) personnes ont été victimes d'envenimation scorpionnique en 2010 dans la wilaya de Illizi contre 561 cas en 2009, selon un bilan de la direction de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (DSPRH) de la wilaya. Sur ce nombre de personnes piquées par les scorpions, quatre en sont décédées contre une en 2009. C’est la commune du chef-lieu de wilaya (Illizi) qui enregistre le nombre le plus élevé avec 313 cas, suivie de celles de Bordj Omar Idris (47 cas), et Djanet (39), a précisé le responsable de la prévention. Les quatre cas de décès, relevés en zones rurales, ont été enregistrés durant la période des grandes chaleurs (juillet- août), a-t-il ajouté. Ce nombre élevé de décès est du notamment au retard d’évacuation vers les structures de santé, selon le même responsable qui appelle aussi à éviter le recours aux méthodes de traitement traditionnelles, ''souvent fatales pour les victimes, d'âge jeune notamment''. Les cas les plus exposés au danger sont les enfants, âgés entre un et quatorze ans, et dont la plupart sont admis aux structures de santé, généralement au troisième stade, après tentative de traitement traditionnel de la part de leurs parents, explique le responsable ajoutant que la plupart des victimes sont piquées à l’intérieur des habitations, a-t-il expliqué. Toutes les dispositions sont prises par les services de prévention de santé de proximité pour prévenir et lutter contre le phénomène, avec une disponibilité de moyens thérapeutiques approuvés, notamment le sérum anti-venin de scorpions, au niveau de tous les établissements publics de santé et de proximité (EPSP) de la région, a poursuivi le responsable de al prévention. Il a, en outre, insisté sur l'hygiène du milieu qui, dit-il, constitue "la bonne méthode de lutte contre la prolifération du scorpion et peut induire une baisse sensible de cas d’envenimation". Source: http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/7439 -
Tracking leatherback turtles from the world's largest rookery: assessing threats across the South Atlantic Proceedings B is the Royal Society's January 5, 2011, Matthew J. Witt, Eric Augowet Bonguno, Annette C. Broderick, Michael S. Coyne, Angela Formia, Alain Gibud, Gil Avery Mounguengui Mounguengui, Carine Moussounda, Monique NSafou, Solange Nougessono, Richard J. Parnell, Guy-Philippe Sounguet, Sebastian Verhage & Brendan J. Godley http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/early/2011/01/05/rspb.2010.2467.abstract?sid=7a172f73-8d73-4a33-bbd6-44e62b678ab9
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La tortue luth (Dermochelys coriacea)
askook a répondu à un(e) sujet de Constricteur dans Tortues - Crocodiles
L'odyssée extraordinaire des tortues luth Des observations satellites ont permis à des biologistes anglais de suivre pendant cinq ans les mouvements de 25 tortues luth sur lesquelles des émetteurs avaient été disposés. Les relevés indiquent que toutes ces tortues prenaient, depuis le Gabon, la direction de l’océan Atlantique afin de se nourrir et de constituer un certain nombre de réserves pour les deux à cinq années à venir. La Royal Society, dans sa revue Proceedings B, reprise par Cyberpresse.ca, précise que trois grandes routes empruntées sont à distinguer. Les tortues luth se rendent au centre de l’Atlantique, entre l’Afrique centrale et le Brésil, d’autres, plus au sud, passent le Cap de Bonne Espérance quand d’autres encore vont de l’Afrique à l’Amérique du sud, couvrant ainsi 7.563 kilomètres. Un des biologistes qui les a observés indique que c’est la première fois que l’on connaît avec certitude le trajet parcouru par ces monstres marins. Cependant, chaque année, un certain nombre de tortues prend une direction plutôt qu’une autre et à l’heure actuelle, leur choix reste incompréhensible. Malheureusement, quelles qu’elles soient, les routes empruntées se trouvent toutes dans des zones de pêche et les filets prennent souvent les tortues au piège. Grâce aux relevés, il a toutefois été possible de repérer quels étaient les onze pays qui devraient tenir compte des tortues et faire en sorte de mettre en place des mesures de conservation. Les tortues luth sont une espèce parmi les plus anciennes et les plus grandes au monde. Capables de plonger jusqu’à 1.300 mètres de profondeur, ces énormes reptiles peuvent aussi mesurer jusqu’à deux mètres et peser plus de 900 kilos. Elles pourraient toutes vivre jusqu’à 50 ans si elles n’étaient pas piégées par les filets de pêche des chalutiers et si leur habitat n’était pas détruit par l’urbanisation expansive des zones côtières. Source:http://www.maxisciences.com/tortue/l-039-odyssee-extraordinaire-des-tortues-luth_art11617.html Les trois trajets des tortues luth. (Proceedings of the Royal Society B) Article: http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/early/2011/01/05/rspb.2010.2467.abstract?sid=7a172f73-8d73-4a33-bbd6-44e62b678ab9 -
