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Oxyrhopus rhombifer http://www.lafermetropicale.com/boutique/oxyrhopus-rhombifer-1300294633.htm?PHPSESSID=11476223b52f1d27c796645f97827196 Lystrophis dorbignyi http://www.lafermetropicale.com/boutique/lystrophis-dorbignyi-1300289591.htm Lamprophis guttatus http://www.lafermetropicale.com/boutique/lamprophis-guttatus-1300198812.htm Madagascarophis colubrinus http://www.lafermetropicale.com/boutique/madagascarophis-colubrinus-1299770245.htm Crotaphopeltis hotamboeia http://www.lafermetropicale.com/boutique/index.php?rub=ref&id=1298907357 Lamprophis aurora http://www.lafermetropicale.com/boutique/index.php?rub=ref&id=1067946815 Pseudaspis cana http://www.lafermetropicale.com/boutique/index.php?rub=ref&id=1290620454
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Neuchâtel: six serpents volés, un suspect interpellé à St-Blaise Soupçonné d'avoir dérobé par effraction et à l'étalage six serpents dans trois animaleries de la région de Neuchâtel, un homme de 22 ans a été interpellé lundi par la police neuchâteloise chez lui à St-Blaise (NE). Il a admis les faits. Le jeune homme est également soupçonné d'avoir volé trois terrariums, un aquarium ainsi que divers accessoires, a indiqué mardi la police dans un communiqué. Quatre des six serpents ont été retrouvés et ont pu être restitués à leurs propriétaires. Source: http://www.lematin.ch/flash-info/suisse/neuchatel-serpents-voles-suspect-interpelle-st-blaise -
Chez vos voisins, c'est la jungle Les animaux sauvages, en particulier les reptiles, oiseaux et insectes, captifs doivent être déclarés tant par les éleveurs que par les particuliers. Nul n'est censé ignorer la règlementation, mais beaucoup la contournent. N'y a-t-il pas un boa chez votre voisin ? Mystère. Une « sale bête ».?Et un propriétaire dépassé par les événements. Voici quelques jours, sur un site de petites annonces, un Audois donnait sa tortue-alligator, un animal dangereux et vorace qui, normalement, n'a rien à faire ici. «Devenue trop grosse et trop gourmande.» C'est pour ces raisons que le donneur justifiait le fait de se débarrasser de la bestiole à la mine patibulaire et qu'il détenait en toute illégalité. Ces annonces là, elles sont légion sur internet. Du côté de Limoux, un homme vend un boa constrictor dont il n'a «pas le temps de s'occuper», par exemple.?Un adorable spécimen de plus de deux mètres, vendu pour la modique somme de 150 €... Ces annonces, les services de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des population (DDCSPP) les passent au peigne fin. Car en matière de faune sauvage captive, qu'il s'agisse d'oiseaux exotiques, de reptiles ou d'insecte, l'on ne fait pas n'importe quoi. Tous, en effet, doivent faire l'objet d'une déclaration administrative établie en bonne et due forme. Et surtout, ne doivent pas tomber entre n'importe quelles mains. Travail de surveillance Selon un fonctionnaire, ce travail de surveillance qui implique à la fois la DDCSPP, les offices des forêts et de la chasse, et la douane révèle assez peu de trafic dans le département. En revanche, chacun a conscience que de nombreux propriétaires d'animaux ne sont pas en règle. Dans le département, 51 personnes sont titulaires d'un certificat de capacité pour la détention et l'élevage professionnel d'animaux sauvages. En outre, 28 établissements font l'objet d'une « autorisation d'ouverture » permettant de recevoir le public, ou de faire commerce des animaux. Ce ne sont évidemment pas ces éleveurs aguerris et accrédités qui font débat, mais plutôt les particuliers et leurs élevages dits « d'agrément' ». 