Une nouvelle piste pour résoudre le mystère de la disparition des abeilles La diminution des colonies d'abeilles est un véritable fléau pour la biodiversité dont les origines sont encore floues. Néanmoins, une nouvelle donnée a été mise en avant dans les recherches du professeur Diana Cox-Foster, qui évoque la transmission de virus par le pollen. La chercheuse et son équipe, spécialistes des insectes et de leurs maladies à l'université de Pennsylvanie, ont publié une étude dans le magazine PLoS ONE en décembre 2010. Dans celle-ci, ils expliquent que des prélèvements leur ont permis de trouver des virus à l'intérieur du pollen de certaines fleurs, déposés-là par des insectes malades ou bien des porteurs sains. De ce fait, lorsque les butineuses ramènent le pollen contaminé dans la ruche, la reine et tous ses œufs risquent l'infection. L'étude indique que ce mode de transmission de l'abeille à la fleur puis de la fleur aux autres pollinisateurs expliquerait la hausse de la mortalité. En effet, si le nombre d'abeilles pollinisatrices est démultiplié sur un terrain donné, le risque de propagation des virus augmente à son tour, car plusieurs colonies saines peuvent se retrouver en contact avec des virus déposés sur le pollen par des abeilles malades. Ce travail est loin d'être terminé : reste à savoir comment les virus se transmettent de l'insecte à la fleur, combien de temps ils restent dangereux, et enfin, analyser l'ampleur du danger pour l'espèce. Source: http://www.linternaute.com/nature-animaux/insecte/transmission-des-virus-chez-les-abeilles-0111.shtml Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0014357
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En deux ans, une femelle Boa constrictor imperator donne naissance à 22 bébés sans accouplement. C'est le premier cas reconnu chez cette espèce... Boa Constrictors Can Have Babies Without Mating, New Evidence Shows In a finding that upends decades of scientific theory on reptile reproduction, researchers at North Carolina State University have discovered that female boa constrictors can squeeze out babies without mating. More strikingly, the finding shows that the babies produced from this asexual reproduction have attributes previously believed to be impossible. Large litters of all-female babies produced by the "super mom" boa constrictor show absolutely no male influence -- no genetic fingerprint that a male was involved in the reproductive process. All the female babies also retained their mother's rare recessive color mutation. This is the first time asexual reproduction, known in the scientific world as parthenogenesis, has been attributed to boa constrictors, says Dr. Warren Booth, an NC State postdoctoral researcher in entomology and the lead author of a paper describing the study. He adds that the results may force scientists to re-examine reptile reproduction, especially among more primitive snake species like boa constrictors. The study is published online in Biology Letters, a Royal Society journal. Snake sex chromosomes are a bit different from those in mammals -- male snakes' cells have two Z chromosomes, while female snakes' cells have a Z and a W chromosome. Yet in the study, all the female babies produced by asexual reproduction had WW chromosomes, a phenomenon Booth says had not been seen before and was believed to be impossible. Only through complex manipulation in lab settings could such WW females be produced -- and even then only in fish and amphibians, Booth says. Adding to the oddity is the fact that within two years, the same boa mother produced not one, but two different snake broods of all-female, WW-chromosome babies that had the mother's rare color mutation. One brood contained 12 babies and the second contained 10 babies. And it wasn't because she lacked options: Male snakes were present and courted the female before she gave birth to the rare babies. And the versatile super-mom had previously had babies the "old-fashioned way" by mating with a male well before her two asexual reproduction experiences. Booth doubts that the rare births were caused by environmental changes. He notes that while environmental stresses have been associated with asexual reproduction in some fish and other animals, no changes occurred in the mother boa's environment or routine. It's possible that this one snake is some sort of genetic freak of nature, but Booth says that asexual reproduction in snakes could be more common than people think. "Reproducing both ways could be an evolutionary 'get-out-of-jail-free card' for snakes," Booth says. "If suitable males are absent, why waste those expensive eggs when you have the potential to put out some half-clones of yourself? Then, when a suitable mate is available, revert back to sexual reproduction." A reptile keeper and snake breeder, Booth now owns one of the young females from