97 personnes seulement disposent d'une autorisation de détention d'animaux d'espèces non domestiques. Il s'agit, pour l'essentiel, d'éleveurs de tortues terrestres et de psittacidés donc de perroquets. Malgré la volonté des services et du ministère de l'Environnement, il n'existe par un recensement précis des spécimens présents dans le département, d'autant plus qu'ils sont souvent importés, d'Espagne notamment, et ne sont pas déclarés. Selon un agent de la DDCSPP, en cas de découverte, les conditions d'élevage sont vérifiées, tout comme la bonne foi du détenteur. Ne sont sanctionnés que les trafics flagrants. Pour les particuliers, une mise en règle suffit. « Notre travail consiste surtout à protéger les espèces, l'environnement et les hommes. On connait pas exemple l'impact de la présence des tortues de Floride dans nos eaux, ou encore les menaces qui pèsent sur certaines espèces d'oiseaux, dont il faut strictement encadrer l'élevage et la circulation », explique un fonctionnaire. Et de reconnaître que des efforts d'information, en direction de la population et en partenariat avec les vendeurs sont à faire. où déclarer ? La demande d'autorisation de détention d'animaux d'espèces non domestiques n'est pas, en soi, très compliquée... Encore faut-il trouver le bon interlocuteur pour vous diriger vers le bon service. La méthode la plus simple consiste à télécharger le formulaire cerfa n°12447*01 sur le site du ministère de l'écologie et du développement durable ou de vous le procurer auprès de la DDCSPP à la Cité Administrative. Si le dossier est complet, c'est la préfecture qui délivrera le certificat de capacité. Puis, un suivi régulier des conditions d'élevage peut intervenir, selon les espèces. Ces démarches sont gratuites. Source: http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/14/1034481-Chez-vos-voisins-c-est-la-jungle.html
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Chytridiomycose: Maladie de la peau chez les amphibiens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Notes médicales
Le crapaud accoucheur pyrénéen succombe à son tour au champignon tueur D'Amérique en Australie, crapauds et grenouilles du monde entier succombent en masse à un champignon qui sévit à présent dans les Pyrénées et que l'homme pourrait avoir propagé quand il se servait de batraciens comme tests de grossesse vivants Parmi les dernières victimes du fléau: les crapauds accoucheurs des Pyrénées, espèce protégée ainsi nommée parce que les mâles transportent les oeufs pondus par les femelles et leur accordent une attention toute maternelle jusqu'à l'éclosion. Au lac d'Arlet, à près de 2.000 m d'altitude, "on a découvert en un seul jour 350 cadavres", relate Eric Sourp, responsable du service scientifique du parc national des Pyrénées. Dans un autre secteur, celui de Néouvielle, "95% de la population a été anéantie", ajoute-t-il, très inquiet. Des hécatombes illustrées par des images de corps livides entassés sur le rocher. Les batraciens sont exterminés par les effets dévastateurs de la chytridiomycose, maladie causée par un champignon, le Batrachochytrium dendrobatidis. La maladie, identifiée pour la première fois en Europe à la fin des années 1990 dans le parc naturel de Peñalara (Espagne), est apparue au début des années 2000 dans les Pyrénées occidentales, où elle provoque désormais des mortalités importantes en haute altitude, explique Dirk Schmeller. Ce chercheur au CNRS de Moulis (Ariège) travaille sur ce désastre dans le cadre du programme européen RACE (www.bd-maps.eu), au côté de collègues de l'Université de Savoie, de Madrid et de Londres. "Des phénomènes d'extinction en masse" de ce petit crapaud de cinq centimètres ont été notés à Ibon de Acherito, côté espagnol et, côté français, dans les secteurs du lac d'Arlet, d'Ansabère et de Néouvielle, dit-il. La chytridiomycose a déjà fait des ravages en Amérique centrale, en Australie ou aux Etats-Unis. Ses origines ne sont pas scientifiquement établies. Mais "on a de très bonnes idées sur la question", dit Dirk Schmeller. Le premier cas de Bd identifié l'a été sur un spécimen de Xenopus laevis, grenouille sud-africaine naturalisée en 1938. Or les xenopes sud-africaines, qui semblent cohabiter sans trop de dommages avec le champignon, ont été "exportées par milliers dans le monde" pour servir à la recherche en laboratoire, mais aussi "de tests de grossesse vivants". La technique, inventée dans les années 30 et développée jusqu'au début des années 60 dans les pays occidentaux, consistait à injecter l'urine d'une femme sous la peau d'une xenope femelle. Si la femme était enceinte, la grenouille pondait des oeufs sous l'effet de l'hormone de grossesse et un mâle émettait des spermatozoïdes. "Les xenopes sont des porteurs sains et personne n'a réalisé qu'il y avait des problèmes de sécurité", poursuit le chercheur. La chytridiomycose menace aujourd'hui plus de 30% des amphibiens de la planète. Elle affecte la bouche des tétards. Eux n'en meurent pas. "Mais à la métamorphose, le champignon infecte la peau kératinisée et l'amphibien peut mourir en deux semaines". Les scientifiques ne savent pas exactement de quoi. Asphyxie, problèmes de flux hydriques, toxine émanant du champignon ? En tout cas, les crapauds deviennent "très léthargiques", certains "sont d'une maigreur épouvantable", raconte Adeline Loyau, chercheuse à Moulis. Les remèdes sont difficiles à mettre en oeuvre dans la nature, tout désinfectant injecté dans l'habitat étant susceptible de tuer d'autres organismes, dit-elle. Une expérience menée à Majorque consistant à prélever tous les amphibiens d'un bassin, les désinfecter un à un, assécher le bassin puis le repeupler ne s'est pas révélée concluante: la maladie est revenue au bout de quelque temps. Source:http://www.lequotidien.lu/reportages/21058.html -
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Chelonoidis abingdonii "Lonesome George"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Les venins des serpents n'ont pas livré tous leurs secrets
askook a posté un sujet dans Serpents Venimeux
Depuis plusieurs décennies, les venins de serpents sont utilisés en pharmacologie pour créer de nouveaux médicaments. Mais une équipe de pharmacologistes, cliniciens, systématiciens et biologistes de la conservation, dirigée par Nicolas Vidal du laboratoire « Systématique, adaptation, évolution » (UMR 7138 Muséum national d'Histoire naturelle/Université Pierre et Marie Curie/CNRS /IRD), vient de montrer que ces venins étaient largement sous-exploités. Ils ont décidé d'unir leurs efforts pour utiliser au plus haut niveau ces ressources en composés pharmaceutiques et sauvegarder ces espèces particulièrement menacées. Les résultats de cette étude sont publiés en couverture de la revue Bioessays cette semaine. Aujourd'hui, plus de 3000 espèces de serpents vivent sur Terre où elles occupent des niches écologiques variées. La majorité d'entre elles (environ 2700) ont émergé et se sont diversifiées il y a 65 millions d'années au moment de la crise Crétacé-Tertiaire et de l'extinction des dinosaures. Ce grand groupe, appelé Caenophidia, réunit les serpents les plus évolués, ils sont caractérisés par leur fonction venimeuse. Parmi eux, les serpents possédant des crochets venimeux représentent environ 600 espèces. Ce sont les cobras, les vipères ou bien encore les serpents à sonnette. Les espèces restantes, plus de 2000, sont appelées « colubridés » ou « couleuvres ». N'ayant pas de crochets venimeux à l'avant de la bouche, elles ne présentent en général pas de danger pour l'Homme. Celui-ci a longtemps pensé qu'elles n'avaient pas de venins et les a ainsi largement négligées. De récentes découvertes dans la systématique des serpents démontrent que ce biais taxonomique a conduit à sous-exploiter ces centaines d'espèces potentiellement utiles médicalement. C'est seulement au cours de ces dernières années que les scientifiques ont commencé à s'intéresser à ces venins de serpents le plus souvent inoffensifs pour l'Homme. Dans cette étude, les scientifiques ont passé en revue l'état des avancées récentes. Ils ont ainsi mis en évidence de nouvelles technologies, telles que les méthodes de criblage à haut débit, qui permettraient aujourd'hui d'identifier