the study. When the all-female snake babies reach sexual maturity in a few years, Booth will be interested to see if they mate with a male, produce babies without a mate, or -- like their mother -- do both. In any case, these WW-chromosomed females will continue their version of "girl power," as any baby they produce will also be female. Source:http://www.sciencedaily.com/releases/2010/11/101103111210.htm Traduction google: Les serpents boas peuvent avoir des bébés sans accouplement, de nouvelles preuves montrent Dans une conclusion qui renverse des décennies de théorie scientifique sur la reproduction des reptiles, des chercheurs de North Carolina State University ont découvert que les boas femelle peut faire sortir les bébés sans accouplement. Plus frappant encore, le constat montre que les bébés produite à partir de cette reproduction asexuée ont des attributs que l'on croyait impossible. de grandes portées de tous les bébés des femmes-produit par le constricteur "super maman" boa montrent absolument aucune influence masculine - aucune empreinte génétique qu'un homme a été impliqué dans le processus de reproduction. Tous les bébés de sexe féminin a également conservé rares de leur mère mutation de couleur récessive. C'est la première fois la reproduction asexuée, connu dans le monde scientifique comme la parthénogenèse, a été attribuée à des boas, dit le Dr Warren Booth, un chercheur postdoctoral Etat NC à l'entomologie et l'auteur principal d'un article décrivant l'étude. Il ajoute que les résultats scientifiques peuvent forcer à réexaminer la reproduction des reptiles, en particulier chez les plus primitifs, comme les espèces de serpents boas. L'étude est publiée en ligne dans la revue Biology Letters , une revue de la Société royale. chromosomes sexuels Snake sont un peu différentes de celles chez les mammifères - serpents mâles "cellules ont deux chromosomes Z, tandis que les serpents femelles" cellules ont un Z et un chromosome W. Pourtant, dans l'étude, tous les bébés de sexe féminin produite par reproduction asexuée avait chromosomes WW, un phénomène dit Booth n'avait pas été vu auparavant et était considéré comme impossible. Ce n'est que par la manipulation complexe des paramètres de laboratoire pourrait telles femelles WW être produite - et même alors, seulement dans les poissons et les amphibiens, dit Booth. Pour ajouter à la bizarrerie est le fait que dans les deux ans, la mère boa même produit non pas un, mais deux couvées serpent de tous les bébés des femmes, WW-chromosome qui avait mutation de la mère de couleur rare. Un couvain contenait 12 bébés et la seconde contient 10 bébés. Et ce n'était pas parce qu'elle n'avait pas d'options: les serpents Homme étaient présents et ont courtisé la femelle avant qu'elle a donné naissance à des bébés rares. Et la polyvalence de super-maman avait déjà eu des enfants le «bon vieux temps" par l'accouplement avec un mâle bien avant ses deux expériences de reproduction asexuée. Booth doute que les naissances rares ont été causés par les changements environnementaux. Il note que si les stress environnementaux ont été associés à la reproduction asexuée chez certains poissons et autres animaux, pas de changements sont intervenus dans l'environnement du boa mère ou de routine. Il est possible que ce serpent est une sorte de monstre génétique de la nature, mais Booth dit que la reproduction asexuée chez les serpents pourrait être plus fréquente qu'on le pense. "Reproduire les deux sens pourrait être une évolution« carte de faire sortir de prison-sans »pour les serpents», dit Booth. "Si les hommes sont absents convient, pourquoi perdre ces œufs cher quand vous avez la possibilité de mettre quelques demi-clones de vous-même? Alors, quand un compagnon approprié est disponible, revenir à la reproduction sexuée." Un gardien de reptiles et d'éleveur de serpents, Booth possède maintenant l'une des jeunes femmes de l'étude. Quand les bébés toutes les femmes-serpents atteignent la maturité sexuelle en quelques années, Booth sera intéressant de voir si ils s'accouplent avec des mâles, des bébés, sans un compagnon, ou - comme leur mère - faire les deux. Dans tous les cas, ces femelles WW-chromosomed poursuivront leur version de "girl power", comme tous les bébés qu'elles produisent également être des femmes.
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Envoi de reptiles par transporteur ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Divers
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Je ne suis pas un obsédé du taux d"hygrométrie et pourtant j'élève des espèces réputées pour leur besoin en humidité Je n'ai aucun hygromètre dans la pièce ou dans les terrariums. Je pulvérise pratiquement jamais mes serpents. Par contre, chaque terrarium possède une boite avec de la sphaigne toujours humide. Cela suffit et fonctionne très bien depuis de longues années...