et d'extraire rapidement et efficacement les molécules utiles d'un point de vue thérapeutique. Les venins présenteraient également un degré de variabilité inattendu car leur composition peut différer entre individus d'une même portée. Au même moment, une crise majeure de la biodiversité menace fortement les populations de serpents sur lesquelles reposent ces espoirs biomédicaux. C'est pourquoi les systématiciens et biologistes de la conservation, pharmacologistes, cliniciens doivent unir leurs efforts afin de préserver la biodiversité de ces « couleuvres » tant pour la place qu'elles occupent dans le maintien des écosystèmes que pour leur chimiodiversité et le potentiel médical qu'elles représentent. Source: http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2132.htm Article: http://www.bioessays-journal.com/details/journalArticle/1036459/Snake_venom_From_fieldwork_to_the_clinic_.html -
Vol de tortue endémique à Madagascar Un bébé tortue Astrochelys yniphora, connu sous le nom vernaculaire d’Angonoky, a été intercepté de justesse le mardi 1er mars 2011 dans le district de Soalala, région Boeny. Cette espèce rare de tortue était prête à être embarquée clandestinement dans un navire en partance de Soalala vers Mahajanga. Cette race endémique de tortue, qui n’existe que dans le district de Soalala, a fait maintes fois l’objet d’une sensibilisation massive et continue sur sa protection, dans tout le district et dans toute la région Boeny, et ce de toute part, aussi bien du côté du département de l’Environnement et ses partenaires que du côté des autorités administratives et policières. Toutefois, les mesures sévères imposées aux voleurs et recéleurs n’ont pas empêché Rakotondrainibe Johnson, 34 ans, Chef Quartier Mobile de comploter avec Mme Soamada Elisoa, 27 ans, et Mlle Herizane Mastine, 20 ans, tous les trois demeurant à Soalala. Un pactole de 10 millions d’ariary aurait été promis pour ces voleurs et recéleurs pour l’acheminement clandestin de cette perle rare de Soalala si l’opération avait réussi. Un renseignement reçu par le Directeur du Parc National de Baly, Soalala a été passé le mardi 1er mars à la brigade de la Gendarmerie qui était intervenue immédiatement par une perquisition au domicile des recéleurs. Des bottes de haschich appartenant à Mr Rajaonarison Victor, instituteur FRAM à Antanamahitsy, Soalala ont été découvertes avec la tortue dans le même domicile, destinées à être écoulées vers Mahajanga. Les 4 complices ont été gardés à la Brigade de la Gendarmerie de Soalala jusqu’à leur déferrement à Mahajanga. La vedette rapide Antselaky appartenant au Parc national de Soalala a servi de transport à ces délinquants vers Mahajanga. Source: http://www.madagascar-tribune.com/Vol-de-tortue-endemique,15616.html
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Serpent à groin, serpent à nez de cochon pour les noms vernaculaires... Voici deux liens pour des fiches d'élevages: /t146-heterodon-nasicus /t1319-heterodon-nasicus-nasicus En passant, je viens de voir qu'il n'y a pas de fiche d'élevage personnelle pour l'Heterodon nasicus. Il va falloir que j'en fasse une... En faisant des recherches dans la section photo, tu trouveras beaucoup de photos d'Heterodon. J'ai même posté des photos de naissances, et de simulation de mort de cette espèce.
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Il y a une différence de fond sur le "j'aime pas" entre des terrariophiles qui montrent dès espèces "naturelles" que certains d'entre nous n'aiment pas, et des terrariophiles qui montrent des mutations ou des hybrides. Dans le premier cas, ou n'aime ou on n'aime pas. Mais cela reste sur un plan "esthétique" et le 'j'aime pas" est digéré plus facilement. Dans le deuxième cas, on touche à la main mise de l'homme sur la "pureté" des animaux et comme souvent, cela part en "sucette" car deux façons de voire la terrariophilie s'opposent. Et quand il y a opposition, il y a combat...
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Le génome de la fourmi d'Argentine, une espèce ravageuse, a été séquencé Des chercheurs américains de l'Université de Californie sont parvenus à séquencer le génome de la fourmi d'Argentine, une espèce originaire d'Amérique du Sud, mais proliférant dans de nombreuses régions du monde. Invasives, ces fourmis représentent une réelle menace pour la biodiversité, et ce séquençage pourrait offrir aux scientifiques des moyens de lutter contre sa prolifération. Cette petite fourmi, la Linepithema humile, est l'une des espèces les plus répandues et les plus invasives du monde. "Quand les fourmis d'Argentine envahissent, elles dévastent les communautés locales d'insectes tout en favorisant le développement de populations d'organismes nuisibles à l'agriculture" explique Neil Tsutsui, professeur en sciences environnementales à l'Université de Californie, et co-auteur de ces travaux rapportés par LeMatin.ch. Si les génomes de deux autres espèces, la fourmi rouge moissonneuse et la fourmi de feu, ont été séquencés par quelque 48 chercheurs au cours de cette étude, celui de la fourmi d'Argentine est d'autant plus important que l'impact de cette espèce est particulièrement ravageur pour les écosystèmes. Or ce séquençage, 16.344 gènes ont été découverts chez la fourmi d'Argentine, ouvre la voie à de nouvelles recherches qui pourraient déterminer des moyens de lutter efficacement contre la prolifération de ces insectes. A noter que le séquençage d'une quatrième espèce de fourmi, dite coupeuse de feuille (Atta cephalotes), a été réalisé. Il sera publié le 10 février prochain dans le journal scientifique américain PLoS Genetics. Source: http://www.maxisciences.com/fourmi-d-argentine/le-genome-de-la-fourmi-d-039-argentine-une-espece-ravageuse-a-ete-sequence_art12241.html Article: http://www.plosgenetics.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pgen.1002007
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Le python birman squatte la Floride et menace les oiseaux Publiée en mars dans la revue scientifique BioOne, une étude, menée sur plusieurs années par des biologistes américains, montre que le python birman, vraisemblablement échappé de captivité il y a des dizaines d’années, a fait souche dans les Everglades, où il menace la biodiversité locale. Probablement échappés de captivité, des pythons de Birmanie (Python molurus bivittatus, une sous-espèce du python Molure d'Asie du Sud), ont été signalés pour la première fois dans les marais des Everglades (Floride) en 1979. Prospérant rapidement, ils sont aujourd’hui plusieurs dizaines de milliers ! Entre 2003 et 2008, les scientifiques de la Smithsonian Institution et de l’Université de Floride ont analysé le régime alimentaire de 343 de ces pythons, et découvert dans l’intestin de 85 d’entre eux des restes d’oiseaux, appartenant à 25 espèces différentes, dont certaines - aigrettes, hérons, ibis et cigognes – sont considérées comme menacées. "Ces pythons birmans invasifs sont particulièrement dangereux pour les populations d'oiseaux indigènes en Amérique du Nord, parce que ces oiseaux n'ont pas évolué en connaissant ce grand reptile comme prédateur. À l'inverse, le python est en mesure de prospérer ici parce qu'il n'a aucun prédateur naturel pour limiter ses effectifs. Son fort taux de reproduction, sa longévité, sa capacité à capturer de grosses proies et sa consommation d’oiseaux sont autant de raisons de mettre en place des mesures de contrôle", explique Carla Dove, ornithologue à la Smithsonian Institution. Source: http://www.maxisciences.com/esp%E8ce-invasive/espece-invasive-le-python-birman-squatte-la-floride-et-menace-les-oiseaux_art13115.html Article: http://www.bioone.org/doi/abs/10.1676/10-092.1?prevSearch=%255Ball%253A%2Bpython%2Bmolurus%255D&searchHistoryKey=&queryHash=35af82bfb64ca837b904a99e3bc6a6a0
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